Année : 2024

  • SÉNÉGAL-ECONOMIE-SOCIAL / Saint-Louis : l’ADM veut accompagner la Fédération des femmes de Diougop

    SÉNÉGAL-ECONOMIE-SOCIAL / Saint-Louis : l’ADM veut accompagner la Fédération des femmes de Diougop

    Saint-Louis, 15 fév (APS) – L’Agence de développement municipal (ADM) souhaite travailler et accompagner la Fédération des femmes de Diougop, dans la région de Saint-Louis (nord), par le biais d’un plan d’action bien défini, centré sur leurs problèmes prioritaires, a indiqué Marie Diokh Diallo, son experte en intermédiation sociale et genre.

    « On est là vraiment pour essayer de voir comment travailler et les accompagner, parce qu’elles avaient des projets de développement et des activités de génératrices de revenu. On est là pour voir ensemble les problèmes, et puis chercher un plan d’action pour les résoudre ensemble », a-t-elle déclaré.

    Mme Diallo s’entretenait jeudi avec des journalistes, en marge de l’ouverture d’un atelier de planification organisé par la mission de facilitation sociale du Projet de relèvement d’urgence et de résilience à Saint-Louis (SERRP), à l’intention de la Fédération des femmes de Diougop, qui a intégré les GIE des déplacés de la Langue de Barbarie.

    « On va rassembler la quintessence de leurs problèmes prioritaires. On les invite aussi à participer au projet socio-économique qu’on a déjà mis en place, et il y a aussi d’autres projets à venir », a-t-elle dit.

    Le Projet de relèvement d’urgence et de résilience à Saint-Louis vise à « construire des logements pour les déplacés, mais il a aussi une connotation sociale et économique ».

    La présidente de la Fédération des femmes de Diougop, Marie Gassama, est revenue sur les activités retenues par la structure qu’elle dirige, évoquant la transformation céréalière et la transformation fruits et légumes.

    La Fédération des femmes de Diougop, un village de la commune de Gandon, compte 207 membres et regroupe dix Groupements d’intérêt économique (GIE), selon sa présidente.

    CGD/AMD/BK

  • SENEGAL-POLITIQUE / La loi portant report de l’élection présidentielle en décembre est contraire à la Constitution, selon le Conseil constitutionnel

    SENEGAL-POLITIQUE / La loi portant report de l’élection présidentielle en décembre est contraire à la Constitution, selon le Conseil constitutionnel

    Dakar, 15 fév (APS) – Le Conseil constitutionnel a jugé contraire à la Constitution la loi reportant au 15 décembre prochain l’élection présidentielle sénégalaise.

    Il a annulé en même temps le décret avec lequel Macky Sall a renoncé à la convocation des électeurs aux urnes pour l’élection d’un nouveau président de la République, le  25 février.

    « La loi portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la Constitution, adoptée […] par l’Assemblée nationale en sa séance du 5 février 2024, est contraire à la Constitution », écrivent les membres de cette haute juridiction dans une décision rendue ce jeudi.

    « Le décret […] du 3 février 2024 portant abrogation du décret convoquant le corps électoral pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 est annulé », ajoutent-ils.

    Les membres du Conseil constitutionnel avaient reçu trois requêtes visant à maintenir l’élection présidentielle à la date initialement prévue.

    L’une des requêtes a été déposée par 40 députés, dont Mouhamed Ayib Salim Daffé et Samba Dang.

    Une autre requête émanait de 17 autres députés, dont Babacar Mbaye.

    Une troisième requête a été déposée au Conseil constitutionnel par El Hadji Malick Gakou, Cheikh Tidiane Dièye, Habib Sy, Bassirou Diomaye Faye, El Hadji Mamadou Diao, Thierno Alassane Sall et Daouda Ndiaye, tous des candidats à l’élection présidentielle.

    Les dossiers de candidature de ces sept personnalités ont été jugés recevables par le Conseil constitutionnel, comme ceux de 13 autres candidats, avant l’annulation, par Macky Sall, du décret avec lequel il a convoqué les électeurs aux urnes le 25 février prochain.

