Année : 2024

  • SENEGAL-COMMERCE / Le directeur général du CICES juge le bilan de la dernière FIDAK satisfaisant

    SENEGAL-COMMERCE / Le directeur général du CICES juge le bilan de la dernière FIDAK satisfaisant

    Dakar, 4 jan (APS) – Plus de 2.000 exposants représentant 31 pays ont pris part à la 31e édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK), a-t-on appris jeudi du directeur général du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES), Salihou Keïta, qui juge le bilan de cette rencontre commerciale satisfaisant.

    Les femmes représentent 86 % des exposants de la dernière FIDAK, qui, prévue du 7 au 31 décembre 2023, a été prolongée d’une semaine.

    ‘’La FIDAK est un cadre privilégié de promotion, de contacts d’affaires et d’échanges commerciaux. Elle demeure l’un des plus grands rendez-vous africains du commerce’’, a dit M. Keïta lors d’un point de presse.

    La Côte d’Ivoire était le pays invité d’honneur de la dernière édition de la Foire internationale de Dakar.

    Les exposants occupaient 17.842 mètres carrés, contre 17.120 lors de l’édition 2022, selon le directeur général du CICES.

    ‘’Nous avons battu le record en 2023, en termes de surface d’exposition’’, a-t-il souligné, ajoutant que l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, Madagascar, le Mali, l’Égypte, le Pakistan, le Rwanda et la Syrie étaient officiellement représentés à la FIDAK 2023.

    Le CICES, l’organisateur de la Foire internationale de Dakar, a signé une convention de partenariat avec la Société algérienne des foires et des expositions, lors de cette rencontre commerciale, selon Salihou Keïta.

    Il signale que 386 exposants directs ont pris part à la dernière FIDAK, contre 320 en 2022.

    Plus de 2.000 exposants indirects y ont pris part, contre 1.362 en 2022, selon le directeur général du CICES.

    ‘’La FIDAK est un outil d’intégration économique. Chaque année, on note la présence de plusieurs entreprises privées, qui viennent de plusieurs secteurs d’activité’’, a-t-il poursuivi.

    Selon M. Keïta, plus de 500 gendarmes ont été déployés au CICES pour veiller à la sécurité des exposants et des visiteurs.

    ‘’Il faut aller vers les autres régions du Sénégal […] pour montrer les potentialités économiques de nos terroirs’’, a-t-il ajouté en parlant des perspectives de la FIDAK.

    ‘’Autonomisation de la femme pour un développement économique et social durable’’ est le thème de la 31e édition de la Foire internationale de Dakar.

    MFD/AB/ESF/MTN

  • SENEGAL-CULTURE / Tambacounda : un acteur relève la « bonne dynamique » de la région en matière d’animation culturelle

    SENEGAL-CULTURE / Tambacounda : un acteur relève la « bonne dynamique » de la région en matière d’animation culturelle

    Tambacounda, 4 jan (APS) – Le secteur de la culture se trouve dans une « bonne dynamique » dans la région de Tambacounda (est) où se déroulent chaque année « 42 événements pérennes », affirme le directeur du centre culturel régional, Gorges Denis Diatta.

    « Au niveau de la région, le nombre de manifestations culturelles enregistrées, le taux d’accompagnement et d’achèvement réalisé avec les acteurs depuis trois ans, nous permettent d’affirmer aujourd’hui que la dynamique culturelle est bonne », a indiqué le directeur du centre culturel régional.

    Gorges Denis Diatta s’entretenait avec l’APS, dans le cadre des préparatifs de la délégation de Tambacounda pour la 12e édition du Festival national des arts et de la culture (Fesnac), prévue du 8 au 12 janvier dans la région de Fatick (ouest).

    Les éléments sur lesquels se base ce constat « permettent une visibilité de la situation de façon générale de la culture dans la région, mais aussi d’affirmer que la dynamique est bonne, certes, mais que tout travail est perfectible, et considérant ce qui est en train d’être fait, nous pouvons dire que la culture est en bonne voie dans la région », a-t-il dit.

