Année : 2023

  • SENEGAL-RELIGIONS-NECROLOGIE / Rappel à Dieu du khalife de Sirmang, El Hadji Mama Ansou Niang

    SENEGAL-RELIGIONS-NECROLOGIE / Rappel à Dieu du khalife de Sirmang, El Hadji Mama Ansou Niang

    Fatick, 28 déc (APS) – Le guide musulman El Hadji Mama Ansou Niang, de Sirmang, un village de la région de Fatick (centre), a été rappelé à Dieu mercredi soir à l’âge de 96 ans, a appris l’APS de plusieurs sources.

    El Hadji Ousmane Niang, de son vrai nom, a été inhumé le même jour à Sirmang, dans la commune de Karang.

    Originaire de l’île de Niodior, dans le département de Foundiougne (région de Fatick), il s’était installé à Sirmang depuis plusieurs décennies.

    El Hadji Mama Ansou Niang était réputé pour sa piété et son érudition.

    Il a rendu célèbre ce village où il habitait depuis longtemps et qui est situé près de la Gambie.

    De nombreux musulmans se rendaient au pèlerinage annuel qu’il organisait à Sirmang, où il célébrait chaque année la naissance du prophète Mouhamed.

    El Hadji Mama Ansou Niang a édifié un centre d’éducation religieuse dans ce village, où de nombreuses personnes venaient séjourner et apprendre gratuitement le Coran.

    Durant sa jeunesse, le guide musulman a séjourné à Sipho, en Gambie, pour parfaire sa maîtrise du Coran.

    Il aimait partager son érudition qu’il partageait avec ses coreligionnaires et tous ceux qui lui rendaient visite.

    « C’est une perte énorme. L’homme était à la fois effacé et visionnaire. Lorsqu’il a pris l’initiative de construire la mosquée à la cité CPI, près de la VDN, à Dakar, personne n’y habitait. Il a prédit que la cité allait être peuplée de fidèles musulmans et a fait construire la mosquée avec ses propres moyens », a témoigné Abdoulaye Sène, le secrétaire général du comité de gestion de ce vaste édifice religieux.

    « Il a acheté le terrain tout seul. Il aurait pu en faire un centre commercial pour gagner de l’argent. Il a préféré y ériger une mosquée et venait souvent prêcher la bonne parole en rappelant aux fidèles leurs obligations religieuses », a ajouté M. Sène.

    Il déplore la perte d’un homme de Dieu « pas du tout attaché aux mondanités ».

    SDI/MTN/ESF/BK

  • SENEGAL-COMMERCE / Les gros porteurs transportant des fruits et légumes vont désormais les décharger à Diamniadio (gouverneur)

    SENEGAL-COMMERCE / Les gros porteurs transportant des fruits et légumes vont désormais les décharger à Diamniadio (gouverneur)

    Dakar, 28 déc (APS) – Les gros porteurs transportant des fruits et légumes en provenance du Sénégal ou d’autres pays doivent désormais les décharger au marché d’intérêt national (MIN) de Diamniadio (ouest), a déclaré le gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall, dans un communiqué reçu mardi à l’APS.

    Cette mesure a été prise lors d’une réunion du gouverneur avec la directrice générale de la Société d’exploitation du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs (SEMIG), Fatoumata Niang Ba, selon le communiqué.

    Des représentants des commerçants, des transporteurs et des horticulteurs ont pris part à cette réunion, a précisé le gouverneur.

    Selon lui, la mise en service de la gare des gros porteurs offre aux véhicules transportant des fruits et légumes un site de stationnement ‘’adéquat’’.

    Cette mesure aura trois avantages, dont le premier sera de ‘’faire jouer au [MIN] son véritable rôle de marché d’éclatement’’, a écrit M. Sall.

    L’obligation pour les gros porteurs de décharger les fruits et légumes au marché d’intérêt national va ‘’contribuer au décongestionnement des artères de Dakar et permettre [au] laboratoire national d’analyse et de contrôle de procéder au contrôle sanitaire de ces produits de grande consommation’’, a ajouté Al Hassan Sall.