    Le Sénégal fait face à une crise politique depuis que Macky Sall a annoncé avoir annulé le décret appelant les Sénégalais à élire son successeur.

    En prenant cette décision, le 3 février, il a invoqué des soupçons de corruption concernant des magistrats parmi ceux qui ont procédé à l’examen des 93 dossiers de candidature et jugé recevables 20 d’entre eux.

    S’adressant à la nation, le chef de l’État a appelé à « un dialogue national ouvert, afin de réunir les conditions d’une élection libre, transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé ».

    L’Assemblée nationale a voté, deux jours plus tard, une proposition parlementaire reportant le scrutin présidentiel au 15 décembre prochain.

    Lors du vote, des députés protestant contre cette proposition et le report du scrutin ont été expulsés de l’hémicycle par la Gendarmerie nationale.

    Au moins trois personnes ont perdu la vie à Dakar et Ziguinchor en marge de heurts entre les forces de l’ordre et des manifestants opposés au report de l’élection présidentielle.

    Jeudi, un grand nombre d’activistes et de militants en détention depuis des mois pour plusieurs chefs d’accusation ont bénéficié d’une liberté provisoire.

    ESF/BK/AKS

  • SENEGAL-POLITIQUE-CONCERTATION / L’opposant Mamadou Lamine Diallo dit avoir échangé avec Macky Sall sur la situation du pays

    SENEGAL-POLITIQUE-CONCERTATION / L’opposant Mamadou Lamine Diallo dit avoir échangé avec Macky Sall sur la situation du pays

    Dakar, 15 fév (APS) – Le député de l’opposition Mamadou Lamine Diallo, candidat à l’élection présidentielle, a déclaré avoir échangé jeudi avec le chef de l’Etat, Macky Sall, sur la situation politique que traverse le pays.

    Dans un message publié sur le réseau social X, le président du Mouvement Tekki a notamment assuré avoir été invité en audience cet après-midi au palais de la République.

    « Nous avons échangé sur la situation politique que vit notre pays et la géopolitique », a indiqué M. Diallo.

    Le Sénégal fait face à une crise politique depuis que Macky Sall a annoncé, le 3 février dernier, avoir annulé le décret convoquant les Sénégalais aux urnes le 25 février prochain pour l’élection d’un nouveau président de la République.

    En prenant cette décision, il a invoqué des soupçons de corruption concernant des magistrats parmi ceux qui ont procédé à l’examen des 93 dossiers de candidature et jugé recevables 20 d’entre eux.

    S’adressant à la nation, le chef de l’État a appelé à « un dialogue national ouvert, afin de réunir les conditions d’une élection libre, transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé et réconcilié ».

    L’Assemblée nationale a voté, deux jours plus tard, une proposition parlementaire reportant l’élection présidentielle au 15 décembre prochain.

    Lors du vote, des députés protestant contre cette proposition et le report du scrutin ont été expulsés de l’hémicycle par la Gendarmerie nationale.

    Des candidats au scrutin présidentiel et des députés ont saisi le Conseil constitutionnel en vue de l’annulation de la décision du président de la République et l’organisation du vote à la date initialement prévue.

     AKS/BK

  • VIDEO / Microfinance : ”le FIMF compte définir une nouvelle stratégie d’accompagnement plus adaptée“ (DG)

    VIDEO / Microfinance : ”le FIMF compte définir une nouvelle stratégie d’accompagnement plus adaptée“ (DG)

    Le fond d’impulsion de la Microfinance (FIMF), au ministère de la microfinance veut définir une nouvelle stratégie d’accompagnement plus adaptée, des institutions de microfinance pour atteindre pleinement ses missions, a relevé jeudi, à Mbodiène (Mbour Ouest), son directeur général Ndiamé Ndiaye. ”Le FIMF envisage de définir une nouvelle stratégie d’accompagnement plus adaptée qui permettra d’atteindre pleinement ses missions en tant qu’instrument d’appui”, a-t-il dit lors d’un atelier visant d’approfondir la réflexion sur cette nouvelle stratégie et de fixer les modalités de sa mise en œuvre. ”Il était temps de changer de paradigme afin d’avoir un meilleur impact auprès des populations dites vulnérables en zone rurale et périurbaine“, a-t-il ajouté.

