Année : 2023

  • SENEGAL-MALI-MIGRATION / Diass : 29 candidats à l’émigration irrégulière interpellés (source sécuritaire) 

    SENEGAL-MALI-MIGRATION / Diass : 29 candidats à l’émigration irrégulière interpellés (source sécuritaire) 

    Mbour, 16, déc (APS) – La brigade de gendarmerie de Diass a interpellé, vendredi soir, à Toglou (Mbour, Ouest), 29 candidats à l’émigration irrégulière, tous d’origine malienne, a appris l’APS, de source sécuritaire.

     »Au total, ils sont 29 candidats à l’émigration irrégulière, dont une femme. C’est vendredi soir vers les coups de 18h30 que nous avons reçu l’information et nous avons procédé à leur interpellation dans une maison en face du lycée de Toglou », a indiqué cette source.

     »Ils sont tous de nationalité malienne. Nous avons tenté (d’avoir) plus d’informations sur leur voyage, mais ils ne veulent pas coopérer », a t-elle ajouté.

    Elle a annoncé qu’une enquête a été ouverte pour mettre la main sur les organisateurs du voyage. Une décision du procureur est également attendue pour  »voir la suite à donner aux interpellés », selon cette même source.

    DOB/ADI/OID

     

  • SENEGAL-POLITIQUE-MEDIAS / Thiès: divers acteurs lancent un appel pour une élection présidentielle apaisée

    SENEGAL-POLITIQUE-MEDIAS / Thiès: divers acteurs lancent un appel pour une élection présidentielle apaisée

    Thiès, 16 déc (APS) – Des acteurs politiques, des hommes de médias, des religieux et des membres de la société civile ont uni leurs voix lors d’un panel, vendredi à Thiès, pour appeler à une élection présidentielle apaisée le 25 février 2024, a constaté l’APS.

    Ils s’étaient retrouvés dans un hôtel de la capitale du rail, au deuxième jour des “ 72 heures de la presse locale“, une série d’activités initiées par l’Association de la presse locale de Thiès (APL), et lancées jeudi par le gouverneur Mamadou Oumar Baldé.

    Lors d’un panel sur le thème : “La presse face aux défis de la présidentielle », des représentants de partis de la mouvance présidentielle et de l’opposition, comme l’APR, le Rewmi, le PDS, Jammi Rewmi, la Plateforme pour le développement local Njerinu askan-wi, dont le responsable est aussi candidat à la présidentielle, entre autres, ont insisté sur l’impérieuse nécessité de préserver la stabilité du pays.

    Ils ont aussi diagnostiqué les causes de violences en période d’élection, en insistant sur le rôle de la presse.

    Décrivant la délicatesse du contexte dans lequel doit se tenir le scrutin présidentiel, Maodo Malick Mbaye, un responsable de l’APR qui a préféré intervenir en tant que médiateur, a fait part de ses craintes.

     »J’ai peur et je sais pourquoi j’ai peur », a-t-il dit, faisant remarquer que jamais une élection présidentielle sénégalaise n’a été organisée auparavant avec “autant de floraison de médias et de réseaux sociaux ».

    Ces échéances électorales se tiendront dans un climat où “on ne se parle plus, on se crache dessus, on ne communique plus, on s’invective“, avec à la clef, un  »appel à la haine », qui commence à se faire entendre, a-t-il poursuivi.

    Les participants ont aussi pris en compte, dans leur analyse situationnelle la perspective d’exploitation du gaz et du pétrole, à un moment où le Sénégal est entouré d’une “ceinture de feu“.

    Autant d’ingrédients qui fondent Maodo Malick Mbaye, journaliste de formation, à croire que l’on s’achemine vers une “élection à haut risque“ et à prôner “la censure et l’autocensure“.

    Le modérateur de la rencontre, Abdoul Aziz Diop du Forum civil a évoqué avec  »nostalgie » ce Sénégal où la rivalité politique était policée, où les candidats se donnaient des sobriquets “sans animosité“. “C’est ce Sénégal-là dont nous sommes nostalgiques », a-t-il dit.

