Année : 2025

  • SENEGAL-ARMEE-JEUNESSE / Birame Diop : ‘’les Forces armées contribuent au renforcement des compétences et de l’esprit patriotique des  jeunes’’

    SENEGAL-ARMEE-JEUNESSE / Birame Diop : ‘’les Forces armées contribuent au renforcement des compétences et de l’esprit patriotique des  jeunes’’

    Dakar, 4 jan (APS) – Les Forces armées sénégalaises contribuent à la formation et à l’éducation des jeunes, à travers plusieurs projets de renforcement de leurs compétences et de leur esprit patriotique, en droite ligne du concept Armée-Nation, a souligné le ministre des Forces armées dans un entretien avec l’APS.  

    ‘’Les projets de formation et d’éducation des jeunes proposés par les Forces armées ont un effet multiplicateur, notamment le renforcement des compétences de la jeunesse, la promotion de la discipline, de la citoyenneté et des valeurs patriotiques’’, a fait savoir le général Birame Diop, lors de cet entretien, en prélude de la journée nationale de nettoiement ‘’Setal Sunu Reew’’, dont l’organisation de la huitième édition aujourd’hui est confiée à l’armée.

    Estimant qu’‘’une jeunesse mieux formée est plus productive et capable de contribuer efficacement au développement national’’, le ministre des Forces armées est revenu sur les trois mécanismes de formation et d’éducation de la jeunesse.

    ‘’Les Forces armées contribuent à l’éducation et à la formation des jeunes à travers trois mécanismes, à savoir le renforcement de la citoyenneté et de l’esprit patriotique (WAAJAL XALEYI), la formation de qualification à un emploi (TAGGAT XALEYI) et la formation aux métiers agro-sylvo-pastoraux (NAATANGE). Ces mécanismes sont largement documentés dans le projet de Concept Armée-Nation Rénové’’, a-t-il fait savoir.

    Face aux difficultés notées dans l’éducation des jeunes, les nouvelles tendances et l’irruption des réseaux sociaux, l’approche des Forces armées est donc de former les jeunes aux valeurs civiques, ainsi qu’aux compétences nécessaires pour contribuer au développement économique et social du pays.

    ‘’Les projets de formation et d’éducation des jeunes proposés par les Forces armées ont un effet multiplicateur, notamment le renforcement des compétences de la jeunesse, la promotion de la discipline, de la citoyenneté et des valeurs patriotiques’’, a déclaré le général Birame Diop.

    ABB/OID

  • SENEGAL-DEFENSE-PERSPECTVIES / Le concept Armée-Nation doit s’adapter à un nouveau contexte marqué par le terrorisme (ministre)

    SENEGAL-DEFENSE-PERSPECTVIES / Le concept Armée-Nation doit s’adapter à un nouveau contexte marqué par le terrorisme (ministre)

    Dakar, 4 jan (APS) – Le ministre des Forces armées, le général Birame Diop, a estimé que le concept Armée-Nation doit s’adapter à un nouveau contexte marqué, au-delà des enjeux de développement socio-économique, à de nouveaux défis qui ont pour noms terrorisme et criminalité transfrontalière.

    ‘’Modèle de démocratie et de stabilité en Afrique (on parle de l’exception sénégalaise), le Sénégal est aussi confronté à des défis nouveaux notamment en matière de développement économique, social et environnemental, de défense, de sécurité, dans un contexte sous régional où sévissent le terrorisme, la criminalité transfrontalière et les trafics illicites en tous genres. Le concept Armée-Nation doit s’adapter à ce nouveau contexte’’, a-t-il dit.

    Le ministre s’exprimait ainsi dans un entretien avec l’APS, en prélude à la Journée nationale de nettoiement ‘’Stal Sunu Réew’’, dont l’organisation de la huitième édition, ce samedi, est confiée aux Forces armées, habituées à des activités d’investissement humain depuis l’indépendance du Sénégal en 1960.

    En effet, a-t-il rappelé, de la première décade de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale à l’année 2012, le rôle des Forces armées dans le développement économique était essentiellement limité à des interventions ponctuelles dans les domaines des infrastructures, de l’agriculture et de secours en cas d’urgence ou de crises.

    ‘’Cette philosophie s’est poursuivie sous les différents régimes, avec des variantes selon les priorités et les circonstances économiques, sociales et politiques du moment’’, a précisé le général Birame Diop.

    C’est à partir de 2012, avec la seconde alternance politique que le rôle des Forces armées dans le domaine économique s’est considérablement accru, dans le cadre d’une stratégie nationale de développement et d’un renforcement notable de leurs moyens, a-t-il souligné.

