Année : 2023

  • SENEGAL-POLITIQUE / L’AMS et l’ADS adhèrent à l’appel au dialogue du président Sall

    SENEGAL-POLITIQUE / L’AMS et l’ADS adhèrent à l’appel au dialogue du président Sall

    Dakar, 4 mai (APS) – L’Association des maires du Sénégal (AMS) et celle des départements du Sénégal (ADS) se sont dit favorables, ce jeudi, à l’appel au dialogue lancé par le président de la République, Macky Sall, invitant tous les acteurs à s’impliquer en vue d’apporter leurs contributions pour préserver la cohésion sociale.

    ‘’Appréciant l’appel au dialogue formulé par le président de la République, nous avons décidé d’apporter notre soutien total (…). C’est une nécessité, c’est une obligation démocratique qui nous permettra de continuer à vivre dans la paix et dans une parfaite symbiose’’, a déclaré Oumar Ba, le président de l’Association des maires du Sénégal (AMS).

    Il lisait une déclaration conjointe de l’AMS et de l’ADS dirigée par Ahmed Youssouph Benjalloune, en présence des membres des bureaux des deux associations.

    Il a rappelé que la décision du chef de l’Etat de lancer cet appel au dialogue fait suite aux nombreuses demandes formulées dans ce sens par les autorités religieuses, les leaders d’opinion et les partenaires du Sénégal.

    Oumar Ba et ses collègues invitent les autres acteurs à se joindre à ce dialogue dans le cadre duquel ‘’tout peut être discuté’’.

    ‘’C’est une bonne initiative, cet appel que nous souhaitons le plus large possible. Que ce soit tous les acteurs qui participent de près ou de loin à la vie socio-politique, ils devraient pouvoir être impliqués et apporter leur point de vue, leur contribution’’, a insisté M. Ba, également maire de Ndiob.

    Il a salué à sa juste valeur la tenue de cette concertation qui devrait déboucher sur des résolutions en perspective de la présidentielle du 25 février 2024.

    ‘’Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Le moment est opportun puisque nous allons vers des joutes électorales et les positions en un moment se sont crispées’’, a-t-il fait valoir.

    Les associations des élus locaux ont également abordé la question relative au financement de la campagne agricole pour laquelle le chef de l’Etat a alloué une enveloppe de 100 milliards FCFA en vue de l’atteinte de la souveraineté alimentaire du Sénégal.

    Elles souhaitent être impliquées dans la mise en œuvre de la politique agricole et dans la réflexion et la définition de la stratégie à adopter dans le cadre de la gestion de cette enveloppe mise à la disposition des agriculteurs.

    Macky Sall a lancé un appel au dialogue entre leaders politiques de la majorité présidentielle et de l’opposition, dans un climat très tendu, marqué par de nombreuses arrestations dans les rangs de l’opposition.

    Les personnes arrêtées l’ont été lors de manifestations survenues en marge du procès en diffamation entre le ministre Mame Mbaye Niang, militant de l’APR, le parti politique du chef de l’Etat, et l’opposant Ousmane Sonko, maire de Ziguinchor (sud).

    FD/ASG/AB

  • SENEGAL-MEDIAS / Le gouvernement « attaché à la liberté de la presse par principe » (porte-parole)

    SENEGAL-MEDIAS / Le gouvernement « attaché à la liberté de la presse par principe » (porte-parole)

    Dakar, 4 mai (APS) – Le porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana, a affirmé jeudi que le gouvernement sénégalais est ‘’attaché à l’Etat de Droit, au respect des droits de l’homme, à la liberté d’opinion et à la liberté de la presse par principe et pour la vitalité de sa démocratie et non par préoccupation d’un quelconque classement’’.

    ‘’Le Sénégal n’a de leçons à recevoir d’un pays ni d’aucune organisation’’, a-t-il réagi dans une déclaration au lendemain de la publication du Classement mondial de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF). Le Sénégal, qui était 73e dans le précédent classement, se retrouve à la 104e, synonyme d’un recul de 31 points.

