Année : 2024

  • SENEGAL-RELIGION-MESSAGE / Noël: à Mbour, les fidèles invités à  »être des artisans de paix et des témoins d’amour »

    SENEGAL-RELIGION-MESSAGE / Noël: à Mbour, les fidèles invités à  »être des artisans de paix et des témoins d’amour »

    Mbour, 25 déc (APS) – Le Père Juldas Manga qui présidait la messe de nativité, dans la nuit du mardi au mercredi, à la Paroisse Sainte-Marthe de Mbour (Ouest), a invité les fidèles à ‘’être des artisans de paix et des témoins d’amour’’, pour un monde de juste et de cohésion.

    ‘’Noël nous appelle à être des porteurs de cette lumière dans notre monde. En tant que disciples du Christ, nous sommes appelés à être des artisans de paix et des témoins d’amour, à tendre la main à ceux qui sont dans le besoin, à écouter les cris des opprimés et à apporter un message d’espérance’’, a dit Le Père Juldas Manga dans son homélie.

    ‘’Nos vies, comme celles des Israélites, peuvent parfois être assombries par des luttes, des peurs et des doutes, les conflits armés qui déchirent des nations, des crises économiques qui plongent des familles dans la précarité, les corruptions et les injustices qui augmentent les inégalités sociales, la souffrance des migrants, des réfugiés et de ceux qui cherchent désespérément un avenir meilleur’’, a poursuivi l’homme d’église.

    Toutefois, a-t-il indiqué, ‘’la naissance de Jésus-Christ, nous rappelle que même dans les ténèbres les plus profondes, une lumière est donnée à tous’’.

    Plusieurs fidèles chrétiens ont pris part à cette messe de minuit, sous une fine pluie qui s’est abattue sur la Petite Côte, en cette soirée de Noël.

    Pour le Père Juldas Manga, quatre moyens importants peuvent guider la vie du croyant face à de tels obstacles. ‘’D’abord, prendre le temps de prier et de méditer, pour ouvrir notre cœur à la présence de Dieu dans notre vie quotidienne’’, indique-t-il.

    ‘’Ensuite, il faut pratiquer la bienveillance. C’est-à-dire, être attentif aux besoins des autres, en particulier, ceux qui sont dans le besoin. De plus, il faut servir les autres’’, a-t-il recommandé.

    Enfin, conclut-il, ‘’il faut créer un environnement d’amour et de paix. C’est-à-dire favoriser des relations harmonieuses dans nos familles, dans nos communautés et entre amis’’.

    « Car, a-t-il relevé encore, un foyer où règnent l’amour, la compréhension et le respect, est un lieu où Jésus peut se sentir le bienvenu’’.

    Le curé a, en outre, prié pour la paix, la cohésion sociale et le développement économique du Sénégal.

    DOB/ADI/OID

  • SENEGAL-EDUCATION-INFRASTRUCTURES / Guédiawaye : l’école élémentaire  »Pikine 17 » fait peau neuve

    SENEGAL-EDUCATION-INFRASTRUCTURES / Guédiawaye : l’école élémentaire  »Pikine 17 » fait peau neuve

    Guédiawaye, 25 déc (APS) – La Secrétaire générale du ministère de l’Education nationale, l’Ambassadeur du Japon au Sénégal, et la chanteuse Coumba Gawlo Seck, également présidente de la Fondation ‘’Lumière’’, ont assisté, mercredi, à la cérémonie d’inauguration de l’école élémentaire ‘’Pikine 17’’ rénonvée.

    Le Japon, dans le cadre de sa coopération avec le Sénégal, a alloué un financement d’un montant de 46 150 000 francs CFA pour la réhabilitation de l’école élémentaire Pikine 17, située dans la ville de Guédiawaye. L’école a ainsi reçu une assistance pour la réhabilitation de 12 salles de classe, sa bibliothèque, la salle des enseignants et sept toilettes.

    ‘’Je lance un appel aux élèves, aux parents d’élèves aux enseignants et au personnel de cet établissement, à mieux préserver l’environnement de cette école réhabilité, en y plantant des arbres, à entretenir les infrastructures. C’est un défi de faire un bon usage de nos infrastructures scolaires’’, a déclaré la secrétaire générale du ministère de l’éducation nationale, Khady Diop Mbodji.

