Année : 2023

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-SANTE / Tambacounda: dépistage de l’hypertension artérielle et du diabète à Sinthiou Malém

    SENEGAL-COLLECTIVITES-SANTE / Tambacounda: dépistage de l’hypertension artérielle et du diabète à Sinthiou Malém

    Tambacounda, 19 mai (APS) – Le district sanitaire de Tambacounda a organisé, jeudi, à Sinthiou Malém, une journée de dépistage et de sensibilisation sur l’hypertension artérielle et le diabète, dans le sillage de la journée internationale de lutte contre l’hypertension artérielle célébrée mercredi.

    ‘’On est aujourd’hui à Sinthiou Malém pour sensibiliser la population sur l’hypertension mais aussi dépister et traiter les patients’’, a expliqué Dr. Dossilo Sanogo, médecin au district de Tambacounda, soulignant que  »l’hypertension est une maladie chronique qui fait beaucoup de dégâts au niveau de la population’’.

    L’équipe de soignants a reçu plus de 100 personnes,  »dont plus d’une cinquantaine de patients qui sont pathologiques, soit des hypertendus, soit des diabétiques ou bien les deux associées », a-t-il indiqué.

    Il a fait état de plus de 50 malades souffrant d’hypertension ou de diabète.

    Il a souligné la nécessité de multiplier les campagnes de sensibilisation et de dépistage, ‘’car, poursuit-il, la plupart des patients ont du mal à aller à l’hôpital croyant qu’ils vont dépenser plus d’argent pour se faire soigner’’.

    ‘’Donc, ce sont des campagnes à initier et à encourager pour dépister le plus de monde possible afin de les mettre sous traitement et contrôler leurs maladies’’, a suggéré le médecin.

    BT/OID/ASB

  • SENEGAL-MEDIAS-PROFIL / Babacar Diagne, une autorité naturelle sur le secteur audiovisuel

    SENEGAL-MEDIAS-PROFIL / Babacar Diagne, une autorité naturelle sur le secteur audiovisuel

    Dakar, 19 mai (APS) – Le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) Babacar Diagne, parrain du prix télévision du gala 2023 de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS), jouit d’une autorité naturelle dans le domaine de l’audiovisuel où son expertise ne souffre d’aucune contestation.

    Des années après la fin de sa carrière active de journaliste, l’ancien directeur général de la radiotélévision sénégalaise (RTS, publique), entre 2006 et 2012, continue de fructifier son capital-compétence, en misant sur l’écoute et le dialogue. Des qualités qui l’ont conduit à occuper des postes parmi les plus prestigieux de la diplomatie sénégalaise.

    Diagne a été ambassadeur en Gambie (2012-2014), dont il a presque réussi à normaliser les relations avec le Sénégal, sous le règne de Yahya Jammeh. Une prouesse diplomatique s’agissant de ce dirigeant tout ce qu’il y a de plus autoritaire. Un voisin peu commode en raison de son hostilité supposée ou réelle au voisin sénégalais.

    Il y a surtout qu’il fallait faire avec Jammeh, le ménager pour tous les efforts visant le retour d’une paix définitive en Casamance, région frontalière de la Gambie où opérait une rébellion armée.

    Babacar Diagne a su faire le travail comme il faut, contribuant à contenir les effets pas toujours attendus du tempérament survolté du dirigeant gambien de l’époque, considéré comme une des pièces maitresses du retour à la normale en Casamance dont certains groupes rebelles seraient des protégés de Jammeh qui les accueillerait sur son territoire.

    Le brillant manager des médias, comme peut-être personne avant lui, a su tirer comme personne son épingle de ce jeu relevant à la fois de la vraie diplomatie et du bon voisinage. Et d’une certaine manière, son action a préparé et fortement contribué à la bonne entente qui caractérise depuis quelques années les relations entre les voisins sénégalais et gambien.