  • SENEGAL-MONDE-FOOTBALL / Coupe du monde Beach Soccer : le Sénégal en lice, vendredi, contre la Biélorussie, à 15h30 mn

    SENEGAL-MONDE-FOOTBALL / Coupe du monde Beach Soccer : le Sénégal en lice, vendredi, contre la Biélorussie, à 15h30 mn

    Dakar, 15 fév (APS) – L’équipe nationale du Sénégal de beach soccer va affronter la Biélorussie son premier match comptant pour la Coupe du monde de la discipline, vendredi, à 15h30 GMT, à Dubaï, aux Émirats arabes unis, où se déroule cette compétition (15-25 février).

    Le Sénégal, logé dans la poule C, va jouer son deuxième match contre la Colombie, dimanche, à 15h 30 mn GMT.

    Le Japon sera le dernier adversaire des Lions du beach soccer lors la phase de poules. Cette rencontre est prévue mardi, à la même heure.

    Le coup d’envoi de la Coupe du monde de beach soccer a été donné, jeudi, avec quatre rencontres au programme de cette première journée.

    Les Etats-Unis sont ainsi venus à bout de l’Italie, 1-3, Tahiti a battu l’Argentine, 4-3, et les Emirats arabes unis se sont imposés aux dépens de l’Egypte, 2-1.

    Le dernier match, prévu pour démarrer à 17h GMT, oppose l’Espagne à l’Iran.

    L’Égypte, l’un des deux représentants de l’Afrique avec le Sénégal, a été placé dans le groupe A, qu’il partage avec le pays hôte, les Emirats arabes unis, les États-Unis et l’Italie.

    Les Lions du beach soccer sont à Dubaï depuis le 5 février. Ils ont joué un match amical perdu contre l’Italie (2-3) avant de s’imposer aux dépens des Seychelles (4-1).

    Les septuples champions d’Afrique sénégalais avaient terminé au pied du podium lors de la dernière édition organisée en 2021, en Russie, et remportée par le Portugal.

    Les hommes de Mamadou Diallo vont participer à leur septième édition de Coupe du monde, depuis leur première participation à cette compétition en 2007. Ils s’étaient arrêtés en quarts de finale.

    En 2011, à Ravenne en Italie, ils n’ont pas pu dépasser ce stade de la compétition, de même qu’en 2017, à Nassau, aux Bahamas.

    En 2008, à Marseille (France), et en 2015, à Espinho, au Portugal, le Sénégal a quitté la compétition à l’issue des phases de poules.

    L’équipe du Sénégal a été finaliste du tournoi de beach soccer des Jeux africains de la plage, le 30 juin 2023. Elle avait perdu contre le Maroc, par 4 tirs au but à 3. A la fin du temps règlementaire, le score était de 3 buts partout.

    La Coupe du monde de beach soccer est une compétition internationale organisée tous les deux ans par la FIFA et la Beach Soccer Worldwide (BSWW) depuis 2005. Un championnat du monde existait de 1995 à 2004.

    Le Brésil est la nation la plus titrée dans cette discipline avec 14 trophées.  Il est aussi la seule équipe à avoir disputé toutes les 22 éditions depuis 1995.

    Le Portugal et la Russie suivent de loin au palmarès, avec trois titres chacun. La France compte un trophée.