    Gorges Denis Diatta signale que rien que dans la commune de Tambacounda, en 2023, « 27 événements culturel majeurs » ont été recensés, sans compter plusieurs autres « initiatives culturelles ponctuelles », concerts, festivals ou autres, organisés par des particuliers ou des structures officielles.

    « Nous avons une région qui a accueilli des artistes de renom, qui ont de grandes qualités, qui viennent échanger, partager avec les artistes et la population de Tambacounda », a relevé le directeur du centre culturel régional, avant de revenir sur la 31e édition de la Semaine de l’amitié et de la fraternité (SAFRA), tenue du 22 au 28 décembre 2023.

    Selon Georges Diatta, « concernant la SAFRA, le bilan est assez mitigé au premier regard, car quand on parle d’événements culturels, on les mesure tant sur le plan quantitatif que sur le plan qualitatif ».

    Sur le plan qualitatif, a-t-il poursuivi, « l’idée qui a prévalu pour la SAFRA est une idée d’intégration sous-régionale des peuples à travers la culture et le sport, si ça s’est pérennisée jusqu’à la 31e édition dans la complémentarité culturelle, il faut s’en féliciter et nous considérons que c’est une continuité culturelle et un gain inestimable ».

    « Enfin, au-delà de l’aspect qualitatif, il y a le quantitatif, depuis 31 éditions que la SAFRA est organisée, nous considérons que quand elle se tient quelque part, la SAFRA doit susciter la grande ferveur, créer des retombées sur le plan économique, sur le plan culturel », a soutenu M. Diatta.

    « Dans la forme d’organisation de la SAFRA, il est difficile de quantifier les retombées d’une telle manifestation », a souligné le directeur du centre régional culturel de Tambacounda, avant d’ajouter que les évaluations de la dernière édition ne sont « pas encore effectives ».

    BT/BK/MTN

  • SENEGAL-LITTERATURE / Fatick : des animations littéraires et des séances de conte au menu du Salon du livre

    SENEGAL-LITTERATURE / Fatick : des animations littéraires et des séances de conte au menu du Salon du livre

    Fatick, 4 jan (APS) – Des déclamations de poèmes et des séances de contes seront parmi les activités au menu de la troisième édition du Salon national du livre prévu à Fatick (ouest) du 9 au 12 janvier prochain, a déclaré Amadou Ndiaye, conservateur de bibliothèque à la direction du livre et de la lecture du ministère de la Culture, à l’occasion d’une conférence de presse.

    « Des animations littéraires, déclamations de poèmes, des séances de contes et des conférences vont marquer cette 3ème édition », a-t-il indiqué lors de cette conférence de presse organisée en perspective de cet évènement culturel. Il a déclaré que des bouquinistes et écrivains sont invités pour assurer l’animation du salon national du livre.

    Il est également prévu un atelier phare de sensibilisation sur la distribution et la diffusion du livre.

    Amadou Ndiaye estime qu’il est important pour les acteurs de la culture de « communiquer sur leurs ouvrages et leurs contenus afin de les rendre accessibles au public ».

    « Il fallait imaginer une manifestation autour du livre afin que les inconditionnels du livre côtoient les écrivains », a estimé M. Ndiaye.

    L’ouverture officielle du Salon national du livre se tiendra à la mairie de Fatick. Plusieurs activités seront décentralisées à Ngayokhéme, Foundiougne et Sokone.

    Le salon se tiendra en même temps que le 12ème Festival national des arts et culture (FESNAC) placé sous le thème « La culture sous le magistère du président Macky Sall ».

    L’écrivain et éditeur Abdoulaye Fodé, commissaire général de la troisième édition du Salon national du livre, souligne que cette édition mettra en exergue le secteur de la culture durant les douze ans de règne du président Macky Sall.