    Il n’était donc pas étonnant de le voir représenter le Sénégal à Washington, au cœur supposé du pouvoir mondial, quelques années plus tard (2014-2018). Une transition bien naturelle pour celui qui a commencé comme professeur d’anglais au lycée Gaston Berger de Kaolack, devenu lycée Valdiodio Ndiaye (1977-1978). Sauf que la langue ne peut seule suffire pour faire de la bonne diplomatie. Il faut de toutes autres aptitudes

    De fait Babacar Diagne, au-delà de ses compétences professionnelles, peut se targuer d’avoir réussi à prendre la bonne mesure de la culture sénégalaise, d’une certaine éducation, faite de courtoisie, de tolérance, de capacité de dialogue. Toutes choses que certains ‘’extrémistes’’ des médias détestent dans l’action de Babacar Diagne à la tête du CNRA où son sens du compromis donne toute sa force à l’art de la régulation.

    Pour ceux qui ne le savent pas, l’ancien directeur de la Télévision nationale était la personne indiquée après Bacacar Touré pour présider aux destinées du CNRA. L’ancien directeur du goupe Sud Communication ne s’y est pas trompé. Il a presque contraint M. Diagne à lui succéder à la tête de l’organe de régulation.

    Son cursus l’y préparait, malgré toutes les critiques et les cris d’orfraie, mais peu savent que Babacar Daigne n’était pas emballé. Tout jute considère-t-il cette mission comme un service patriotique. Dans le vrai esprit de la mission de service public qu’il s’est évertué à accomplir toute sa carrière durant au sein de la Radiotélévision sénégalaise. Comme journaliste et chef de desk d’abord (1981-1984), rédacteur en chef du journal télévisé (1984-1990), directeur de la Télévision nationale (1990-2000).

    Il n’est pas dit que son action n’a pas d’impair. Mais il faut, pour faire bonne mesure, convoquer le contexte médiatique de l’époque, caractérisé par un cadre institutionnel pas franchement favorable au pluralisme audiovisuel. Il reste que d’avoir évolué dans un contexte aussi peu favorable, donne à Babacar Diagne une pleine conscience des enjeux de l’audiovisuel, dans un contexte où les réseaux sociaux ou autres médias ont tendance à induire une déréglementation généralisée.

    Tenir la barre contre cette bourrasque n’est pas le moindre des mérites qu’on peut trouver à Babacar Diagne, considéré par beaucoup comme un as de l’audiovisuel, comme diraient certains qui l’ont côtoyé intimement.

    S’il faut vraiment arbitrer, apaiser dans les moments difficiles et montrer la bonne voie, il est à parier que la plupart des contempteurs de l’actuel président du CNRA peuvent volontiers se contenter de sa clairvoyance et de son ancrage traditionnel, sans qu’ils le disent ouvertement.

    Surtout dans le cas de celui dont le savoir-faire a été démontré. De même que son sens de l’humain et sa finesse d’esprit que lui reconnaissent même ses adversaires. Tout le monde ne peut pas se tromper. Il n’a pas occupé pour rien autant de postes les uns plus stratégiques que les autres.

    BK/ASG/MTN

  • SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN 2023 : le tirage au sort prévu le 12 octobre

    SENEGAL-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN 2023 : le tirage au sort prévu le 12 octobre

    Dakar, 19 mai (APS) – Le tirage au sort des phases de poules de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) Côte d’Ivoire 2023 aura lieu le 12 octobre prochain, a annoncé le Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), dans un communiqué publié, vendredi.

    Les membres du Comité exécutif de la CAF se sont réunis jeudi à Alger. La rencontre était dirigée par le président de la CAF, Patrice Motsepe.

    Ils ont salué, au cours de la réunion, ‘’les progrès réalisés en Côte d’Ivoire dans les préparatifs de la CAN’’ et la ‘’coopération’’ et l’’’engagement’’ du gouvernement ivoirien à faire de la prochaine CAN ‘’une totale réussite’’.

    La CAN 2023 se déroulera du 13 janvier au 11 février 2024 en Côte d’Ivoire dans cinq villes : Abidjan, Bouaké, Korhogo, San-Pédro et Yamoussoukro.

    Vingt-quatre équipes participeront à cette 34e édition.