    “L’exception sénégalaise, c’est aussi, a-t-il poursuivi, ce dialogue interreligieux, inter-confrérique, interethnique », où le premier président sénégalais d’obédience chrétienne, à la tête du pays pendant vingt ans, avait parmi “ses principaux soutiens“, des chefs religieux musulmans.

    Un objectif qu’avait, d’emblée, campé Pierre Pouye, président du comité d’organisation des “72 heures de la presse locale“.

     »Nous voulons lancer un appel (à la paix) à partir de Thiès, pour que cela fasse tâche d’huile à travers le pays“, a-t-il dit, avant de rappeler : “nous sommes d’abord des citoyens avant d’être des journalistes“. Il n’a pas manqué d’évoquer à quel point les journalistes, à l’instar de toutes les couches de la population ont été affectés par les évènements politiques que le pays a connus ces dernières années et qu’ils ne souhaitent plus revivre.

    Pouye a souligné la “grande responsabilité“ de la presse dans la stabilité du pays, tout comme celle des autres entités de la société, qui doivent chacune jouer sa partition pour préserver le pays de tout chaos.

    Pour lui, cette  »alerte » était destinée à faire prendre conscience à tous les acteurs que le Sénégal survivra à la présidentielle du 25 février 2024.

    Mor Talla Ndiéguène, qui était venu représenter son père Serigne Mounirou Ndiéguène le khalife de Keur Mame Elhadji, a relevé que la prochaine présidentielle, partie pour être “la plus disputée“ de l’histoire du pays, sera un scrutin dans lequel “la clarté du discours sera déterminante“.

    Les pratiques politiques anciennes de promesses et de manipulation sont démodées, a-t-il laissé entendre, car au-delà du Sénégal, “le monde s’est réveillé (suite à) un bouleversement cosmique et cosmologique“.

    Vu leur position d’interface entre les candidats et les électeurs et leur rôle dans le façonnement de l’opinion, les journalistes ont été surtout invités à la responsabilité, à la sélection dans la distribution de la parole publique, au respect de l’éthique et de la déontologie.

    Certains participants ont recommandé aux hommes de média de se spécialiser davantage, pour mieux maîtriser les sujets qu’ils sont appelés à traiter, et donner ainsi de la plus-value à leurs productions.

    Le journaliste Cheikh Diop de la RTS (télévision nationale) a, pour sa part, tenu à relativiser la supposée menace qui planerait sur le pays lors de la prochaine présidentielle, rappelant que le Sénégal est une vieille démocratie où les gens votent depuis le 19-ème siècle. Il a appelé la presse à ne pas accepter d’être  »mis dans le carcan » consistant à penser que la présidentielle de 2024 sera la plus violente de toutes.

    Convoquant l’histoire, il a noté que le Bloc démocratique sénégalais (BDS) de Senghor et la SFIO de Lamine Guèye s’étaient livré une bataille sanglante, faisant des morts dans le cadre d’une élection, avant l’indépendance. L’élection de 1988 avait aussi donné lieu à des violences, a-t-il rappelé.

    Par contre, les scrutins de 2000, 2012, 2019, pour lesquels des “scénarios catastrophes“ avaient été prédits, s’étaient déroulés sans heurts, les électeurs sénégalais ayant démontré leur maturité.

    Il a souligné parmi les maux à mettre en exergue pour avoir une  »presse de qualité », la  »précarité » des hommes  de média, mais aussi la  »prolifération d’écoles de journalisme » dont le choix des formateurs laisse à désirer.

    Cheikh Diop a invité les journalistes à  »faire de la recherche pour se cultiver », estimant que même sans spécialisation, des supports existent sur Internet pour permettre au journaliste de se faire un background et avoir la  »posture » attendue de lui.

    Pour Abdoul Aziz Diop du Forum civil, cet  »appel de Thiès » qui tenait lieu de  »pacte verbal de non-violence », n’était qu’un premier pas que les autres régions du pays sont invitées à emboîter, pour contribuer à une élection apaisée.

    ADI/OID

  • vidéo / Nouvel ouvrage du professeur Samb: Le Dg de l’Aps salue la quintessence du livre .

    vidéo / Nouvel ouvrage du professeur Samb: Le Dg de l’Aps salue la quintessence du livre .