    ‘’Modèle régional jusqu’à il y a peu, le Sénégal (104e) perd 31 places notamment du fait des poursuites dont ont fait l’objet les journalistes Pape Alé Niang et Pape Ndiaye et de la forte dégradation des conditions sécuritaires des journalistes’’, explique RSF.

    En réaction à ce classement, Abdou Karim Fofana souligne que ‘’le gouvernement encourage vivement la tenue des assises de la presse qui selon le SG du Synpics « ne règleront pas tout, tout de suite »’’. Il considère que ‘’leur tenue est d’une nécessité pour marquer la volonté de notre pays, de retrouver sa Presse d’Antan’’.

    ‘’Il est crucial que tous les acteurs de la presse retrouvent les vertus et l’éthique de la presse d’antan et les prochaines assisses de la presse sont une excellente occasion pour repartir sur de nouvelles bases’’, a estimé M. Fofana, également ministre du Commerce, de la Consommation et des PME.

    ‘’Les médias internationaux choisissent d’installer leur bureau régional à Dakar ou d’y trouver refuge, ce n’est pas seulement pour la douceur du climat de notre capitale mais aussi et surtout pour un autre climat : celui de la liberté’’, a-t-il fait valoir.

    FD/ASG

  • SENEGAL-AGRICULTURE/ / Aliou Dia appelle à miser sur la jeunesse et les investissements pour la réussite de la politique agricole

    SENEGAL-AGRICULTURE/ / Aliou Dia appelle à miser sur la jeunesse et les investissements pour la réussite de la politique agricole

    De l’envoyée de l’APS, Sokhna Bator Sall

    Rimini (Italie), 4 mai (APS) – Le président de Forces paysannes, Aliou Dia, appelle à miser sur la jeunesse et les investissements, afin de favoriser la réussite de la politique agricole du Sénégal.

    Membre du Haut Conseil des collectivités territoriales, M. Dia estime qu’il faut parier sur la jeunesse qui, désormais, aspire à retourner à la terre. Les voies et moyens doivent aussi être explorés en vue de ‘’faire en sorte que les investissements soient au rendez-vous tant au niveau local qu’à l’étranger, a-t-il dit à l’APS en marge d’un panel intitulé ‘’Agriculture urbaine, l’infrastructure verte pour une résilience face aux changements climatiques et une souveraineté alimentaire au Sénégal’’.

    Ce panel, introduit par Macoumba Diouf, directeur de l’horticulture, s’est tenu lors de la journée dédiée au Sénégal, dans le cadre du salon international Macfrut 2003 de Rimini.

    ‘’Notre pays est bien représenté au salon international des fruits et légumes, Macfrut 2003’’, s’est réjoui Aliou Dia, relevant que le Sénégal est une école en terme d’agriculture, notamment dans les pratiques et l’investissement.

    A ce propos, il a reconnu que l’Etat sénégalais a consenti beaucoup d’efforts pour booster le développement de l’agriculture sénégalaise. ‘’Aujourd’hui, de grands intellectuels retournent à la terre grâce à la bonne pratique de cette activité au Sénégal mais aussi aux efforts de notre gouvernement’’, s’est-il félicité.

    D’après lui, si ces efforts sont perpétués, ‘’nous parviendrons à moderniser notre agriculture et à la mettre entre de bonnes mains’’.

    ‘’Alors, si aujourd’hui on pense à une agriculture verte et urbaine pour régler les besoins quotidiens de nos familles, surtout au niveau des grandes villes, comme Dakar, [cela] démontre l’état de conscience qui nous anime’’, a relevé Aliou Dia pour qui, ‘’désormais, chaque pays cultivera pour son peuple.

    Au niveau des centres urbains, dit-il, les besoins quotidiens immédiats seront aussi bien gérés. Il a salué l’appui du Conseil sénégalais des chargeurs (Cosec) en termes d’espace d’écoulement des produits mais également de maîtrise des données au niveau international.

