Année : 2023

  • SÉNÉGAL-SOCIETE-TIC / Moussa Bocar Thiam appelle les jeunes à s’approprier davantage le numérique

    SÉNÉGAL-SOCIETE-TIC / Moussa Bocar Thiam appelle les jeunes à s’approprier davantage le numérique

    Mbour, 30 avr (APS) – Le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Moussa Bocar Thiam, appelle les jeunes à s’approprier le numérique, un outil qui sera selon lui « le plus grand pourvoyeur d’emplois sous peu ».

    « [Le numérique est] un outil magique qui doit intéresser les jeunes », a-t-il déclaré dans un entretien avec des journalistes, samedi, à Mbour, dans le cadre de la caravane de la Semaine du numérique.

    Cette dernière avait auparavant sillonné les communes de Diass et Malicounda avant d’arriver à Mbour. Elle est ensuite attendue dans plusieurs autres localités où elle va passer en faisant le tour du Sénégal.

    Le numérique représente « le présent et le l’avenir », plus généralement « la connectivité et le numérique constituent une opportunité », a insisté le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique.

    Selon lui, dans les dix prochaines années, le numérique « sera le premier foyer de création d’emplois avec des opportunités quasi illimitées ».

    Il a exhorté les jeunes « à agir pour influer, susciter l’émulation et l’intérêt pour le numérique », notant que de plus en plus de personnes vivent du numérique, à l’image des influenceurs.

    Moussa Bocar Thiam considère que les nouvelles technologies « sont les seuls instruments qui peuvent permettre à l’Afrique de combler son [retard par rapport à] l’Occident ».

    Il juge que combler ce gap est d’autant plus possible que « les besoins du jeune Sénégalais en termes de connectivité, de connexion et de capacité sont les mêmes que ceux du jeune New-Yorkais ».

    « C’est vraiment un outil magique qui nous permet de rattraper le retard considérable de notre continent », a-t-il dit, avant d’inviter les collectivités territoriales à se doter de points focaux dans le secteur du numérique.

    Il a également exhorté les jeunes à « faire bon usage » de ces outils technologiques, les appelant à la prudence et à la responsabilité dans l’utilisation des instruments numériques. « Il faut faire attention pour éviter de détruire des vies à travers les réseaux sociaux », leur a-t-il lancé.

     

    Cette tournée lancée par le ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique va précéder le lancement de la plateforme Sénégal Connect.

    Selon Raky Kane, coordinatrice de ladite plateforme, cette initiative vise à « connecter tout le Sénégal pendant une semaine, du 16 au 20 mai, au Grand Théâtre de Dakar, et autour du numérique ».

    Aussi le ministre de la Communication a-t-il  invité les jeunes à faire de ce « grand et important » événement une réussite en y participant « massivement ».

     

    CS/BK

     

  • SENEGAL-SANTE / Fièvre Crimée Congo : le Sénégal enregistre un premier cas de décès (officiel)

    SENEGAL-SANTE / Fièvre Crimée Congo : le Sénégal enregistre un premier cas de décès (officiel)

    Dakar, 30 avril (APS) – Le Sénégal a enregistré un premier cas humain de fièvre hémorragique Crimée Congo pris en charge à l’hôpital Dalal Jam de Guédiawaye (banlieue de Dakar) où le patient est finalement décédé, a appris l’APS de source officielle.

    « Le Sénégal a enregistré un cas humain confirmé de fièvre hémorragique Crimée Congo. Le prélèvement envoyé par l’hôpital Dalal Jam à l’Institut Pasteur de Dakar a été confirmé positif (…), le malade qui a été hospitalisé est finalement décédé », a souligné un communiqué du ministère de la Santé et de l’Action socxiale reçu à l’APS.

    Les services compétents du ministère de la Santé ont été déployés pour « recenser les contacts qui sont au nombre de 84 en vue d’assurer leur suivi », rapporte le texte. Au total, « 73 animaux composés de bovins, ovins et caprins ont été investigués », a précisé le Centre des opérations d’urgence sanitaire.

    « Aucun autre cas n’a été détecté », ont assuré les autorités sanitaires concernées, lesquelles ont dit avoir activé le Centre des opérations d’urgences sanitaires et mis en place un système multisectoriel de gestion.

    Ce dispositif vise à « assurer le suivi et la coordination de la réponse de notre pays ».

    La fièvre hémorragique Crimée Congo est une maladie transmise de l’animal à l’homme par le biais des tiques. Le virus est hébergé par les animaux sauvages et domestiques, a renseigné le document.