    Il annonce qu’un arrêté de la gouvernance de Dakar précisera les ‘’modalités d’application’’ de cette mesure prise lors de sa réunion avec la directrice générale de la SEMIG, les commerçants, les transporteurs et les horticulteurs.

    Lors de cette rencontre, qui a eu lieu le 20 décembre, Fatoumata Niang Ba avait salué la démarche entreprise par le gouverneur en vue d’une utilisation à grande échelle et de la rentabilité de ces deux infrastructures commerciales, le MIN et la gare des gros porteurs.

    ‘’J’invite tout le monde à conjuguer ses efforts pour optimiser la rentabilité du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs. Cela va réduire les stationnements anarchiques à Dakar’’, avait-elle dit.

    CN/ESF/MTN

  • AFRIQUE-LITTERATURE-PUBLICATION / Parution du livre jeunesse « Lilani : à la recherche du trésor » des sœurs Anna et Yamma Gomis

    AFRIQUE-LITTERATURE-PUBLICATION / Parution du livre jeunesse « Lilani : à la recherche du trésor » des sœurs Anna et Yamma Gomis

    Dakar, 28 déc (APS) – Anna et Yamma Gomis, deux sœurs franco-guinéennes partageant une passion commune pour l’écriture, viennent de publier un livre de jeunesse intitulé « Lilani : à la recherche du trésor » (éditions Saaraba), a-t-on appris de l’institut français de Dakar.

    L’ouvrage, destiné aux enfants de cinq à dix ans, retrace les aventures de Lilani, une enfant accompagnée de sa bande de cousins dans un village manjak situé en Guinée Bissau, précise le communiqué de presse.

    Lilani et ses cousins Anta, Flora et Liam se retrouvent souvent sans cesse impliqués dans de mystérieuses aventures, indique le livre. Celui-ci se veut un voyage entre traditions, histoires, mystères et situations farfelues où les cinq cousins ne font preuve d’imagination pour occuper leurs journées.

    « La petite bande peut compter sur les enquêtes de Lilani, qui, téléphone en main, rêve de devenir journaliste-reporter », lit-on sur la quatrième de couverture.

    L’ouvrage est illustré par Oumar Diop, qui en est aussi co-auteur.

    La directrice littéraire et artistique, Anna Gomis, passionnée de littérature, a aussi signé « la création de plusieurs séries dont ‘Renaissance’, bien connu du public sénégalais », souligne l’éditeur.

    NAN/FKS/ASG/BK

  • SENEGAL-SANTE-RETROSPECTIVE / Transplantation rénale : une première médicale qui fait renaitre l’espoir chez les malades

    SENEGAL-SANTE-RETROSPECTIVE / Transplantation rénale : une première médicale qui fait renaitre l’espoir chez les malades

    Dakar, 28 déc (APS) – L’année 2023 est marquée sur le plan sanitaire d’une pierre blanche par la première transplantation rénale réalisée au Sénégal à la grande satisfaction de l’équipe soignante.

    Une première médicale qui a vu l’’’espoir’’ renaitre ‘’dans le regard’’ des malades transplantés, se réjouit le Professeur Elhadji Fary Kâ, néphrologue et président du Conseil national du don d’organes et de la transplantation (CNDT).

    Trois transplantations rénales ont été réalisées par le consortium Hôpital Militaire de Ouakam-Aristide Le Dantec les 26 et 27 novembre, d’abord avec leurs partenaires turcs avant de travailler en toute autonomie.

     »Toute l’équipe était satisfaite et il y a des membres de l’équipe qui ont versé des larmes. Il y avait l’espoir qui renaissait dans le regard de ces malades transplantés.  C’était l’émotion », confie le Professeur Kâ.

    L’hôpital Aristide Le Dantec étant en travaux, son service de néphrologie que dirige le président du conseil national du don d’organes a été redéployé à l’hôpital militaire de Ouakam.

    Les équipes soignantes remercient  »toutes les autorités en espérant que cette flamme et cet espoir seront entretenus avec encore des greffes rénales’’, a ajouté le Pr Kâ.

