Année : 2025

  • SENEGAL-MEDIAS-NUMERIQUE-REGULATION / Une nouvelle Autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies en gestation

    SENEGAL-MEDIAS-NUMERIQUE-REGULATION / Une nouvelle Autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies en gestation

    Dakar, 24 jan (APS) – Le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique et le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ont organisé, vendredi, un atelier de partage de l’avant-projet de loi portant création d’une nouvelle autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies.

    La cérémonie d’ouverture de cette rencontre tenue au Building administratif a été présidée par le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Aliou Sall, et le président du CNRA, Mamadou Oumar Ndiaye.

    Les représentants de la présidence de la République, de la Primature, du Secrétariat général du gouvernement, des ministères de la Justice, de l’Intérieur, des organisations de journalistes et le patronat de la presse, entre autres, ont pris part à la rencontre.

    La future autorité administrative indépendante va intégrer tous les types de supports d’informations et de productions, physiques et numériques, diffusant des contenus destinés au grand public.

    Selon le ministre la Communication, ‘’l’objectif principal est de parvenir à un consensus sur les orientations majeures d’une législation qui intègre tous les supports de diffusion, qu’ils soient physiques ou numériques, tout en garantissant des contenus de qualité respectueux des normes éthiques et du droit à l’information’’.

    Aliou Sall a estimé qu’en l’absence d’une régulation efficace, ‘’les plateformes numériques, les réseaux sociaux et l’intelligence artificielle peuvent aussi être sources de menaces sérieuses en raison notamment de la prolifération des discours de haine, de défiance, de désinformation, de manipulation et de déstabilisation sociale, politique et économique, nuisibles à tous’’.

    Pour sa part, le président du CNRA, Mamadou Oumar Ndiaye, a salué ‘’l’idée d’élargir les compétences de la future instance de régulation aux plateformes numériques mais aussi à la presse écrite et en ligne’’, soulignant qu’aucun média, ‘’y compris les plateformes numériques, ne devrait échapper à la régulation’’.

    Selon les termes de référence de l’atelier, ‘’le paysage médiatique sénégalais est caractérisé par la pluralité et la diversité des supports de communication allant de la presse écrite aux médias en ligne, en passant par les télévisions publiques et privées, les radios privées commerciales et communautaires’’.

    Le document note que ‘’le développement rapide du secteur et les mutations technologiques qui l’accompagnent ont facilité l’accès rapide et abondant aux services audiovisuels à la demande, et favorisé la diffusion et la réception instantanées des contenus médiatiques grâce notamment aux médias en ligne’’.

    Toutefois, relève la même source, ‘’l’explosion des médias numériques et des émissions radio et télé, ainsi que la multiplication et la diversification des organes de presse écrite, bien que contribuant à la démocratisation de l’accès à l’information, s’accompagnent parfois de dérapages et participent à véhiculer des informations trompeuses, surtout pendant des périodes sensibles’’.

    Elle estime qu’une ‘’mauvaise utilisation des médias numériques ou classiques peut ainsi être source de désinformation et de propagation de contenus haineux, qui alimentent les conflits, et menacent la cohésion sociale’’.

    Si le Sénégal dispose d’une série de lois sur le secteur des médias, elles ne s’appliquent que sur des domaines spécifiques concernant les entreprises de presse, les professions ou les contenus médiatiques.

    Créé en 2006, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ne prend pas en compte l’ensemble des supports médiatiques. Et la Haute autorité de régulation de la communication audiovisuelle (HARCA), créée sur la base du Code de la presse, en remplacement du CNRA, a également montré ses limites avant qu’elle ne prenne réellement forme.

    Tenant donc compte de l’évolution du secteur et de la nécessité d’encadrer efficacement la production et la diffusion des contenus médiatiques dans un contexte marqué par la prééminence du numérique, les pouvoirs publics ont initié un projet de loi relatif à la création d’une nouvelle autorité administrative indépendante de régulation des médias et du numérique.

    Il s’agira de ‘’consolider l’avant-projet de loi sur la HARCA en intégrant tous les types de supports d’information et de productions, physiques et numériques, diffusant des contenus destinés au grand public’’.

    La rencontre de ce vendredi marque le lancement d’un processus devant aboutir à la rédaction d’un texte final, qui sera soumis au gouvernement puis à l’Assemblée nationale.

