Année : 2025

  • SENEGAL-MONDE-CULTURE / Le Musée des civilisations noires dit vouloir consacrer 2025 à la célébration des femmes noires

    SENEGAL-MONDE-CULTURE / Le Musée des civilisations noires dit vouloir consacrer 2025 à la célébration des femmes noires

    Dakar, 13 jan (APS) – Le Musée des civilisations noires de Dakar a fait part de son intention de « consacrer »  l’année 2025 à la célébration des femmes noires dans l’objectif ‘’de rendre visible leur rôle central dans l’histoire’’.

    ‘’Le Musée des civilisations noires propose de consacrer l’année 2025 à la célébration des femmes noires, afin de rendre visible leur rôle central dans l’histoire, la culture et l’art, ainsi que dans de nombreux autres domaines’’, a fait savoir le MCN dans sa newsletter.

    Il rappelle à cet égard que  »les femmes noires ont toujours été et demeurent des gardiennes du patrimoine, des traditions et des savoirs’’‘.

    Elles ont toujours été  »pilier incontournable dans le tissu culturel, social et politique des civilisations africaines et diasporiques ».

    Un dossier sera consacré à la programmation de cette célébration des femmes noires dans le numéro zéro de la newsletter à paraitre début février, annonce le musée.

    Il lance un appel à contribution pour un dossier sur les ‘’Femmes noires dans l’art et l’art des femmes noires’’.

    Les participants ont jusqu’au 22 janvier prochain. Ils doivent proposer des portraits, des biographies d’artistes féminins ou de professionnels des musées, des commentaires sur des œuvres (peinture, sculpture, installation, photographie, performance, etc.), qui parlent de femmes noires.

    Ils ont aussi la possibilité de présenter des textes sur la manière dont les femmes noires sont représentées dans les musées et sur la notion de matrimoine, etc.

    Il est exigé d’eux une clarté, une précision, et une simplicité pédagogique pour une compréhension à l’endroit du grand public des articles à envoyer à redaction@mcn.sn.

    La longueur des textes doit être compris en 1500 et 3000 signes maximum, précise le MCN.

    FKS/ASG

  • SENEGAL-EDITION-CINEMA / Présentation d’un ouvrage collectif sur le cinéaste Sembène Ousmane à l’UGB, le 22 janvier

    SENEGAL-EDITION-CINEMA / Présentation d’un ouvrage collectif sur le cinéaste Sembène Ousmane à l’UGB, le 22 janvier

    Dakar, 13 jan (APS) – L’ouvrage collectif dédié au cinéaste sénégalais Sembène Ousmane (1923-2007) sera présenté dans le cadre d’une journée d’études prévue le mercredi 22 janvier prochain, à partir de 10 heures, à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, a annoncé le coordonnateur du Groupe d’études cinémas du réel africain (Grecirea), Professeur Delphe Kifouani.

    Intitulé ‘’Sembene Ousmane Hétérotopie des possibles’’, cet ouvrage édité en 2024 par la maison d’édition ‘’Présence Africaine’’ (Revue culturelle du monde noir), a été produit dans le cadre du colloque du centenaire de Sembène Ousmane.

    L’UGB a abrité du 18 au 20 mai un colloque sur le centenaire du cinéaste Sembène Ousmane (1923-2007), à l’initiative de l’Unité de formation et de recherche Civilisation arts et culture].

    Le livre regroupe une dizaine de contributions d’intellectuels du monde dirigé par le professeur Delphe Kifouani.

    Selon les organisateurs, la journée d’études, dont le thème est ‘’Transmettre Sembene Ousmane’’, invite à ‘’la réflexion autour de la notion de transmission à laquelle on peut adjoindre celle d’héritage’’.