     »C’est une grande avancée. Nous allons continuer, HMO-Dantec, à faire des transplantations. Plusieurs personnes sont sur la liste d’attente. Nous en avons fait trois, mais nous pouvions faire plus. Nous avons brisé le tabou et nous savons que c’est possible. Nos vaillants chirurgiens font des choses beaucoup plus compliquées tous les jours. (….) nous avons l’expertise’’, dit-il.

    Le problème reste le financement de ces opérations, selon le président du CNDT qui reste optimiste. ‘’Je suis convaincu qu’on aura le financement’’, rassure-t-il.

    Il estime qu’au regard  »de tous les avantages liés à la transplantation, le coût ne doit pas être un facteur bloquant en matière de santé ».  »Ce qui important, c’est l’espérance, la qualité de vie qu’on retrouve, cela n’a pas de prix’’, soutient le Pr Kâ.

     »Nous n’investissons pas dans la santé pour faire des bénéfices. Quel que soit le coût, il faudra le payer pour rendre à ces patients souffrant d’insuffisance rénale l’espoir, leur permettre de réintégrer la société, travailler et être utiles à eux-mêmes et à leurs familles’’, insiste-t-il.

    Pour le chef du service de néphrologie de l’hôpital Aristide Le Dantec,  »comparativement à la dialyse, la transplantation au bout d’un an coûte moins cher, deux fois moins cher après la deuxième année et après cela dégringole jusqu’à 70 à 80 % moins cher’’.

    ‘’Il faut trouver les moyens de faire la transplantation rénale. Si nous prenons l’exemple de la réanimation, elle coûte excessivement cher et pourtant, nous mettons de l’argent là- dedans’’, fait-il remarquer

    Aller vers un financement graduel de la transplantation

    Les premières transplantations réalisées les 26 et 27 novembre ont été prises en charge gratuitement par l’hôpital militaire de Ouakam.

     »’Ces personnes n’ont pas déboursé un franc. Mais aucun hôpital ne peut de manière continue et soutenue payer pour les malades. C’est impossible. Il faut un budget pour la transplantation rénale. Nous avons un document finalisé sur le financement et [il a été] remis aux autorités. Nous travaillons étroitement avec le ministère de la Santé, pour mettre en place cette subvention’’, a-t-il encore dit.

    Il a rappelé avoir parlé de cette subvention lors d’ une audience avec le président de la République, Macky Sall, et de la possibilité de l’intégrer dans le budget 2024.

    ‘’Je pense qu’il faut mettre des budgets graduellement, c’est-à-dire on met un budget, on fixe un objectif aux hôpitaux qui transplantent, si les objectifs sont atteints, on augmente. C’est comme un système de contrat de performances’’, a indiqué le professeur.

    Il signale que le Conseil national du don d’organes et de la transplantation rénale a rencontré tous les directeurs d’hôpitaux. Il n’en demeure pas moins que le financement reste  »le problème ».  »Ils ont toujours demandé qui paie parce que c’est une activité qui n’est pas rentable’’, a-t-il fait remarquer.

    Le consortium HMO-Le Dantec évalue, selon le néphrologue,  »chaque jour des couples donneur- receveur qui sont aptes’’.

    ‘’Nous avons réglé le problème de l’organisation, il faut régler le problème du financement, contrairement à la dialyse où nous avons réglé le problème du financement sans régler le problème de l’organisation. Les autorités vont s’investir et je pense qu’on va y arriver’’, a-t-il ajouté.

    ‘’Ces gens qui sont là prêts à être transplantés, nous ne pouvons pas ne pas les transplanter parce qu’ils n’ont pas les moyens. En ce moment, il y aura une rupture d’équité et d’égalité’’, a poursuivi le Pr Kâ.  »Nous avons les couples compatibles et nous allons les transplanter’’, a-t-il dit.

    La première transplantation rénale réalisée au Sénégal a sorti de l’ombre la directrice de l’hôpital militaire de Ouakam, le colonel Youhanidou Wone Dia, gynécologue obstétricienne.

     »Je suis gynécologue, je n’ai fait qu’assister à l’opération en tant que directrice de l’hôpital », avait-t-elle déclaré au journal de 20heures sur la RTS, au lendemain de cette première médicale.

