Année : 2025

  • SENEGAL-SANTE-HUMEUR / Le Sames repart en grève les 26 et 27 février (communiqué)

    SENEGAL-SANTE-HUMEUR / Le Sames repart en grève les 26 et 27 février (communiqué)

    Dakar, 21 fév (APS) – Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) annonce avoir décidé de poursuivre son plan d’action en décrétant de nouveau une grève de 48 heures, mercredi 26 et jeudi 27 février.

    ‘’Devant l’inertie du Gouvernement face à nos revendications, le Bureau exécutif national (Ben) décide de poursuivre le plan d’action du Sames (…)’’, indique-t-il dans un communiqué de presse.

    Il signale qu’il ‘’décrète’’ par conséquent ‘’un mot d’ordre de grève générale de 48 heures avec respect strict des urgences sur toute l’étendue du territoire national, les mercredi 26 et jeudi 27 février 2025’’,

    Son bureau exécutif national ‘’demande à tous les membres du Sames de maintenir la même dynamique, jusqu’à la satisfaction totale’’ de leurs revendications.

    Le syndicat signale avoir tenu une réunion d’évaluation de sa grève, une rencontre élargie aux secrétaires généraux de zones et de sections. Le BEN félicite tous les membres du SAMES pour la forte mobilisation et le respect total du mot d’ordre de grève.

    Il rappelle qu’une rencontre a été tenue le mardi 18 février 2025 avec une délégation du ministère de la Fonction publique et de la Transformation du secteur public.

    ‘’A l’issue de cette réunion, aucune proposition concrète n’est ressortie concernant les questions soulevées dans notre plateforme revendicative. Nos interlocuteurs nous ont une fois de plus renvoyés vers le Premier ministre’’, déplore le SAMES.

    L’organisation syndicale avait observé une grève les 18 et 19 février derniers.

    NSS/ASG/SKS

     

  • AFRIQUE-HYDRAULIQUE-ASSISES-APPEL / Kampala : une experte appelle à agir d’urgence pour un accès à l’eau et à l’assainissement pour tous

    AFRIQUE-HYDRAULIQUE-ASSISES-APPEL / Kampala : une experte appelle à agir d’urgence pour un accès à l’eau et à l’assainissement pour tous

    De l’envoyé spécial de l’APS : Souleymane Gano

    Kampala, 21 fév (APS) – La responsable du plaidoyer du Programme panafricain ‘’Wateraid’’, la Sénégalaise Kiné-Fatim Diop, a exhorté, à Kampala, en Ouganda, l’ensemble des acteurs à œuvrer ensemble en urgence pour assurer un accès à l’eau et à l’assainissement pour tous.

    « L’accès à l’eau potable et à l’assainissement est un droit fondamental et un facteur clé de santé, de dignité et de développement économique. Le moment est venu d’agir d’urgence’ pour son accès à tous », a-t-elle notamment indiqué.

    Elle prenait part à un panel animé par des experts, des élus et officiel de plusieurs Etats, à l’occasion du 22ème Congrès international et exposition de l’Association africaine de l’eau et de l’assainissement (AAEA). Cette rencontre se tient en Ouganda du 16 au 20 février autour du thème : ‘’Eau et Assainissement pour tous : un avenir sûr pour l’Afrique’’. Ces assises ont pris fin jeudi. 

    « À moins de 5 ans de la réalisation de l’agenda des Objectifs de Développement Durable, il est nécessaire d’agir d’urgence sur la décentralisation fiscale pour une prestation durable de services WASH (eau, assainissement et hygiène)’’, a souligné Kiné-Fatim Diop.

    ‘’Travaillons ensemble pour assurer une décentralisation fiscale efficace pour une prestation de services WASH (eau, assainissement et hygiène), durable, inclusive et équitable pour tous, partout’’, a ajouté la responsable du plaidoyer du Programme panafricain ‘’Wateraid’’.

    Selon elle, la délégation des ressources financières et des pouvoirs de décision aux gouvernements locaux est essentielle pour garantir l’appropriation de services WASH durables et équitables pour tous, partout dans le monde.