    La transmission à l’homme se fait par « contact direct avec du sang ou des tissus d’animaux infectés ».

    Elle peut se faire également par « contact direct avec du sang ou des fluides corporelles d’une personne contaminée ».

    La transmission est aussi possible par « morsure de tiques infectées ».

    Les autorités sanitaires ont recommandé l’adoption de plusieurs mesures allant du « lavage fréquent des mains avec de l’eau et du savon, du traitement des endroits ayant des tiques et le recours aux services vétérinaires pour le traitement des animaux porteurs de tiques ».

    Le taux de létalité de la maladie de fièvre hémorragique Crimée Congo peut aller de 10 à 40%, ont alerté les services sanitaires.

    Selon la fiche technique du ministère portabt sur cette maladie, « le réservoir de virus est constitué par plusieurs types d’animaux sauvages comme les rongeurs, les oiseaux (hérons, calaos) et les animaux domestiques et les  bovins  (moutons, chèvres) ».

    SKS/MTN

  • SENEGAL-EDUCATION-EQUIPEMENT / Un lot de matériel informatique et pédagogique à l’école Keur Balla de Bonoba

    SENEGAL-EDUCATION-EQUIPEMENT / Un lot de matériel informatique et pédagogique à l’école Keur Balla de Bonoba

    Bonoba (Rufisque), 29 avr (APS) – L’association « Enfants et Avenir », dirigée par une ressortissante sénégalaise établie en France, a fait don samedi d’un lot de matériel informatique et pédagogique à l’école élémentaire Keur Balla de Bonoba, une commune située à une dizaine de kilomètres du Lac Rose, dans le département de Rufisque.

    Le don est composé d’une dizaine d’ordinateurs avec des unités centrales et des claviers, de 3 photocopieuses et d’une cinquantaine de caisses contenant des livres pour le programme élémentaire et secondaire.

    Ce matériel « vient à point nommé, car le monde de l’éducation évolue et avec lui aussi les outils pédagogiques et les moyens d’évaluation [ordinateurs, photocopieuses, imprimantes entre autres].  Ce que nos bienfaiteurs ont compris en orientant leurs actions dans ce sens », a souligné le directeur de l’école bénéficiaire, Moussa Seck.

    Sans matériel informatique et didactique, il n’est pas possible de mener à bien les enseignements-apprentissages et la recherche action, a-t-il ajouté en présence des élèves de l’école et de leurs parents venus assister à la cérémonie devant les classes de l’établissement.

    Le directeur de l’école élémentaire Keur Balla de Bonoba a profité de cette occasion pour demander à d’autres bonnes volontés, partenaires de l’école, de les appuyer pour que l’établissement puisse bénéficier d’un accès Internet à haut débit, afin d’optimiser la salle informatique qui va être équipée avec le matériel reçu.

    Il y a aussi que les toilettes de l’école « sont vétustes, suintent de partout avec portes et fenêtres détériorées. Les populations environnantes y font leurs besoins et cela pose un problème de sécurité », a relevé Moussa Seck.

    Son plaidoyer a été relayé par la donatrice Yama Ayissou qui a invité d’autres donateurs à l’accompagner pour doter l’école d’un mur de clôture, de classes supplémentaires, d’un système d’adduction d’eau mais également de toilettes fonctionnelles.

    « L’objectif dans cette école est d’avoir une bibliothèque et une salle informatique connectée à Internet afin de permettre aux professeurs, aux élèves mais également aux étudiants du village de faire des recherches », a-t-elle indiqué.

    « Bonoba est un village très enclavé et il n’y a aucune infrastructure, pas d’activités économiques, pas de lycée, juste l’école qui fait face au CEM au milieu du village sans mur de clôture », a-t-elle relevé, pour justifier le choix de son association de faire ce don de « près de 5 millions de francs CFA » à cet établissement.

    « Une école sans eau, sans toilettes avec les animaux en divagation au milieu des élèves, ce n’est pas normal », a-t-elle dit, avant d’appeler les sociétés établies dans le département de Rufisque à apporter de leur côté un soutien à l’école de Bonoba, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), en vue de contribuer à l’éducation des enfants en suscitant un environnement scolaire propice aux performances.

    Des chefs de villages, imams, ainsi que des autorités locales ont pris part à la cérémonie de remise de ce don, en présence de la présidente de l’association « Enfants et Avenir », accompagnée de quelques-uns de ses membres de diverses nationalités.

    Cette association a été créée en 1996 pour le soutien scolaire des enfants du quartier de résidence  de Yama Ayissou en France où elle servait comme professeur d’économie.

