Année : 2025

  • SENEGAL-RELIGION / Gamou de Médina Niassène : le Khalife de la famille de Serigne Mbaye Niass insiste sur l’importance du respect mutuel

    SENEGAL-RELIGION / Gamou de Médina Niassène : le Khalife de la famille de Serigne Mbaye Niass insiste sur l’importance du respect mutuel

    Keur Madiabel (Kaolack), 5 jan (APS) – Le khalife de la famille de Serigne Mbaye Niass de Médina Niassène, dans la commune de Keur Madiabel (département de Nioro du Rip), a insisté, samedi, sur l’importance du respect mutuel dans la construction d’une nation prospère et stable.

     »Le respect mutuel entre citoyens sénégalais est plus que nécessaire, si nous voulons bâtir un pays prospère et stable où règnent la paix, la concorde et la cohésion sociale’’, a notamment dit Cheikh Mouhamadoul Mahi Serigne Mbaye Niass.

    Il s’exprimait à l’occasion de la cérémonie officielle de la 77ème édition du Gamou de Médina Niassène, dans la commune de Keur Madiabel dont le thème a porté sur : ‘’Le Khalifat soufi au Sénégal’’.

    En présence du khalife général de Médina Baye, Cheikh Mouhamadoul Mahi Ibrahima Niass, de son porte-parole Cheikh Mouhamadoul Mahi Alioune Cissé, du préfet du département de Nioro du Rip, Ibrahima Fall, entre autres personnalités, il a appelé à  »s’inspirer des enseignements et des valeurs de nos grands érudits basés sur les préceptes de l’Islam et les recommandations du prophète Mohamed (PSL)’’.

    Le guide religieux membre de la famille de Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niass dit Baye (1900-1975) a mis en exergue l’importance de l’éducation, des valeurs de civisme, de citoyenneté et de patriotisme.

    Venu représenter le gouvernement à la tête d’une forte délégation, le préfet du département de Nioro du Rip, Ibrahima Fall, a indiqué que les œuvres léguées par les grands érudits du Sénégal, comme Baye Niass et son frère Serigne Mbaye Niass, sont aujourd’hui plus que jamais utiles pour promouvoir les grandes valeurs.

     »Cette stabilité sénégalaise vantée partout dans le monde a été rendue possible par les enseignements des érudits de notre pays’’, a déclaré le préfet qui a sollicité des autorités religieuses des prières pour la paix au Sénégal et dans le reste du monde.

    ADE/OID/ABB

  • SENEGAL-NECROLOGIE / Bassirou Diomaye Faye à Bambey pour présenter ses condoléances au ministre de la Microfinance

    SENEGAL-NECROLOGIE / Bassirou Diomaye Faye à Bambey pour présenter ses condoléances au ministre de la Microfinance

    Bambey, 5 jan (APS) – Le président de la République Bassirou Diomaye Faye s’est rendu dimanche, à Bambey (centre) pour présenter ses condoléances et celles de la nation au ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire Alioune Dione, suite au décès de son épouse.

    Arrivé peu avant 11 heures, le chef de l’État a été accueilli par le gouverneur de la région de Diourbel, Ibrahima Fall, le préfet de Bambey, Mme Ndeye Aïssatou Touré Ba, les élus locaux, les autorités militaires et paramilitaires de la région et Serigne Mame Mor Mbacké, petit-fils de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, le fondateur de la confrérie mouride.

    Le président Faye était accompagné d’une délégation gouvernementale composée de son directeur de cabinet, Mary Teuw Niane, Cheikh Diba, ministre des Finances et du Budget, Moussa Bala Fofana, ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et l’Aménagement des territoires, Pape Mada Ndour, ministre chef de cabinet du président de la République, Ousseynou Ly, ministre conseiller, porte-parole de la présidence.

    Dans son discours, le chef de l’État aye a compati à la douleur d’Alioune Dione avant de prier pour le repos éternel de l’âme de la défunte.

    Mame Diarra Tine, épouse du ministre de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire, décédée jeudi, à Thiès, des suites d’une maladie a été inhumée le même jour à Touba.