    Elle intervenait lors de la cérémonie d’inauguration des infrastructures réhabilitées de l’école élémentaire Pikine 17, en présence de nombreux élèves, des parents d’élèves, des acteurs du système éducatif sénégalais, des élus territoriaux.

    ‘’Je suis très émue de voir ces enfants qui vont retrouver avec la réhabilitation de leur école, des conditions meilleures pour une éducation de qualité’’, a réagi la chanteuse Coumba Gawlo Seck, rappelant avoir mené de telles initiatives à travers le pays depuis la création de sa fondation ‘’Lumière’’ en 1997.

    Elle a expliqué que cela entre dans le cadre de son engagement citoyen pour son pays et pour son peuple. L’artiste a salué l’exemplarité de la coopération entre le Japon et le Sénégal, mais aussi entre l’Ambassade japonaise et sa fondation.

    Coumba Gawlo Seck a exhorté les acteurs de l’école  »Pikine 17 » à bien entretenir leur établissement pour créer les conditions de réussite des apprenants, qui, selon elle, sont les  »relais du futur ».

    L’Ambassadeur du Japon à Dakar, Osamu Izawa, a rappelé l’amitié entre son pays et le Sénégal. ‘’C’est pourquoi, le Japon accompagne le Sénégal dans ses projets et programmes de développement dans plusieurs domaines’’, a souligné le diplomate.

    SG/SKS/OID

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-CULTURE / Thilogne: 13ème édition des « 72 heures » à partir du 27 décembre

    SENEGAL-COLLECTIVITES-CULTURE / Thilogne: 13ème édition des « 72 heures » à partir du 27 décembre

    Thilogne (Matam), 25 déc (APS) – La 13ème édition des  »72 heures » de Thilogne se tiendra du vendredi 27 au dimanche 29 décembre sous le thème :  »Interdépendances entre sécurité alimentaire, culture et développement local : vers des stratégies durables et inclusives ».

    L’évènement sera marqué par des spectacles, des conférences, des expositions et une parade de moutons, selon un communiqué de presse des organisateurs.

    Les journées culturelles de Thilogne, communément appelées les  »72 heures » ont pour objectif de maintenir les liens avec les émigrés de cette localité de la région de Matam, en favorisant leur retour au bercail à l’occasion de cet événement, a indiqué Oumar Mamadou Bassoum, membre du Comité d’organisation.

     »L’idée d’organiser les journées culturelles de Thilogne, connues sous le nom de « 72h », est née en 1998 avec l’objectif de maintenir les liens entre les émigrés thilognois et leurs racines », a-t-il dit au cours d’un entretien avec l’APS.

    Cet évènement vise également à favoriser un retour périodique aux sources, tout en valorisant et vulgarisant le patrimoine matériel et immatériel local, a ajouté Bassoum.

    Un moyen, selon lui, de ‘’faire face aux risques d’aliénation culturelle liés à la modernisation et au déséquilibre des échanges culturels entre le nord et le sud’’.

    ‘’Après cinq éditions, en 2006, les journées ont évolué pour devenir festival international culture et développement. Une biennale de grande envergure qui rassemble des artistes et des milliers de festivaliers venant de divers horizons’’, a souligné Oumar Mamadou Bassoum.

    II a expliqué que cet événement, initié par Thilogne association développement (TAD), a fait naître des partenariats et des projets et a également favorisé des échanges. Depuis 26 ans, ces rencontres culturelles ont enregistré la participation d’autres communautés venues d’autres régions, de la sous-région et d’Europe, a t-il fait part.

    Grâce à ce festival, d’après Bassoum, TAD, une organisation qui fédère les associations regroupant des ressortissants de Thilogne basés à l’étranger, a pu réaliser de nombreux projets ayant impacté le développement économique et social de la communauté.

     »En 2022, le montant des investissements de Thilogne association développement (TAD) était estimé à près de deux milliards de francs CFA au profit des populations de Thilogne grâce aussi aux cotisations de ses membres et des partenaires’’, a-t-il fait savoir.