    L’association « Enfants et Avenir » a orienté, au fil des ans, son action vers l’international et le Sénégal en particulier, pays de naissance de Mme Ayissou.

    Elle collecte ainsi du matériel informatique et didactique en France au profit d’écoles qui en ont le plus besoin. L’association a déjà fait des dons similaires à des établissements d’autres localités sénégalaises comme Kelle.

    ADL/BK

     

     

     

     

  • SENEGAL-ECONOMIE / Sakal signe un accord avec le PROMOGEM pour la rénovation de son marché principal

    SENEGAL-ECONOMIE / Sakal signe un accord avec le PROMOGEM pour la rénovation de son marché principal

    Louga, 29 avr (APS) – La commune de Sakal, dans le département de Louga, a signé vendredi un accord avec le programme de modernisation et de gestion des marchés (PROMOGEM) en vue d’assurer la rénovation de son marché principal.

    « Nous sommes venus aujourd’hui pour acter cet accord et ce partenariat avec le maire de la commune de Sakal, qui est à la tête du conseil municipal de cette commune qui a privilégié la mise en œuvre de la politique gouvernementale en matière de modernisation des marchés’’, a expliqué la coordonnatrice du PROMOGEM, Yaye Fatou Diagne.

    S’exprimant lors de la cérémonie de signature, elle a souligné que cet accord « devrait permettre » à Sakal et au PROMOGEM d’ »unir leurs forces et de nouer un partenariat ». Ce protocole « s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique instituée par le président Macky Sall en matière de modernisation et de gestion des marchés », a-t-elle précisé.

    Selon Yaye Fatou Diagne, « le dynamisme du maire de Sakal, la position géographique » et « l’architecture » de son marché ont « inspiré le choix (…) » de PROMOGEM. Elle souligne que le marché de Sakal « fait désormais partie des marchés dont la rénovation est devenue une priorité » pour sa structure.

    Elle a notamment indiqué qu’ »un planning sera défini en collaboration avec le comité que le maire mettra en place pour entamer les travaux afin d’atteindre les objectifs ».

     

     

    Le maire de la commune de Sakal, Ousmane Dieng, a exprimé sa « satisfaction » et son « plaisir d’accueillir la coordonnatrice du PROMOGEM pour procéder à la signature de cette convention qui va acter la modernisation » du marché de sa commune.

    ‘ »Le marché de Sakal, comme la plupart des marchés du Sénégal, connaît un problème d’insalubrité, d’insécurité et d’occupation anarchique. Mais ces problèmes seront réglés par le projet de rénovation du marché qui sera réalisé grâce au partenariat avec le PROMOGEM », a-t-il déclaré. Il a félicité  »la coordonnatrice du PROMOGEM pour la diligence avec laquelle elle traduit en acte la vision du président Macky Sall ».

    Elle considère que « c’est un grand moment dans la commune de Sakal », rappelant que la rénovation de son marché a « toujours occupé une place prépondérante » dans son « plan de campagne », sa vision et son cahier des charges, « mais également dans les préoccupations des populations ». 

    SDASG

  • SENEGAL-SOCIAL / L’augmentation du montant de la bourse familiale effective dès le prochain paiement (DGPSN)

    SENEGAL-SOCIAL / L’augmentation du montant de la bourse familiale effective dès le prochain paiement (DGPSN)

    Dakar, 29 avr (APS) – L’augmentation annoncée du montant de la bourse de sécurité familiale, de 25.000 à 35.000 francs CFA, sera effective dès le prochain paiement que les bénéficiaires recevront, a-t-on appris de la déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale, Aminata Sow.

    « C’est une décision du chef de l’Etat Macky Sall annoncée le 31 décembre 2022. Cette augmentation est une heureuse nouvelle d’autant plus que présentement, nous vivons une inflation qui est une conséquence de la pandémie à Covid-19 mais également de la guerre en Ukraine », ce qui s’est traduit par un pouvoir d’achat « en chute », a-t-elle dit lors d’un entretien avec l’APS.

    « Pour faire face à ces chocs, le président de la République a revu le montant [de la bourse de sécurité familiale] qui passe de 25000 francs à 35 000 francs CFA ». Le budget devant financer cette augmentation « est déjà libéré, a indiqué la déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale.

    Une autre mesure porte sur l’extension de la bourse de sécurité familiale aux détenteurs de la carte d’égalité des chances, à savoir les personnes vivant avec un handicap.  « Nous sommes en phase d’enrôlement de ces personnes bénéficiaires », a annoncé Mme Sow.