    « Le coût de l’inaction est inacceptable. Nos dirigeants nationaux doivent donner la priorité aux investissements dans l’assainissement en allouant 0,5 % du PIB national à l’assainissement et 5 % du budget national à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène », a-t-elle souligné

    Présenté comme étant l’un des principaux événements du calendrier du secteur de l’eau, le Congrès international et l’exposition de l’Association africaine de l’Eau et de l’Assainissement rassemblent les parties prenantes et les principaux contacts du secteur conventionnel de l’eau ainsi que d’autres secteurs.

    L’AAEA est une association professionnelle qui rassemble des entités, des entreprises et des opérateurs du secteur de l’eau potable, de l’assainissement et de l’environnement en Afrique. Elle compte plus de 237 membres venant de 40 pays à travers le continent.

    Le 23ème Congrès international et exposition de l’Association africaine de l’eau et de l’assainissemen, est prévu à Yaoundé, au Cameroun.

    SG/MT/ASG

  • SENEGAL-MICROFINANCE / Les acteurs du secteur s’accordent sur un pacte pour une inclusion financière inclusive

    SENEGAL-MICROFINANCE / Les acteurs du secteur s’accordent sur un pacte pour une inclusion financière inclusive

    Dakar, 21 fév (APS) – Le ministère de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire et l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés du Sénégal (APSFD) ont signé, vendredi, à Dakar, un pacte pour l’inclusion financière universelle portant sur un financement de 687.210.625.443 francs CFA.  

    Ils disent vouloir cibler essentiellement les couches les plus vulnérables, pour ce partenariat à mettre en œuvre de 2025 à 2029.

    Il s’agira de mettre en commun des ressources issues des instruments de financement publics et des institutions de microfinance (IMF).

    ‘’On s’est rendu compte qu’il y avait beaucoup d’opportunités, une forte demande et un besoin extrêmement important des populations vulnérables’’, a dit le ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Alioune Dione.

    Le ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Alioune Dione

    Avec le pacte signé, le ministère de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire s’engage à mettre à la disposition des institutions de microfinance les ressources appropriées, sur la base de modalités prenant en compte le niveau de risque et la nature de la cible.

    ‘’En contrepartie, les IMF accorderont des prêts aux très petites entreprises, aux petites et moyennes entreprises et aux acteurs de l’économie sociale et solidaire, à des taux préférentiels, pour contrecarrer certaines pratiques en cours’’, a ajouté M. Dione.

    Il y a énormément d’opportunités et il fallait mettre en place une stratégie pour, d’une part ‘’rassurer’’ les IMF, et d’autre part permettre aux populations d’accéder à des financements à ‘’des taux préférentiels’’, selon lui.

    ‘’Il s’agit de populations vulnérables, qu’il faut aider, afin qu’elles puissent s’en sortir en menant des activités économiques pour pouvoir rembourser’’ les financements, a précisé Alioune Dione.

    Mamadou Cissé, le président de l’APSFD

    Selon lui, la microfinance occupe ‘’une place importante’’ dans les politiques publiques sénégalaises, l’économie sociale et solidaire étant ‘’une solution pertinente et cohérente’’ dans la résolution de la ‘’lancinante crise de l’emploi’’.

    ‘’L’État va faire en sorte que tous les crédits qui seront octroyés aux populations, notamment dans le cadre des activités de création de richesses, soient assurés d’un accompagnement de la stratégie de financement’’ du ministère, a poursuivi Alioune Dione.

    Il explique que cette stratégie de financement ciblé consiste à identifier la nature des financements, à les assurer et à aider les bénéficiaires à rembourser.

    M. Dione estime que l’APSFD est ‘’un acteur crédible et incontournable’’ pour permettre aux populations d’accéder à des produits et services financiers ‘’abordables et adaptés’’ à leurs besoins.

    ‘’Notre ambition, à travers ce pacte, c’est de donner à l’ensemble des Sénégalais, où qu’ils puissent être dans le pays, l’opportunité de bénéficier des services financiers de qualité’’, a dit Mamadou Cissé, le président de ladite association.

    Il signale que les institutions de microfinance qu’il représente attendent de l’État qu’il les aide à ‘’labelliser’’ ces acteurs de l’économie en leur donnant un statut leur permettant de mieux les suivre.

    ‘’Ce pacte sera respecté par les institutions de microfinance, au bénéfice des populations’’, a promis M. Cissé.