    Ces fonds ont été essentiellement orientés vers des secteurs comme la santé, l’éducation, l’accès à l’eau, la promotion féminine, l’emploi des jeunes, l’environnement et le transport fluvial.

    AT/SKS/OID

  • SENEGAL-RELIGION / Ziara annuelle de Ngodiba : le comité d’organisation expose ses doléances aux services de l’Etat

    SENEGAL-RELIGION / Ziara annuelle de Ngodiba : le comité d’organisation expose ses doléances aux services de l’Etat

    Kaffrine, 25 déc (APS) – Le comité d’organisation de la Ziara annuelle de Ngodiba, dans la commune de Kahi (Kaffrine, centre) a exposé, mercredi, ses préoccupations pour la réussite de cet événement religieux prévu le 11 janvier.

    ‘’Aujourd’hui, nous nous sommes réunis ici dans le cadre des préparatifs de la Ziara annuelle de Ngodiba, sous la houlette du Khalife général de la famille, Cheikh Ibrahima Ba. Une occasion de lister quelques préoccupations liées à l’organisation de cet évènement’’, a déclaré El Hadji Souleymane Ba, porte-parole de la famille Bâ de Ngodiba.

    Il s’exprimait au cours d’une réunion du  Comité départemental de développement (CDD) consacrée aux préparatifs de la Ziara annuelle de Ngodiba, sous la présidence de l’adjoint au préfet du département de Kaffrine, Modou Thiaw, en présence des membres du comité d’organisation et des différents services techniques déconcentrés.

    Les préoccupations dudit comité ont trait à la sécurité routière, la couverture sanitaire, la connectivité du réseau avec la Société nationale des télécommunications (SONATEL), l’extension du réseau électrique, l’approvisionnement en eau potable, etc.

    ‘’Ces doléances seront suivies à la lettre’’, a rassuré l’adjoint au préfet de Kaffrine, qui soutient que ‘’toutes les dispositions seront prises avant la tenue du Comité régional de développement (CRD) qui se tiendra le 6 janvier prochain.

    CTS/ADE/SKS/OID

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-FINANCES / Mairie de Kolda: le budget 2025 estimé à plus de 1, 6 milliard de FCFA

    SENEGAL-COLLECTIVITES-FINANCES / Mairie de Kolda: le budget 2025 estimé à plus de 1, 6 milliard de FCFA

    Kolda, 25 déc (APS) – Le Conseil municipal de Kolda a voté, mardi, un budget pour l’année 2025 estimé à plus de 1, 6 milliard de Francs Cfa.

     »(…) le présent projet de budget primitif pour la gestion 2025 qui s’équilibre en recettes et en dépenses est arrêté à la somme globale de 1 640 915 155 (un milliard six cent quarante millions neuf cent quinze mille cinq cent cinquante-cinq FCFA) », a déclaré le maire El Mamadou Diao en marge de la session consacrée au vote du budget.

     »Sur le budget globale, on a six cent quarante-cinq millions six cent mille (645 600 000) francs Cfa en fonctionnement et neuf cent quatre-vingt-quinze millions trois cent quinze mille cinq cent cinquante-cinq (995 315 555) francs CFa en investissement soit une baisse 360030784 FCFA entre 2024 et 2025. Cela est dû au fait que nous n’avons pas encore des informations sur les fonds de dotation », a t-il indiqué.

    En 2025, la mairie veut mettre l’accent sur les investissements dans les secteurs de l’éducation, la santé, la culture, le sport, le social, l’eau, l’assainissement, l’éclairage, l’aménagement de voies, etc.

    MG/OID

  • SENEGAL-AGRICULTURE / Commercialisation de l’arachide: à Kaffrine, les opérateurs privés stockeurs peinent à trouver des financements

    SENEGAL-AGRICULTURE / Commercialisation de l’arachide: à Kaffrine, les opérateurs privés stockeurs peinent à trouver des financements

    Kaffrine, 25 déc (APS) – La campagne de commercialisation de l’arachide a démarré sans couac dans la région de Kaffrine, mais les opérateurs privés stockeurs peinent à trouver des financements pour collecter une grande quantité.