    Le Sénégal tenant du titre et cinq autres nations ont déjà validé leurs tickets à deux journée de la fin des éliminatoires prévues au mois de juin et en septembre. Il s’agit du Burkina Faso, de l’Afrique du Sud, de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie.

    Le Comité exécutif a, par ailleurs, annoncé que la Côte d’Ivoire sera le prochain pays hôte de la Ligue des Champions féminine de la CAF 2023.

    L’organisation de la compétition, selon la CAF, permettra à la Côte d’Ivoire de tester les installations qui seront utilisées pour la Coupe d’Afrique des nations (CAN) Côte d’Ivoire 2023.

    SK/OID

  • SENEGAL-EDUCATION-INFRASTRUCTURES  / Matam: A Féto Saddel, des abris provisoires remplacés par deux salles de classe

    SENEGAL-EDUCATION-INFRASTRUCTURES / Matam: A Féto Saddel, des abris provisoires remplacés par deux salles de classe

    Féto Saddel (Matam), 19 mai (APS) – Féto Saddel, un hamo de la commune de Boki Diawé, dans le département Matam (nord), a réceptionné, vendredi, deux salles de classe, construites pour remplacer des abris provisoires, a constaté l’APS.

    ‘’Quand nous sommes venus ici il y a quelques années, nous avons pris l’engagement de construire deux salles de classe pour remplacer les abris provisoires qui avaient fait l’objet d’une actualité qui a eu une résonnance négative après un message du directeur d’école qui a été largement partagé’’, a dit le donateur Abdoul Ly, ancien directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).

    Il intervenait au cours de la cérémonie de remise des clés de ces deux salles de classe équipées de table-bancs, en présence de l’adjoint au sous-préfet de l’arrondissement de Ogo, Birahim Fall, et du secrétaire général de l’inspection d’académie de Matam, Abdoul Aziz Bâ.

    Cette infrastructure ‘’va permettre aux enfants de ce village d’étudier dans de très bonnes conditions », a-t-il, invitant les parents à aider les enfants, surtout les filles, à  »poursuivre les études tranquillement’’.

    Avant la construction de ces salles de classe, les élèves de ce hamo de moins 1 000 habitants étudiaient dans des abris provisoires, selon le directeur de l’école Mouhamadou Seck.

    ‘’Ce phénomène des abris provisoires est un problème difficile à régler tant au niveau régional que national. Ce phénomène persiste toujours malgré le programme mis en place visant à remplacer les abris provisoires.  La construction de salles de classe va positivement impacter le déroulement des enseignements et apprentissages », a dit le SG de l’IA, Abdoul Aziz Bâ.

    Selon lui, le donateur a bien compris que l’Etat ne peut pas tout faire et que la communauté a besoin de contributeurs pour mettre les élèves dans de bonnes conditions d’étude.

    En plus des deux salles de classe, un logement pour le directeur d’école est en construction.

    L’école, située à 16 km de Doumga Ouro Alpha, a été créée en 2018, a rappelé son directeur, Mouhamadou Seck.

    AT/OID/ASG

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-HYDRAULIQUE / Mbacké : les travaux de transfert d’eau potable bouclés d’ici la fin de l’année (SONES)

    SENEGAL-COLLECTIVITES-HYDRAULIQUE / Mbacké : les travaux de transfert d’eau potable bouclés d’ici la fin de l’année (SONES)

    Mbacké, 19 mai (APS) – Les travaux du système de transfert d’eau douce de la localité de Sadio vers Mbacké (centre) seront bouclés d’ici la fin de cette année, a appris l’APS  de la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES), vendredi.

    ‘’L’état d’avancement global des travaux est satisfaisant aussi bien dans ses composantes station de pompage que dans la pose des conduites. Ces travaux seront bouclés d’ici la fin de cette année. La réalisation de ce projet, notamment la pose des conduites, a été confrontée à des problèmes de libération d’emprises à Touba et à Sadio’’, peut-on lire dans un document de la SONES transmis au correspondant de l’APS.

    Quatre forages ont été réalisés dans la localité de Sadio, distante de Mbacké de cinquante kilomètres, en attendant d’en rajouter cinq autres dans une seconde phase, ajoute le même document, précisant que la capacité de production globale est de 12 mille m3/jour.

