Fguirassy
Dakar, 17 avr (APS) – Le sélectionneur de l’équipe nationale des moins de 20 ans, Malick Daf, a convoqué une liste de 34 joueurs pour un stage de préparation à partir de ce lundi, en perspective de la Coupe du monde de la catégorie prévue du 20 mai au 11 juin 2023.
Le stage, d’une durée de cinq jours, se tiendra au Centre Jules François Bocandé de Toubab Dialaw. L’ensemble des joueurs convoqués évoluent dans le championnat local.
Voici la liste des joueurs convoqués :
Gardiens : Mamour Ndiaye (Oslo FA), Landing Badji (AS Pikine), Alioune Niang (Linguére de Saint-Louis), Ndiack Sall (Espoirs Guédiawaye)
Défenseurs : Amidou Diop (Génération Foot), Mouhamed Guèye (Diambars FC), Souleymane Basse (Génération Foot), Mbaye Ndiaye (Dakar Sacré-Cœur), Babacar Ndiaye (AS Douanes), Seydou Sano (US Gorée), Mapenda Mbow (Espoirs Guédiawaye), Sadibou Sané (Génération Foot), Alpha Seyni Diallo (Teungueth FC), Mamadou Sané (Guédiawaye FC), Mouhamadou Moustapha Fall (Diambars FC), Aboubacar Loucoubar (Darou Salam AC)Ibrahima Cissokho(US Gorée), Ibrahima Seck (US Gorée)
Milieu de terrain : Djibril Diarra (Génération Foot), Mouhamed Guèye (US Gorée), Issaga Kane ( Jaraaf), Pape Abasse Badji (Casa Sports), Ibrahima Cissokho (US Gorée), Mamadou Gning (Espoirs Guediawaye), Mame Libasse Laye Ngom (Guediawaye FC), Maodo Dieng (Génération Foot), Boubacar Sow (Espoirs Guédiawaye), Ibrahima Cissokho (US Gorée), Alpha Seydi Diallo (Teungueth FC), Mame Libass Laye Ngom ( Guédiawaye FC), Boubacar Sow (Espoirs de Guédiawaye )
Attaquants : Mame Mor Faye (Darou Salam AC), Pape Doudou Ndiaye (Teungueth FC), Ousmane Diop (Diambars FC), Ibou Sané (Génération Foot), Mamadou Sané (Guédiawaye FC), Cheikh Ibra Diouf (Guediawaye FC), Mbaye Jacques Ndiaye (Teungueth FC), Maodo Dieng (Génération Foot), Mouhamed Tamba (Guelwars Fatick), Mouhamadou Lamine Diatta (Oslo FA),
La 23e édition de la Coupe du monde devait se tenir à l’Indonésie, mais la FIFA l’a dessaisi l’organisation de la compétition, le 29 mars dernier. L’instance dirigeante du football mondial avait assuré qu’un autre pays hôte serait désigné dès que possible et que les dates initiales resteraient maintenues.
SK/ASG
Dakar, 17 avr (APS) – L’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) met en garde les populations contre ‘’des personnes malintentionnées’’ se faisant passer pour ses agents.
‘’Des personnes malintentionnées se faisant passer pour des agents de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie se présentent chez certains ménages en disant qu’elles viennent faire une prise de contact’’, écrit l’ANSD dans un communiqué parvenu dimanche à l’APS.
‘’Le recensement [général de la population et de l’habitat] se déroulera du 15 mai au 14 juin 2023. Il n’y a aucune prise de contact avec les ménages avant cette date’’, précise-t-elle.
L’agence ajoute que les agents recenseurs qu’elle enverra procéder au recensement ‘’seront habillés de gilets bleu marine, munis d’un badge et d’une tablette avec le logo et le sigle de l’ANSD permettant de les identifier’’.
‘’Pour toute information, veuillez contacter l’ANSD au 338692139’’, ajoute-t-elle.
Le Sénégal va procéder à partir du 15 mai au cinquième recensement général de sa population.
ESF
Dakar, 16 avr (APS) – Le Mouvement forces vives du Sénégal F24 a été lancé dimanche à Dakar pour s’opposer à une candidature de Macky Sall à l’élection présidentielle de 2024 et obtenir la libération des ‘’détenus politiques’’, a appris l’APS de son coordonnateur, Mamadou Mbodj.
La nouvelle structure réunit ‘’112 entités’’, selon ses dirigeants. Il s’agit de partis politiques et de coalitions de partis, ainsi que d’organisations de la société civile, dont la RADDHO et la LSDH, deux des principales associations de défense des droits de l’homme au Sénégal.
Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, Ousmane Sonko, maire de Ziguinchor (sud), Abdourahmane Diouf, le professeur Mary Teuw Niane, l’ancienne Première ministre Aminata Touré et l’ancien ministre Cheikh Bamba Dièye font partie de ses leaders.
