Année : 2023

  • SENEGAL-AFRIQUE-BASKET / BAL 2023 : Stade Malien – Al Ahly affiche de la première demi-finale

    SENEGAL-AFRIQUE-BASKET / BAL 2023 : Stade Malien – Al Ahly affiche de la première demi-finale

    Dakar, 20 mai (APS) – La première demi-finale de la troisième saison de la Basketball Africa League (BAL) opposera l’équipe du Stade Malien à celle égyptienne, Al Ahly, à Kigali.

    Le Stade Malien s’est imposé 78 à 69 devant le Cape Town de l’Afrique du Sud en quart de finale.

    Dans l’autre quart de finale tenu samedi dans la capitale rwandaise, Al Ahly d’Egypte a battu le Rwanda Energy Group, 94-77 devant son public.

    Le représentant du Sénégal l’AS Douanes, encore en lice dans la compétition, va ainsi défier, dimanche, les Mozambicains du Ferroviário Da Beira où joue le Sénégalais Makhtar Guèye, à 14h GMT.

    Le dernier quart de finale mettra aux prises, le Petro de Luanda (Angola) à l’Abidjan Basket Club (Côte d’Ivoire), à 17h30 GMT.

    SK/MTN

     

  • SENEGAL-CULTURE  / Matam abrite un salon du livre pour « booster le goût de la lecture » chez les jeunes apprenants, à partir du 24 mai

    SENEGAL-CULTURE / Matam abrite un salon du livre pour « booster le goût de la lecture » chez les jeunes apprenants, à partir du 24 mai

    Matam, 20 mai (APS) – La ville de Matam (nord) va accueillir du 24 au 27 mai la première édition du Salon international du livre (SLIMA) dont l’objectif est de « booster le goût de la lecture chez les élèves et étudiants de la région », indique un communiqué transmis à l’APS.

    ‘’Nous voulons, à travers ce salon booster le goût de la lecture chez les élèves et étudiants de la région de Matam, mais surtout briser le cou aux clichés entourant le monde des écrivains. Les jeunes locaux en échangeant avec les écrivains, se rendront compte que c’est possible de devenir écrivain, si on en a les prédispositions et la volonté’’, ont souligné les initiateurs de ce rendez-vous littéraire.

    « L’objectif est de doubler dans les cinq prochaines années le nombre d’écrivains ressortissants de la région de Matam », a expliqué le professeur de français au lycée de Ogo, dans le département de Matam, Abdourahmane Diène cité dans le texte.

    Une série d’activités composées d’un panel, d’une table ronde, des conférences, d’une cérémonie de remise des prix, des prestations d’élèves, des découvertes et d’une veillée culturelle seront au menu de cette première édition du SILIMA.

    Le communiqué précise que les activités se tiendront au Centre culturel de Matam et au lycée de Ogo, à 18 kilomètres de la capitale régionale.

    AT/MTN

  • SENEGAL-HYDRAULIQUE / Louga : dépôt d’un préavis de grève par des travailleurs de l’hydraulique

    SENEGAL-HYDRAULIQUE / Louga : dépôt d’un préavis de grève par des travailleurs de l’hydraulique

    Louga, 21 mai (APS) – Le Syndicat national des travailleurs de l’hydraulique (SNTH) a annoncé samedi à Louga (nord) le dépôt  d’un préavis de grève pour exiger de « meilleures conditions de vie et de travail » des acteurs du secteur de l’hydraulique », a appris l’APS de son secrétaire général Yély Coulibaly.

    A l’expiration du préavis, les travailleurs du secteur de l’hydraulique menacent d’observer une grève de 72 heures tous les mois à partir du mois de juillet jusqu’à la fin de l’année 2023, a mis en garde M. Coulibaly.

    « Nous avons déposé un préavis pour aller en grève pendant  72 heures tous les mois, à compter de juillet jusqu’au mois de décembre 2023. L’objectif est d’exiger l’application du protocole d’accord signé le 14 février 2022 entre la tutelle représentée par le ministère de l’Eau et de l’Assainissement  et le sécrétaire général de la SNTH », a expliqué Yély Coulibaly.