    MFD/BK/ESF

  • SENEGAL-ECONOMIE-POINT / Le vol de bétail, ‘’frein au développement de l’élevage familial’’ à Diourbel

    SENEGAL-ECONOMIE-POINT / Le vol de bétail, ‘’frein au développement de l’élevage familial’’ à Diourbel

    Diourbel, 20 fév (APS) – Des éleveurs de la région de Diourbel (centre) ont relevé la persistance du vol de bétail malgré sa criminalisation au Sénégal depuis 2017, insistant notamment sur la nécessité d’aller vers une ‘’approche globale’’ pour venir à bout de ce fléau qu’ils qualifient de ‘’frein au développement de l’élevage familial’’.

    A 24 heures de la tenue de la journée nationale de l’élevage à Kaolack, sous la présidence du chef de l’Etat, des éleveurs de la région de Diourbel interrogés par le correspondant de l’APS, ont été unanimes à souligner l’impact néfaste du vol de bétail dans le secteur.

    ‘’Nous voulons des solutions durables face au vol de bétail. Malgré les efforts déployés, le phénomène perdure avec des conséquences désastreuses’’, a dit le président de l’Association des éleveurs de Touba, en faisant allusion à l’appauvrissement des ménages et la cohésion sociale en milieu rural.

    Ilô Ba a notamment déploré le manque de surveillance, l’insuffisance des effectifs des Forces de l’ordre et la complicité de certains acteurs locaux.

    Le chef du service départemental de l’élevage de Bambey, Bassirou Ba, a aussi confirmé ‘’l’ampleur du problème’’ du vol de bétail.

    Le chef du service départemental de l’élevage de Bambey, Bassirou Ba

    ‘’Dans le département de Bambey, nous enregistrons en moyenne un vol d’une dizaine de petits ruminants tous les deux jours. En janvier dernier, 15 cas ont été recensés, et 12 autres depuis le début du mois de février », a-t-il relevé.

    Les communes de Réfane, Gawane, Thiakhar, Ngogom et Ngoye sont, selon lui, les localités les plus touchées par le vol de bétail, devenu un phénomène dans la région de Diourbel.

    M. Ba a aussi fait observer les conséquences de ce fléau sur les entrepreneurs, qui veulent se lancer dans l’embouche bovine et ovine.

    A ce propos, Elimane Diouf, un autre éleveur de la région, a fait ce témoignage : ‘’on m’a volé un taureau que j’aurais pu vendre à 600 000 francs CFA. Depuis, j’ai perdu toute motivation à investir dans l’élevage’’.

    Des puces électroniques pour l’identification du bétail

    Outre les pertes financières, ce phénomène entraîne également une baisse de la production de lait et de viande dans la région. L’insécurité croissante pousse certains éleveurs à abandonner leurs activités et à migrer vers les centres urbains, indiquent plusieurs d’entre eux.

    Le président des éleveurs de Touba, Ilô Ba a préconisé une approche globale pour éradiquer le fléau, à travers le renforcement des mesures de sécurité et la création de brigades spécialisées.

     Il a aussi émis l’idée d’une  »identification systématique » du bétail par des puces électroniques et le marquage des bêtes pour faciliter la traçabilité en cas de vols.

    De son point de vue, la lutte contre le vol de bétail nécessite une  »synergie » entre l’État, les forces de sécurité, les éleveurs et la société civile.

    Il s’agira, selon lui, de prendre des  »mesures urgentes » pour protéger une activité économique essentielle en milieu rural. 

    Le secrétaire général de la maison des éleveurs de Diourbel, Mbare Fogui Fall, a pour sa part plaidé pour une  »application stricte » des sanctions prévues par la loi criminalisant le vol de bétail depuis 2017 au Sénégal.

    « La loi criminalisant le vol de bétail existe, mais son application reste insuffisante. Il faut des peines dissuasives pour lutter efficacement contre ce fléau », dit-il.

    Le chef du service départemental de l’élevage de Bambey, Bassirou Ba a encouragé les éleveurs à aller vers la mise en place de  »comités de surveillance » pour la sécurisation de leurs troupeaux.

    Il a également préconisé le construction de ranchs sécurisés afin de limiter les risques de vol.