    MS/ABB/OID

  • SENEGAL-MEDIAS-PROFIL / Babacar Ndiaye, l’agencier à la carrière bien remplie

    SENEGAL-MEDIAS-PROFIL / Babacar Ndiaye, l’agencier à la carrière bien remplie

    +++Par Alioune Diouf+++

    Thiès, 5 jan (APS) – L’ancien journaliste Babacar Ndiaye, décoré de la Grand-Croix dans l’Ordre national du Lion, le 20 décembre dernier par le président de la République Bassirou Diomaye Faye, après avoir servi pendant 35 ans dans la quasi-totalité des bureaux régionaux de l’Agence de presse sénégalaise (APS), s’honore d’avoir touché le plafond en termes de distinctions, après une carrière d’agencier bien remplie.

    « J’ai roulé ma bosse partout. Il n’y a que Louga et Saint-Louis qui ont échappé [à mon parcours de journaliste] », lance, non sans fierté, Babacar Ndiaye, ancien chef de bureau et correspondant de l’APS dans la plupart des régions du pays.

    C’est en homme comblé que celui dont le nom a longtemps été associé à l’APS, reçoit dans un douillet salon chez lui au quartier 10e, à Thiès (ouest).

    Pour avoir passé plus de trois décennies d’une carrière de journaliste bien remplie, Babacar Ndiaye APS, est devenu une icône de la presse sénégalaise.

    Même s’il n’est pas homme à s’encombrer de gloriole, sa décoration dans l’Ordre national du Lion lui est allée droit au cœur, surtout qu’il l’a reçue de la plus haute autorité du pays, en présence de son fils qui l’accompagnait et d’anciens confrères et amis, dont l’ancien directeur général de l’APS, Mamadou Koumé.

    « C’est un grand honneur que le président de la République m’a accordé, parce qu’il faut reconnaître que c’est la distinction la plus élevée dans l’Ordre national du Lion, dit-il. Avec cette distinction, j’ai touché le plafond des décorations que je pouvais recevoir ».

    Arborant en diagonale le ruban vert qui soutient sa décoration, un pendentif doré, et une autre médaille épinglée à la poitrine qu’il avait reçue de l’ancien président Macky Sall, il ne manque pas de remercier le grand chancelier de l’Ordre national du Lion, le général Meïssa Sellé Niang, à l’origine de cette nouvelle marque de reconnaissance, ainsi que tous les membres de la chancellerie. 

    A 77 ans, l’homme de grande carrure, à la barbe toute blanche, jadis très dynamique, commence à sentir le poids de l’âge.

    Depuis sa retraite en 2008, ce père de quatre garçons, dont l’un vit aux Etats-Unis et l’autre travaille dans les mines d’or de Sabodala, habite dans sa maison sise dans le verdoyant quartier 10e de la capitale du rail, aux côtés de son épouse. La  parfaite complicité entre les deux saute aux yeux du visiteur.

    « Mère Ndiaye, ce ne sont pas mes verres, mais les tiens », lui lance-t-elle, après avoir mis les lunettes qu’elle vient juste de lui remettre avant l’entretien.  »Je lui dis qu’elle a vieilli, mais elle refuse de l’admettre“, rigole le doyen dont le sens de l’humour n’a pas pris une ride.

    « J’ai fait pratiquement tous les bureaux régionaux. Je me réjouis de ce parcours. J’ai servi sans arrière-pensée et avec abnégation et beaucoup d’engagement », dit ce journaliste à la retraite, qui a intégré l’APS en 1973.

    Après Dakar, à la rédaction centrale, il a été chef de bureau à Tambacounda [est], à Ziguinchor [sud], alors capitale de la Casamance naturelle, à Fatick [centre], en 1974, à Diourbel [centre] cumulé à Thiès, où il a fait quatre allers-retours.

    Après un premier séjour à Tambacounda, il a dû y retourner, pour assurer un intérim de trois mois, mais qui sera finalement prolongé au-delà d’un an. Son successeur dans le Sénégal oriental, le journaliste Ibrahima Bakhoum, ne s’entendait pas avec le gouverneur d’alors, qui lui collait l’étiquette de ‘’communiste’’.