     SKS/OID/ASG

  • SENEGAL-SPORT-FAKENEWS-RETRO / Le « fameux » hommage de Kim Jong-un à Sadio Mané, qui a emballé les réseaux sociaux

    SENEGAL-SPORT-FAKENEWS-RETRO / Le « fameux » hommage de Kim Jong-un à Sadio Mané, qui a emballé les réseaux sociaux

    Dakar, 26 déc (APS) – L’attaquant sénégalais évoluant en Arabie Saoudite Sadio Mané, après un passage remarqué en Premier League (élite anglaise) et en Bundesliga (Allemagne), est célébré, au-delà de ses talents footballistiques, pour ses œuvres philanthropiques récompensées en 2022 par le Prix Socrates destiné à mettre en lumière les footballeurs engagés dans des projets sociétaux et caritatifs.

    Le champion d’Afrique en titre avec les Lions du Sénégal, vainqueur par deux fois le Ballon d’or africain, était sans doute loin de s’imaginer qu’il serait un jour au centre d’un  »vrai faux hommage » du dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, en 2023.

    En effet, une vidéo évoquant le prétendu hommage du leader de Pyongyang à Mané était devenue virale sur les réseaux sociaux au Sénégal, à partir de septembre 2023.

    Elle montrait notamment le président nord-coréen rendre « un vibrant hommage au joueur sénégalais Sadio Mané ».

    La vidéo, postée le 11 septembre 2022 sur YouTube, montre un Kim Jong-un très « ému », à l’instar de son assistance composée majoritairement d’hommes en tenue et de civils, en larmes.

    Selon le sous-titrage de la vidéo détournée et dont les fautes de frappe peuvent attirer l’attention, le président de la Corée du Nord rendait hommage au footballeur sénégalais Sadio Mané « pour tout ce qu’il a fait pour son pays, le Sénégal, et son continent d’origine, l’Afrique ».

    Elle prêtait au leader nord-coréen la déclaration suivante : « Mon statut ne me permet pas pleurer mais les efforts de Sadio méritent beaucoup d’émotions ».

    Après vérification, il s’est avéré que la vidéo partagée largement sur les réseaux sociaux, notamment sur tik tok, avait été sortie de son contexte.

    La vidéo authentifiée relate certes une prise de parole de Kim Jong-un, mais c’était à l’occasion du 75e anniversaire du Parti du travail, à Pyongyang, le 10 octobre 2020.

    Kim Jong-un présentait notamment… « ses excuses à son peuple », lors de cette cérémonie du parti dirigeant en Corée du Nord.

    Visiblement ému, il a versé des larmes en s’excusant de ne « pas avoir été toujours à la hauteur dans la gestion de la pandémie de Covid-19 », renseigne une vidéo diffusée par l’Agence France-Presse (AFP) http://www.youtube.com/channel/UCckz6n8QccTd6K_xdwKqa0A/?sub_confirmation consultée le 27 septembre 2022.

    Le lien ci-dessous montre la vidéo authentique https://www.youtube.com/watch?v=ggolER2VUXU

    SMD/ASG/BK

  • SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURE / Goudiry : réouverture du bloc opératoire néonatal d’urgence, fermé depuis près de 10 ans

    SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURE / Goudiry : réouverture du bloc opératoire néonatal d’urgence, fermé depuis près de 10 ans

    Goudiry, 28 déc (APS) – Le bloc opératoire néonatal d’urgence du centre de santé de Goudiry (est), à l’arrêt depuis 2014, a rouvert mercredi, lors d’une cérémonie officielle présidée par le directeur régional de la santé de Tambacounda (est), a constaté l’APS.

    « La fermeture du bloc opératoire est consécutive à l’affectation de l’anesthésiste en décembre 2014. Cela a entrainé une augmentation des évacuations pour césarienne vers l’hôpital régional de Tambacounda. Le centre de santé de Goudiry en est à 143 évacuations en 2023. Cela augmente le coût et les risques pour le malade », a expliqué le médecin chef de district, docteur Fallou Guèye.