    Par ailleurs, il a demandé l’affectation de terres à l’agrobusiness afin d’encourager les investissements, et d’apporter les technologies, pour que les jeunes puissent trouver du travail.

    Le salon Macfrut 2023 s’achève vendredi après-midi.

    SBS/ASG/ASB

     

     

  • SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle : DCM prône un processus électoral « ouvert, sincère et apaisé »

    SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle : DCM prône un processus électoral « ouvert, sincère et apaisé »

    Dakar, 4 mai (APS) – Le mouvement citoyen ‘’Demain, c’est maintenant’’ (DCM) a plaidé jeudi pour un processus électoral  »ouvert, sincère et apaisé’’ en perspective de l’élection présidentielle du 25 févier 2024.

    ‘’Concernant les élections présidentielles de 2024, le mouvement «Demain, c’est maintenant» plaide pour un processus ouvert, sincère et apaisé’’, a déclaré son leader Mamadou Ibra Kane, au cours d’ une conférence de presse axée sur les faits saillants de l’actualité nationale et internationale.

    Le mouvement ‘’s’oppose à toute perspective de troisième candidature du président sortant, et exige l’ouverture du jeu électoral à tout Sénégalais répondant aux critères d’éligibilité. Il réaffirme également son attachement à la préservation des libertés individuelles et collectives’’, a précisé M. Kane.

    DCM salue l’appel au  »dialogue politique » lancé par le président de la République, Macky Sall, tout en lui demandant de  »préciser  » les contours d’une implication effective de toutes les forces vives de la Nation en vue d’asseoir l’ancrage irréversible de la démocratie au Sénégal.

    Le mouvement citoyen appelle à une  »prolongation des phases de révisions du fichier électoral en vue de garantir un vote massif et éclairé des citoyens, seuls maîtres du jeu électoral ».

    DCM a décidé par ailleurs de signer la charte du Mouvement des forces vives du Sénégal – F24, qui regroupe des centaines d’organisations, dont des partis politiques et des organisations de la société civile.  Le F24 appelle les leaders signataires de ladite charte à s’engager pour  »le respect des principes » qui épargnent définitivement le Sénégal de tout débat relatif au troisième mandat.

    Concernant une éventuelle candidature de DCM à la présidentielle de 2024, Mamadou Ibra Kane informe que le mouvement fera part aux Sénégalais très prochainement de sa  »démarche sur ce sujet ».

     »Demain, c’est maintenant’’ est un mouvement citoyen lancé le 25 févier 2023  par le journaliste et directeur général du groupe Emedia Invest, Mamadou Ibra Kane, avec l’esprit d’une citoyenneté active,  responsable, éclairée et engagée’’.

    Plusieurs cadres de DCM ainsi que le coordonnateur de la plateforme F24, Mamadou Mbodji, ont pris part à cette conférence de presse.

    ABD/AB/ASG

  • SENEGAL-EDUCATION  / Louga : l’IA veut établir une carte prospective scolaire de la région

    SENEGAL-EDUCATION / Louga : l’IA veut établir une carte prospective scolaire de la région

    Louga, 4 mai (APS) – L’inspectrice d’académie de Louga, Penda Ba, a souligné, jeudi, la nécessité d’établir une carte prospective scolaire de cette région en fonction des demandes de création d’écoles et de l’évolution de la population.

    « Nous devons établir une carte prospective scolaire de Louga, c’est-à-dire en fonction des demandes de création d’écoles, de l’évolution de la population de Louga, dire où est-ce qu’il faut ouvrir un collège ou un lycée », a-t-elle déclaré.

    A défaut, le risque est d »’avoir des écoles gelées parce qu’on a construit des écoles, mais certaines ont été fermées faute d’enseignants ou faute d’élèves », a-t-elle expliqué, en marge de la présentation du document de la revue annuelle conjointe du secteur de l’éducation et de la formation, en présence du gouverneur de Louga, El Hadj Bouya Amar.