    OID/ABB/ASB/SKS

  • SENEGAL-MONDE-MEDIAS / Dakar, hôte de la huitième édition du REFRAM les 27 et 28 janvier

    SENEGAL-MONDE-MEDIAS / Dakar, hôte de la huitième édition du REFRAM les 27 et 28 janvier

    Dakar, 24 jan (APS) – Le Sénégal va accueillir, lundi et mardi, la huitième édition de la Conférence des présidents des instances membres du Réseau francophone des régulateurs des médias (REFRAM), a-t-on appris de source officielle.

    A cette occasion, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) va assurer la présidence de cette organisation pour un mandat de deux ans.

    Cette rencontre, qui se tiendra à Dakar, a pour objectif de ‘’contribuer d’une part, à la mise en œuvre d’une régulation adaptée face aux acteurs du numérique, d’autre part, à l’expression de la diversité culturelle et à la juste rémunération de la création’’, indique un communiqué parvenu vendredi à l’APS.

    Le texte précise que cet évènement sera l’occasion pour les régulateurs francophones des médias, d’échanger sur les moyens institutionnels et techniques de circonscrire un phénomène qui menace la sécurité et la cohésion sociale dans différentes parties du monde.

    Ce phénomène dont il s’agit fait référence aux réseaux sociaux, qui ‘’peuvent être source de drames aux conséquences incommensurables’’, lit-on dans le texte.

    ‘’Les réseaux sociaux renforcés par le numérique ont rendus plus difficile la régulation, alors qu’ils donnent de la ressource à la manipulation et à la désinformation’’, ajoute la même source.

    D’après le texte, les contenus violents et de haine se propagent à des rythmes dont les moyens traditionnels ne suffisent plus à limiter les effets pervers parmi des populations très perméables au Deep fake.

    La huitième édition de la Conférence des présidents des instances de régulation des médias du REFRAM sera ainsi l’occasion de réfléchir à ‘’la mise en œuvre de stratégies et de mécanismes communs, pour faire face (…) dans la continuité des travaux entrepris’’ depuis la dernière édition tenue à Paris.

    ‘’A Dakar, les autorités de régulation aborderont, entre autres points, la session relative à la lutte contre le piratage, les expériences dans la régulation des plateformes numériques et les mécanismes et outils pour une régulation efficace desdites plateformes’’, souligne le communiqué.

    Le Réseau francophone des régulateurs des médias (REFRAM) a été créé à Ouagadougou le 1er juillet 2007 et comprend 31 institutions membres.

    ABB/OID

  • SENEGAL-ELEVAGE-POINT / Richard-Toll : des femmes listent les points de blocage au développement de la filière laitière locale

    SENEGAL-ELEVAGE-POINT / Richard-Toll : des femmes listent les points de blocage au développement de la filière laitière locale

    Richard-Toll, 24 jan (APS) – Des femmes s’activant dans l’élevage ont listé vendredi, à Richard-Toll, les points de blocage au développement de la filière laitière locale, dont le problème de l’accès à l’eau, la préservation du tapis herbacé dans les zones sylvo-pastorales, l’accès à la terre, l’absence de la culture fourragère de masse.

     »Nos difficultés sont liées entre autres à la préservation du tapis herbacé, l’absence de la culture fourragère dans la zone sylvo-pastorale, l’accès à l’eau et à la terre  », a dit la présidente de l’association professionnelle des acteurs de la filière lait local du département de Linguère, Farmata Sélé Ka.

    Présente à une réunion du Comité régional de développement (CRD) décentralisé à Richard-Toll avec beaucoup de ses collègues, elle a soutenu que la sécurisation et la protection du tapis herbacé permettront aux éleveurs de rester dans leurs localités avec leur bétail.

    Dans cette perspective, elle a préconisé le prolongement des aménagements avec les périmètres irrigués villageois (PIV) dans les zones sylvo-pastorales, qui ‘’regorgent une importante ressource en terres cultivables’’ pour permettre aux populations de s’adonner à la culture fourragère.

    Aminata Mamadou Sow, présidente de la Commission élevage de la commune de Gandon, a pour sa part déploré la rareté des ressources en eau dans certaines zones et le prix élevé de l’aliment de bétail dans les zones pastorales.

    ‘’Nous plaidons la multiplication des forages dans les zones où des activités pastorales se pratiquent pour permettre aux acteurs de s’investir davantage dans des activités génératrices de revenus’’, a-t-elle lancé.

    La cheffe vétérinaire au poste de Richard-Toll, Ndama Thiam Tabane a exhorté les autorités à miser sur l’insémination artificielle pour augmenter la production de lait.

