Année : 2024

  • SENEGAL-ELEVAGE / Dagana : une campagne de vaccination du cheptel lancée à Richard-Toll  

    SENEGAL-ELEVAGE / Dagana : une campagne de vaccination du cheptel lancée à Richard-Toll  

    Richard-Toll, 11 jan (APS) – Une campagne de vaccination du cheptel contre cinq maladies prioritaires a démarré à Richard-Toll, une commune du département de Dagana a-t-on appris jeudi de Mamadou Goudiaby, Inspecteur de l’élevage au service départemental.

    Elle entre dans la cadre des activités de la campagne nationale de vaccination du cheptel.

    « Chaque année, le ministère de l’Elevage et des Productions animales vise à travers cette vaccination du cheptel cinq maladies prioritaires. Il s’agit de la peste des petits ruminants, la péripneumonie contagieuse bovine, la dermatose nodulaire contagieuse bovine, la peste équine et la maladie de Newcastle », a dit à  l’APS M. Goudiaby lors d’un entretien.

    Il a rappelé que l’objectif visé en particulier par le gouvernement du Sénégal à travers cette campagne de vaccination est d’éradiquer toute maladie de la peste des petits ruminants d’ici 2030.

     »Tous les pays situés entre le désert du Sahara et l’Équateur sont dans la zone endémique », a déclaré Hawa Sy, agent technique au service départemental d’élevage.  »Donc, a-t-elle ajouté, une interaction du cheptel des pays de la sous-région peut être également la cause de ces maladies endémiques ».

    Elle a soutenu que depuis plus de quinze ans, ces pays de la sous région y compris le Sénégal travaillent à l’éradication de ces endémies.  »L’État du Sénégal, dit-elle, a subventionné son programme national de vaccination du cheptel pour combattre la peste des petits ruminants d’ici 2030 ».

    Hawa Sy a invité les populations à vacciner davantage leurs troupeaux afin d’éliminer la peste bien avant l’objectif fixé par l’Etat du Sénégal.

    Cette campagne de vaccination du cheptel à Richard-Toll fait suite à l’étape de Dagana, dans la région de Saint-Louis.

    OG/AMD/AB/OID

  • SENEGAL-CULTURE-PAIX / Fesnac : des écrivains soulignent l’importance de la paix

    SENEGAL-CULTURE-PAIX / Fesnac : des écrivains soulignent l’importance de la paix

    Fatick, 12 jan (APS) – Une dizaine d’écrivains et de slameurs réunis à Fatick, dans le cadre d’un panel, ont insisté sur l’importance de la paix et de la sécurité lors d’une discussion autour de l’anthologie poétique « l’Appel de Rabat pour un Sénégal de paix et de prospérité ».

    ‘’L’Appel de Rabat pour la paix au Sahel, partout en Afrique et dans le monde’’ est le fruit du colloque international organisé en juillet 2023 par l’Académie du Royaume du Maroc sur le thème ‘’considérations sur l’esthétique africaine : de l’écriture à la scène et de l’image au design’’.

    « La paix ne va pas sans la sécurité. Notre combat pour la paix passe par la cohésion nationale », a indiqué El hadji saloum Diakité, écrivain et ancien diplomate.

    Selon lui, le peuple sénégalais doit porter les valeurs de paix auxquelles convient les autorités et les confréries.

    « Le Sénégal est un pays d’intellectuels et nous avons tous le même élan d’espoir et d’espérance », a-t-il souligné lors d’un panel du Salon du livre qui se tient à Fatick en marge du Festival national des arts et cultures (FESNAC).

    De son côté, Alioune Badara Ndiaye, professeur de Philosophie au lycée de Karang a dit s’être inspiré de sa grand-mère pour expliquer à ses élèves l’importance de la paix durant les périodes de troubles qu’a connues le pays.

     »Durant ces crises qu’a connues le Sénégal, je me suis inspiré de ma grand-mère qui, pour nous retenir à la maison, étant enfant, nous raconter des histoires. Je l’ai appliqué à mes élèves en leur lisant des œuvres sur la paix et la stabilité », a-t-il expliqué.