    Si un tel travail n’est pas réalisé, « c ‘est une perte pour l’Etat du Sénégal », déclare-t-elle. Aussi,  »il nous faut réfléchir sur là où nous devons mettre ces écoles, et les ouvrir pour atteindre la cible qu’il faut pour qu’elles fonctionnent normalement », suggère-t-elle.

    « La présentation du document de cette revue annuelle a été l’occasion de présenter les acquis, les difficultés rencontrées et toutes les ressources reçues de l’Etat et des ONG, des collectivités territoriales et des partenaires techniques et financiers, et qu’est-ce qui a été fait », a détaillé Penda Ba.

    Selon elle, cette revue a été « un moment de reddition des comptes, mais également de passer en revue toutes nos réalisations avec la communauté ».

    Elle pense que « l’Etat doit aller vers l’évaluation du PSE [Plan Sénégal émergent], et le ministre de l’Education également doit aller vers l’évaluation du Projet pour l’acquisition de compétences par les élèves en mathématiques (PACEM) ».

    « C’est pourquoi nous avons eu à collecter les données de 2019 à 2023, pour voir l’évaluation de tout ce qui a été fait dans les différents programmes du ministère de l’Education nationale d’abord, mais également du ministère de l’Enseignement professionnel, de l’Apprentissage et de l’Insertion », a-t-elle fait remarquer.

    DS/ASB/ASG

  • SENEGAL-MONDE-AGRICULTURE / Macoumba Diouf décline les conditions de réalisation de la souveraineté alimentaire

    SENEGAL-MONDE-AGRICULTURE / Macoumba Diouf décline les conditions de réalisation de la souveraineté alimentaire

    De l’envoyée spéciale de l’APS, Sokhna Bator Sall

    Rimini (Italie), 4 mai (APS) – Le directeur de l’horticulture, docteur Macoumba Diouf, a décliné jeudi les différents facteurs devant contribuer à réaliser la souveraineté alimentaire, dont la pierre angulaire demeure la souveraineté.

    ‘’C’est un monde qui fait face à un défi majeur qui est la faim. La population s’accroit, alors que la production ne suit pas. Il y a un risque de faim en Afrique où se trouvent 65% des terres cultivables dans le monde. La force de travail, le climat, autant de facteurs sont en Afrique. Alors, elle doit jouer son rôle sinon le monde aura faim’’, a-t-il averti.

    M. Diouf introduisait, jeudi, au stand du Sénégal un panel sur le thème : ‘’Agriculture urbaine, l’infrastructure verte pour une résilience face aux changements climatiques et une souveraineté alimentaire au Sénégal’’. Ce panel est organisé dans le cadre du salon international Macfrut 2023 des fruits et légumes, ouvert mercredi à Rimini, en Italie.

    Il a rappelé que ‘’l’infrastructure verte [est] opposable à l’infrastructure grise notamment le béton qui est assimilé à la zone urbaine’’. ‘’Cela est une façon de poser le fléau des changements climatiques mais également de la souveraineté alimentaire en milieu urbain’’, a-t-il expliqué.

    Evoquant le cas du Sénégal, Macoumba Diouf a indiqué que ‘’la véritable sécurité alimentaire est la souveraineté’’. ‘‘Nous sommes dépendants de quelque chose. Nous devons produire mais aussi équilibrer la balance commerciale en exportant’’, a estimé le directeur de l’horticulture, qui a conduit la délégation sénégalaise à ce salon, qui prend fin vendredi après-midi.

    Il a insisté sur ‘’la liberté de concevoir en toute autonomie une politique alimentaire et nutritionnelle pour une production suffisante mais aussi de qualité tout en respectant l’environnement de sorte à éviter à recourir le plus possible à l’importation’’.

    Il s’est aussi appesanti sur l’importance du calendrier cultural et l’intensification de la production, considérant que c’est là un gage de cette souveraineté. ‘’Il faudra augmenter les superficies cultivées, ce qui passe par un équipement de la filière, les rendements à l’hectare et intensifier l’agriculture’’, a-t-il encore recommandé.