    Les travailleurs du secteur de l’Eau et de l’Assainissement réclament « surtout l’adhésion à une institution de prévoyance maladie (IPM) », a poursuivi le syndicaliste.

    Au cours d’un point de presse tenu à Louga en présence des délégués venus des 13 autres régions du pays, le secrétaire général du SNTH a listé d’autres doléances liées notamment à la « dotation de moyens matériels et logistiques en vue de « garantir un service public de qualité et l’opérationnalité des services concentrés ».

    Le recrutement du personnel d’appui, édicté par le président de la République et la  revalorisation salariale et  l’alignement des rémunérations de la taxe d’exhaure par l’adjonction de primes et d’indemnités, font partie des points de revendications qui figurent sur la plateforme des syndicalistes.

    Le syndicaliste en chef du SNTH a aussi dénoncé la « dégradation des conditions de vie et de travail (…), le manque de vision et les errements constatés dans la réforme  du secteur de l’hydraulique rurale qui a créé une situation inconfortable des travailleurs (…) ».

    « Plusieurs rencontres se sont tenues au niveau  du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, pour l’amélioration des conditions d’existence et  de travail des travailleurs de l’hydraulique, mais elles n’ont rien donné », a-t-il regretté.

    Yély Coulibaly a rappelé que le chef de l’Etat, Macky Sall, a instruit la tutelle le 22 février 2023 de « prendre toutes les mesures idoines pour, d’une part, accélérer le programme des branchements sociaux dans les zones prioritaires et, d’autre part, procéder au règlement définitif du dossier récurrent des travailleurs bénévoles du secteur de l’hydraulique ».

    DS/ASG/MTN

  • SENEGAL-SANTE / Règlement sanitaire international : Dakar lance son auto-évaluation

    SENEGAL-SANTE / Règlement sanitaire international : Dakar lance son auto-évaluation

    Saly, 21 mai (APS) – La Direction générale de la Santé publique a entamé une auto-évaluation nationale relativement au règlement sanitaire international (RSI) en prélude de l’évaluation internationale qui sera menée au mois de juillet 2023. 

    Le RSI est un cadre de sécurité sanitaire mondiale juridiquement contraignant accepté par 196 États parties de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Son objectif consiste à aider la communauté internationale à prévenir et à faire face aux risques aigus pour la santé publique susceptibles de traverser les frontières et de menacer la population mondiale. 

    Ce RSI repose sur 19 domaines inclus dans quatre piliers, que sont la prévention, la détection, la riposte et les autres dangers tels que les événements chimiques et radiologiques, a déclaré Aïda Kanouté, chargée du Bureau suivi-évaluation et recherches du Point focal national RSI. 

    Chaque indicateur fait référence à chacun des 19 domaines qui doivent être évalués de 1 à 5 pour montrer le niveau du pays. Le niveau 1 étant  le plus bas et le 5, la capacité maximale et la pérennisation par rapport à ce domaine, a expliqué Mme Kanouté à des journalistes, au terme d’une rencontre organisée dans le cadre de cette auto-évaluation du 16 au 19 mai, à Saly.

    Aïda Kanouté a indiqué que parmi les domaines pris en compte dans cette évaluation, il y a notamment la surveillance qui permet de détecter rapidement, de pouvoir notifier et de répondre efficacement.  

    ‘’Nous avons également la résistance antimicrobienne qui est un réel problème de santé publique. Nous avons les zoonoses et, actuellement, il est prouvé que 80% des maladies à potentiel épidémique sont des maladies d’origine zoonotique’’, a-t-elle indiqué. 