    André Marie Diagne, formatrice à la Fastef, le colonel Momar Guèye et d’autres écrivains, bouquinistes exposants au Salon national du livre on pris part à la rencontre.

    Le Directeur du livre et de la lecture, Ibrahima Lo, a pour sa part mis l’accent sur l’équité territoriale pour garantir la paix et la stabilité.

    « Tout ce que nous voulons faire n’a de sens que si tenons compte de l’équité territoriale. Ce pays est bourré de talents. Il a du potentiel humain qu’on retrouve partout. Nous ne pouvons pas tout faire mais essayons de faire le maximum », a-t-il soutenu.

    SDI/FKS/OID

  • SENEGAL-MAURITANIE-COOPERATION / Sall et Ghazouani en tête-à-tête au salon d’honneur de l’aéroport de Nouakchott

    SENEGAL-MAURITANIE-COOPERATION / Sall et Ghazouani en tête-à-tête au salon d’honneur de l’aéroport de Nouakchott

    Dakar, 11 jan (APS) – Le président sénégalais, Macky Sall, s’est entretenu, jeudi, en début d’après-midi avec son homologue mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, peu de temps après son arrivée dans ce pays frontalier du Sénégal, a-t-on appris de source médiatique.

    Cet entretien en tête-à-tête, au salon d’honneur de l’Aéroport international de Nouakchott Oumtouny entre dans le cadre de la visite d’amitié de travail de deux jours du chef de l’Etat sénégalais en Mauritanie, a notamment indiqué le site de l’Agence mauritanienne d’information (AMI).

    AKS/OID

  • SENEGAL-ECONOMIE / Accès aux services financiers : des ‘’solutions inclusives’’ préconisées pour combler les ‘’disparités’’ entre les villes et le monde rural

    SENEGAL-ECONOMIE / Accès aux services financiers : des ‘’solutions inclusives’’ préconisées pour combler les ‘’disparités’’ entre les villes et le monde rural

    Dakar, 11 jan (APS) – Il faudra des ‘’solutions inclusives’’ pour combler les ‘’disparités’’ entre les villes et le monde rural en matière d’accès aux services financiers, estime la ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Victorine Anquediche Ndèye.

    Pour combler ‘’les disparités entre les milieux ruraux et urbains’’, il faut ‘’des solutions adaptées et inclusives’’, a dit Mme Ndèye lors de la 28e réunion thématique du Comité national de coordination des activités de microfinance, jeudi, à Dakar.

    ‘’C’est notre devoir d’admettre que des contraintes subsistent’’, a-t-elle souligné, ajoutant : ‘’C’est pourquoi nous devons envisager des actions plus structurées pour faire face à l’accès aux services financiers décentralisés et améliorer les conditions d’autonomisation des plus vulnérables.’’

    Victorine Anquediche Ndèye a proposé au Comité national de coordination des activités de microfinance et aux pouvoirs publics de recourir à la digitalisation et à l’éducation financière pour faire en sorte que davantage de Sénégalais puissent accéder aux services financiers.

    Des ‘’politiques fortes’’

    Les données relatives au taux d’accès aux services financiers dans les zones rurales et périurbaines, malgré des améliorations ‘’notables’’, rappellent ‘’l’ampleur de la tâche’’, les efforts à faire, selon Mme Ndèye.

    L’État du Sénégal a fait des progrès en créant des structures chargées de faciliter l’accès des populations aux services financiers, a-t-elle dit en donnant l’exemple du Programme de développement de la microfinance islamique au Sénégal.

    ‘’La majorité des Sénégalais ne possède pas de compte d’épargne et ne contracte pas de crédit auprès des institutions financières’’, a signalé Ange Constantin Mancabou, le coordonnateur de la direction générale du secteur financier et de la compétitivité au ministère des Finances et du Budget.

    La BCEAO a adopté des ‘’politiques fortes’’ et a élaboré une stratégie régionale d’inclusion financière pour permettre à 75 % de la population des huit membres de l’UEMOA d’accéder aux services financiers de base, a rappelé Mouhamadou Al Aminou Lô, le directeur national de la BCEAO pour le Sénégal.