    Sa  réouverture coïncide avec la célébration de la Semaine régionale de la santé de la mère et de l’enfant et constitue « un cadeau de Noël » pour les populations de Goudiry, un des quatre départements de la région, a souligné Bayal Cissé, directeur régional de la santé.

    « Dans le cadre de la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale au niveau de la région de Tambacounda, nous sommes en train de nous battre pour réduire la mortalité maternelle et la morbidité maternelle et néonatale », a souligné docteur Cissé.

    Il a fait part d’une augmentation du maillage du territoire régional en infrastructures sanitaires et en ressources humaines. « De 2013 à nos jours, dit-il, nous sommes passés de 72 à 148 postes de santé, d’un seul gynécologue à cinq, dont deux qui servent dans le privé ».

    « De 85 sages-femmes en 2013, nous sommes à 182 sages-femmes maintenant au niveau de la région dont neuf dans le centre de santé de Goudiry », a poursuivi le directeur régional de la santé.

    Il est revenu sur la réouverture du bloc opératoire néonatal d’urgence du centre de santé de Goudiry, en promettant de rendre « plus accessible la formation de l’équipe chirurgicale avec l’aide de la tutelle ».

    « Plus de 30 sages-femmes de la région de Tambacounda ont été formées pour la manipulation en échographie et l’utilisation du bloc opératoire néonatal d’urgence, en vue de dépister très tôt les complications liées à la grossesse », a expliqué docteur Bayal Cissé.

    Il a par ailleurs assuré de « la disponibilité de médicaments et d’intrants pour aider les acteurs sanitaires » à pratiquer des césariennes et à prendre en charge « des femmes en état de grossesse pour mieux lutter contre la mortalité maternelle et néonatale ».

    BT/MTN/BK

  • SENEGAL-SPORT-PLAIDOYER / Kaffrine : un maitre taekwondo pour plus d’accompagnement des disciplines sportives

    SENEGAL-SPORT-PLAIDOYER / Kaffrine : un maitre taekwondo pour plus d’accompagnement des disciplines sportives

    Kaffrine, 28 déc (APS) – Le taekwondo et les autres disciplines sportives doivent bénéficier de plus d’accompagnement de la part des autorités territoriales de Kaffrine (centre), en termes d’équipement notamment, a plaidé Mouhamed Khalifa Diaw, maître de taekwondo dans la capitale du Ndoucoumane.

    “Nous voulons plus d’accompagnement des autorités’’ au profit des disciplines sportives en général et des arts martiaux en particulier, comme le taekwondo, “à travers des salles aux normes bien équipées, des matériels de combats et des tapis’’, a-t-il lancé, mercredi soir, en marge de la nuit dédiée aux arts martiaux, en présence de nombreux acteurs sportifs.

    Des invités d’autres secteurs ont également assisté à cette manifestation ayant regroupé plusieurs clubs d’arts martiaux de la région dont les pensionnaires ont rivalisé de savoir-faire à travers des démonstrations, en présence du président de la commission des grades de la ligue régionale de taekwondo.

    Des attestations de participation ont été remises aux différents élèves, pour leurs performances de l’année dernière.

    CTS/BK/MTN

     

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-FONCTIONNEMENT / Matam se dote d’un bureau municipal paritaire

    SENEGAL-COLLECTIVITES-FONCTIONNEMENT / Matam se dote d’un bureau municipal paritaire

    Matam, 28  déc (APS) – La commune de Matam (nord) s’est dotée d’un bureau municipal paritaire, mercredi, suite à un recours déposé par des conseillers municipaux pour non-respect de la parité, a appris l’APS de source municipale.

    Au sein du nouveau bureau, Aissata Bâ a été élue première adjointe au maire Mamadou Mory Diaw.

    Mamadou Gaye qui occupait le poste de premier adjoint dans le précédent bureau devient deuxième adjoint. La conseillère Hawa Oumar Diaw est la troisième adjointe.

    L’élection du nouveau bureau s’est tenue en présence du préfet du département de Matam, Souleymane Ndiaye.

    AT/MTN/BK