    « Des écrivains de Fatick et d’autres se sont engagés à accompagner le salon qui mettra en [lumière] les douze ans de magistère du président Macky Sall au service de la culture ».

    SDI/ASG/MTN

  • SENEGAL-SOCIAL / Des délégués régionaux du Syntrass formés sur les techniques de négociation

    SENEGAL-SOCIAL / Des délégués régionaux du Syntrass formés sur les techniques de négociation

    Diamniadio, 4 jan (APS) – Une session de formation sur le droit syndical et les techniques de négociation s’est ouverte jeudi à Dakar, en vue de mieux outiller les délégués régionaux du Syndicat national des techniciens et travailleurs de l’agriculture du Sénégal (Syntras), pour qu’ils puissent porter les revendications de leurs pairs dans les services déconcentrés.

    Prévue pour deux jours, cette formation se tient dans les locaux du ministère de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire à Diamniadio, en collaboration avec la Centrale nationale travailleurs du Sénégal (CNTS) à laquelle le Syntras est affilié.

    « La CNTS accorde une place importante à la formation syndicale parce que pour représenter les travailleurs à des tables de négociation, il faut être compétent et maîtriser certains textes réglementaires qui régissent le monde du travail pour être en mesure de représenter ses pairs travailleurs », a dit Mor Diouf, secrétaire général du Syntras.

    C’est dans cette dynamique que cette le Syntras s’est inscrit, « en tant que syndicat de base », pour permettre à ses délégués d’avoir les outils nécessaires pour « représenter dignement les intérêts des travailleurs au niveau des services régionaux du département de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire ».

    Le Syntras espère ainsi parvenir à « porter davantage dans leurs services respectifs, les revendications du syndicat », a ajouté Mor Diouf, en présence d’un représentant de la tutelle venu présider la cérémonie officielle d’ouverture de cette session de formation.

    « Le syndicalisme, ce n’est pas toujours la confrontation. Nous sommes dans une dynamique de dialogue, de partenariat social pour que les conflits puissent être anticipés et réglés de la manière la plus apaisée » possible, a-t-il indiqué, avant de marteler : « Il ne faut pas dire que les doléances sont derrière nous, puisqu’il faut reconnaitre qu’on a encore des revendications ».

    Il a rappelé que certains points du protocole d’accord signé en décembre 2022 avec la tutelle ne sont pas encore appliqués, dont celui concernant l’indemnité de logement réclamé par le collectif des agents interministériels, mais il n’empêche pas que le travail continue pour le Syntras à travers des activités telles que cette session de formation.

    ADL/BK/MTN

  • SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle 2024 : Amadou Ba, Anta Babacar Ngom et Khalifa Sall font valider leurs parrains

    SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle 2024 : Amadou Ba, Anta Babacar Ngom et Khalifa Sall font valider leurs parrains

    Dakar, 4 jan (APS) – La commission de contrôle des parrainages a validé les parrains collectés par Amadou Ba, Anta Babacar Ngom et Khalifa Sall pour leur dossier de candidature à l’élection présidentielle du 25 février prochain, a-t-on appris, jeudi, de leurs mandataires.

    Le Premier ministre, Amadou Ba, candidat de Benno Bokk Yaakaar (BBY), la coalition de partis politiques de la majorité présidentielle, a collecté ses parrains auprès des présidents des conseils départementaux et des maires.

    La commission de contrôle des parrainages ‘’a validé les 120 parrains que nous avons collectés auprès des élus’’, a annoncé Benoit Sambou, le mandataire de M. Ba.

    BBY a rassemblé des parrains aussi auprès des députés et des électeurs, selon M. Sambou. ‘’Mais au moment du dépôt des parrains, nous avons fait le choix du parrainage des élus pour nous assurer de valider notre dossier de candidature’’, a-t-il expliqué.

    Anta Babacar Ngom, entrepreneure et candidate de l’ARC, l’Alternance pour la relève citoyenne, a fait valider 45.238 parrains, soit 1.007 de plus que le minimum requis par le code électoral, selon Issakha Diouf, son mandataire.