    MS/SMD/ASB/ABB

  • VIDEO / New Deal Technologique : le Sénégal à l’heure de l’IA

    VIDEO / New Deal Technologique : le Sénégal à l’heure de l’IA

    Le Sénégal s’est doté d’une « Stratégie nationale sur l’Intelligence artificielle », visant à assurer une utilisation éthique et responsable de l’IA. Malgré, cette feuille de route, notre pays est bien en retard dans ce domaine selon Seydina Moussa Ndiaye, expert en intelligence Artificielle et directeur du programme Force-N à l’université virtuelle du Sénégal (UVS). Il espère qu’avec le New deal technologique qui vise à transformer le service public en le rendant plus moderne, que le Sénégal, pourra résolument se tourner vers l’avenir.
  • SENEGAL-SANTE / Deux cas d’intoxication par ingestion d’Ascabiol reçus au Centre anti-poison

    SENEGAL-SANTE / Deux cas d’intoxication par ingestion d’Ascabiol reçus au Centre anti-poison

    Dakar, 21 fév (APS) – Le Centre anti-poison (CAP) informe avoir reçu, cette semaine, deux cas d’intoxication causés par l’usage d’un produit d’usage externe dénommé Ascabiol.

    ‘’Chers docteurs, le Centre anti-poison a reçu, au cours de cette semaine, deux cas d’intoxication par ingestion de Ascabiol (Benzoate de benzyle), un produit d’usage externe’’, indique-t-il dans une note d’information et d’alerte à l’attention des pharmaciens d’officine en date du jeudi 20 février 2025.

    Le chef du CAP, Pr Mamadou Fall, alerte sur le fait que ‘’ces cas d’intoxication par erreur thérapeutique sont devenus fréquents’’.

    ‘’Nous voudrions ainsi attirer l’attention des pharmaciens afin d’expliquer davantage aux patients le mode d’utilisation des médicaments dispensés’’, insiste cette structure rattachée au ministère de la Santé.

    Le Centre anti-poison rappelle qu’’’une plus grande vigilance lors de la dispensation de médicaments, avec ou sans prescription médicale, est garante du bon usage de ces derniers’’.

    Logé à l’hôpital Fann, le CAP a pour mission d’assurer la prévention et la prise en charge des intoxications causées par les substances étrangères à l’organisme humain sans valeur nutritive et possédant des propriétés toxiques, notamment les produits de santé, les pesticides, les produits ménagers, les produits industriels et les plantes ».

    HK/ASG/SKS

  • SENEGAL-ENTREPRENEURIAT / Une journée d’informations sur les opportunités d’insertion professionnelle des jeunes à Guédiawaye

    SENEGAL-ENTREPRENEURIAT / Une journée d’informations sur les opportunités d’insertion professionnelle des jeunes à Guédiawaye

    Dakar, 21 fév (APS) – Le Consortium Jeunesse Sénégal (CJS) organise, ce vendredi, à Guédiawaye, dans la banlieue dakaroise, une journée dédiée aux opportunités d’emploi qui s’offrent aux jeunes dans les domaines de l’environnement, de la culture, du sport et de l’entrepreneuriat, indique un communiqué transmis à l’APS.

    Plusieurs activités sont prévues, notamment des tables-rondes et performances artistiques, afin de mettre en lumière les jeunes talents formés, et d’encourager les jeunes à aller plus loin dans leur parcours d’engagement et d’entrepreneuriat, ajoute le texte.

    ‘’Cette journée reviendra également sur l’impact du projet, mais permettra surtout de connecter les jeunes aux multiples initiatives portées par le CJS et d’élargir leur horizon vers de nouvelles opportunités de financement, d’accompagnement et de formation’’, lit-on dans le communiqué.

    La rencontre d’aujourd’hui s’inscrit dans le cadre du projet Gued’Beach, soutenu et financé par plus de 50 associations locales pour animer les plages à travers des activités sportives, culturelles et citoyennes durant les vacances.

    D’après le communiqué, Gued’Beach a permis à des centaines de jeunes de se former dans des secteurs, comme le management sportif et culturel, l’horticulture biologique, le maraîchage, la restauration et la pratique d’instruments de musique traditionnelle.

    ‘’Ce projet a également créé des opportunités économiques concrètes en équipant des jeunes cuisiniers en cantines mobiles et en accompagnant la création de toits verts pour encourager le micro-jardinage, ajoute la même source.