    Cette auto-évaluation vise à ‘’pouvoir préparer le pays, que ça soit au niveau des portes d’entrée, dans le système de surveillance, au niveau des structures de soins, au niveau des laboratoires pour la santé humaine ou la santé animale’’. ‘’C’est de pouvoir évaluer les dispositifs, le processus et les éléments qui sont en place et voir ce qu’il faut améliorer’’, a-t-elle précisé.

    Le directeur général de la santé publique, coordonnateur du point focal du RSI au Sénégal, Dr Barnabé, Gningue est revenu sur les déterminants qui permettent aux pays de bien se positionner dans cette évaluation, qui tourne autour de l’organisation, de la réglementation, de la procédure, et du mode de vie. 

     

     « Il faudrait qu’à chaque occasion où l’on est confronté à un problème de santé publique, que nous puissions riposter contre ce problème dans les délais les plus courts et avec l’efficacité maximale afin de circonscrire ce cas’’, a-t-il recommandé. 

    M. Gningue a aussi insisté sur l’importance de la coopération intra-gouvernementale et transfrontalière, comme une des stratégies nécessaires pour prévenir, se préparer et riposter contre les événements de santé publique qui peuvent impacter la sécurité sanitaire mondiale.

    MF/ASG

  • SENEGAL-AGRICULTURE / Amadou Tidiane Guiro énumère les conditions de la sécurité alimentaire 

    SENEGAL-AGRICULTURE / Amadou Tidiane Guiro énumère les conditions de la sécurité alimentaire 

    Dakar, 22 mai (APS) – L’Etat du Sénégal doit bien financer la recherche agricole, équiper convenablement les producteurs et accroître les fonds destinés à l’agriculture pour atteindre son objectif de sécurité alimentaire, a proposé, samedi, à Dakar, le professeur Amadou Tidiane Guiro.

    ‘’Les autorités doivent redoubler leurs efforts pour y arriver’’, a soutenu M. Guiro lors d’une conférence sur la sécurité alimentaire au Sénégal.

    ‘’Malgré les efforts fournis, les résultats n’ont pas suivi’’, a constaté le scientifique, spécialiste de la biologie animale et ancien recteur de l’université du Sine-Saloum (centre) Cheikh-Ibrahima-Niass.

    Pour atteindre son objectif en matière de sécurité alimentaire, le Sénégal doit avoir une ‘’véritable politique’’ dans ce domaine, a-t-il souligné.

    De même faut-il produire en grande quantité les produits alimentaires les plus consommés dans le pays, les céréales notamment, a suggéré Amadou Tidiane Guiro, professeur honoraire du Laboratoire de recherche en nutrition et alimentation humaine, un établissement placé sous l’autorité administrative du département de biologie animale de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar.

    La pandémie de Covid-19 et la guerre russo-ukrainienne, avec les obstacles aux importations de produits et d’intrants agricoles qu’elles ont engendrés, démontrent qu’‘’on peut avoir beaucoup de ressources sans pouvoir acheter ce que l’on veut’’, a souligné l’ancien directeur de l’Institut de technologie alimentaire.

    ‘’Une nécessité absolue’’

    Dès lors, il devient nécessaire de produire suffisamment pour ne plus dépendre des autres pays, a laissé entendre M. Guiro, demandant aux autorités sénégalaises de consacrer au moins 10 % du budget national à l’agriculture, comme le recommande l’Union africaine aux pays du continent.

    Les pouvoirs publics doivent en même temps ‘’augmenter de façon considérable’’ les moyens de production mis à la disposition des agriculteurs, selon le scientifique.

    C’est ‘’une nécessité absolue’’ pour le Sénégal de satisfaire lui-même ses propres besoins alimentaires, en ce qui concerne les céréales notamment – le riz, le mil et le fonio -, dont ‘’il faut augmenter la production’’, a poursuivi l’ancien recteur.

    Il invite les dirigeants du pays à faire de l’innovation une priorité. Il ne peut pas y avoir de sécurité alimentaire ‘’si les moyens des institutions de recherche, dont l’Institut sénégalais de recherches agricoles, l’Institut de technologie alimentaire et les universités, ne sont pas renforcés de façon très significative’’, a prévenu Amadou Tidiane Guiro. ‘’Le développement de l’agriculture doit s’accompagner d’innovations.’’