    Son long périple à travers le pays à permis à Babacar Ndiaye de croiser d’illustres gouverneurs qu’a connus le Sénégal. Il se rappelle avec nostalgie, entre autres, d’Amadou Thiam, d’Idrissa Camara, l’un des derniers avec lesquels il a travaillé à Thiès, Souleymane Ly, récemment rappelé à Dieu ou encore Ndakhté Mbaye, considéré comme le père de la réforme de l’administration de 1972.

    Babacar Ndiaye a été témoin de toutes les phases de l’évolution des moyens de transmission de l’information à l’APS, depuis les plis envoyés par train jusqu’à l’arrivée d’Internet, en passant par le fax. Ce natif de Louga, d’un père originaire de Linguère, a eu un parcours remarquable.

    La reconnaissance de ses pairs

    Dans une tribune publiée sur Thiès 24, un média en ligne du journaliste thiessois Mbaye Samb, correspondant du quotidien privé L’As, Cheikh Fall, son ancien compagnon de route et chef de département à la RTS, ne tarit pas d’éloges à son endroit.

    Fall qui a cheminé sous son aile protectrice, en tant que jeune correspondant de Radio Sénégal à Thiès, lui a rendu hommage pour avoir “joué le rôle d’un ilotier pour le bien de ses jeunes cadets journalistes, mais surtout pour la noblesse du journalisme“.

    “Jeune correspondant de Radio Sénégal dans la capitale du rail, je me suis jeté dans ses bras sans autre forme de procès“, se souvient Cheikh Fall, évoquant les temps où il y avait des passerelles entre les médias publics faisant que Babacar Ndiaye alimentait le Soleil par ses dépêches, et prêtait sa voix à la RTS.

    « Babacar Ndiaye, maître dans son art, faisait son travail sans se raccrocher aux chimères. Cette rigueur dans l’exercice de ce métier complexe lui donnait une stature de personne respectée et écoutée par tous. Autorités administratives et locales, leaders d’opinion ou autres décideurs publics comme privés voyaient leurs activités relayées dans un style concis au contenu fidèle“, témoigne-t-il.

    “Babacar fut un agencier hors pair. Ses dépêches alimentaient le célèbre quotidien national Le Soleil et sa belle voix résonnait sur les ondes de Radio Sénégal, au grand bonheur des auditeurs. Oui, le doyen Babacar Ndiaye était la plume et la symphonie“, écrit-il encore.

    Pour couronner le tout, Cheikh Fall suggère à l’actuel maire de Thiès de baptiser, en son nom, la rue passant devant chez lui, qui longe la Chambre des métiers, l’UFR/Santé et l’ANCAR.

    Les faits marquants de sa longue carrière de journaliste se bousculent dans sa mémoire. Il se souvient quand, jeune reporter non encore titulaire, il est envoyé à Thiès pour « garder la maison », le temps que le chef de bureau d’alors, Souleymane Diop, aille faire un stage en Allemagne. Il prend alors l’initiative de faire un reportage sur les phosphates, qui n’a pas plu à des députés, qui ont voulu « se débarrasser de (lui) ».

    Le débat soulevé par cet article a abouti au vote par l’Assemblée nationale d’une loi nationalisant l’exploitation des phosphates par les ICS, les Industries chimiques du Sénégal, raconte-t-il.

    Avec l’aval du président Léopold Senghor, l’État décide de prendre la majorité des actions dans cette société, poursuit l’agencier à la retraite.

    Engagement syndical

    L’autre anecdote qu’il évoque, non sans regret, porte sur un compte rendu qui a coûté cher à deux de ses proches. Ayant relayé deux accidents de train en l’espace de trois mois, il s’est attiré les foudres du directeur des Chemins de fer de l’époque. Ce dernier, « pour se venger », licencie son épouse qui travaillait dans cette société et retire à son beau-père, un cadre de la même boîte, son logement de fonction, les soupçonnant de lui avoir filé les informations.