Le coordonnateur du Mouvement forces vives du Sénégal F24, Mamadou Mbodj, est un professeur de philosophe à la retraite. Docteur en sciences de l’éducation, M. Mbodj a dirigé le M23, un mouvement de partis politiques, de syndicats et d’organisations de la société civile à la pointe de la contestation de la candidature d’Abdoulaye Wade à l’élection présidentielle de 2012.
‘’Le Mouvement forces vives du Sénégal F24 […] a pour mission de mobiliser les citoyens sénégalais pour obtenir […] le respect par le président Macky Sall de la Constitution et de la parole donnée’’, écrivent ses leaders dans une déclaration parvenue à l’APS.
Ils font allusion à une promesse faite par l’actuel chef de l’Etat de ne plus se présenter à l’élection présidentielle, en vertu de la Constitution.
Le Mouvement forces vives du Sénégal F24 exige ‘’son renoncement à présenter sa candidature pour un troisième mandat illégal et illégitime’’.
Ses leaders réclament aussi ‘’la suppression des articles […] du Code électoral et de tous les artifices juridico-politiques […] ayant empêché et/ou susceptibles de rendre inéligibles des prétendants à l’élection présidentielle de 2024, en dehors de règles établies de manière consensuelle’’.
Ils rejettent la loi instituant le parrainage des candidats à l’élection présidentielle.
La nouvelle ‘’plate-forme’’ exige ‘’la libération des détenus politiques et la cessation des interdictions des manifestations’’.
Ses dirigeants appellent les pouvoirs publics sénégalais à ‘’la création de conditions optimales et consensuelles d’une élection présidentielle apaisée, inclusive et transparente en 2024’’.
Dans une interview donnée à l’hebdomadaire français L’Express, Macky Sall, sans dire s’il fera acte de candidature ou pas en 2024, a déclaré avoir le droit de se présenter en vertu de la Constitution.
Auparavant, dans un livre autobiographique, il a estimé qu’il exerçait depuis 2019 le dernier des deux mandats auxquels il avait constitutionnellement droit.
ESF
Pikine, 16 avr (APS) – Près de 100 000 des 260 000 petits ruminants consommés dans la région de Dakar à l’occasion de la Tabaski transitent par le parc de la SOGAS dédié à ces ruminants de petite taille et installé à Pikine, dans la banlieue dakaroise, a appris l’APS du président dudit parc, Mamadou Talla.
Les besoins du Sénégal s’élèvent à 810 000 têtes pour la plus grande fête musulmane, dont 260.000 têtes pour la région de Dakar, a-t-il indiqué, samedi.
S’exprimant lors du lancement de la fluidité routière pour la lutte contre les barrières qui freinent la libre circulation des produits agro-bétail et halieutiques, il a précisé que sur les 810 000 moutons nécessaires à la satisfaction des besoins du pays, 100.000 ‘’transitent par ce parc des petits ruminants’’.
Le ministère de l’Elevage et des Productions animales et l’association ouest africaine du commerce transfrontalier des produits alimentaires, agro-sylvo-pastoraux et halieutiques (AOCTAH) ont lancé à Pikine un programme de fluidité routière pour la lutte contre les barrières qui freinent la libre circulation des produits agro-bétail et halieutiques.
La cérémonie s’est tenue au parc des petits ruminants de la Société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS), sis à Pikine.
Il a souligné que le parc des petits ruminants de Pikine est ‘’un vrai marché, un vrai poumon économique qui est là’’.
SG/ASG
Kaffrine, 16 avril (APS) – Des femmes politiques militantes de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY, mouvance présidentielle) ont invité samedi à Kaffrine (centre) leurs concitoyennes à aller s’inscrire massivement sur les listes électorales, a constaté l’APS.
‘’Nous invitons nos camarades femmes à aller s’inscrire massivement sur les listes électorales, avant la fin de la révision exceptionnelle des listes électorales prévue le 6 mai prochain’’, a lancé Ndeye Sylla, porte-parole d’un groupe de femmes dénommées ‘’les Amazones d’ASS’’.
Ces femmes proches du ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique Abdoulaye Seydou Sow, organisaient samedi la quatrième édition de leur conférence religieuse en période de ramadan sur le thème ‘’L’Islam à l’ère du numérique’’.
Ndeye Sylla a par ailleurs lancé un appel à la jeunesse à ‘’faire preuve de responsabilité et d’engagement en vue de contribuer dans la dynamique de développement économique du pays’’.
CTS/MTN
Ziguinchor, 16 avr (APS) – Le programme d’installation des lampadaires solaires dans la région de Ziguinchor (sud) va démarrer »au plus tard fin avril », a révélé, samedi le directeur général de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER), Tamsir Ndiaye.