    ‘’En les [Transmission et héritage] reliant pour évoquer Sembene Ousmane, nous voulons nous intéresser aux échos et résonnances actuels et à venir d’une œuvre protéiforme : Quel(s) héritage(s) à l’œuvre chez Sembene Ousmane et qu’en faisons-nous ? ; Qu’est-ce qui est transmis, transmissible et non transmissible dans cette œuvre ? ; De quelles manières Sembene Ousmane a-t-il transmis ce dont il a hérité ; comment et par quelles démarches le faire à notre tour ?’’, expliquent les initiateurs.

    FKS/ASG

  • SENEGAL- MONDE-EDUCATION-ENJEUX / Les épistémologies du Sud, au menu d’un séminaire à l’UCAD

    SENEGAL- MONDE-EDUCATION-ENJEUX / Les épistémologies du Sud, au menu d’un séminaire à l’UCAD

    Dakar, 13 jan (APS) – L’université Cheikh Anta Diop de Dakar accueille depuis lundi un séminaire international de cinq jours dont la préoccupation centrale porte sur la diversité épistémologique du monde, avec en toile de fond l’immense variété des savoirs, scientifiques, vernaculaires, ancestraux, religieux, profanes, indigènes, féministes, de modes d’habiter la terre.

    « Les épistémologies du sud comme politique de connaissances », est le thème central de la rencontre scientifique qui sera introduite par l’universitaire et sociologue portugais, Boaventura De Sousa Santos. Les travaux académiques de ce dernier appellent à un dialogue interculturel et à l’intégration d’expériences et de formes de connaissances diverses pour renouveler les sciences sociales.

    Il s’agira, selon les organisateurs, de s’inscrire dans une « approche pluridisciplinaire et pluri culturelle », en faisant dialoguer plusieurs domaines du savoir : anthropologie, sociologie, philosophie, histoire, droit, sciences de l’éducation, écologique politique, esthétique, médecine.

    Les initiateurs insistent aussi sur l’enrichissement mutuel de différentes politiques de connaissances, à travers « la reconnaissance, la mise en résonance, l’hybridation et la créolisation des connaissances, à travers des processus de combinaison de coprésences et de transformation réciproque des écologies de savoirs ».

    Les épistémologies du Sud renvoient essentiellement à la manière dont les savoirs et visions du monde des peuples du Sud sont restés « ignorés, invisibilisés et infériorisés », indique-t-on.

    « Nous sommes ici dans une initiative que je pense innovatrice, c’est de nous solidariser et de participer comme nous pouvons dans un processus de rénovation qui se passe au Sénégal et qui va être aussi de renouveler et réformer les institutions d’éducation, de toute l’éducation, mais particulièrement de l’université », a fait savoir le professeur Boaventura De Sousa Santos, évoquant la nécessité d’une « certaine rupture avec le passé ».

    Le sociologue s’est notamment attardé sur « les connaissances exclues de l’université et (des systèmes) d’éducation et d’autres langues exclues qui doivent être intégrées ».

    La chercheure et agro-pédologue, Rokhaya Daba Fall, a invité à prendre en considération la notion de sociologie des différences et celle des similarités, notant que « (…) ce n’est pas pour diviser, mais pour tenir compte des différences afin de pouvoir bâtir, justement, des complémentarités ».

    « C’est une initiative formidable d’avoir cette éminence (Boaventura De Sousa Santos) sur les épistémologies du Sud en face de nous, et nous parler de toute la théorie qui tourne autour de cette façon de voir qui est très importante face à ce qu’on a connu, là où on nous a moulés par l’éducation, c’est-à-dire tout ce qui est venu du Nord », s’est réjouie Mme Fall.

    « Je ne dis pas qu’on doit rejeter le tout, mais il faut nécessairement qu’on se batte contre les oublis de l’histoire qui touchent beaucoup plus l’Afrique subsaharienne », a martelé l’ancienne directrice général de l’Institut national de pédologie.

    AFD/SMD/ADL/ASG

  • SENEGAL-EDUCATION / Projet PAPSE : 58 daaras sélectionnés à Diourbel

    SENEGAL-EDUCATION / Projet PAPSE : 58 daaras sélectionnés à Diourbel

    Diourbel, 13 jan (APS) – Cinquante-huit ‘’daara’’ (écoles coraniques) ont été sélectionnés dans la région de Diourbel (centre) dans le cadre du Projet d’amélioration des performances du système éducatif (PAPSE), a appris l’APS de l’inspection d’académie de Diourbel.