    Il a rappelé que dans les villes, c’est l’agriculture urbaine qui reste dominante, avec notamment le micro jardinage, les périmètres maraîchers mais aussi l’agriculture sous serre.

    ‘’A travers cette participation à ce salon, nous souhaitons que cette composante de notre agriculture qui regorge d’un fort potentiel et qui n’a pas été développé, fasse les beaux jours de notre exportation pour les prochaines semaines’’, a-t-il lancé.

    Il a signalé que le Sénégal est parvenu à diversifier son offre horticole et que c’est ce que selon lui les responsables du secteur tiennent à ‘’présenter à l’international’. ‘’Vers les années 70, nous n’avions que le haricot vert en export. Maintenant, nous sommes autour d’une dizaine de produits’’, s’est félicité le directeur de l’horticulture.

    SBS/ASG/AB

  • SENEGAL-LUXEMBOURG-SANTE / Le CNLS veut développer plus de programmes en faveur des personnes handicapées vivant avec le VIH

    SENEGAL-LUXEMBOURG-SANTE / Le CNLS veut développer plus de programmes en faveur des personnes handicapées vivant avec le VIH

    Dakar, 4 mai (APS) – Le Conseil national de lutte contre le sida (CNLS) envisage de développer plus de programmes pour la protection et la prise en charge des personnes handicapées vivant avec le VIH, a annoncé, jeudi, à Dakar, sa secrétaire exécutive, Dr Safiatou Thiam.

    « Nous participons à cette journée d’échanges pour essayer de voir comment apprendre des pays qui ont bénéficié des Fonds d’innovation et d’impulsion (F2I) pour développer plus de programmes pour la protection et la prise en charge des personnes handicapées mais aussi les personnes handicapées vivant avec le VIH’’, a-t-elle déclaré.

    La secrétaire exécutive du CNLS présidait une journée d’échanges organisée par l’ONG Enda Santé, en collaboration avec le Luxembourg,  sur le thème « Handicap et VIH ».

    La prévalence du sida chez les personnes handicapées (1,9%) est trois fois plus élevée que dans la population générale (0,3%), a rappelé Dr Thiam, soulignant que, parmi les personnes handicapées, les femmes sont les plus vulnérables.

    La secrétaire exécutive du CNLS déclare qu’il n’existe pas encore une prise en charge spécifique pour les personnes handicapées. Mais elle  signale qu’nouvelle orientation est mise en œuvre pour une riposte sectorielle contre le sida, la tuberculose.

    « Nous allons travailler avec la Fédération sénégalaise des personnes handicapées pour voir comment développer les services et les adapter aux besoins de chaque type de handicap », a-t-elle avancé.

    ‘’Enda santé est une initiative qui permet de soutenir les projets d’innovation au niveau local’’, a rappelé sa présidente, Nguissaly Turpin.

    Mme Turpin a déclaré qu’il est urgent et nécessaire de regarder un peu plus de près le travail qui est en train de se dérouler pour prendre en compte la spécificité des personnes handicapées afin de mieux prendre en charge la question du handicap et du VIH dans les pays et la région de l’Afrique de l’Ouest.

    Il est « fortement ressorti que les besoins de personnes vivant avec le handicap ne sont pas assez couverts. C’est pourquoi la coopération luxembourgeoise a accompagné Enda Santé et le réseau Frontières et vulnérabilités au VIH en Afrique de l’Ouest (FEVE), avec une enveloppe de 150.000 euros (plus de 98 millions FCFA)’’, a dit Tania Martinez, représentante de l’ambassadeur du Luxembourg au Sénégal.

    Elle a expliqué que ‘’cette enveloppe permet de mettre en lumière certaines problématiques, de faire un plaidoyer mais aussi de montrer qu’il y a encore de nombreux défis qui doivent être pris en compte dans les approches et stratégies d’innovations soulignées dans les thématiques’’.

    BSF/FD/ASB/ASG