    Il signale que  »les études menées par la Direction de la gestion prévisionnelle des ressources en eau potable (DGPRE) du ministère de l’Eau et de l’Assainissement démontrent que cette nappe renferme une eau douce de qualité ».

    Sur le même site, la Sones est en train de réaliser un réservoir de collecte des eaux des forages de 2 mille m3 dont la capacité sera doublée lors de la phase finale.

    Le document précise que l’autre ouvrage en cours de construction est une station de pompage de 12 mille m3/jour extensible à 40 mille m3/jour. Sa fonction  »est de transférer l’eau par une conduite de diamètre 700 mm posée sur cinquante kilomètres, qui est également pratiquement posée’’, ajoute-t-il. Il souligne que les entreprises de travaux et bureaux d’études ou de contrôle des travaux ont été choisis sur la base de procédures d’appels d’offres.

    Une solution à la problématique de la qualité de l’eau

    Selon la société en charge de la gestion du patrimoine de l’hydraulique urbaine et péri-urbaine, le problème de la qualité de l’eau potable distribuée à Mbacké révèle d’autres paramètres.

    ‘’La problématique de la qualité de l’eau potable distribuée à Mbacké relève d’un phénomène naturel propre à l’ensemble du Bassin arachidier. En effet, la nappe a une forte teneur en chlorures et en fluor. La forte concentration en chlorures et en fluor donne un goût salé à l’eau et favorise la coloration ocre des dents. Il est utile de préciser que l’eau produite actuellement par les forages de Mbacké, après son traitement, répond aux normes de potabilité. Cependant, son aspect salé n’offre pas le confort de consommation idéal’’, détaille le document.

    Pour mieux améliorer la qualité de l’eau distribuée, l’État du Sénégal a instruit la SONES de trouver la formule adéquate pour mobiliser des volumes d’eau douce. Le transfert d’eau a été choisi comme mode d’alimentation de Mbacké. Selon la SONES, cette méthode offre plus de garanties de durabilité environnementale parce que sans contrainte de traitement des rejets sur les sites de production.

    Au-delà de la qualité de l’eau qui sera améliorée, le liquide précieux sera fourni aux localités de Sadio, Taïf, Baïla, Ndiouroule et Darou Rahmane-Pofdy grâce au raccordement de leurs châteaux d’eau respectifs, a également annoncé la SONES.

    Le coût de la réalisation des différents ouvrages de ce système de transfert d’eau douce est de 20 milliards francs CFA. Le financement est assuré sur fonds propres par l’État du Sénégal et la SONES.

    CGD/OID

  • SENEGAL-DECENTRALISATION / Kaffrine : le dispositif organisationnel de la fonction publique locale au menu d’un CRD

    SENEGAL-DECENTRALISATION / Kaffrine : le dispositif organisationnel de la fonction publique locale au menu d’un CRD

    Kaffrine, 19 mai (APS) – Le centre national de la fonction publique locale et de la formation a organisé, vendredi, à Kaffrine (centre -ouest), une rencontre avec les acteurs des collectivités territoriales sur le nouveau dispositif organisationnel de la fonction publique locale, a constaté l’APS.

     »’Nous sommes à Kaffrine pour sensibiliser les acteurs sur le nouveau dispositif organisationnel mis en place par le chef de l’Etat pour la mise en œuvre de la fonction publique locale », a expliqué Abdou Khadre Ndiaye, directeur général du centre national de la fonction publique locale et de la formation.

    Il s’exprimait au terme d’un comité régional de développement (CRD), présidé par l’adjointe au gouverneur de la région de Kaffrine, Tiguida Wague, en présence des autorités déconcentrées, des travailleurs des collectivités territoriales et des élus.

    Selon lui, il est important  pour les élus territoriaux de comprendre le cadre légal et réglementaire qui encadre les procédures de gestion des ressources humaines territoriales en général et celui du personnel de la fonction publique locale en particulier.

    La maîtrise de ces dispositions va régler en partie la mise en œuvre de la fonction publique locale,  a-t-il indiqué.