    SK/BK

  • SENEGAL-POLITIQUE-JUSTICE / Liberté provisoire pour de nombreux activistes et acteurs politiques (avocat)

    SENEGAL-POLITIQUE-JUSTICE / Liberté provisoire pour de nombreux activistes et acteurs politiques (avocat)

    Dakar, 15 fév (APS) – Un nombre important d’activistes détenus depuis plusieurs mois pour divers chefs d’accusation en lien avec des activités politiques ont bénéficié, jeudi, d’une liberté provisoire, a confirmé à l’APS un de leurs avocats.

    Ils ont été remis en liberté sur initiative du procureur qui avait requis leur placement sous mandat de dépôt, a expliqué Me Moussa Sarr lors d’un entretien téléphonique avec l’APS.

    Me Sarr représente vingt-cinq des détenus ayant bénéficié de cette mesure, dont des membres du parti dissous Pastef et des activistes bien connus dans l’espace public.

    Le chef de l’État, Macky Sall, s’était engagé récemment à mettre en œuvre « un processus pragmatique d’apaisement et de réconciliation pour préserver la paix et consolider la stabilité de la nation ».

    Il a fait cette annonce au lendemain de troubles engendrés par le report annoncé de l’élection présidentielle initialement prévue le 25 février.

    Macky Sall a annoncé, le 3 février dernier, avoir annulé le décret convoquant les Sénégalais aux urnes le 25 février prochain pour l’élection d’un nouveau président de la République.

    En prenant cette décision, il a invoqué des soupçons de corruption concernant des magistrats parmi ceux qui ont procédé à l’examen des 93 dossiers de candidature et jugé recevables 20 d’entre eux.

    S’adressant à la nation, le chef de l’État a appelé à « un dialogue national ouvert, afin de réunir les conditions d’une élection libre, transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé et réconcilié ».

    L’Assemblée nationale a voté, deux jours plus tard, une proposition parlementaire reportant l’élection présidentielle au 15 décembre prochain.

    Lors du vote, des députés protestant contre cette proposition et le report du scrutin ont été expulsés de l’hémicycle par la Gendarmerie nationale.

    AKS/BK

  • SENEGAL-ECONOMIE-GENRE / Développement inclusif : Doudou Ka mise sur une meilleure compréhension des inégalités

    SENEGAL-ECONOMIE-GENRE / Développement inclusif : Doudou Ka mise sur une meilleure compréhension des inégalités

    Dakar, 15 fév (APS) – Le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Doudou Ka, a souligné, jeudi, à Dakar, la nécessité d’une meilleure compréhension des inégalités en œuvre dans le système économique, en vue d’arriver à un développement durable et inclusif.

    Dans ce cadre, le département dirigé par M. Ka a organisé, le même jour, un atelier de sensibilisation sur « le concept genre et économie », de concert avec l’Agence belge de développement Enabel, avec l’ambition de contribuer à réduire les inégalités de sexe et à la lutte contre les discriminations à l’endroit des femmes et des filles.

    « L’objectif général de l’atelier est de renforcer les capacités des points focaux genre du ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération sur les concepts fondamentaux qui interviennent dans l’analyse de la prise en compte du genre », a expliqué le ministre de l’Economie.

    « L’analyse du couple de concepts genre et économie nous amène à nous interroger sur l’impact des inégalités de genre sur une économie inclusive », a-t-il indiqué, avant d’ajouter que « comprendre et traiter ces inégalités dans notre système économique est indispensable pour promouvoir un développement durable et inclusif ».

    Dans cette perspective, la sensibilisation du top management du ministère de l’Economie aux problématiques de genre « revêt alors une importance cruciale », en ce qu’elle « permet d’intégrer la perspective de genre dans nos politiques et pratiques », selon Doudou Ka.

    Selon lui, la sensibilisation des hauts responsables à l’importance de l’égalité de genre « favorise la création d’un environnement de travail inclusif », ce qui, dans le même temps, conduit à « élaborer des politiques équitables qui répondent aux besoins de tous les membres de la société ».

    Pour la représentante résidente de l’Agence de développement du gouvernement fédéral belge, Enabel, cet atelier est réservé au top management en raison du « rôle majeur » joué par cette catégorie « dans l’effort d’institutionnalisation du genre et l’application pratique des techniques d’intégration du genre à l’échelle des politiques publiques et des processus de planification ».