    Dans sa nouvelle parution, le Pr Moustapha Samb, questionne les dynamiques de changements avec l’avènement des deux alternances que le Sénégal a connues. Le directeur général de l’Aps Thierno Amadou Sy qui a pris part à la cérémonie de publication du livre recommande aux hommes de Médias de l’avoir comme livre de chevet . Il a par ailleurs félicité l’auteur pour la qualité du travail .

  • vidéo / Propriété intellectuelle: la chambre de commerce et ASPIT sensibilisent sur la protection des œuvres

    vidéo / Propriété intellectuelle: la chambre de commerce et ASPIT sensibilisent sur la protection des œuvres

    Un catalyseur de la compétitivité, la propriété intellectuelle doit être protégée. C’est l’avis de l’Agence Sénégalaise de la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique et ses collaborateurs notamment la chambre de commerce. Dans un atelier de partage et de sensibilisation, les acteurs sont largement revenus sur l’importance de la protection de nos productions et idées.

  • SENEGAL-DROGUES / Fatick : saisie de 263, 4 kg de chanvre indien à Foundiougne

    SENEGAL-DROGUES / Fatick : saisie de 263, 4 kg de chanvre indien à Foundiougne

    Fatick, 16 déc (APS) – La brigade maritime des Douanes de Foundiougne (centre) a saisi, dans la nuit de vendredi, 263, 4 kilogrammes de chanvre indien d’une contre-valeur estimée à 26, 340 millions de francs CFA, a appris l’APS de son chef, Lieutenant Ibrahima Déme.

    La saisine a été effectuée en mer sur une embarcation, a t-il indiqué dans un communiqué.

    Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, selon la même source, ajoutant que l’enquête suit son cours.

    SDI/OID

  • SENEGAL-PECHE / A Ngaparou, la rareté du poisson préoccupe les acteurs de la pêche

    SENEGAL-PECHE / A Ngaparou, la rareté du poisson préoccupe les acteurs de la pêche

    Ngaparou 16 déc (APS) – Dans la commune de Ngaparou et un peu partout sur la Petite Côte où la pêche occupe une place importante dans l’activité économique des populations, la rareté de la ressource halieutique devient de plus en plus un sujet de préoccupation majeur pour les acteurs du secteur.

     »La rareté de la ressource halieutique nous préoccupe, parce qu’il n’y a plus de poisson en mer, à cause tout simplement d’une mauvaise pratique de pêche”,  se désole Ibrahima Niang, coordinateur du conseil local de la pêche artisanale de Sindia Nord.

     »On ne voit plus de poisson ici. Parfois, nous restons 24 heures en mer, pour revenir avec des captures dont la vente nous permet à peine de rembourser notre carburant », témoigne aussi Pape Mady Faye, un pêcheur trouvé au quai de Ngaparou.

    Ibrahima Niang est convaincu d’une chose : si le poisson se fait rare, c’est en grande partie, dû à l’utilisation de  »techniques de pêche non adaptées parfois aux conditions de préservation de la ressource ».

    Mamadou Mbengue, maire de la commune de Ngaparou, qui ne doute pas non plus de cette réalité, insiste surtout sur des pistes solutions. L’une d’entre elles, est pour lui, que les acteurs se mettent  »debout pour contrôler, surveiller (la mer) afin de préserver ce bien commun qu’(ils partagent) ».

    La commune avait déjà anticipé sur cette problématique, en mettant en place un parc pour la préservation de la ressource halieutique.  »Ngaparou détient aujourd’hui son parc. Il est contrôlé pour que les poissons se reposent et se reproduisent », se réjouit son maire.

    Il préconise toutefois que toutes les parties prenantes se mettent autour d’une table pour discuter des solutions idoines à la pénurie de poisson qui frappe la Petite Côte, et le pays de manière générale.

    Un atelier de sensibilisation des acteurs de la pêche a eu lieu mercredi et jeudi, à l’initiative de Saliou Samb, directeur général de la Société des infrastructures et réparation navales (SIRN), par ailleurs président du Conseil départemental de Mbour.