    CTS/OID/ASG

  • SENEGAL-RELIGION  / Popenguine : la 135e édition du pèlerinage marial se tiendra dans le nouveau sanctuaire

    SENEGAL-RELIGION  / Popenguine : la 135e édition du pèlerinage marial se tiendra dans le nouveau sanctuaire

    Dakar, 19 mai (APS) – Les activités religieuses de la 135e édition du pèlerinage marial de Popenguine, prévue les 27, 28 et 29 mai, se tiendront dans le nouveau sanctuaire dont les travaux sont en finition, a appris l’APS d’une source religieuse.

    ‘’C’est acquis que le pèlerinage aura lieu dans le nouveau sanctuaire marial. Cela veut dire que le lieu est suffisamment prêt pour accueillir la célébration’’, a indiqué à l’APS le curé de la paroisse Basilique Notre-Dame de la Délivrande de Popenguine.

    Selon le père Christian-Marie Diamacoune, le nouveau sanctuaire est ‘’beaucoup plus moderne et aura une capacité de plus de cent-mille places assises’’, contre cinquante mille pour l’ancienne infrastructure.

    Entièrement pris en charge par l’Etat sénégalais pour un coût estimé à plus de 2 milliards de francs CFA dans le cadre du programme de modernisation des cités et des édifices religieux, ‘’les travaux ne sont pas encore bouclés et devront continuer après les célébrations’’, a toutefois précisé le père Christian-Marie Diamacoune.

    Le président Macky Sall avait effectué le 11 février dernier une visite de chantier pour ‘’s’enquérir de l’évolution de la construction’’ du sanctuaire marial de Popenguine.

    ‘’Vous nous permettez de perpétuer cette tradition en nous offrant ce bijou en chantier. Ce projet nous donne déjà de l’appétit, et nous vous en remercions vivement’’, avait déclaré l’archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, disant exprimer, à l’endroit du chef de l’Etat, la reconnaissance de la communauté chrétienne du Sénégal.

    CS/ASG

  • SENEGAL-RELIGION-INFRASTRUCTURES / La grande mosquée de Darou Salam sera inaugurée le 26 mai

    SENEGAL-RELIGION-INFRASTRUCTURES / La grande mosquée de Darou Salam sera inaugurée le 26 mai

    Mbacké, 19 mai (APS) – La grande mosquée de Darou Salam (Mbacké, centre), sera inaugurée le vendredi 26 mai, a appris l’APS de Serigne Abo Mouhamed,  khalife de Serigne Modou Mamoune Mbacké, et de sa famille.

    Différentes équipes composées notamment de techniciens et d’ouvriers sont en train de finaliser les travaux du lieu de culte dont le chantier a été lancé il y a plusieurs mois.

    Plusieurs personnalités, dont des dignitaires religieux, vont prendre part à la prière inaugurale.

    Considéré comme étant la première ville fondée par Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur du mouridisme, dans les années 1880, Darou Salam abrite aujourd’hui le mausolée de Mame Cheikh Anta Mbacké dit ‘’Borom Gawane’’, qui fut un fidèle compagnon du Cheikh.

    CGD/ASG

  • SENEGAL-SOCIETE-DIVERS / Bignona : un ASP retrouvé mort à son domicile

    SENEGAL-SOCIETE-DIVERS / Bignona : un ASP retrouvé mort à son domicile

    Bignona, 19 mai (APS) – Un agent de sécurité de proximité (ASP) a été retrouvé mort dans la nuit de jeudi à vendredi, à son domicile situé au quartier Badioncoto zone 2, dans la commune de Bignona (sud), a appris l’APS de la famille du défunt.

    Le défunt, répondant au nom de Matar Camara, était en service au bureau départemental de l’Agence de sécurité de proximité (ASP) de Bignona, a précisé un de ses frères.

    Son corps a été déposé à la morgue du district sanitaire de Bignona et une enquête ouverte par la gendarmerie pour élucider les causes de ce décès.

    Le défunt était célibataire et sans enfant, selon sa famille.

    MNF/BK/ASG