    « Aujourd’hui, il s’agissait de sélectionner les 58 daara de la région de Diourbel qui doivent être accompagnés dans le cadre du projet d’amélioration des performances du système éducatif (PAPSE) », a expliqué le secrétaire général de l’inspection d’académie de Diourbel, Modou Ndiaye.

    Il a’assuré que ‘’le tirage s’est fait en toute transparence en présence de toutes les familles d’acteurs ».

    Onze daaras ont été sélectionnés à Bambey, quatre à Diourbel et 43 dans le département de Mbacké, a expliqué M. Ndiaye.

    Il intervenait à la fin de la rencontre de sélection des daara en présence des maîtres coraniques, des ‘’ndeyu daara’’ (marraine des écoles coraniques) et des imams et acteurs du système éducatif.

    Le chef de la division de la planification et des statistiques à la direction des Daara, Babacar gaye, précise que les daara sélectionnés dans le cadre du projet PAPSE vont bénéficier de davantage de paquets de services.

    Ces parquets services incluent notamment le recrutement d’un prestataire chargé de dispenser des cours de français, de mathématiques et l’initiation aux sciences et à la technologie.

    Babacar Gaye a ajouté que ces daara vont également bénéficier d’un accompagnement sur plan sanitaire et nutritionnel avec la création d’une cantine scolaire pour les pensionnaires.

    Les prestataires vont bénéficier d’un renforcement de leurs capacités, a-t-il poursuivi. Il a aussi annoncé que les maîtres coraniques seront outillés dans le domaine de la gestion pour assurer le bon fonctionnement des comités de gestion des daara.

    Il a rappelé que l’objectif du PAPSE consiste à renforcer la qualité des enseignements-apprentissage dans les daara qui, selon lui, constituent un pilier important de notre patrimoine éducatif.

    Le projet d’amélioration des performances du système éducatif a l’ambition d’accompagner 600 daara à l’échelle nationale.

    MS/ASG

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-DEVELOPPEMENT / Programme USAID Gold : la deuxième phase lancée à Tambacounda

    SENEGAL-COLLECTIVITES-DEVELOPPEMENT / Programme USAID Gold : la deuxième phase lancée à Tambacounda

    Tambacounda, 13 jan (APS) – L’adjoint au gouverneur de la région de Tambacounda chargé du développement, Diarryatou Ndiaye, a procédé lundi au lancement de la deuxième phase du Programme gouvernance locale pour le développement, également appelé USAID Gold Plus, dont l’objectif est d’accompagner les collectivités territoriales dans la mobilisation de ressources.

    La première phase de ce programme a été déroulée de 2016 à 2023, a rappelé Mme Ndiaye lors d’un comité régional de développement (CRD) tenu en présence de plusieurs autorités administratives et locales des zones d’intervention du projet.

    La deuxième phase du Programme gouvernance locale pour le développement sera mise en œuvre au cours de la période 2024-2028, a précisé l’adjoint au gouverneur de Tambacounda chargé du développement.

    Selon Diarryatou Ndiaye, avec le lancement de sa deuxième phase, ce programme pourra accompagner la mise en œuvre du nouveau référentiel des politiques publiques « Sénégal 2050 ».

     »C’est un programme qui est déjà engagé aux côtés de l’État du Sénégal pour l’accompagner dans le nouveau référentiel Sénégal 2050 et l’acte 3 de la décentralisation », a-t-elle salué.

    Selon les termes de référence du programme, le projet USAID Gold Plus vise à accompagner les acteurs territoriaux dans la mobilisation des ressources et dans la gestion transparente et participative des affaires.

    Le programme veut augmenter l’efficacité et la responsabilité des acteurs locaux dans la mobilisation des ressources et la fourniture de services équitables et de qualité aux citoyens.