    Il n’est pas possible non plus d’augmenter la production agricole sans des semences et des intrants agricoles de qualité, a-t-il rappelé.

    M. Guiro juge ‘’incompréhensible que les résultats ne suivent pas’’ encore les efforts que le Sénégal a déjà fournis pour augmenter sa production agricole.

    CS/ESF

  • SENEGAL-CULTURE / Le Zimbabwe, invité d’honneur du festival ‘’A la rencontre des peuples d’Afrique et de la Diaspora’’

    SENEGAL-CULTURE / Le Zimbabwe, invité d’honneur du festival ‘’A la rencontre des peuples d’Afrique et de la Diaspora’’

    Dakar, 20 mai (APS) – Le Zimbabwe est l’invité d’honneur du premier festival ‘’A la rencontre des peuples d’Afrique et de la Diaspora’’,  lancé samedi, à Dakar, à l’occasion de la journée mondiale de la diversité culturelle.

    La journée mondiale de la diversité culturelle est célébrée par l’UNESCO, chaque 21 mai.

    A Dakar, elle a été mise à profit pour procéder au lancement du premier festival ‘’A la rencontre des peuples d’Afrique et de la Diaspora’’.

    ‘’Cette activité panafricaine, qui se tiendra tous les deux ans, a pour objectif de renforcer le rapprochement de la connaissance mutuelle entre peuples d’Afrique et de la diaspora. Pour sa première édition, le Zimbabwe sera le pays invité d’honneur’’, a déclaré l’administratrice de la place du Souvenir, Ngakane Gning Diouf.

    Selon elle, cette cérémonie est l’occasion d’’’amorcer’’ au mois de juin prochain le festival ‘’A la rencontre des peuples de l’Afrique et de la Diaspora’’.

    Ce festival a pour but de faciliter la convergence de la jeunesse autour des préoccupations, partager et valoriser les mémoires africaines et de la diaspora.

    ‘’Il permettra également de promouvoir la réflexion sur le panafricanisme ainsi que les cultures et les créateurs des pays d’Afrique et de la diaspora’’, a ajouté l’administratrice de la place du Souvenir.

    Elle a rappelé que la diversité culturelle est une force qui unit, permettant de comprendre et d’apprécier la richesse perceptible, ainsi que les différentes façons de penser et de vivre.

    ‘’Cet événement dont le Zimbabwe est pressenti comme pays invité d’honneur entre aussi dans le cadre de la promotion de la diversité culturelle’’, a, quant à lui, indiqué le directeur du livre et de la lecture, Ibrahima Lô.

    Selon lui, il sera un moment fort de communion des populations d’Afrique et de la diaspora, mais aussi une occasion de promotion des expressions culturelles et artistiques africains dans toutes leurs spécificités.

    Si l’on conserve la diversité culturelle comme ‘’la nécessaire reconnaissance de l’existence des cultures différentes, mais d’égale dignité, l’on pourra aisément comprendre l’impératif de la sauvegarder et de la promouvoir’’, a-t-il estimé.

     

    ‘’Il devrait s’agir alors de mener des actions susceptibles de consacrer et de donner sens aux conventions de 2001 et de 2005 sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles’’, a-t-il fait valoir.

    Cette journée donne l’occasion de marquer et d’approfondir la compréhension des valeurs de la diversité culturelle et favoriser la progression des objectifs de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles.

    Pour lui, l’objectif est de parvenir à une promotion démocratique de toutes les expressions culturelles, d’instaurer un équilibre des biens et services culturels, d’améliorer la mobilité des communautés artistiques et d’intégrer la culture dans le développement durable.