    ‘’Durant des décennies, le concept Armée-Nation a permis aux Forces armées de participer activement au développement du Sénégal, du fait de leur niveau d’organisation, de leurs moyens et de leurs compétences techniques. Cependant, le contexte socio-politique, sécuritaire et économique a beaucoup évolué ces dernières années’’, a noté l’ancien chef d’État-major général des Armées (2000-2001).

    C’est en ce sens, qu’‘’un comité technique inclusif et participatif est chargé de revisiter le concept Armée-Nation pour en proposer un nouveau qui soit adapté aux réalités actuelles et à la vision des nouvelles autorités’’, a fait savoir le ministre des Forces armées.

    ABB/OID

  • SENEGAL-ARMEE-DEVELOPPEMENT / Le concept Armée-Nation, facteur clé du développement national et du bien-être des populations, selon le général Birame Diop

    SENEGAL-ARMEE-DEVELOPPEMENT / Le concept Armée-Nation, facteur clé du développement national et du bien-être des populations, selon le général Birame Diop

    Dakar, 4 janv (APS) – A travers le concept Armée-Nation, les Forces armées sénégalaises sont devenues au fil des ans des acteurs essentiels du développement socio-économique et du bien-être des populations, par le biais de diverses activités et actions qui touchent l’ensemble des secteurs de la vie nationale.

    ‘’Pour les besoins d’une participation active des Forces armées dans le développement du pays, le concept Armée-Nation rénové a diversifié et élargi leurs domaines d’intervention. En effet, en plus de leur rôle traditionnel de défense et de sécurité, elles deviennent des acteurs clés dans le renforcement de l’intégration civilo-militaire, l’éducation et la formation des jeunes, le développement rural et l’agriculture, le développement des infrastructures, la santé publique, l’innovation technologique, la protection de l’environnement, la gestion des crises et des catastrophes’’, a déclaré le ministre des Forces armées.

    Le général Birame Diop s’exprimait ainsi dans un entretien avec l’APS, en prélude de la huitième édition de la Journée nationale de nettoiement ‘’Setal Sunu Réew’’, organisée ce samedi et dont le ministère des Forces armées est le maître d’œuvre.

    Ces nouvelles missions, selon lui, renforcent la place des Forces armées comme des partenaires essentiels du développement socio-économique et du bien-être des populations.

    Ces interventions génèrent des retombées positives dans plusieurs secteurs de la société et de l’économie, parmi lesquels, outre les tâches régaliennes de défense et de sécurité, le développement de l’agriculture, la gestion des catastrophes naturelles, la constructions d’infrastructures, etc.

    Les Forces armées interviennent également dans le développement rural et l’agriculture, des secteurs dans lesquels elles sont sollicitées pour contribuer à l’augmentation de la productivité agricole, à la création d’emplois, à l’amélioration de la souveraineté alimentaire, à la réduction de la pauvreté dans les zones rurales, à la stabilité sociale et à la réduction des migrations vers les zones urbaines.

    Face aux catastrophes naturelles, comme la crue du fleuve Sénégal et son principal affluent, la Falémé, où l’armée sénégalaise a été aux avant-postes en facilitant l’évacuation des populations touchées dans le nord et l’est du pays et la construction d’hôpitaux mobiles.

    Dans le domaine des infrastructures de transport et de communication, le travail des Forces armées est également fort remarquable.

    ‘’Dans le concept Armée-Nation rénové, la participation des Forces armées à la construction des infrastructures contribue à l’amélioration de la connectivité nationale et régionale, facilitant le commerce, l’accès aux services essentiels (santé, éducation) et le déplacement des populations. Ce qui stimule l’économie locale et favorise l’intégration des marchés’’, a fait savoir le général Birame Diop.

    Idem pour la gestion des ressources naturelles, la protection de l’environnement et de la biodiversité, ainsi que dans le développement technologique et l’innovation, domaines dans lesquels les Forces armées ne sont pas en reste.

    ‘’Le concept Armée-Nation rénové intègre l’utilisation de la technologie dans les projets de santé publique, comme la télémédecine, qui permet d’offrir des consultations médicales dans les régions éloignées via des systèmes numériques’’, a souligné le ministre.

    De plus, a-t-il ajouté, ‘’les Forces armées peuvent aussi mettre en place des systèmes de gestion des données sanitaires pour prévenir et suivre les épidémies, améliorant ainsi la réponse sanitaire du pays’’.