    SBS/BK

  • SENEGAL-MEDIAS-NECROLOGIE-REACTION / Moussa Bocar Thiam : « Mame Less Camara fut un défenseur infatigable de la dignité de la presse »

    SENEGAL-MEDIAS-NECROLOGIE-REACTION / Moussa Bocar Thiam : « Mame Less Camara fut un défenseur infatigable de la dignité de la presse »

    Dakar, 29 avr (APS) – Le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Moussa Bocar Thiam, a salué la mémoire du défunt journaliste sénégalais Mame Less Camara, le qualifiant de « défenseur infatigable de la dignité de la profession et des médias ».

     

    « Sa double casquette de formateur et de syndicaliste, pour avoir été secrétaire général du syndicat des journalistes, ont fait de lui un défenseur infatigable de la dignité de la profession et des médias », écrit-il à propos de Mame Less Camara, décédé samedi à Dakar, des suites d’une maladie.

    « Le Sénégal vient de subir une immense perte avec son décès […]. Il laisse derrière lui un grande vide », a-t-il ajouté dans un communiqué dont une copie a été transmise à l’APS.

     

    Mame Less Camara est un ancien de la Radiotélévision sénégalaise (RTS, publique) où il a entamé sa carrière au début des années 1980 et exercé pendant de longues années avant de diriger les rédactions de plusieurs médias privés tels que Walfadjri, Envi FM, Océan FM. Il a aussi lancé la chaîne de télévision DTV, FEM FM puis la Télévision futurs médias (TFM), il y a quelques années.

     

    Il faisait l’unanimité pour ses hautes compétences professionnelles et son sens aigu de la déontologie, des qualités qui faisaient de lui une référence dans le secteur des médias au Sénégal.

     

     »Mame Less Camara était une référence. Il était un professionnel accompli doublé d’un intellectuel fécond et très dense. Des générations de journalistes gardent de lui le souvenir d’un homme digne, intègre et très généreux dans le partage des connaissances », a dit le ministre de la Communication.

     

    Le défunt, qui fut formateur au Cesti, l’école de journalisme de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), est  »resté le même, inoxydable », même après plusieurs décennies de pratique professionnelle, dans le public et le privé.  »Il n’a jamais vacillé sur les principes. Sur l’éthique et la déontologie, il ne transigeait pas [non plus] », a souligné Moussa Bocar Thiam.

    Il a conclu en présentant ses  »sincères condoléances » à  »la grande famille de la presse ».

     

    BK

     

     

     

     

  • MONDE-SENEGAL-CULTURE / Journée internationale de la danse : la cérémonie officielle démarre à partir de 19 heures

    MONDE-SENEGAL-CULTURE / Journée internationale de la danse : la cérémonie officielle démarre à partir de 19 heures

    Guédiawaye, 29 avr (APS) – Le ministre de la Culture et du Patrimoine historique, Aliou Sow, préside la cérémonie officielle de la Journée internationale de la danse, prévue pour démarrer à partir de 19 heures, à Guédiawaye, dans la grande banlieue dakaroise, annonce un communiqué transmis à l’APS.

    La manifestation se déroulera au terrain de basket de la mairie de la commune d’arrondissement de Ndiarème Limamou Laye, précise le communiqué.

    Il signale que la Journée internationale de la danse sera célébrée sur l’ensemble du territoire national.

    SG/BK

     

  • SENEGAL-AFRIQUE-CULTURE / Le théâtre Daniel Sorano en Côte d’Ivoire pour le « carnaval de Mahindi »

    SENEGAL-AFRIQUE-CULTURE / Le théâtre Daniel Sorano en Côte d’Ivoire pour le « carnaval de Mahindi »

    Dakar, 29 avril (APS) – Le Théâtre national Daniel Sorano participe à la première édition du « carnaval de Mahindi », une manifestation lancée vendredi à Agboville, dans le sud-est de la Côte d’Ivoire où elle se poursuivra jusqu’à mardi prochain, a-t-on appris du directeur général de la compagnie sénégalaise, Ousmane Baro Dione.

    La participation sénégalaise à ce carnaval marque le début de la tournée internationale de la compagnie Daniel Sorano, dans le cadre de son nouveau concept intitulé « Sorano et sa diaspora ». Cette tournée se poursuivra ensuite au Congo Brazzaville, selon M. Dione.

    Selon lui, le ballet « La Linguère » a livré « une belle prestation » à l’occasion de ce carnaval, de même que le « ballet Pulaar » dont les membres étaient vêtus à l’occasion de « costumes et accessoires authentiques ».