« Le programme des lampadaires solaires à poser dans la région de Ziguinchor va démarrer au plus tard fin avril. Nous avons l’espoir qu’avec le rythme que nous allons mettre, au mois de mai-début juin nous allons finir de saturer l’ensemble des 30 communes de Ziguinchor qui auront au moins chacune 200 lampadaires solaires », a indiqué M. Ndiaye lors d’une tournée de l’association des maires du Sénégal (AMS) à Ziguinchor.
Il a signalé qu’il peut y avoir des communes de Ziguinchor qui peuvent avoir plus de 200 lampadaires en raison de certaines caractéristiques spécifiques.
« Nous viendrons à Ziguinchor avec d’autres types d’installation qui seront destinées aux associations de femmes, des éclairages dans des écoles, lycées, structures sanitaires entre autres « , a souligné Tamsir Ndiaye.
Il a rappelé qu’il reste à ce jour 319 Communes du Sénégal qui n’ont pas encore reçu de lampadaires solaires.
« Au niveau national nous avons compté 552 communes. Si on fait le total, on est à 319 communes qui n’ont pas encore reçu de lampadaires solaires. Donc, nous avons installé des lampadaires dans plus de 233 communes du pays », a-t-il précisé, faisant savoir que l’ANER a pour ambition de couvrir toutes les communes du Sénégal avec au moins 200 lampadaires par commune d’ici décembre 2023.
Tamsir Ndiaye a annoncé que la troisième phase du projet d’installation de lampadaires solaires à travers le Sénégal va faire plus de 200.000 lampadaires.
« Avec cette troisième phase, nous allons revenir dans chaque commune pour essayer de satisfaire les besoins. L’objectif de cet éclairage public est surtout destiné à ces communes rurales qui n’ont pas d’éclairage pour des raisons de sécurité mais aussi de confort pour les populations », a expliqué le DG de l’ANER.
Il a rappelé que la première phase du projet d’installation de lampadaires a fait 50000 lampadaires, la deuxième phase qui est en cours et qui a un objectif de 118000 lampadaires a déjà fait près de 20000 lampadaires pour 93 communes de dix régions du pays.
MNF/ADC/MTN
Dakar, 16 avr (APS) – La Fédération sénégalaise de Football (FSF) va présenter, lors de sa prochaine réunion du Comité exécutif, un ‘’budget historique’’ de plus de 10 milliards de francs CFA qui permettra à l’instance fédérale de fonctionner sur fonds propre sur les quatre ou cinq prochaines années, a révélé son président Me Augustin Senghor.
‘’Pour la première fois, nous serons en mesure de présenter un budget annuel qui dépassera les 10 milliards de Francs CFA. Nous allons l’annoncer à la prochaine réunion du Comité exécutif. Cela est historique. Jamais au plus grand jamais on ne pouvait l’imaginer avant’’, a confié Me Senghor.
Dans un entretien avec l’APS, le président de la Fédération sénégalaise de football a expliqué que cette autonomie est obtenue grâce aux ‘’retombées financières de la Coupe du monde 2022, du sacre en Coupe d’Afrique des nations (CAN) de la même année et de toutes les autres compétitions gagnées’’.
Le Sénégal a remporté son premier titre continental lors de la dernière CAN en terre camerounaise avant de se qualifier au mondial qatari où il s’était hissé en huitièmes de finale.
Les Lions locaux se sont aussi illustrés au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en Algérie où ils ont été sacrés.
En mars dernier l’équipe nationale U20 du Sénégal a remporté la CAN de la catégorie en Egypte.
‘’C’est un pas historique qui est franchi. C’est important pour une fédération de football’’, s’est réjoui Me Augustin Senghor.
Il a aussi précisé que sur le plan de l’hébergement, la fédération est ‘’autonome à 80%’’ avec ses deux centres et leurs espaces de logement.
‘’L’hébergement nous prenait énormément de budget. Nous faisons des rentrées d’argent à travers le sponsoring et les Price Money, à chaque fois que nous gagnons des trophées. Aujourd’hui, l’Etat nous accompagne dans la prise en charge de nos équipes et dans la construction des infrastructures’’, a-t-il expliqué.
M. Senghor a aussi évoqué la ‘’gestion rationnelle’’ des fonds. ‘’Nous sommes fiers de dire que nous avons une autonomie qui nous permet de tourner sur quatre ou cinq années tranquillement sur fonds propres, en dehors de la prise en charge de l’équipe nationale qui est très lourde. Nous continuerons à renforcer cette autonomie’’, a-t-il assuré.