     ABB/OID

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / La Journée nationale de nettoiement et d’autres sujets au menu des quotidiens

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / La Journée nationale de nettoiement et d’autres sujets au menu des quotidiens

    Dakar, 4 jan (APS) – Les quotidiens parvenus, samedi, à l’APS traitent de divers sujets parmi lesquels la huitième édition de la Journée nationale de nettoiement ‘’Setal Sunu Réew’’, initiée par le président de la République, le projet de loi portant Code de la publicité dont l’adoption est attendue dès le premier trimestre de cette année ou encore les suites du meurtre d’une fillette de 12 ans, dans la nuit du 31 décembre 2024 au 1er janvier 2025.

    ‘’L’Armée au front’’, titre le Soleil pour mettre en exergue le rôle de maître d’œuvre du ministère des Forces armées dans l’organisation de la journée ‘’Stal Sunu Réew’’. Une occasion pour la publication de revenir sur le concept Armée-Nation de Senghor, premier président du Sénégal, à Diomaye Faye.

    ‘’(…) le concept Armée-Nation (…) a connu des variations de 1960 [année de l’indépendance du Sénégal] à aujourd’hui, influencées par divers facteurs politiques, économiques, environnementaux et sociaux’’, peut-on lire dans Le Soleil.

    Pour ce journal, ce concept signifie ni plus ni moins ‘’une Armée toujours au service de la Nation’’.

    Le quotidien L’Info affiche à sa Une la photo du ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, qui revient sur l’atelier de partage sur l’avant-projet de loi portant Code de la publicité.

    Datant de 1964, et révisée en 1984, cette législation ‘’ne prend pas en compte les aspects du numérique’’, relève Alioune Sall, qui estime qu’‘’il est urgent pour le Sénégal de disposer d’un nouveau cadre juridique’’, pour mieux réglementer et formaliser le secteur de la publicité.  

    Le Quotidien revient sur le rapport d’audit des finances publiques sur la période allant de 2019 à 2024, par la Cour des Comptes qui, selon le journal ‘’tarde à être publié’’.

    Reprenant une information parue dernièrement dans le quotidien Les Echos, portant sur la nomination d’un expert indépendant chargé d’auditer la dette publique, Le Quotidien estime qu’une telle décision du gouvernement ajouterait à ‘’la confusion’’ et ‘’n’aide pas à éclairer la lanterne des Sénégalais’’.

    En Économie toujours, Walf Quotidien fait état dans sa livraison du jour de ‘’la valse des chiffres’’ pour évoquer le niveau d’endettement du Sénégal avec des prévisions différentes sur les montants selon que l’on se situe du côté du pouvoir ou de l’opposition.

    Libération, qui traite de l’affaire du meurtre d’une fillette de 12 ans dans la banlieue dakaroise, révèle que ‘’la police cerne le profil psychologique du présumé assassin’’. ‘’Modou Fall dit El Hadji, un +monstre froid+’’, titre le quotidien, qui reprend des propos attribués au présumé malfaiteur âgé de 33 ans.  

    Le journal L’As indique à sa Une  »la rationalisation des partis politiques », une idée agitée par le chef de l’Etta lors de son traditionnelle adresse à la nation du 31 décembre dernier. Selon la publication,  »les acteurs opinent du bonnet ». En d’autres termes, qu’ils sont d’accord sur les concertations annoncées par le président Faye pour limiter le nombre de partis, afin de  »mettre de l’ordre dans le système politique », écrit le journal.  

    ABB/OID

  • SENEGAL-ARMEES-SANTE / Journée don de sang : 1217 poches collectées par les Forces armées

    SENEGAL-ARMEES-SANTE / Journée don de sang : 1217 poches collectées par les Forces armées

    Dakar, 3 jan (APS) – La journée de don de sang organisée vendredi sur toute l’étendue du territoire national par le ministère des Forces armées en prélude de la 8ème édition de la journée nationale de nettoiement a permis de collecter 1217 poches de sang destinées à approvisionner les banques régionales de sang.

    Cette journée a permis de collecter ‘’1217 poches de sang’’, a dit à l’APS, le colonel Amadou Makhtar Ndiaye, chef de cabinet du ministre des Forces armées..  

    Le ministère des Forces armées est chargé de la coordination et de l’organisation de cette première édition de la Journée nationale  ‘’sétal sunu rééw’’, prévue samedi sur toute l’étendue du territoire national.

    Elle est placée sur le thème “Seetal sa gokh, aar sa yaram : aux côtés des citoyens, les forces armées s’engagent’’.

    Le ministère des Forces armées a organisé cette journée de don de sang avec la collaboration du ministère de la Santé et de l’Action sociale.