    ‘’La campagne a bien démarré depuis le 5 décembre avec 11 engagements  pris par l’Etat du Sénégal. Nous nous en félicitons, mais nous constatons en même temps que les banques n’ont pas encore sorti l’argent pour aider les paysans et certains producteurs peinent à avoir des financements’’, a déclaré à l’APS, Ali Diaw, le président du conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR) de Kaffrine

    Selon cet opérateur économique, cette situation peut s’expliquer par les impayés que l’État doit aux opérateurs privés stockeurs.

    Il ajoute que les paysans sont toujours dans les champs pour terminer les derniers travaux.

    Au marché de Kaffrine, dans certains points de collecte, on constate un rush de paysans qui viennent très tôt le matin vendre leurs graines d’arachide.

    De loin, on aperçoit des dizaines de sacs bien rangés sur des charrettes. A côté, des ouvriers effectuent le déchargement sous la surveillance du commerçant, assis sur sa bascule de pesage.

    Plusieurs sacs d’arachide sont rangés çà et là. Un décor habituel en cette période de campagne de commercialisation.

    ‘’Les choses commencent à bouger à un rythme normal, sans couac pour le moment’’, d’après l’opérateur économique, Ibrahima Sy.

    Dans les allées du marché central de la capitale du Ndoucoumane, c’est une ambiance bon enfant. Des camions benne de seize mètres attendent leur chargement avant de prendre la direction des usines de la SONACOS, la société nationale de commercialisation des oléagineux du Sénégal.

    Les points de vente ne sont pas encore validés de manière officielle, renseigne le directeur régional du développement rural de Kaffrine, Mamadou Badiane.

    ‘’Cette année, les clients viennent en masse pour vendre leurs arachides. Nous respectons dans ce magasin en tant qu’opérateur économique les prix fixés par l’État du Sénégal à savoir : 305 francs le kilo. C’est vrai, il n y a passez de quantité, mais les prix sont abordables’’, souligne l’opérateur Ibrahima Sy.

    Il relève toutefois le manque d’argent auquel font face les opérateurs économiques. Mais, indique-t-il,  »la SONACOS, cette année, a apporté des changements dans la campagne, car elle paie à temps les chèques et le temps d’attente à l’usine est réduit au grand bonheur des opérateurs économiques’’.

    L’opérateur félicite le gouvernement pour le prix fixé à 305 francs le kilogramme et les différentes mesures prises pour assurer une bonne campagne de commercialisation.

    A quelques encablures, le décor reste le même au magasin de l’opérateur économique, El Hadji Diaw, trouvé à l’intérieur, au milieu des sacs de maïs, de mil et d’arachide.

    ‘’La campagne a bien démarré  avec un bon prix,  certes, mais  nous souhaiterions que l’Etat nous appuie davantage, car nous avons des charges liées aux  manutentions, l’abattement, l’achat des sacs et le paiement du gérant à la SONACOS. Ce sont des frais supplémentaires, alors qu’il n’y a pas d’argent’’, note-t-il.

    L’opérateur qui achète à 305 francs CFA le kilogramme d’arachide pour le vendre à l’usine à 335 francs CFA sollicite auprès de l’Etat l’augmentation du prix sur le marché

    Il révèle avoir transporté, depuis le démarrage de la campagne, plus de 4 camions de la commune de Kaffrine, en direction l’usine de Sonacos. Pour chaque camion, ils (les opérateurs privés stockeurs) payent 10 millions de francs CFA, précise-t-il.

    Les ouvriers, dont le travail consiste à charger et décharger les camions convoyant l’arachide, soutiennent que la campagne bat son plein, contrairement à l’année dernière, où à pareille époque c’était presque le statuquo.

    ‘’Nous nous frottons les mains pour cette campagne, car presque chaque deux jours, on charge et décharge un camion ou deux entre Birkilane et Kaffrine et on gagne dans la journée 25 000 francs CFA’’, témoigne l’un d’entre eux.

    La campagne de commercialisation de l’arachide suit également son cours dans le département de Birkilane. Ici, les paysans soutiennent que les récoltes ne sont pas bonnes cette année, car il n’y a pas assez d’arachide.