    “Grâce à Gued’Beach, j’ai pu créer mes propres tables de micro-jardinage à la maison, et avec d’autres jeunes nous avons créé un GIE [Groupe d’intérêt économique] pour lancer une activité de culture et de vente de légumes bio. Cela nous permet de générer des revenus et de promouvoir une agriculture durable”, a fait savoir Adama Dramé, membre du GIE And Suqali Sunu Mbay, cité dans le texte.

    Le CJS fédère 18 organisations engagées dans la participation citoyenne, le volontariat, l’éducation populaire et l’accompagnement entrepreneurial des jeunes.

    Il favorise l’inclusion, l’apprentissage et l’autonomisation des jeunes partout au Sénégal, grâce notamment à son programme Yaakaar, qui a pour objectif d’informer, d’engager et d’outiller un million de jeunes d’ici 2030, indiquent ses fondateurs.

    CMS/ABB/SMD/ASG

  • SENEGAL-ENERGIE / Hydrocarbures : Birame Soulèye Diop dit être satisfait de la qualité des unités de stockage du Port de Dakar

    SENEGAL-ENERGIE / Hydrocarbures : Birame Soulèye Diop dit être satisfait de la qualité des unités de stockage du Port de Dakar

    Dakar, 21 fév (APS) – Le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Birame Souleye Diop, a assuré, jeudi, être satisfait de la qualité des unités de stockage d’hydrocarbures du Port de Dakar.

    ‘’Nous sommes satisfaits de la première partie de notre visite’’, a dit M. Diop après avoir visité ces unités de stockage.

    La semaine prochaine, il va visiter celles de la Société africaine de raffinage à Mbao et d’autres à Sendou, dans la région de Dakar.

    ‘’Notre visite consiste à faire un état des lieux et un diagnostic du sous-secteur des hydrocarbures’’, a-t-il affirmé, ajoutant qu’il s’agit aussi de ‘’renforcer les capacités du Sénégal’’ en matière de stockage et de distribution de produits pétroliers.

    Le stockage et la ‘’sécurisation’’ des approvisionnements sont ‘’une priorité’’ pour les autorités sénégalaises, a souligné Birame Souleye Diop.

    Le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines assure que le pays va augmenter ses capacités dans ce domaine.

    Le Sénégal, un nouveau producteur de pétrole, aspire à distribuer des hydrocarbures à un coût abordable, selon M. Diop.

    CS/SBS/ASB/ESF/MT

  • VIDEO / Souveraineté numérique : le Sénégal veut compter sur ses propres ressources

    VIDEO / Souveraineté numérique : le Sénégal veut compter sur ses propres ressources

    Le Sénégal veut compter sur ses propres ressources pour mener à bien des projets à fort potentiel économique avec le lancement du projet  »New deal technologique », a expliqué Mouhamed Tidiane Seck, expert en TIC. Le Consultant international est revenu sur le « New Deal Technologique » qui permettra une maitrise de la chaine, de la conception des infrastructures technologiques au stockage en passant par le développement des applications.

  • SENEGAL-AFRIQUE-ORGANISATIONS / Présidence de la BAD : cinq candidatures retenues, dont celle d’Amadou Hott

    SENEGAL-AFRIQUE-ORGANISATIONS / Présidence de la BAD : cinq candidatures retenues, dont celle d’Amadou Hott

    Dakar, 21 fév (APS) – La Banque africaine de développement (BAD) a publié, vendredi 21 février, une liste officielle comprenant les noms de cinq candidats à l’élection du président de ladite institution, dont ceux du Sénégalais Amadou Hott et du Mauritanien Sidi Ould Tah.

    Les noms du Zambien Maimbo Samuel Munzele, du Tchadien Abbas Mahamat Tolli et de la Sud-Africaine Tshabalala Bajabulile Swazi figurent également sur la liste publiée par le site Internet de la Banque africaine de développement.

    Les candidatures de ces cinq personnalités ont été examinées et retenues par le comité directeur du conseil des gouverneurs de la BAD.

    L’élection du président de la Banque africaine de développement aura lieu le 25 mai prochain à Abidjan, où se trouve le siège de l’institution dirigée depuis 2015 par le Nigérian Adesina Akinwumi.

    CS/ESF/ASG