    USAID Gold ambitionne également de contribuer à accroître la légitimité, la crédibilité et la qualité de l’engagement entre les populations locales et leur gouvernement, à travers une augmentation des recettes locales et en favorisant le développement inclusif, notamment par la consolidation des prestations de services.

    Le programme Gold, financé par l’USAID, est piloté par World Vision Sénégal et mis en œuvre par un consortium de six ONG, indique-t-on.

    Il s’étale sur quatre années, du 15 juillet 2024 au 14 juillet 2028, et intervient dans les régions de Kolda, Sédhiou, Kédougou, Tambacounda, Ziguinchor et Dakar.

    ABD/BK/SMD/ASG

  • MONDE-EDUCATION / Promotion des femmes : le Sénégal mise sur des programmes éducatifs adaptés

    MONDE-EDUCATION / Promotion des femmes : le Sénégal mise sur des programmes éducatifs adaptés

    Dakar, 13 jan (APS) – Le Sénégal mise sur des programmes adaptés pour réduire les inégalités de genre dans l’accès à l’éducation et promouvoir l’autonomisation des femmes, a déclaré Mor Loume, conseiller spécial du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

    Mor Loume conduisait la délégation sénégalaise lors du sommet international de deux jours pour l’éducation des filles dans les communautés musulmanes, tenu ce week-end au Pakistan, avec la participation de 47 pays.

    « Le gouvernement du Sénégal, dans le cadre de sa politique d’éducation, a mis un accent particulier sur l’encouragement de l’éducation des filles. Cette initiative vise à réduire les inégalités de genre dans l’accès à l’éducation et à promouvoir l’autonomisation des femmes à travers des programmes éducatifs adaptés », a dit le chef de la délégation dans son discours à l’ouverture de la rencontre.

    « L’éducation est le fondement sur lequel repose l’avenir de toute société. Elle est non seulement un droit fondamental, mais également un levier essentiel pour le progrès économique, social et culturel », a dit M. Loume, dont les propos sont rapportés dans un communiqué.

    Selon Mor Loume, aucune nation « ne peut prospérer sans un système éducatif solide, inclusif et équitable qui prépare ses citoyens à relever les défis du monde moderne ».

    À l’ouverture du sommet, samedi, le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a souligné que le monde musulman se trouve confronté à des défis importants pour garantir un accès équitable à l’éducation pour les filles.

    Le sommet devait sceller, à travers une Déclaration dite d’Islamabad, « l’engagement commun de la communauté musulmane à rendre autonome les filles via l’éducation, ouvrant la voie à des réformes éducatives inclusives et durables, et à un avenir meilleur pour les générations à venir ».

    ADL/BK/ASG

  • VIDEO / Des populations de Pout et Keur Moussa dénoncent la reprise des activités de l’usine de recyclage du plomb

    VIDEO / Des populations de Pout et Keur Moussa dénoncent la reprise des activités de l’usine de recyclage du plomb

    Des populations des villages rattachés aux communes de Pout et Keur Moussa, dans le département de Thiès, dénoncent la reprise des activités de l’usine de recyclage de plomb installée à Ndiakhate, a constaté l’APS. Elles se sont réunies dimanche à Palal, un village de la zone,  »pour déplorer et dénoncer » la reprise des activités de cette usine, source de pollution.

  • VIDEO / Crue du fleuve Sénégal : des kits scolaires et des denrées alimentaires offerts aux sinistrés

    VIDEO / Crue du fleuve Sénégal : des kits scolaires et des denrées alimentaires offerts aux sinistrés

    La Fondation Marie Louise Mimran a offert des denrées alimentaires et des kits scolaires d’une valeur de trois millions cinq cent mille francs CFA à des habitants de la commune de Guédé village (Podor, nord) impactés par le débordement du fleuve Sénégal, en septembre dernier.