    Une équipe de l’APS s’est rendue au village de Keur Sassy, dans la commune de Diamal, pour rencontrer, Aliou Diouf, un jeune producteur agricole très attaché à la terre.

    Ce samedi matin, la famille Diouf, déjà réveillée, est en train de préparer le petit déjeuner. Agé d’une cinquantaine d’années, habillé en t-shirt noir, Aliou Diouf est un passionné des champs. Après avoir fini de prendre le petit déjeuner, il demande à ses enfants de préparer la charrette pour se rendre au champ.

    Le jeune producteur a emblavé cette année 10 hectares. Arrivés, sur les lieux, on voit des tas de paille d’arachide aménagés, en attendant le battage. Cette opération consiste à séparer  les grains ou les gousses avec la portion de la plante de l’arachide.

    Après cette phase, on procède au vannage des graines de l’arachide. Il s’agit de soulever la bassine contenant les graines d’arachide après décorticage à hauteur de la tête puis les verser lentement dans une autre posée sur une bâche.

    Aliou Diouf a plaidé pour l’acquisition des équipements et des subventions. Pendant la campagne agricole, il emploie engage sept personnes pour l’aider dans les travaux du semis à la récolte.

    Pendant ce temps, à l’intérieur du champ, des femmes venues du village de Keur Sassy et les autres localités procèdent au ramassage des graines d’arachide en coque. Une activité pas du tout rentable cette année, confie une femme de taille moyenne, une bassine entre les mains.

    ‘’Notre travail consiste à ramasser les graines d’arachide en coque pour les vendre et acheter des vivres et même changer les mobiliers de nos chambres’’,  explique Astou Fall, ajoutant que cette année, tout est presque à l’arrêt, car il n’y a pas d’arachide dans les champs.

    CTS/ASB/OID

  • VIDEO / La ministre des Sports « veut doter 100 communes de plateaux multifonctionnels en 2025 »

    VIDEO / La ministre des Sports « veut doter 100 communes de plateaux multifonctionnels en 2025 »

    La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diène Gaye, veut doter 100 communes du pays de plateaux multifonctionnels en 2025. Au cours d’une rencontre tenue mardi, avec le secteur parapublic, elle a rappelé que la démocratisation de l’accès aux infrastructures de proximité figure parmi les priorités de l’État du Sénégal dans le référentiel de politiques publiques Sénégal 2050.

  • VIDEO / Waly Seck, VJ,…  : Thiakola n’exclut pas une collaboration avec des artistes sénégalais

    VIDEO / Waly Seck, VJ,… : Thiakola n’exclut pas une collaboration avec des artistes sénégalais

    L’artiste franco congolais ThiaKola va se produire à Dakar ce 25 décembre. C’est dans le cadre de la tournée africaine de l’artiste qui figure actuellement parmi les rappeurs français les plus populaires. En conférence de presse ce mardi, Thiakola n’exclut pas une collaboration avec des artistes sénégalais dont Waly Seck et VJ.
  • VIDEO / Indemnisation des victimes des manifestations préélectorales : 1875 personnes identifiées (Ministre)

    VIDEO / Indemnisation des victimes des manifestations préélectorales : 1875 personnes identifiées (Ministre)

    1875 victimes ont été identifiées dans les manifestations politiques préélectorales a annoncé mardi, au cours du vote de la loi des finances rectificative, le ministre des finances et du budget Cheikh Diba. Il a également déclaré que 112 dossiers ont été approuvés et 99 déjà prises en charge pour un montant 108 millions de FCFA.
  • VIDEO / Audit des finances publiques : une exigence de l’UEMOA ( Ministre des finances et du budget)

    VIDEO / Audit des finances publiques : une exigence de l’UEMOA ( Ministre des finances et du budget)

    L’audit des finances publiques est une exigence de L’UEMOA a précisé mardi, au cours du vote de la loi des finances rectificative le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba.
    Il a également rappelé que c’est conformément à la directive 01/2009/CM/UEMOA portant code de transparence dans la gestion des finances publiques au sein de l’Union Économique et Monétaire Ouest africaine (UEMOA)