    Le DG de la SIRN a entrepris de faire le tour des régions maritimes du Sénégal, afin de sensibiliser et de partager avec les acteurs de la pêche des informations liées aux enjeux du renouvellement du parc piroguier du Sénégal, a renseigné Mansour Ndiaye, qui représentait cette société à la cérémonie.

    Au terme de ces journées de partage, les acteurs de la pêche de Ngaparou ont reçu à titre symbolique de la part de la SIRN une pirogue en fibre de verre, dédiée à la surveillance des différentes zones qui composent la CLPA Sindia Nord. Une façon, selon Mansour Ndiaye, de “mieux faire face à la raréfaction de la ressource halieutique“.

    DOB/ADI/OID

     

  • SENEGAL-AGRICULTURE-EMPLOI / DAC de Séfa : plus de 600 jeunes formés aux techniques agricoles entre 2021 et 2023

    SENEGAL-AGRICULTURE-EMPLOI / DAC de Séfa : plus de 600 jeunes formés aux techniques agricoles entre 2021 et 2023

    Sédhiou, 16 déc (APS) – Quelque six cent (600) jeunes ont été formés entre 2021 et 2023 aux techniques d’agriculture au Domaine agricole communautaire (DAC) de Séfa dans la région de Sédhiou, a appris l’APS du directeur général dudit DAC, Jean Charles Badji.

     »Rien qu’entre 2021-2023, plus de six cent jeunes sont formés en techniques de maraîchage, aviculture, embouche et pisciculture. Cette année nous avons cinquante jeunes qui sont en train d’être formés », a indiqué M. Badji.

    Il s’exprimait en marge d’une visite de travail de l’inspecteur régional de la jeunesse de Sédhiou, Meïssa Ngom, accompagné du chef de service régional des sports, Birama Diack.

    Dans ce domaine agricole communautaire d’une superficie de deux mille hectares, situé dans la commune de Koussy, dans le département de Sédhiou, des aménagements et des équipements agricoles, ainsi que sept forages sont installés pour un investissement de 7 milliards francs FCFA.

    Pour le recrutement des jeunes à incuber, le directeur du DAC estime qu’il faut mettre l’accent sur les sortants des centres de formation professionnelle afin de créer de futurs entrepreneurs dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage.

    Après la période d’incubation a-t-il souligné, les jeunes formés bénéficient de l’accompagnement de la direction du DAC pour faciliter le financement de leur projet auprès des partenaires.

    Il a invité le secteur privé à venir investir dans le DAC, rappelant qu’il y a des niches d’opportunités pour les investisseurs.

    L’inspecteur régional de la jeunesse, Meïssa Ngom a pour sa part plaidé pour l’intégration du Programme des domaines agricoles communautaires (PRODAC) dans les pôles emplois pour faciliter l’identification des jeunes qui sont intéressés par les services offerts dans les DAC.

    Selon Birama Diack, inspecteur régional des sports de Sédhiou, l’approche du DAC de Séfa peut être une alternative pour régler le problème d’emploi des jeunes.

    Il se dit prêt, de concert avec les associations sportives et culturelles (ASC), à sensibiliser les jeunes afin de les inciter à s’intéresser aux services offerts dans le DAC pour booster le développement socio-économique de la zone.

    MS/OID

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la mort de quatre soldats en Casamance

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la mort de quatre soldats en Casamance

    Dakar, 15 déc (APS) – La mort de 04 militaires en Casamance dans l’explosion d’une mine et les déclarations de Barthélémy Dias sur son procès devant la Cour suprême dans l’affaire Ndiaga Diouf et la baisse de la Contribution économique locale valeur ajoutée (CELVA) sont au menu des quotidiens reçus samedi à l’APS.

    Sud Quotidien met en exergue la mort de 04 soldats en Casamance.

    ‘’Quatre morts (…) dans les rangs de l’Armée sénégalaise, c’est le triste bilan de cet accident survenu jeudi soir dans le village de Diaboudior (…). Le véhicule qui a sauté sur une mine antichar transportait des troupes (…) qui revenaient des opérations de sécurisation et de ratissage enclenchées dans la zone depuis quelques jours’’, rapporte Sud.