    OG/AT/FKS/ASB/SKS/OID

  • SENEGAL-SANTE / Diourbel : la direction régionale de la santé se dote d’un plan de maintenance des équipements

    SENEGAL-SANTE / Diourbel : la direction régionale de la santé se dote d’un plan de maintenance des équipements

    Diourbel, 24 jan (APS) – La direction régionale de la santé de Diourbel (centre) s’est dotée d’un plan régional de maintenance pour garantir la fiabilité et la durabilité des équipements des structures sanitaires de la région, a annoncé vendredi, son responsable, Dr Mamadou Dieng.

    « La maintenance est un des piliers du système de santé à côté des infrastructures et des équipements. Et aujourd’hui la région a été dotée d’un plan de maintenance qui prend en compte les besoins de maintenance de l’ensemble des structures sanitaires de la région en l’occurrence les quatre hôpitaux et les districts sanitaires », a-t-il déclaré lors de la rencontre de validation du plan régional de maintenance.

    Il a indiqué que ce plan intervient dans un contexte où la région dispose des équipements médicaux de dernière génération dans les services de radiologie, de cancérologie, d’urgence, de réanimation et de laboratoire des différentes structures sanitaires.

    Le docteur Dieng a souligné que ces équipements demandent une maintenance préventive régulière avec une bonne planification.

    Le plan de maintenance 2025-2028 va prendre en compte l’ensemble des exigences de la maintenance du parc d’appareils qui se trouve au niveau des structures sanitaires, a-t-il assuré.

    « Plusieurs questions relatives à la maintenance ont été abordées allant du financement, de l’outillage, à l’achat des pièces de rechange ainsi que la formation des techniciens et utilisateurs des équipements », a indiqué le directeur régional de la santé.

    Il a révélé que Diourbel est la première région à disposer d’un plan de maintenance validé à l’échelle régionale avec l’appui du centre national de formation des techniciens en maintenance hospitalière.

    En outre, Mamadou Dieng a plaidé pour le renforcement de la division régionale de la maintenance en personnel, en moyen logistique, en outillage et en laboratoire mobile de maintenance.

    MS/SKS/ASB/OID

  • SENEGAL-ENVIRONNEMENT-INITIATIVE / Saint-Louis : Khar Yalla hôte d’un forum communautaire sur la gouvernance climatique et la transition énergétique

    SENEGAL-ENVIRONNEMENT-INITIATIVE / Saint-Louis : Khar Yalla hôte d’un forum communautaire sur la gouvernance climatique et la transition énergétique

    Saint-Louis, 24 jan (APS) – Le quartier Khar Yalla de Saint-Louis (nord), a abrité, jeudi soir, un forum communautaire sur la gouvernance climatique et la transition énergétique au Sénégal, à l’initiative du réseau dénommé “Citoyens actifs pour la justice sociale” (CAJUST).

    “C’est dans le cadre de notre projet +Green accountability+ que nous avons approché la population de Khar Yalla. Et nous avons eu écho des conditions difficiles dans lesquelles ces populations vivaient. On les a approchées et elles nous ont fait un listing de toutes les conditions difficiles auxquelles étaient confrontées”, a déclaré Astou Diop, chargée de projet à CAJUST, en marge de ce forum communautaire.

    Elle a précisé que c’est dans ce cadre que CAJUST est venu accompagner les populations de Khar Yalla. Et, à travers ce projet, a-t-elle ajouté, l’objectif est d’essayer de voir comment faire pour que les autorités entendent leurs préoccupations et leur viennent en aide.

    “Green accountability” se veut un projet sur la redevabilité verte qui lutte pour tout ce qui est changement climatique et dont l’objectif est d’élever la voix des communautés notamment des jeunes et des femmes pour une mise en œuvre transparente, juste et équitable du JEPT au Sénégal, a-t-elle notamment expliqué.

    Mme Diop a aussi rappelé les missions de CAJUST qui, selon elle, est un réseau d’organisations de jeunes et de femmes qui œuvrent pour la lutte contre toutes formes d’injustice sociale.

    Elle a également déploré les conditions de vie des populations de ce quartier de Saint-Louis confrontées à l’obscurité, la promiscuité, entre autres.

    Fama Sarr, secrétaire adjointe du Conseil local de pêche artisanale (CLPA), par ailleurs transformatrice de produits halieutiques a, de son côté, magnifié la tenue de ce forum communautaire.