    L’ancien maire de Dakar Khalifa Sall, candidat de Taxawu Senegaal, a reçu les parrains de 13 des 14 députés de ladite coalition.

    Son mandataire, Moussa Tine, assure que la commission de contrôle des parrainages a validé les parrains collectés par M. Sall auprès des parlementaires.

    Amadou Ba, Anta Babacar Ngom et Khalifa Sall font partie de la dizaine de candidats dont les parrains devaient être examinés jeudi matin.

    De ‘’nombreux doublons’’

    Les anciens Premiers ministres Aminata Touré et Abdoul Mbaye, qui faisaient partie du même lot, doivent procéder au remplacement des doublons signalés par la commission de contrôle pour valider leurs parrains.

    El Hadj Mamadou Diao, dit Mame Boye Diao, doit également apporter des corrections à son parrainage, pour faire valider son dossier de candidature.

    Les parrains d’autres candidats à la candidature ont été invalidés par la commission de contrôle. C’est le cas de l’ancien député Ibrahima Abou Nguette, qui, selon l’instance chargée de contrôler les parrainages, n’a pas remis au greffe du Conseil constitutionnel une quittance attestant le versement de sa caution de 30 millions de francs CFA auprès de la Caisse des dépôts et consignations.

    Les parrains d’Al Hassane Ould Aliou Niang ont été invalidés à cause de ‘’nombreux doublons’’.

    ‘’Nous devons reconnaître, après le contrôle effectué avec transparence par la commission, que nous sommes recalés’’, a avoué son mandataire, Mouhamadou Lamine Sylla.

    ‘’Nous avons eu plus de 20.000 doublons internes et 1.500 doublons externes. Des pièces incompatibles avec le fichier général en plus’’, a expliqué M. Sylla.

    Alpha Thiam n’a collecté que 6.312 parrains, ce qui est loin du minimum exigé par le code électoral.

    Sheikh Alassane Sène aussi a été victime d’un nombre insuffisant de parrains. Il y en avait que 22.271 dans son dossier de candidature, soit environ la moitié du minimum de parrains nécessaires.

    En vertu du nouveau code électoral du Sénégal, tout candidat à l’élection présidentielle doit réunir entre 0,6 et 0,8 % – soit 44.231 à 58.975 électeurs – du nombre d’électeurs inscrits sur le fichier électoral.

    Les candidats ont également la possibilité de collecter des parrains auprès des maires et des présidents de conseil départemental.

    S’ils font cette option, le code électoral leur fait obligation de réunir 120 signatures au moins, soit 20 % de l’effectif des présidents des conseils municipaux et départementaux.

    Il est également loisible aux candidats de recourir au parrainage parlementaire. Dans ce cas-là, ils doivent collecter au moins 13 signatures, soit 8 % de l’effectif des députés.

    CS/AKS/ESF

  • SENEGAL-ELEVAGE / Djiredji : vers la mise en place d’un comité d’alerte contre le vol de bétail

    SENEGAL-ELEVAGE / Djiredji : vers la mise en place d’un comité d’alerte contre le vol de bétail

    Sédhiou, 4 jan (APS) – Ibrahima Diédhiou, le président de l’Association des chefs de village de la commune de Djirédji, a annoncé  la mise en place prochaine d’un comité d’alerte pour faire face au phénomène du vol de bétail, lequel prend des proportions inquiétantes dans cette localité de la région de Sédhiou (sud).

    « La commune de Djiredji, à l’image de beaucoup de localités de la région, est confrontée au fléau du vol de bétail. Le phénomène prend des proportions inquiétantes dans notre commune au grand dame des populations », a-t-il fait savoir.