  • VIDEO / Appel 2025 : le comité d’organisation fait le point avec les services de l’Etat

    VIDEO / Appel 2025 : le comité d’organisation fait le point avec les services de l’Etat

    Les services de l’Etat se sont engagés pour une organisation ‘’parfaite’’ de la 145ème édition de la commémoration de l’Appel de Seydina Limamou Lahi prévue les 30 et 31 janvier 2025. Au cours d’un Comité régional de développement (CRD) tenu lundi à la gouvernance de Dakar, le comité d’organisation de cet événement religieux a exposé toutes les préoccupations et doléances devant les services de l’Etat.
    Ces derniers ont promis de ‘’ne pas lésiner sur les moyens techniques, financiers et sécuritaires pour un bon déroulement de la manifestation religieuse avant, pendant et après l’évènement’’. Le gouverneur de Dakar a promis de faire le suivi des engagements de l’Etat.
  • SENEGAL-ECONOMIE-COLLECTIVITES / L’intégration du digital dans les secteurs de l’économie au menu de la Foire internationale de Kaolack

    SENEGAL-ECONOMIE-COLLECTIVITES / L’intégration du digital dans les secteurs de l’économie au menu de la Foire internationale de Kaolack

    Kaolack, 13 jan (APS) – La neuvième édition de la Foire internationale de Kaolack (FIKA), prévue du 23 janvier au 9 février 2025, se tiendra sur le thème ‘’L’intégration du digital dans les secteurs de l’économie : enjeux et perspectives’’, a appris l’APS des organisateurs, lundi, lors d’un comité régional de développement.

    Présentée comme un évènement économique majeur de la région de Kaolack (centre), la FIKA réunit, chaque année, des acteurs nationaux et internationaux autour d’opportunités commerciales et d’innovations.

    L’édition de 2025 va explorer comment le digital peut transformer des secteurs clés tels que l’agriculture, le commerce, l’industrie, l’éducation et bien d’autres domaines d’activité, renseignent les organisateurs.

    Elle s’articulera autour d’un programme riche et varié, avec notamment des expositions de produits locaux, des innovations technologiques sur l’artisanat et d’autres services innovants. Elle verra la participation de plus de 350 000 visiteurs et de 800 exposants de 25 pays venant de divers secteurs, indique-t-on.

    Le comité régional de développement (CRD) s’est tenu sous la présidence du gouverneur de la région de Kaolack, Mohamadou Moctar Watt. Il s’est agi de discuter des dispositions prises pour un bon déroulement de cette foire dont le Pakistan est le pays ‘’invité d’honneur’’.

    Selon la première adjointe au maire de la commune de Kaolack, Ndiaya Mbow, la FIKA est une ‘’vitrine extraordinaire’’ pour la région de Kaolack.

    ‘’Bien que cette édition va porter sur le digital et son impact sur l’économie, nous allons fortement débattre du référentiel Sénégal 2050, notamment de l’agenda de transformation des politiques publiques’’, a expliqué la responsable commerciale et marketing de la foire.

    Elle a ajouté que la FIKA ne sera pas seulement une foire commerciale mais aussi un rendez-vous festif et culturel à travers une série d’évènement spéciaux.

    Des foras, ateliers et autres conférences thématiques seront organisés pour explorer les défis et opportunités liés à l’adaptation du numérique. Ces sessions permettront aux participants de découvrir des solutions innovantes pour améliorer la productivité et la compétitivité de leurs entreprises.

    Une journée sera dédiée aux femmes s’activant dans l’entrepreneuriat, à travers l’organisation d’un forum de l’autonomisation des femmes, a précisé Ndiaya Mbow, membre du comité d’organisation de cette activité.

    Le gouverneur de Kaolack, Mohamadou Moctar Watt, affirme qu’au-delà de son rôle de marketing territorial, cette foire est une opportunité pour l’ensemble des opérateurs économiques de la région.

    L’autorité administrative a beaucoup insisté sur la sécurité, l’assainissement, la prévention des risques et la fluidité de la circulation autour du complexe ‘’cœur de ville’’ de Kaolack, qui abrite la foire.

    ADE/ASG/SMD