    « Cette chaîne allant de la planification au suivi-évaluation constitue les champs d’action pour la mise en perspective de l’égalité entre les hommes et les femmes », a déclaré Régine Debrabandère.

    Selon Régine Debrabandère, cela permet « la prise en compte des inégalités existantes et l’identification de mesures correctives appropriées à l’image des programmes d’autonomisation des femmes et des jeunes […] ».

    CS/BK

  • SENEGAL-ECONOMIE-COOPERATION / Le système des Nations unies va mobiliser « 488 milliards FCFA » en faveur du Sénégal entre 2024 et 2028

    SENEGAL-ECONOMIE-COOPERATION / Le système des Nations unies va mobiliser « 488 milliards FCFA » en faveur du Sénégal entre 2024 et 2028

    Dakar, 15 fév (APS) – Le système des Nations unies va mobiliser « près de 488 milliards de francs CFA » pour le financement du plan de développement du Sénégal sur la période 2024-2028, a annoncé sa coordinatrice résidente, jeudi, à Dakar.

    « Près de 488 milliards de FCFA seront mobilisés pour le financement du plan de développement du Sénégal sur la période 2024-2028 », a déclaré Aminata Maïga, lors de la signature du plan-cadre des Nations unies pour l’assistance au développement (PNUAD) au profit du Sénégal (2024-2028).

    Mme Maïga a fait part de la détermination du système des Nations unies de travailler « à renforcer la coopération avec le gouvernement et le peuple du Sénégal, les partenaires au développement, la société civile dans un esprit de partenariat basé sur [l’engagement] commun de ne laisser personne de côté ».

    Elle précise que les Nations unies « s’engagent à travailler avec le gouvernement autour des trois priorités majeures », dont la transformation structurelle de l’économie sénégalaise en vue d’assurer la durabilité et l’inclusivité de la croissance économique.

    Le coordonnatrice résidente du système des Nations unies a aussi cité « le développement du capital humain, le renforcement de la protection sociale », en vue « d’assurer le développement durable ».

    Elle a de même évoqué « la consolidation de la bonne gouvernance et le renforcement de l’efficacité des institutions et la cohésion sociale ».

    La réforme des Nations unies, note Aminata Maïga, « a recommandé que la présence des Nations unies dans un pays soit alignée sur les défis et les priorités de développement ».

    « Ces priorités intègrent les défis de développement émergent tels que la cohésion sociale, les chocs climatiques et économiques qui pourraient contrarier l’accélération des progrès vers l’atteinte des ODD […] », a indiqué Aminata Maïga.

    A l’en croire, la coopération avec les nations unies devrait « apporter des solutions innovantes à la mise en œuvre des réformes institutionnelles structurelles et sectorielles visant l’accélération de la transformation structurelle de l’économie ».

    Cette coopération est également de nature à soutenir « les efforts du gouvernement dans la mise en place des systèmes résilients pour assurer l’accès équitable et inclusif aux services sociaux de base et à la protection sociale, et la consolidation de la démocratie ainsi que la cohésion sociale ».

    Selon Mme Maïga, sur cette base, « près d’une vingtaine d’’agences [ont été choisies] pour travailler au Sénégal avec une forte présence de bureaux régionaux, faisant du Sénégal un hub régional des Nations unies en Afrique ».

    Pour Doudou Ka, le ministre sénégalais en charge de l’Économie, du Plan et de la Coopération, ce plan-cadre d’assistance au développement du système des Nations unies « représente pour le Sénégal un cadre de planification stratégique et de programmation des ressources allouées pour la période considérée », à savoir 2024-2028.

    Il « consacre la contribution attendue du système des Nations unies à la mise en œuvre de notre référentiel actualisé en matière de politique économique et sociale, à savoir le PAP 3 du Plan Sénégal émergent (PSE) », a-t-il conclu.

    CS/BK