    La direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA) a annoncé qu’un véhicule militaire a sauté sur une mine antichar le jeudi 14 décembre 2023 au cours d’une mission sur l’axe Diokadou-Kadialock dans le Nord Bignona, en Zone militaire n°5.

    ‘’Le bilan est de quatre (4) militaires tués et trois (3) blessés’’, a t-elle précisé sur X, ajoutant que l’accident s’est produit au cours d’une opération de sécurisation conduite par l’armée dans cette partie du pays

    Le président de la République, Macky Sall, a présenté, dans un post sur son compte X, ses condoléances aux familles des quatre militaires sénégalais morts.

    Selon L’As, ‘’quatre soldats (sont) tombés au champ d’honneur’’. ‘’L’Armée nationale perd quatre éléments dans un accident par mine, dans la commune de Djibidione. Des blessés sont aussi signalés dans les rangs des forces de défense (…)’’, écrit le journal.

    Le Soleil rappelle que ‘’la zone militaire n°5, qui se trouve dans la région administrative de Ziguinchor, est en proie à une rébellion armée du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) qui réclame l’autonomie depuis 1982’’.

     »Des efforts ont été notés dans le déminage ces derniers mois tout comme les succès enregistrés dans le retour des populations déplacées. Il en est de même pour un retour à une paix durable avec la volonté des parties en conflit de se prêter au dialogue’’, souligne le journal.

    ‘’La mine fatale’’, dit Bës Bi, qui estime que ‘’le déminage reste encore un gros problème’’ en Casamance en 40 ans de conflit.

    Le même journal revient sur le point de presse de Barthélémy Dias au cours duquel le maire de Dakar a abordé ses affaires judicaires et la situation financière de sa mairie.

    ‘’Barthélémy Dias juge +suspect+ l’enrôlement de son dossier le 22 décembre par la Cour suprême. Le maire de Dakar estime que même s’il est condamné, il ne bougera pas de la mairie. Cependant, pour le mandat de député, il soupçonne la majorité présidentielle de vouloir empêcher à Khalifa Sall de réunir ses 13 parlementaires pour son parrainage’’, écrit le journal.

    Barthélémy Dias est convoqué, vendredi, devant la Cour suprême, pour son pourvoi en cassation suite à sa condamnation à 2 ans dont 6 mois ferme dans la mort de Ndiaga Diouf en 2011 dans un contexte de tensions pré-électorales.

    Selon WalfQuotidien, ‘’on en sait un peu plus sur la réactivation du dossier Ndiaga Diouf impliquant l’actuel maire de Dakar et poulain du candidat de Taxawu Senegaal’’.

    ‘’Devant les journalistes, hier, Barth a éventré le +deal+, soulignant qu’il s’agit de saboter le parrainage parlementaire de Khalifa Sall’’, note Walf qui affiche à la Une ‘’ Barth crache du feu’’.

    Lors de son point de presse, il a également déploré la baisse de la Contribution économique locale valeur ajoutée (CELVA) passée de 3 milliards en 2022 à 55 millions pour 2023.

    Selon Vox Populi, Barthélémy Dias ‘’dénonce un +sabotage+ de l’Etat pour réduire les ressources de la Ville de Dakar’’.

    ‘’Barthélemy Dias ne compte pas céder son fauteuil de maire de Dakar sans combattre. Hier, à l’occasion d’un point de presse, le premier magistrat a dénoncé une cabale du régime visant à le destituer de son poste et affaiblir, au passage, la candidature de Khalifa Sall’’, écrit EnQuête, notant que le maire  »accuse aussi l’Etat de vouloir asphyxier financièrement la ville de Dakar ».

    OID

  • SENEGAL-MAROC-COOPERATION / Le Sénégal signe un mémorandum d’entente avec le Maroc en vue de l’exploitation du PTN de Diamniadio

    SENEGAL-MAROC-COOPERATION / Le Sénégal signe un mémorandum d’entente avec le Maroc en vue de l’exploitation du PTN de Diamniadio

    Dakar, 15 déc (APS) – Le ministère sénégalais de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a signé un mémorandum d’entente avec Ewane, un acteur majeur de l’immobilier locatif appartenant à la Caisse de dépôt et gestion (CDG) du Maroc, en vue de l’exploitation du parc des technologies numériques (PTN) de Diamniadio (ouest), a appris l’APS, vendredi, à Dakar, de ce département ministériel.