    Babacar Ndiaye, c’est aussi le syndicaliste défenseur acharné de la corporation, un costume qu’il avait enfilé depuis 1994 aux côtés de son camarade et ami, le regretté Alpha Sall, alors secrétaire général du SYNPICS, le syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal.

    Parmi les acquis auxquels il a contribué, il retient la protection de nombreux journalistes de l’arbitraire de leurs employeurs, mais aussi et surtout la construction de la Maison de la presse. Un bâtiment dont la maquette avait été choisie par Alpha Sall et qui a été approuvée par le président Abdoulaye Wade, malgré la réticence de quelques-uns de ses proches collaborateurs, qui estimaient qu’il coûterait trop cher.

    Aujourd’hui, même s’il ne rougit pas de ce que ce bâtiment porte le nom du grand journaliste Babacar Touré en lieu et place d’Alpha Sall, il pense qu’il n’est pas trop tard pour rendre un hommage bien mérité à ‘’cet autre porte-étendard de la presse’’, qui a défendu ses confrères jusqu’au-delà des frontières, notamment au Mali.

    Admettant une « réelle évolution » dans la pratique du métier de journaliste au Sénégal, il estime qu’ »il reste encore beaucoup de choses à faire et à parfaire, pour que le journaliste soit irréprochable ».

    Il se dit « scandalisé » par les contenus de certains médias et les comportements de certains journalistes, et conseille à ses jeunes confrères de « s’accorder avec les faits et ne pas se mettre devant les faits ».

    En homme expérimenté, le doyen les met en garde contre la tentation de « se prendre la tête », de « se croire supérieur aux autres », ou encore de « jeter l’opprobre sur d’honnêtes gens ».

    Babacar Ndiaye ne manque pas non plus de plaider auprès des plus hautes autorités pour qu’au-delà de son statut de société nationale, sa ‘’maison de cœur’’, l’APS, bénéficie du soutien qui « lui revient » de droit.

    ADI/ASB/ABB/OID

  • SENEGAL-EDITION / L’ouvrage ‘’Chefs et marabouts’’ de David Robinson revisite l’histoire d’Abdoul Bokar Kane

    SENEGAL-EDITION / L’ouvrage ‘’Chefs et marabouts’’ de David Robinson revisite l’histoire d’Abdoul Bokar Kane

    Dakar, 5 jan (APS) – Les éditions ‘’Jimsaan’’ ont présenté, samedi, à la librairie L’Harmattan Sénégal, l’ouvrage ‘’Chefs et marabouts’’ écrit par l’historien américain David Robinson et qui met en lumière la figure emblématique de l’almamy du Fouta, Abdoul Bokar Kane.

    ‘’Chefs et marabouts’’ est la version française du livre ‘’Chiefs and Clerics : The History of Abdul Bokar Kan and Futa Toro, 1853-1891’’, publié en 1977.

    La présentation a été marquée par les interventions d’éminents historiens, notamment celles des Sénégalais Ibrahima Thioub ancien recteur de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, Abdoulaye Bathily, Penda Mbow, Mamadou Diouf et Boubacar Barry.

    Selon le professeur Ibrahima Thioub, la lecture de ‘’Chefs et marabouts’’, permet d’envisager l’explication de la défaite des ‘’États de la Sénégambie’’ face aux puissances coloniales européennes.

    ‘’Les fractures, conflits, alliances et mésalliances sans fin au sein des classes puissantes de la Sénégambie se sont mutuellement affaiblies sous l’œil (…) du colonisateur’’, a-t-il dit, saluant le travail effectué par Robinson.

    Pour le professeur Abdoulaye Bathily, ce ‘’travail remarquable’’ va contribuer à la ‘’décolonisation de l’histoire’’ du content africain.

    ‘’Pour moi, c’est la dimension sociale de cette histoire qui m’intéresse beaucoup, et qui fait que je comprends mieux la société, les oppositions, les problèmes. Comment cette nation a été structurée, organisée ?’’, a, pour sa part, indiqué Pr Penda Mbow.

    David Robinson, qui a reçu le titre de docteur honoris causa de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, en 2007, est un spécialiste reconnu de l’histoire de l’Afrique.