    Il y a eu aussi la prestation du « ballet balante » qui a conquis le public ivoirien venu nombreux pour découvrir d’autres sonorités et cultures africaines.

    Selon Ousmane Baro Dione, ce carnaval, « démarré en grande pompe », a enregistré la participation de plusieurs pays africains parmi lesquels le Nigeria, la Ghana, le Bénin, le Togo et le Sénégal.

    Une troupe martiniquaise participe également à ce carnaval organisé sous l’impulsion du président du Conseil de la région d’Agnéby-Tiassa, dans le sud de la Côte d’Ivoire.

     

    Après cette étape ivoirienne, la troupe dramatique du Théâtre Daniel Sorano va  participer à un festival de cirque prévu au Congo Brazzaville, du 28 au 06 mai.

    Le Théâtre national Daniel Sorano vise une plus grande ouverture sur l’international, avec son concept  »Sorano et sa diaspora, qui vient en complément de « Sorano chez-vous », lequel permet à la compagnie nationale sénégalaise d’aller à la conquête des régions de l’intérieur du pays.

    FKS/BK

  • SÉNÉGAL-SOCIETE-VISITE / Macky Sall chez le khalife général des mourides pour lui présenter ses condoléances

    SÉNÉGAL-SOCIETE-VISITE / Macky Sall chez le khalife général des mourides pour lui présenter ses condoléances

    Touba, 29 avr (APS) – Le président de la République, Macky Sall, a effectué, samedi, une « visite privée » à Touba où il est venu présenter ses condoléances au Khalife général des mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, suite au rappel à Dieu de Sokhna Daba Diallo, épouse du marabout.

    Le président Sall est arrivé aux environs de 12h30 à la résidence du khalife, sises à Darou Tanzil. Il a été accueilli par quelques dignitaires religieux, parmi lesquels Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, porte-parole du khalife général des mourides.

    Le chef de l’Etat était en compagnie du tout nouveau président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, et du ministre de l’Intérieur, Antoine Diome.

    Sa visite intervient 48 heures après le rappel à Dieu de Sokhna Daba Diallo.

    À l’occasion de cette visite pour présenter ses condoléances et celles de la nation au patriarche de Darou Minane, Macky Sall a été accompagné par le nouveau président du Conseil économique social et environnemental (CESE) Abdoulaye Daouda Diallo et Antoine Diome ministre de l’Intérieur.

    « Quand j’ai reçu la nouvelle [de ce décès], j’ai pris mon téléphone pour vous appeler. Mais il fallait que je me déplace pour vous présenter mes condoléances », au nom de la nation, a déclaré le président Macky Sall.

    Le porte-parole du khalife général des mourides a remercié le chef de l’État, au nom Serigne Mountakha Bassirou Mbacké avec lequel le président Sall s’est ensuite entretenu en privé, à la fin de sa visite.

    CGD/BK

     

  • SENEGAL-SOCIAL-PERSPECTIVES / Vers une recertification des ménages bénéficiaires de la Bourse de sécurité familiale

    SENEGAL-SOCIAL-PERSPECTIVES / Vers une recertification des ménages bénéficiaires de la Bourse de sécurité familiale

    Dakar, 29 avr (APS)- La déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN), Aminata Sow, annonce que ses services vont engager « une recertification » des ménages bénéficiaires du programme bourses de sécurité familiale (BSF), en vue de les accompagner à assurer leur autonomie économique.

    « Nous allons vers la recertification des ménages bénéficiaires de la bourse de sécurité familiale. Au départ, le programme était conçu pour y maintenir les ménages pendant cinq ans. Aujourd’hui, en moyenne, ils ont fait dix ans. Cependant, sur décision du chef de l’Etat, nous les avons maintenus, car il faut être sûr d’une amélioration de leurs conditions de vie à leur sortie du programme », a-t-elle expliqué.

    Selon Aminata Sow, la « recertification » va consister à faire une évaluation de la situation économique des ménages bénéficiaires, pour déterminer ceux qui seront appelés à quitter le programme, en vue d’enrôler d’autres familles.

    Elle a clarifié le sens des concepts utilisés pour caractériser la situation des ménages bénéficiaires dont certains peuvent être considérés comme vivant « dans la pauvreté ou l’extrême pauvreté ». Un ménage confronté à une extrême pauvreté est un ménage qui ne peut pas assurer les trois repas quotidiens, a précisé la déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale.

    Ce qui correspond à des revenus de moins d’un dollar, selon les critères en vigueur à l’international.

    SBS/BK