    En dehors des activités de don de sang qui se sont déroulées à Dakar, au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) et dans les banques régionales de sang, des consultations gratuites ont parallèlement eu lieu dans les différents centres médicaux de garnisons militaires à travers le pays, a-t-on appris du service de santé des Armées.

    Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye procédera au lancement officiel de cette édition à la cité Comico, située dans la commune de Yeumbeul nord, département de Keur Massar.

    AB

  • SENEGAL-SOCIETE / Meurtre d’une fille de 12 ans à Malika : des Dakarois entre indignation et psychose

    SENEGAL-SOCIETE / Meurtre d’une fille de 12 ans à Malika : des Dakarois entre indignation et psychose

    Dakar, 3 jan (APS) – L’indignation est le sentiment le plus partagé chez des habitants de La Médina et de Colobane, des quartiers dakarois où l’APS les a interrogés, vendredi, sur le meurtre d’une fille de 12 ans à Malika (ouest).

    Ce drame survenu dans la nuit du 31 décembre au jour de l’An, fortement médiatisé, a ému de nombreux Sénégalais.

    La nouvelle du meurtre de la fille attriste Modou Sarr, un père de famille trouvé près de la direction de l’automatisation des fichiers, sur la rue 6 de La Médina. ‘’Un viol est un acte criminel et ignoble. Lorsqu’il est suivi de meurtre, cela m’indigne profondément’’, s’émeut M. Sarr.

    Selon des informations publiées dans la presse, les enquêteurs ont écarté la thèse du viol à la suite d’une autopsie.

    La fille de 12 ans est décédée par strangulation, disent-ils.

    ‘’Les parents doivent redoubler de vigilance, car nous vivons dans une société où les valeurs se perdent progressivement. La violence et les actes qui frisent la barbarie gagnent du terrain’’, s’indigne-t-il, estimant que le drame survenu à Malika interpelle la société sénégalaise.

    Astou Diarra, rencontrée sur la rue 11 de La Médina, dit être ‘’très affectée’’ par le meurtre de la fille. ‘’Comment un homme adulte […] peut-il commettre de tels actes sur une fille de 12 ans ?’’, s’interroge cette dame, disant avoir appris avec stupeur le drame de Malika.

    ‘’L’auteur du crime doit être sévèrement puni, afin que soient dissuadés tous ceux qui seraient tentés de commettre des actes pareils’’, martèle-t-elle.

    À Colobane, à deux pas de la place de la Nation, Oumar Sow, un mécanicien âgé d’environ 40 ans, éprouve la même indignation et réclame une sanction exemplaire du présumé coupable du meurtre de la fille. ‘’Cet individu mérite la réclusion criminelle à perpétuité’’, tranche-t-il, invitant les parents à redoubler de vigilance pour la protection de leurs enfants.

    ‘’À la tombée de la nuit, il est plus prudent d’interdire à nos enfants, aux filles surtout, de sortir. Il faut leur interdire même d’aller à la boutique du quartier’’, recommande M. Sow.

    ‘’Ce drame nous rappelle à quel point nous devons être prudentes’’

    Pour éviter les actes criminels de cette nature, Abdou Faye, attristé par le drame du Nouvel An, a une proposition toute tranchée. ‘’Toute personne coupable d’homicide volontaire mérite la peine de mort. C’est la solution idoine pour freiner la criminalité dans ce pays’’, propose-t-il.

    El Hadj Ba, rencontré à la station BRT de Colobane, partage la proposition de M. Faye. ‘’La peine de mort doit être rétablie à l’encontre des auteurs des crimes de ce genre’’, suggère-t-il.

    Awa, une adolescente, est profondément bouleversée à l’annonce du drame survenu à Malika. ‘’Ça me touche personnellement. Ce drame nous rappelle à quel point nous devons être prudentes, nous les filles’’, dit-elle d’une voix empreinte d’émotion.

    Selon plusieurs médias, le présumé meurtrier de la jeune fille a été arrêté et aurait avoué les faits pour lesquels il a été appréhendé.

    MYK/ABB/ESF/MTN

  • SÉNÉGAL-ENVIRONNEMENT-COMPETITIO'N / Challenge « Setal suñu gox » : la Cité Lamy de Thiès remporte la première place

    SÉNÉGAL-ENVIRONNEMENT-COMPETITIO’N / Challenge « Setal suñu gox » : la Cité Lamy de Thiès remporte la première place

    Thiès, 3 jan (APS) – La Cité Lamy, un quartier de Thiès (ouest), a remporté la première place au challenge « Setal suñu gox », une compétition nationale visant à promouvoir la propreté à travers le pays, a constaté l’APS.