    ‘’Il faut reconnaître que le secteur est en train de piétiner’’

    Plusieurs études démontrent que l’accès aux services financiers réduit ‘’significativement’’ la pauvreté, a souligné M. Lô.

    ‘’Il faut reconnaître que le secteur est en train de piétiner. Il faut savoir ce que les services publics peuvent faire pour permettre au secteur de la microfinance de retrouver son souffle’’, a recommandé M. Lô aux membres du Comité national de coordination des activités de microfinance.

    Amadou Jean Jacques Diop, le président de l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés, pense qu’‘’un changement de paradigme s’impose [aux] acteurs de la microfinance pour arriver à des stratégies concertées et centrées sur le client’’.

    ‘’Les solutions à envisager ne profiteront certainement pas à l’individu seulement, mais aux ménages et à la société toute entière’’, a ajouté M. Diop.

    MFD/ESF/AKS

  • SENEGAL-FINANCE / La BNDE lance les activités d’Al Rahma, sa filiale dédiée à la microfinance islamique

    SENEGAL-FINANCE / La BNDE lance les activités d’Al Rahma, sa filiale dédiée à la microfinance islamique

    Dakar, 11 jan (APS) – La Banque nationale de développement économique (BNDE) du Sénégal a procédé au lancement officiel des activités de sa filiale Al Rahma, dédiée à la microfinance islamique, a constaté l’APS, jeudi, à Dakar.

    Le nouvel établissement bancaire est chargé de s’occuper des besoins de financement n’étant pas pris en compte par la finance classique, selon Abdoulaye Niane, le directeur général de la BNDE.

    ‘’Le lancement d’Al Rahma (mot arabe signifiant miséricorde) s’inscrit dans […] la diversification [des] services’’ de la Banque nationale de développement économique, a expliqué M. Niane en procédant au lancement officiel des activités de la filiale dont il dirige le conseil d’administration.

    La cérémonie de lancement des activités du nouvel établissement bancaire s’est déroulée sous la présidence de la ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Victorine Anquediche Ndèye, en présence du directeur national de la BCEAO pour le Sénégal, Mouhamadou Al Aminou Lô.

    Des employés des systèmes financiers décentralisés, des universitaires et des chefs religieux ont pris part à la cérémonie.

    En procédant au lancement d’une filiale dédiée à la microfinance islamique, ‘’la BNDE consolide son ambition de jouer le rôle véritable d’une banque de développement’’, a souligné Abdoulaye Niane.

    Il a assuré qu’Al Rahma va répondre ‘’aux besoins financiers d’une certaine clientèle qui se méfiait de la finance classique pour des raisons de non-conformité [de ladite finance] avec ses valeurs et ses croyances’’.

    La finance islamique associe les non-musulmans 

    Le directeur général d’Al Rahma, Mouhamadou Lamine Fall, a tenu à préciser que ‘’la finance islamique est ouverte [à] toutes les obédiences’’, même si elle est encadrée par la charia, la loi musulmane.

    Cette finance est de plus en plus pratiquée dans des pays où l’islam n’est pas la religion dominante, la Grande-Bretagne, par exemple, selon M. Fall.

    Al Rahma va se charger de ‘’la vulgarisation des systèmes financiers décentralisés’’ et faire en sorte que ‘’la gamme de produits qu’offre la finance islamique soit accessible à tous les agents économiques’’, a-t-il assuré.

    Selon Victorine Anquediche Ndèye, le gouvernement accorde beaucoup d’importance à la finance islamique.

    C’est la raison pour laquelle le Programme de développement de la microfinance islamique au Sénégal est mis en œuvre, a-t-elle dit.

    La finance classique ne convient pas à tous les clients en raison des ‘’croyances religieuses’’ de certains d’entre eux, a rappelé la ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire.

    Elle a invité la BNDE et Al Rahma à faire preuve d’‘’innovation dans la diversification des produits et services’’.