    Victimes de l’avancée de la mer dans la Langue de Barbarie, ces populations ont été relogées dans le quartier de Khar Yalla.

    CGD/AMD/ASB/OID

  • SENEGAL-SANTE-PLAIDOYER / Violences faites aux femmes : des droits-de-l’hommistes invitent l’Etat du Sénégal à se conformer à ses engagements internationaux

    SENEGAL-SANTE-PLAIDOYER / Violences faites aux femmes : des droits-de-l’hommistes invitent l’Etat du Sénégal à se conformer à ses engagements internationaux

    Dakar, 24 jan (APS) – La Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), de concert avec les organisations qui en sont membres au Sénégal, ont appelé, vendredi, à Dakar, l’Etat sénégalais à se conformer à ses engagements internationaux en matière d’avortement en cas de viol ou d’inceste, en particulier l’article 14 du protocole de Maputo autorisant cette pratique dans ces deux cas.

    L’article 14 du Protocole de Maputo engage les États-parties à prendre toutes les mesures appropriées pour protéger « les droits reproductifs des femmes, particulièrement en autorisant l’avortement médicalisé, en cas d’agression sexuelle, de viol, d’inceste et lorsque la grossesse met en danger la sante mentale et physique de la mère ou la vie de la mère et du fœtus ».

    « On demande à l’Etat du Sénégal de se conformer à ses engagements juridiques internationaux [dans ce domaine]. Ce n’est pas compliqué », a assené Joseph Faye, secrétaire général de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (LSDH), au cours d’une conférence de presse visant à présenter les conclusions et recommandations d’un rapport consacré à ce sujet.

    Intitulé « Double peine : les survivantes de viol et d’inceste contraintes de poursuivre leur grossesse au Sénégal », ce rapport a été élaboré par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) sur la situation des violences faites aux femmes, en novembre 2024.

    « A mon humble avis, s’il y a quelque chose à redresser, ce sont les dispositions de l’article 305 de la Constitution sénégalaise que le juge national continue d’appliquer en écartant les dispositions de l’article 14 du protocole de Maputo, violant ainsi les dispositions de l’article 98 de la Constitution sénégalaise qui étaient claires, en disant que les traités régulièrement ratifiés avaient une valeur supérieure à la loi », a déclaré Joseph Faye.

    « Quand on parle de ce qui est droit, on fait référence dans notre contexte à la loi. Et dans ce cas-là, c’est l’article 98 de la Constitution sénégalaise, l’article 14 du protocole de Maputo et les dispositions de l’article 305 qui condamnent l’avortement sur toutes ses formes », a défendu M. Faye.

    Joseph Faye considère que « le juge national, en continuant à appliquer les dispositions de l’article 305, viole la Constitution annonce de l’article 92 ».

    « Nous souhaitons que l’Etat du Sénégal, qui a signé et ratifié le protocole de Maputo depuis 2004, puisse l’intégrer dans l’ordre juridique national. Ne serait-ce que pour les jeunes filles qui, le matin, en quittant leurs parents pour aller à l’école, sont agressées sexuellement en cours de route et sont obligées de suspendre leur scolarité et de subir une grossesse à cette période de leur vie », a plaidé Joseph Faye.

    Oulimata Sène, juriste consultante chargé de projet à l’Association des juristes sénégalaises (AJS), estime qu’en 2025, « il est urgent que le gouvernement s’exprime sur le sujet, garantisse le respect de l’État droit et mène des actions concrètes pour la promotion et une meilleure protection des droits des femmes ».

    Le Sénégal doit cela « aux petites filles et aux femmes du pays », a ajouté Mme Sène au cours de cette rencontre avec les journalistes.

    Elle ajoute que les organisations concernées demandent à l’Etat de prendre les dispositions législatives et judiciaires nécessaires pour une meilleure protection des femmes et des filles victimes de violences physiques, sexuelles psychologiques et économiques.

    Il est également attendu de l’Etat qu’il mette un dispositif efficace d’assistance juridique et judiciaire des victimes de viols et d’inceste, notamment par la mise en place d’un service d’assistance juridique spécifiquement dédié à leur accompagnement.

    La FIDH et ses organisations membres – LSDH, NDH, RADDHO -, en partenariat avec l’AJS, saluent « les militants et militantes au courage remarquable qui continuent leur combat pour la légalisation de l’avortement médicalisé au Sénégal en cas d’inceste ou de viol, et luttent pour l’universalité des droits des femmes et des filles malgré les nombreuses menaces et attaques à leur encontre ».