    Le premier prix est allé à la Cité Lamy, dans la commune de Thiès Est, le deuxième, au quartier Diokoul Ndiourène, dans la commune de Rufisque et le troisième prix, au village de Taïba Niassène, dans la commune de Nioro du Rip dans la région de Kaolack, a révélé le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement du territoire, Bala Moussa Fofana.

    Il présidait, vendredi à la Cité Lamy, la cérémonie de remise des prix aux lauréats du challenge « Setal suñu gox ».

    Selon lui, son département avait mis en place un comité de suivi, composé d’ « agents très engagés dans l’administration », qui a sélectionné les lauréats, à l’issue d’une délibération, lundi dernier.

    « Cette journée vise, entre autres, à promouvoir un Sénégal propre, à travers une mobilisation de toutes les forces vives de la nation, en faveur de la prise en charge du cadre de vie », a indiqué Bala Moussa Fofana.

    Il explique que son ministère a lancé le challenge « Setal suñu gox », pour distinguer les quartiers les plus propres, les meilleures initiatives, en collaboration avec le patronat.

    La Cité Lamy doit son titre à une initiative lancée par un jeune et qui a transformé une rue de 18 maisons, baptisée Rue Fucus, du nom des plantes sur le long de cette allée.

    En plus de la propreté de la rue, toutes les maisons ont été repeintes d’une même couleur. L’initiative a fait tache d’huile dans le quartier.

    Cette remise de prix aux lauréats du challenge « Setal suñu rew » a été organisée en prélude à la septième édition de la journée nationale de mobilisation citoyenne, initiée par le Président de la République Bassirou Diomaye Faye.

    M. Fofana précise que « loin de donner des privilèges à une localité », l’esprit de ce challenge vise à « impulser une dynamique communautaire, pour la propreté de nos espaces publics, pour une forte implication des acteurs locaux ».

    « Mes services ont lancé un hashtag, c’est devenu viral sur les réseaux sociaux », a-t-il renseigné.

    Selon lui, une plateforme ouverte à cet effet, a permis d’enregistrer « des centaines d’inscrits au challenge, de Dakar à Kédougou et de Saint-Louis à Sédhiou ».

    Il relève que des initiatives portées par des quartiers, des villages et des organisations communautaires de base ont été enregistrées dans les autres régions du pays.

    « Je voudrais remercier ces vaillants porteurs d’initiatives novatrices, pour l’intérêt qu’ils portent à la propreté de nos villes, de nos quartiers, de nos villages et de nos espaces publics », a relevé Balla Moussa Fofana.

    « Ils ont compris que la gestion de nos espaces communs demeure une priorité pour forger l’image de nos villes, conformément aux objectifs de l’agenda de transformation systémique », a soutenu M. Fofana.

    BT/ADI/MTN

  • VIDEO / 7 sur 5

    VIDEO / 7 sur 5

    Le premier numéro de votre hebdomadaire 7/5 de l’année 2025 revient sur les grandes lignes du discours à la nation du chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye. Le meurtre de la jeune Souadou Sow est également abordé. La signature du mandat d’exécution qui confère à la SONES le chantier du transfert d’eau douce à Touba figure aussi dans ce numéro, ainsi que d’autres sujets liés à l’actualité.
  • VIDEO / Ziguinchor : un don de matériel médico-chirurgical d’une valeur de plus de 150 millions pour l’hôpital régional

    VIDEO / Ziguinchor : un don de matériel médico-chirurgical d’une valeur de plus de 150 millions pour l’hôpital régional

    L’association « Casamance Healthcare Systems » en collaboration avec le Conseil départemental de Ziguinchor (sud) a remis, vendredi, un don de matériel médico-chirurgical d’une valeur de plus de 150 millions de francs CFA au Centre hospitalier régional de Ziguinchor.

  • VIDEO / Réglementation de la publicité au Sénégal : vers l’adoption d’une nouvelle loi

    VIDEO / Réglementation de la publicité au Sénégal : vers l’adoption d’une nouvelle loi

    Une nouvelle loi portant réglementation de la publicité au Sénégal, sera bientôt présentée à l’Assemblée nationale, a annoncé vendredi le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall. Pour la tutelle, cette nouvelle réglementation vise à « apporter des corrections à la loi existante, mais dépassée par la technologie ».
    Alioune SALL a également ajouté que la rémunération des créateurs de contenus sur des plateformes numériques comme TikTok, Facebook et autres, sera prise en compte dans la nouvelle réglementation.