    Il mène depuis plus de quarante ans des recherches sur l’Islam en Afrique de l’Ouest à l’université de Yale aux Etats-Unis et, depuis 1978, à l’université de l’État de Michigan, où il a reçu le titre de professeur émérite, en 1992.

    Il est notamment l’auteur des ouvrages ‘’Sociétés musulmanes et pouvoir colonial français au Sénégal et en Mauritanie 1880-1920’’,  ‘’La guerre sainte d’al-Hajj Umar : le Soudan occidental au milieu du XIXe siècle’’,  ‘’Le temps des marabouts. Itinéraires et stratégies islamiques en Afrique Occidentale Française v.1880-1960’’.

    MYK/FKS/ABB/OID

  • SENEGAL-ECONOMIE-COMMERCE / Ross Béthio : plaidoyer pour la construction d’un marché moderne

    SENEGAL-ECONOMIE-COMMERCE / Ross Béthio : plaidoyer pour la construction d’un marché moderne

    Ross Béthio, 5 jan (APS) – Le sous-préfet de l’arrondissement de Ndiaye, Ousmane Diédhiou, a invité samedi le maire de Ross Béthio à entreprendre des démarches pour doter sa commune d’un marché répondant aux normes.

     »Nous voulons que le maire démarche des partenaires pour doter la ville de Ross Béthio d’un marché adéquat qui répond aux normes », a-t-il dit lors de la journée de nettoiement.

    La construction d’un marché répondant aux normes sécuritaires permettra aux différents acteurs de ‘’travailler dans de meilleures conditions’’, a ajouté Ousmane Diédhiou.

    Il a invité les partenaires locaux et la mairie à ‘’travailler en parfaite synergie dans le but de chercher des moyens nécessaires pour moderniser » le marché.

    Le sous-préfet a également alerté les autorités sur les branchements électriques clandestins qui constituent un danger public, exhortant les commerçants à   »abandonner’’ ses pratiques.

    Ousmane Diédhiou a en outre salué la forte mobilisation de la population lors de la 8ème édition de la journée nationale de nettoiement à laquelle ont pris part le maire de la commune de Ross Béthio, Fally Seck, et des responsables d’associations sportives et culturelles.

    OG/AT/OID/ABB

  • SENEGAL-FOOTBALL / Ligue 2 : Thiès FC domine le leader Essamaye

    SENEGAL-FOOTBALL / Ligue 2 : Thiès FC domine le leader Essamaye

    Dakar, 5 jan (APS) – Thiès FC a dominé Essamaye FC sur le score de 3 buts à 1, samedi, au stade Maniang Soumaré, en match comptant pour la 10 -ème journée du championnat de Ligue 2 de football.

    Essamaye FC, le club de Ziguinchor, enregistre sa deuxième défaite, mais conserve provisoirement la tête du classement avant la sortie de son dauphin Stade de Mbour, ce dimanche, face aux Diambars de Saly.

    Dakar université club (DUC) et l’AS Bambey ont enregistré des victoires importantes, samedi. Les étudiants de Dakar ont battu par 2 buts à 1 l’AS Kaffrine, tandis que l’AS Bambey a surpris l’AS Douanes sur le même score ; un succès qui permet à l’équipe de Bambey de prendre provisoirement la troisième place du championnat. L’Etoile Lusitana et CNEPS Excellence se sont neutralisés zéro but partout.

    Voici la suite du programme de la 10-ème journée de Ligue 2 :

    Dimanche

    Stade Caroline Faye: Stade de Mbour-Diambars FC (16h30)

    Stade Lamine Gueye de Kaolack: ASC Saloum-RS Yoff (16h30)

    Lundi

    Stade municipal des Parcelles Assainies : ASC Camberene–NGB (16h30)

    Stade Maniang Soumaré de Thiès : Amitié FC-Ndiambour (16h30)

    BHC/OID/ABB

  • SENEGAL-ASSAINISSEMENT / Thiès : Jean Baptiste Tine salue l’application du concept « Armée-Nation rénové » lors de la Journée nationale de nettoiement

    SENEGAL-ASSAINISSEMENT / Thiès : Jean Baptiste Tine salue l’application du concept « Armée-Nation rénové » lors de la Journée nationale de nettoiement

    Thiès, 5 jan (APS) – Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Jean Baptiste Tine, a salué, à Thiès (ouest), la mise en application, à travers le pays, de la formule rénovée du concept Armée-Nation, qui s’est matérialisée durant la huitième édition de la journée de salubrité « Setal Sunu Reew », samedi.