    Victorine Anquediche Ndèye leur a demandé aussi de veiller à ce que les financements du nouvel établissement bancaire soient accessibles dans le monde rural.

    SMD/ESF/OID

  • SENEGAL-MONDE-MEDIAS / Les journalistes francophones invités à jouer leur partition dans la quête d’un monde juste et équitable

    SENEGAL-MONDE-MEDIAS / Les journalistes francophones invités à jouer leur partition dans la quête d’un monde juste et équitable

    Dakar, 11 jan (APS) – Le Premier ministre sénégalais, Amadou Ba, a invité, jeudi à Dakar, les journalistes évoluant dans l’espace francophone à user de leurs responsabilités dans l’édification d’une humanité en perpétuelle quête de justice et d’équité.

     »Vous autres journalistes de l’espace francophone, vous êtes interpelés quant à vos responsabilités dans l’édification d’une humanité en perpétuelle quête de justice et d’équité gage d’un monde de paix’’, a-t-il notamment déclaré.

    Amadou Bâ présidait la clôture des 50ème assises de l’Union internationale de la presse francophone (UPF) abritées depuis mardi par le Sénégal sur le thème   »Médias, paix et sécurité’’.

    ‘’Vous les journalistes qui êtes des nôtres, vous avez été questionnés pendant ces assises sur votre place et votre rôle dans un contexte, ayant dégénéré, coûté des vies, détruit des biens, semé la faim et la désolation’’, a-t-il encore dit.

    M. Ba a souligné la nécessité pour les journalistes de faire face à ces corolaires ‘’inévitables en période de trouble, de désinformation, de manipulation, et toutes les tentatives déloyales de contrôler la diffusion des informations’’.

    Il est heureux de constater à quel point les journalistes sont conscients que leur apport, peut être vital lorsqu’ils cherchent une réponse aux enjeux de la sécurité alimentaire, s’est réjoui le Premier ministre du Sénégal.

    A l’en croire, les journalistes font généralement preuve d’un sens aigu de leurs de responsabilités de citoyens du monde et de l’espace francophone.

    Il a insisté sur le fait que les travaux des 50e assises de l’UPF venaient en complément des grandes inquiétudes qui traversent le monde.

    ‘’Vous êtes porteurs d’une préoccupation majeure, qui vous engage, femmes et hommes et également les forces de sécurité qui, au Sénégal, sont les vigies de notre paix, gardiens de nos principes et valeurs républicaines ainsi que de nos libertés démocratiques’’, a-t-il fait valoir.

    Il a rappelé que ces 50ème assises confirment le Sénégal comme un chantre mondial de la paix et Dakar comme l’une des capitales africaines de la recherche pour la sécurité et la stabilité du continent.

    ‘’Nos batailles contre les barbaries de toutes sortes qui mettent en péril un monde pacifié et porteur de progrès, pétrie des valeurs démocratiques, quels que soient nos efforts tant au plan logistique qu’humain, ne sauraient triompher sans l’apport décisifs des médias’’, a-t-il affirmé.

    AMN/AKS/OID

  • SENEGAL-COMMERCE / Exploitation du marché d’intérêt national : pouvoirs publics, commerçants et transporteurs se mettent d’accord  

    SENEGAL-COMMERCE / Exploitation du marché d’intérêt national : pouvoirs publics, commerçants et transporteurs se mettent d’accord  

    Diamniadio, 11 jan (APS) – La Société d’exploitation du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs (SEMIG) a tenu une réunion d’information sur l’obligation faite désormais aux camionneurs de décharger à Diamniadio (ouest) les fruits et légumes destinés à la région de Dakar, a constaté l’APS, jeudi.

    ‘’Les sites de stationnement et de déchargement des véhicules […] de plus de 3,5 tonnes de poids total autorisé en charge, affectés aux transports publics et privés de fruits et légumes en provenance de l’intérieur du pays ou de l’étranger, pour approvisionner les marchés de la région de Dakar, sont fixés au marché d’intérêt national et à la gare des gros porteurs de Diamniadio’’, indique un arrêté du gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall.