    ‘’Quand je suis venu au Sénégal, la première chose que j’ai réalisée est que les Sénégalais ont toujours préservé leur culture. Ce peuple fait partie des très rares [peuples] en Afrique qui ont vraiment préservé leur culture’’, s’est pour sa part félicité l’ambassadeur du Zimbabwe au Sénégal, James Maridadi.

    AMN/ASG

  • SENEGAL-SPORT / Des ténors de la lutte appellent à oeuvrer pour la paix et la stabilité du Sénégal

    SENEGAL-SPORT / Des ténors de la lutte appellent à oeuvrer pour la paix et la stabilité du Sénégal

    Pikine, 20 mai (APS) – Des champions de la lutte avec frappe ont appelé, samedi, les Sénégalais à œuvrer pour la paix et la stabilité en mettant en avant l’intérêt exclusif de leur pays.

    Ils ont lancé cet appel lors d’une conférence de presse à l’arène nationale de Pikine, dans la banlieue dakaroise. Cette rencontre avec la presse était destinée à faire le point, quelques jours après leur récente rencontre avec le président de la République, Macky Sall. Ils avaient saisi cette occasion  pour discuter des difficultés que traverse la lutte.

    Cette conférence de presse survient dans un contexte de tension politique. Des manifestations ont éclaté à Ziguinchor et dans certains quartiers de Dakar à l’occasion du procès pour viol présumé de l’opposant Ousmane Sonko, leader de Pastef-Les patriotes (opposition).

    ‘’Il faut savoir la valeur de la paix. C’est lorsque nous ne sommes plus en paix que nous réalisons sérieusement que sans la paix rien n’est possible. Nous avons entendu ce qui se passe ailleurs. Mais, le Sénégal est un pays de paix que nous avons hérité de nos anciens’’, a fait valoir le lutteur Modou Xaragne Lo, sociétaire de l’écurie Rock Energie.

    Le lutteur des Parcelles Assainies, l’une des grandes communes de la banlieue dakaroise, a rappelé tout le succès que cette activité sportive lui a apporté, mais aussi en terme de bien-être social.

    ‘’Nous sommes des lutteurs. Nous avons connu du succès avec la lutte. Nous entretenons nos familles grâce à cette discipline. Chacun est libre de choisir qui il veut, de supporter qui il veut, mais faisons-le dans le respect du choix de l’autre. On est libre de faire un choix, mais il faut aussi reconnaître à l’autre le droit de faire librement son choix’’, a-t-il ajouté.

    Pour sa part, le leader de l’écurie ‘’Tay Shinger’’, Eumeu Sène, a exhorté les populations à mettre le Sénégal au-dessus de tout.

    ‘’Nous faisons partie des citoyens et des acteurs du développement de notre pays. C’est le Sénégal qui nous intéresse. Donc, nous aussi nous avons notre mot à dire. Et nous pensons que nous devrons tous œuvrer pour la paix’, a-t-il indiqué.

    ‘’Nous avons été reçus par le président de la République. C’était utile de clarifier notre démarche. Nous sommes des citoyens qui aimons notre Sénégal et travaillons pour son développement. Pour toutes ces raisons, nous devons prier et œuvrer pour la paix dans ce pays’’, a souligné l’ancien roi des arènes, Balla Gaye 2.

    Le Lion de Guédiawaye a invité tous les acteurs de cette discipline sportive à donner le ‘’bon exemple’’ en appelant à la discipline et au respect des autres.

    ‘’Le Sénégal est un pays de paix. Nous prions pour cette paix’’, a-t-il ajouté.

    SG/ASG

  • SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / Les Lionceaux U17 arrivent cette nuit et seront reçus par Macky Sall, dimanche

    SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / Les Lionceaux U17 arrivent cette nuit et seront reçus par Macky Sall, dimanche

    Dakar, 19 mai (APS) – L’équipe du Sénégal de football des moins de 17 ans, championne d’Afrique en Algérie, est attendue à Dakar dans la nuit du samedi à dimanche, à l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD), avant d’être recue dimanche au Palais présidentiel par le chef de l’Etat Macky Sall, annonce un communiqué reçu à l’APS.