    Ce mémorandum d’entente, ou memorandum of understanding (MOU), a été signé récemment à Casablanca, au Maroc, affirme le ministère dans un communiqué.

    La signature de l’accord a eu lieu en prélude à l’inauguration du PTN, qui est en construction à Diamniadio.

    Les deux parties ont signé le MOU ‘’dans une logique de renforcement des relations amicales et commerciales fortes unissant les peuples sénégalais et marocain’’.

    La cérémonie de signature du mémorandum d’entente a été présidée par Khalif Safir, le directeur général de la CDG, et le ministre sénégalais de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Moussa Bocar Thiam, selon le communiqué. Elle s’est déroulée en présence de l’ambassadrice du Sénégal au Maroc.

    Le taux d’exécution des travaux du PTN est de 87 %, a signalé Moussa Bocar Thiam, lors d’une visite du parc en compagnie d’officiels marocains, en novembre dernier.

    Le projet de parc des technologies numériques est mis en œuvre sur une superficie de 25 hectares.

    Avec cette infrastructure, l’État du Sénégal veut doter le pays d’‘’une plateforme de classe mondiale, pour l’essor de l’économie numérique’’.

    Le PTN va ‘’attirer des entreprises internationales et régionales des TIC (technologies de l’information et de la communication), de la recherche et de l’innovation’’.

    Il va favoriser ‘’la mise en place d’un cadre attractif pour les investisseurs’’.

    À cela s’ajoutent ‘’la création d’une plateforme pour des solutions innovantes, pour l’e-gouvernement, dans les secteurs de développement tels que la santé, l’éducation, l’agriculture…’’

    OID/ESF

  • SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN : les listes provisoires de 55 joueurs des équipes qualifiées soumises à la CAF

    SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN : les listes provisoires de 55 joueurs des équipes qualifiées soumises à la CAF

    Dakar, 15 déc (APS) – La Confédération africaine de football (CAF) a reçu, jeudi, les listes provisoires de 55 joueurs des 24 nations qualifiées pour la Coupe d’Afrique des nations (CAN) prévue à partir de janvier 2024 en Côte d’Ivoire, a annoncé l’instance en charge du football africain, dans un communiqué publié, vendredi.

    Les équipes qualifiées à la prochaine CAN avaient jusqu’au 14 décembre pour soumettre une liste provisoire de 55 joueurs, en attendant la date limite d’envoie des listes définitives fixée au 3 janvier 2024.

    Pour cette 34e édition, les nations engagées dans la compétition ont la possibilité de convoquer 27 joueurs au lieu des 23 comme lors des précédentes éditions.

    Cependant, la CAF précise que ‘’seuls 23 joueurs seront sélectionnables pour chaque match du tournoi. L’inscription des quatre joueurs supplémentaires sur la liste définitive n’est qu’une option et non une obligation’’.

    L’instance dirigeante du sport africain informe qu’en ‘’cas de blessure contractée 24 heures avant le premier match de l’équipe, le joueur blessé pourra être remplacé, sur présentation du certificat médical et après validation par la Commission médicale de la CAF’’.

    La CAN 2023 se déroulera dans cinq villes et cinq stades du pays : Abidjan (stade Alassane Ouattara et stade Félix Houphouët-Boigny), Bouaké (stade de la Paix), Korhogo (stade Amadou Gon Coulibaly), San-Pédro (stade Laurent Pokou) et Yamoussoukro (stade Charles Konan Banny). Le stade Alassane Ouattara accueillera le match d’ouverture et la finale.

    En juin 2023, la CAF et le Comité d’organisation local ont dévoilé l’identité visuelle de la CAN 2023.

    Le tirage au sort des poules de la CAN a été effectué le 12 octobre dernier.

    Le Sénégal, champion d’Afrique en titre est dans la poule C avec le Cameroun, le Guinée et la Gambie.

    Les Lionnes du Sénégal joueront leur premier match contre Scorpions de la Gambie, le 15 janvier à 14h.

    SK/OID