    « Je voudrai me féliciter encore une fois du maintien et du renforcement du concept Armée-Nation rénové, que nous sommes en train de déployer dans notre pays », a ajouté Jean Baptiste Tine.

    Le ministre présidait le lancement, à Thiès, de la huitième journée nationale de nettoiement au Centre de santé Docteur Mamadou Bathily de Thiès.

    ‘’Ce concept, qui date de l’indépendance, a valu beaucoup de satisfaction » au pays’’, s’est-il réjoui. « En lui donnant une nouvelle envergure, nous tenons à l’enrichir par des contributions et des démarches innovantes qui permettront de donner un nouvel élan à ce concept. », a ajouté le général Tine.

    Il s’est également félicité de ‘’la grande mobilisation citoyenne que nous constatons ici », à Thiès, soulignant la « très forte portée symbolique » de l’image des populations et des forces de défense et de sécurité, « réunies sous une même bannière pour mener des activités citoyennes de salubrité ».

    L’organisation de la huitième journée d’investissement humain par des activités de nettoiement, placée sous le thème : ‘’Setal sa gox, aar sa yaram », aux côtés des citoyens, les forces armées s’engagent », a été confiée aux Forces de défense et de sécurité, qui sont attelées à rendre propres des structures de santé de la ville, en compagnies des populations civiles.

    Le ministre de l’Intérieur a vanté le leadership du commandement de l’ensemble des forces de défense et de sécurité autour du commandant de la Zone militaire numéro 7, qui a permis de mener ces activités « de si belle manière ».

    Le directeur régional de la santé (DRS) de Thiès, Mama Moussa Diaw s’est, à son tour, réjoui du choix prioritaire porté par les autorités militaires sur les infrastructures de santé.

    Il a surtout relevé, la collaboration de longue date entre les services de santé de l’armée et les autres établissements médicaux.

    En prélude à cette journée, un don de sang a été organisé, vendredi, à Thiès, qui a permis de collecter 107 poches de sang, qui seront remises à la banque de sang de l’Hôpital régional de Thiès, a fait savoir le DRS de Thiès.

    BT/ADI/ABB

  • VIDEO / Sétal sunu réew : le Président de la République appelle à la pérennisation du concept

    VIDEO / Sétal sunu réew : le Président de la République appelle à la pérennisation du concept

    Le président de la République Bassirou Diomaye Faye a officiellement lancé samedi, la huitième édition de la journée nationale de nettoiement à Yeumbeul ( Dakar).
    Le chef de l’État a salué l’engagement des forces de défense et de sécurité pour la bonne réussite de cette journée de nettoiement. Il a également invité les Sénégalais à se joindre à l’armée pour un Sénégal plus propre et prospère.
  • VIDEO / Setal sunu réew : le chef de l’État magnifie l’engagement de l’armée

    VIDEO / Setal sunu réew : le chef de l’État magnifie l’engagement de l’armée

    Le président de la République a salué samedi, l’engagement des forces de défense et de sécurité pour la bonne réussite de la huitième édition des journées de nettoiement. Acteurs majeurs de ce rendez-vous mensuel, le chef suprême des armées a invité les Sénégalais à se joindre à l’armée pour un Sénégal plus propre et prospère.

  • VIDEO / Pr Ndiaw Diouf, agrégé de droit privé

    VIDEO / Pr Ndiaw Diouf, agrégé de droit privé

    L’ancien doyen de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’UCAD ( FSJP) Pr NDIAW DIOUF est l’invité, samedi, de « Au Centre », une émission de l’agence de presse sénégalaise (APS). Dans cet entretien, Pr Diouf est largement revenu sur les modes alternatifs de règlement des différends au Sénégal.