    La délégation qui arrive ‘’à 00 h 05 mn par vol régulier Air Algérie’’, sera accueillie par le Premier ministre Amadou Ba, par ailleurs ministre en charge des Sports.

    Les Lionceaux U17 vainqueurs de la CAN aux dépens du Maroc seront reçus, dans la matinée du dimanche à la salle des banquets du Palais de la République, a précisé la même source.

    SK/MTN

  • UEMOA : une hausse de 0,6 % des prix des produits de consommation en mars dernier

    UEMOA : une hausse de 0,6 % des prix des produits de consommation en mars dernier

    Dakar, 20 mai (APS) – Les prix des produits de consommation ont augmenté de 0,6 % en mars dernier, dans les pays de l’UEMOA, a-t-on appris de ladite institution régionale.

    En rythme mensuel, cette augmentation résulte des hausses du niveau global des prix observés au Mali (2,5%), au Togo (0,7%), au Bénin (0,6%), au Burkina Faso (0,6%), en Côte d’Ivoire (0,4%), au Niger (0,4%) et en Guinée-Bissau (0,1%) et, d’autre part, de la baisse du niveau global des prix au Sénégal de (-0,7%).

    En mars 2023, le niveau des prix des produits de consommation a enregistré une progression de 5,7 % dans la zone UEMOA, comparativement à son niveau de mars 2022, souligné le département chargé des politiques économiques et de la fiscalité intérieure de l’UEMOA.

    De mars 2022 à mars 2023, ‘’les prix sont montés dans tous les pays de l’Union’’, affirme la même source dans une note de conjecture.

    ‘’Ainsi, les différentes variations par ordre décroissant enregistrées sont de 10,2% en Guinée-Bissau, 9,5 % au Sénégal, 7,6 % au Mali, 6,9 % au Bénin, 6,3 % au Togo, 5,2 % en Côte d’Ivoire, 2,9 % au Burkina Faso et 1,4 % au Niger’’, indique-t-elle.

    Le document ajoute que ‘’cette inflation est en hausse au Bénin, en Côte d’Ivoire, au Mali, au Niger, au Sénégal et au Togo, comparativement au mois précédent (février dernier)’’.

    Quant au taux d’inflation en moyenne annuelle de mars 2023, il est de 7,2 % au niveau régional.

    En effet, cette inflation est supérieure à 3,0 % dans la quasi-totalité des Etats membres de l’Union.

    Ainsi, par ordre décroissant, les taux d’inflation sont de 12,8 % au Burkina Faso, 10,6 % au Sénégal, 9,2 % au Mali, 8,8 % en Guinée-Bissau, 7,1 % au Togo, 5,2 % en Côte d’Ivoire, 3,3 % au Niger et 1,6 % au Bénin.

    ESF/MTN

  • SENEGAL-ECONOMIE / Signature d’une convention de partenariat pour l’économie sociale et solidaire, lundi

    SENEGAL-ECONOMIE / Signature d’une convention de partenariat pour l’économie sociale et solidaire, lundi

    Dakar, 20 mai (APS) – Le ministère de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire va signer une convention de partenariat avec Feed The Future Sénégal, lundi à 9 heures, au King Fahd Palace, à Dakar, a-t-on appris dudit département ministériel.

    Les deux parties veulent, à l’aide de cette convention, ‘’unir leurs efforts dans la promotion du secteur de l’économie sociale et solidaire’’ au Sénégal.

    Il s’agit de mettre en place ‘’un cadre de partenariat stratégique’’ entre le ministère, Feed The Future Sénégal et le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales de l’Institut fondamental d’Afrique noire (Dakar).

    Feed The Future est, selon la même source, un projet d’appui aux réformes et aux politiques agricoles financé par l’Agence des Etats-Unis d’Amérique pour le développement international (USAID).

    ESF/MTN