    NSS/BK/SKS/OID

  • SENEGAL-FOOTBALL-COMPETITION / Coupe du Sénégal : le tirage des 16e de finale prévu lundi

    SENEGAL-FOOTBALL-COMPETITION / Coupe du Sénégal : le tirage des 16e de finale prévu lundi

    Dakar, 24 jan (APS) – Le tirage au sort des 16e de finale de la Coupe du Sénégal, toutes catégories confondues, va se dérouler, lundi, au siège de la Fédération sénégalaise de Football (FSF), a-t-on appris auprès de l’instance en charge de charge de cette discipline.

    Les 32e de finale de la Coupe du Sénégal ont été joués la semaine dernière.

    Le tenant du titre, Mbour Petite-Côte, a été sortie lors de la phase des préliminaires.

    Des équipes de l’élite, comme la Linguère de Saint-Louis, Tengueth FC, l’AS Pikine ou Dakar Sacré-Cœur, n’ont pas non plus franchi l’étape des 32e de finale.

    -Voici la liste des équipes en lice pour 16e de finale : 

    Pout SC, Espoirs Guédiawaye, Stade de Thiaroye, Builders FC, ASFA, Port, Damels de Tivaouane, US Rail, AS Kolda, Pépinière Sud, Guelwaars, Jolof Olympique Club, AS Douanes, Dakar université club, RS Yoff, Niary Tally, Étoile Lusitana, Ndiambour, AS Kaffrine, AS Saloum, Stade de Mbour, Thiès FC, Jaraaf de Dakar, AJEL de Rufisque, Génération Foot, Guédiawaye FC, US Ouakam, US Gorée, Sonacos, Wally Daan, Jamono Fatick et Casa Sports.

    BHC/BK/OID

  • VIDEO / Mbour : clôture de la campagne de signature de la charte pour une pêche durable

    VIDEO / Mbour : clôture de la campagne de signature de la charte pour une pêche durable

    La coalition nationale pour une pêche durable (CONAPED), a procédé Jeudi à Mbour (Ouest), à la clôture de sa campagne de signature de la charte pour une pêche durable élaborée autour de treize engagements destinés à promouvoir une pêche maritime durable.

  • VIDEO / Immatriculation des deux roues : ‘’18 mille demandeurs enrôlés en moins de trois semaines ‘’

    VIDEO / Immatriculation des deux roues : ‘’18 mille demandeurs enrôlés en moins de trois semaines ‘’

    Près de 18 milles demandeurs d’immatriculation ont été enrôlés en moins de trois semaines après le démarrage des opérations a appris l’APS de Yankhoba Dièmé, le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens (MITTA).

  • SÉNÉGAL-ECONOMIE-SOCIAL / Abasse Fall veut mettre la promotion de l’emploi au cœur de l’action de son département en 2025

    SÉNÉGAL-ECONOMIE-SOCIAL / Abasse Fall veut mettre la promotion de l’emploi au cœur de l’action de son département en 2025

    Mbour, 24 jan (APS) – Le ministre de l’Emploi, du Travail et des Relations avec les Institutions, Abass Fall, a déclaré que la promotion de l’emploi sera au cœur des activités de son département, au cours de l’année 2025.

    « La promotion de l’emploi sera au cœur de nos activités pour l’année 2025. Car tout le monde sait que le problème de l’emploi est extrêmement sérieux au Sénégal », a-t-il dit en présidant jeudi, à Saly (Mbour), la revue des programmes de performance de son ministère, au titre de l’année 2024.

    Il a assuré qu’au regard de ce contexte, « toutes les politiques » que son ministère va mettre en place « seront des politiques transversales à la promotion de l’emploi ».

    M. Fall a indiqué, à cette occasion, que le Qatar, un pays du Golfe où il a séjournée récemment, a octroyé au gouvernement du Sénégal un lot de mille emplois dans les domaines de la science, de la technologie et de la logistique.

    « Ce sera un premier test qui va nous permettre d’amener, au moins, 1.000 travailleurs au Qatar dans de bonnes conditions », a-t-il dit.

    Selon lui, cet exercice devrait permettre d’ »évaluer ce qui a été fait en termes de gestion de façon globale et de voir les perspectives en matière d’amélioration des programmes de performance ».

    Il considère qu’un « travail extraordinaire a été fait au niveau du ministère de l’Emploi, du Travail et des Relations avec les Institutions, malgré les très maigres moyens ».

    DOB/ADI/BK/SMD