‘’Le legs que nous voulons dédier au football sénégalais, ce n’est pas seulement des trophées, mais aussi une bonne organisation, une bonne santé financière et surtout une crédibilité vis-à-vis des autorités, du public et des instances internationales comme la CAF et la FIFA’’, a fait valoir le président de la FSF.
Il a évoqué la réhabilitation du stade Demba Diop dont les travaux sont lancés le 23 mars dernier. ‘’C’est la Fédération et la FIFA qui vont financer les travaux pour un peu moins de six milliards de francs CFA’’, a-t-il souligné.
‘’Il y a l’installation en cours d’un terrain synthétique à Kédougou (est) de même qu’à Sédhiou (sud) où les travaux préparatoires du stade municipal vont démarrer’’, a ajouté Senghor, parlant des projets entamés par l’instance fédérale.
‘’Le but final est de construire, d’ici un an, notre propre siège, un tour du football ou la maison du football sur un immeuble de 7 à 8 étages pour installer définitivement le football sénégalais parmi les meilleurs dans le monde’’, a promis Me Augustin Senghor.
SK/MTN
Dakar, 15 avril (APS)- Le Forum social sénégalais (FSS) a plaidé samedi à Dakar pour un retour à la ‘’gestion publique, communautaire et participative’’ de la question de l’eau pour une meilleure implication des populations dans le pilotage de cette denrée vitale.
‘’La gestion de l’eau doit être publique, communautaire et participative (…) parce que toute gestion qui s’appuie sur une délégation pourrait évoluer vers la privatisation », a dit Mamadou Mignane Diouf, coordonnateur du FSS, une organisation de la société civile affiliée au Forum social mondial.
‘’Les populations doivent être responsabilisées dans la gestion de l’eau qui n’est pas une marchandise comme les autres, où l’on peut faire des profits’’, a poursuivi M. Diouf.
Le Forum social sénégalais rencontrait des journalistes pour donner son »analyse des trois ans de gestion de l’eau au Sénégal, sous le contrat d’affermage de Suez pour une durée de 15 ans ».
Dans cette perspective, a-t-il insisté, ‘’nous réaffirmons notre option de retourner à une gestion publique, communautaire et participative de l’eau ».
Pour Mamadou Mignane Diouf, cette option communautaire devrait impliquer les collectivités territoriales. ‘’Elle aurait l’avantage de mieux responsabiliser les populations dans la gestion de l’eau, une source de vie, et non des profits à réaliser », a-t-il fait observer.
M.Diouf a préconisé une gestion publique et communautaire (…) adossée à un »programme d’éducation à la préservation et à la gestion participative de l’eau’’.
Il a justifié la pertinence dudit programme à une période où l’on parle ‘’du risque d’en arriver à la guerre de l’eau dans un contexte de changements climatiques ».
Abordant la gestion concrète de l’eau au Sénégal par le groupe français SUEZ, le coordonnateur du Forum social sénégalais a estimé que les trois ans de gestion de SUEZ au Sénégal, »ne (leur) donne pas encore satisfaction, même s’il y a des efforts qui ont été faits ».
Mamadou Mignane Diouf a plaidé pour la présence des travailleurs au Conseil d’administration et la cession de 11% des actions au personnel travailleur de la Sen-Eau.
Evoquant une perte de 17 milliards de FCFA cumulée par l’entreprise durant les trois années de fonctionnement, M. Diouf a demandé à ce que cette »baisse de performance, vraie et simulée, ne soit un prétexte pour augmenter le prix de l’eau au Sénégal ».
Contacté par l’APS, le service presse et communication de la Sen-Eau a préféré ne pas donner suite aux différentes allégations du Forum social sénégalais.
SMD/MTN
Dakar, 16 avr (APS) – La vente du carburant en vrac est interdite sur toute l’étendue du territoire de la région de Dakar jusqu’à mardi à 12 heures pour des raisons de sécurité, a appris l’APS du gouverneur de Dakar.
Cette interdiction concerne notamment la vente de carburant dans des récipients autres que les réservoirs des véhicules ou des cyclomoteurs, a précisé le gouverneur de Dakar dans un arrêté reçu à l’APS.
L’autorité a souligné que ‘’par dérogation (…) la vente du carburant dans des récipients spécialement prévus à cet effet, aux personnes dont les activités professionnelles le justifient, peut être accordée par les préfets de département’’.
Le gouverneur de Dakar a mis en garde contre ‘’tout contrevenant aux dispositions du présent arrêté, sera passible des sanctions et peines prévues par les lois et règlements en vigueur’’.
‘’Les Préfets des départements de Dakar Guédiawaye Keur Massar, Pikine et Rufisque, le Commissaire Central de Dakar, le chef du Service régional de la Sécurité publique, le Commandant de la Légion de Gendarmerie de Dakar, sont chargés (…) l’exécution de la mesure’’, a renseigné le texte.
MTN