    ‘’Toute infraction aux dispositions du présent arrêté sera sanctionnée, conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur’’, a ajouté M. Sall dans un arrêté du 29 décembre dernier.

    Lors de sa rencontre avec les transporteurs, commerçants et horticulteurs concernés, la directrice générale de la SEMIG, Fatoumata Niang Ba, a salué une décision administrative d’‘’une grande importance’’.

    ‘’Nous avons jugé très utile de rencontrer les acteurs concernés pour partager avec cet arrêté du gouverneur’’, a dit Mme Ba aux journalistes après la réunion.

    L’État a investi 55 milliards de francs CFA pour construire et équiper le marché d’intérêt national et la gare des gros porteurs de Dimaniadio, qui s’étendent sur 33 hectares, a-t-elle dit.

    Les deux infrastructures destinées notamment au commerce et à la conservation des fruits et légumes peuvent contenir 15.000 tonnes, selon la directrice générale de la SEMIG.

    Elle assure que l’arrêté du gouverneur va réduire les embouteillages et les risques d’accident que peut entraîner la circulation des gros porteurs chargés d’approvisionner en fruits et légumes les marchés dakarois.

    ‘’Ce marché d’intérêt national et la gare des gros porteurs sont un carrefour pour les acteurs de la filière fruits et légumes’’, a souligné Mme Ba.

    Le directeur général de l’horticulture, Macoumba Diouf, s’est réjoui de la décision du gouverneur et a exhorté les commerçants, horticulteurs et transporteurs à la respecter.

    En décembre dernier, des représentants d’associations de commerçants, d’horticulteurs et de transporteurs se sont réunis pour discuter de ‘’stratégies’’ à dérouler en vue de la rentabilité du marché d’intérêt national et de la gare des gros porteurs.

    Le but de cette rencontre présidée par le gouverneur de Dakar était de faire en sorte que ces deux infrastructures commerciales soient davantage utilisées par les usagers.

    SG/ESF/OID

  • SENEGAL-JAPON-COOPERATION / Le Japon fait un don de 4.800 tonnes de riz au Sénégal

    SENEGAL-JAPON-COOPERATION / Le Japon fait un don de 4.800 tonnes de riz au Sénégal

    Diamniadio, 11 jan (APS) – Le gouvernement japonais a fait au Sénégal un don de 4.800 tonnes de riz d’une valeur de 500.000.000  de Yen soit environ 2. 500 .000. 000 francs Cfa, dans le cadre de son assistance alimentaire.

    La cérémonie de remise du don s’est tenue ce jeudi dans les locaux du ministère du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Equité territoriale, à Diamniadio, a constaté l’APS.

     »Nous venons de réceptionner ce don qui représente l’appui japonais (…). Ce programme d’aide alimentaire constitue l’un des piliers fondamentaux de la coopération entre le Sénégal et le Japon », a expliqué Ibrahima Diao, directeur général du Commissariat à la Sécurité alimentaire et à la résilience.

    Il intervenait en marge de la cérémonie organisée en présence de Thérèse Faye Diouf, ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Equité territoriale, et de Izawa Osamu, Ambassadeur du Japon au Sénégal et de plusieurs officiels des deux pays.

    M. Diao a précisé qu’une partie de ce riz est destinée à la vente pour financer des projets de développement au Sénégal et l’autre partie servira à accompagner les populations vulnérables.

    Il a en outre salué la vision et la volonté du président de la République d’accompagner la résilience des populations face aux différents aléas qu’elles traversent.

    L’Ambassade du Japon au Sénégal  »espère que ces 4.800 tonnes de riz contribueront à la sécurité alimentaire au Sénégal et que ce don raffermira la coopération entre les deux pays », indique un communiqué de presse remis à l’APS.

    La même source ajoute que  »l’assistance alimentaire du Japon permet, au-delà de la couverture des besoins vivriers, de constituer un Fonds de contrepartie, est destiné à financer d’autres projets dans d’autres secteurs du développement économique et social ».

    SG/OID