    Pour soutenir les efforts des forces de défense et de sécurité, « il est urgent que la communauté se mobilise à travers ce comité d’alerte pour une mobilisation communautaire. »

    S’exprimant dans un entretien avec  l’APS, M. Diédhiou a souligné que  »la plupart des auteurs de ces vols vivent dans la zone sous le regard complice des proches qui  refusent de les dénoncer ».

    Selon lui,  »l’élevage reste un facteur important dans l’économie de cette partie du Boudié ». « Après avoir vendu une partie de nos récoltes, dit-il, on achète des animaux pour fortifier notre économie. Cela nous permet de régler nos besoins et certaines urgences, mais, malheureusement, le vol de bétail hante le sommeil des populations. »

    Il a invité les autorités administratives et territoriales à accompagner l’initiative des chefs de village qui ont pour objectif de sensibiliser et de mobiliser la communauté à s’impliquer dans la lutte contre le vol de bétail.

    A l’en croire, les éleveurs ont l’impression d’être dans une insécurité totale et laissés à eux-mêmes. « La plupart du temps, quand on attrape un voleur, même s’il est présenté aux autorités compétentes, on n’a pas gain de cause », a-t-il déploré.

    M. Diédhiou a invité les autorités locales à accompagner l’initiative des chefs de village dans cette initiative pour éradiquer le fléau du vol de bétail dans la commune de Djirédji.

    MS/SKS/ASG

  • SENEGAL-RELIGION-COMMEMORATION / Louga : toutes les dispositions prises pour la réussite de la Ziara de la famille Omarienne (ministre)

    SENEGAL-RELIGION-COMMEMORATION / Louga : toutes les dispositions prises pour la réussite de la Ziara de la famille Omarienne (ministre)

    Dakar, 4 jan (APS)- L’Etat prendra toutes les dispositions nécessaires pour une réussite de la Ziara de la famille Omarienne prévue les 13 et 14 janvier à Louga (nord), a assuré, jeudi à Dakar le ministre de l’Intérieur, Sidiki Kaba.

    ‘’L’Etat prendra toutes ses dispositions. C’est une instruction du président de la République (…) pour que cette Ziara soit une réussite’’, a-t-il déclaré lors de la réunion nationale consacrée aux préparatifs de la 60ème édition de cet évènement religieux.

    La rencontre a lieu en présence de la gouverneure de la région de Louga, Ndèye Nguénar Mbodji et de plusieurs responsables de services publics, ainsi que les représentants de la famille Omarienne.

    La Police nationale envisage de déployer 500 agents

    “Cette Ziara est d’une très grande importance. Elle est annuelle. Elle a une dimension nationale et internationale parce que nous avons de nombreux pèlerins qui viennent de partout, de toutes les régions du Sénégal et d’Afrique’’, a dit M. Kaba.

    Le ministre de l’Intérieur a demandé aux services des Douanes de faciliter le déplacement des pèlerins en provenance de la sous-région, “notamment de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, de la Gambie, de la Guinée, du Soudan entre autres pays’’.

    Il a exhorté le service d’hygiène et l’Office national de l’assainissement du Sénégal à lancer les opérations de saupoudrage et de curage dix jours avant l’évènement.

    Sidiki Kaba a relevé que “l’aura d’El Hadji Oumar Tall, grand résistant africain, confère à cette Ziara, sa dimension internationale’’.

    Le comité d’organisation s’est dit rassuré par les engagements pris par les différents chefs de services.

    “Nous sommes rassurés. Les chefs de services ont pris des engagements. Nous allons nous rapprocher de la gouverneure de Louga pour tout manquement. Le ministre a présidé de fort belle manière la rencontre’’, s’est félicité Cheikhou Oumar Tall, président du comité d’organisation de la 60ème édition de la Ziara annuelle d’El Hadji Oumar Tall.

    La manifestation religieuse va démarrer le dimanche 7 janvier par un investissement humain au domicile du Khalife de la famille Omarienne Thierno Bachir Tall et au stade Djibril Diouf qui doit abriter la cérémonie officielle de l’évènement.

     FD/OID/SBS/MTN