Année : 2025

  • SENEGAL-TRANSPORTS / Pour Bassirou Diomaye Faye, la sécurité routière doit être au ‘’premier rang du plan d’action du gouvernement’’

    SENEGAL-TRANSPORTS / Pour Bassirou Diomaye Faye, la sécurité routière doit être au ‘’premier rang du plan d’action du gouvernement’’

    Dakar, 12 fév (APS) – Le chef de l’État, constatant ‘’la recrudescence des accidents de la route’’, a demandé au Premier ministre, lors du Conseil des ministres de ce mercredi, de ‘’placer la sécurité routière au premier rang du plan d’action du gouvernement’’.

    Il a recommandé aussi au chef du gouvernement et aux ministres concernés de veiller à ‘’l’application rigoureuse des décisions prises’’ à ce sujet, rapporte le communiqué du Conseil des ministres en citant la circulaire administrative du Premier ministre visant à prévenir les accidents de la route. 

    ‘’Face à la recrudescence des accidents de la route, le chef de l’État a demandé au Premier ministre de veiller à l’application rigoureuse des décisions prises, notamment la circulaire [administrative] de recadrage et d’orientation destinée à prévenir les accidents de la route et à assurer une meilleure circulation routière pour les usagers, les transporteurs et les forces de défense et de sécurité’’.

    Il est demandé au chef du gouvernement d’y associer les ministres chargés des Transports terrestres, des Forces armées, de l’Intérieur et de la Sécurité publique.

    Vers une ‘’évaluation rapide des projets routiers’’

    Le président de la République a ‘’rappelé l’urgence de renforcer la formation des chauffeurs, d’assurer une réglementation rigoureuse de la circulation des cyclomoteurs, de faire respecter les horaires de circulation des véhicules de transport et de réorganiser le fonctionnement des gares routières’’.

    M. Faye a appelé les ministres concernés à ‘’accélérer le renouvellement des [véhicules] de transport et des [camions] ‘gros-porteurs’‘’, à ‘’évaluer les actions […] de l’Agence nationale de la sécurité routière’’.

    Il a demandé au Premier ministre et au ministre chargé des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens de ‘’finaliser, avant fin mars 2025, l’évaluation rapide des projets routiers en vue du lancement du nouveau Programme national de développement des réseaux routier et autoroutier’’.

    ‘’Il a appelé à l’équité dans le déploiement des programmes et projets routiers et autoroutiers, au développement maîtrisé de la société publique ‘Autoroutes du Sénégal’, entité déléguée par l’État pour capitaliser et valoriser le patrimoine autoroutier national’’, lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres.

    Consolider les programmes

    Le communiqué du gouvernement ajoute que ‘’le président de la République a signalé l’urgence, pour l’État, de redéfinir le modèle économique de construction, d’exploitation et d’entretien des routes et autoroutes du Sénégal, en actualisant la réglementation portant classement des infrastructures routières nationales et secondaires incluant les ouvrages de franchissement’’.

    Bassirou Diomaye Faye appelle en même temps les ministres concernés à réexaminer les modalités de financement des infrastructures routières et de leur entretien.

    ‘’À cet égard, il a demandé au ministre des Infrastructures et des Transports terrestres de proposer une nouvelle politique d’entretien routier intégrant la réhabilitation des ouvrages de franchissement, qui se sont […] dégradés durant l’hivernage.’’

    Le Premier ministre va ‘’veiller au renforcement des moyens logistiques d’intervention du génie militaire’’, qui aide à assurer ‘’la continuité de la circulation routière et le désenclavement de certaines zones du pays’’.

    Le chef de l’État a ‘’souligné la nécessité d’une revue systématique des interventions du PUDC, du PROMOVILLES, du PUMA, du FERA, de l’AGETIP, de l’ADM et des collectivités territoriales en termes de réalisation de pistes rurales et [d’ouvrages de] voirie urbaine’’.

    ‘’Il a dit au gouvernement que le moment est venu de consolider l’ensemble des programmes routiers, autoroutiers, de pistes de désenclavement et d’[ouvrages] de voirie urbaine en vue d’une cohérence d’ensemble et d’une mise en œuvre pragmatique de la politique de l’État en matière de réalisation d’infrastructures routières et autoroutières, selon un chronogramme, des axes, linéaires et financements maitrisés’’, ajoute le communiqué du Conseil des ministres.

    NSS/BK/ADL/ESF

  • SENEGAL-AFRIQUE-RELIGION-EVENEMENT / Dakar va accueillir la 5e Assemblée générale des conférences épiscopales réunies d’Afrique de l’Ouest, en mai

    SENEGAL-AFRIQUE-RELIGION-EVENEMENT / Dakar va accueillir la 5e Assemblée générale des conférences épiscopales réunies d’Afrique de l’Ouest, en mai

    Dakar, 12 fev (APS) – La capitale sénégalaise va abriter la 5e Assemblée générale des conférences épiscopales réunies d’Afrique de l’Ouest (CER/RECOWA) prévue du 5 au 12 mai 2025, a appris l’APS de source proche de l’église du Sénégal.

     « Les conférences épiscopales réunies d’Afrique de l’Ouest (CER/RECOWA) ont porté leur choix sur le Sénégal pour abriter les travaux de la Ve assemblée générale qui se tiendra à Dakar du 5 au 12 mai 2025 », a notamment déclaré à l’APS le président de la Conférence épiscopale du Sénégal, qui couvre également la Mauritanie, le Cap-Vert et la Guinée-Bissau,

    Mgr Paul Abel Mamba, qui est par ailleurs évêque de Tambacounda a annoncé la présence de plus de 150 cardinaux, archevêques et évêques issus de 16 pays à cet évènement placé sous le  thème : ‘’Pour une Église synodale et autonome au service de la justice et la paix en Afrique de l’Ouest’’.

    Les participants viendront notamment du Burkina Faso du Cap Vert, de la Côte d’Ivoire, de la Gambie, du Ghana, de la Guinée-Bissau, de la République de Guinée, du Libéria, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigéria, du Sénégal, de la Sierra Leone et du Togo, précise la même source.

    CS/SMD/ABB

  • VIDEO / Doxantu au CTIC , à la découverte du premier incubateur au Sénégal

    VIDEO / Doxantu au CTIC , à la découverte du premier incubateur au Sénégal

    Au Sénégal, de plus en plus de jeunes startups développent des solutions et des applications innovantes. Confrontées au quotidien au manque de moyens pour pousser leur réflexion ou leurs inventions, elles sont pour la plupart du temps coptées par CTIC. Premier incubateur au Sénégal, le centre accompagne et encadre les jeunes porteurs de projets. Dans ce numéro de Doxantu digital, notre équipe vous emmène à la découverte de cet incubateur national.
  • VIDEO / 46ème anniversaire de la Victoire de la Révolution Islamique

    VIDEO / 46ème anniversaire de la Victoire de la Révolution Islamique

    L’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran au Sénégal, Hassan Asgari, a célèbré, mercredi, à Dakar, le 46ème anniversaire de la victoire de la Révolution islamique. Une journée symbole d’indépendance, de dignité et de volonté nationale pour les Iraniens dans cette Révolution qui a marqué un tournant décisif dans l’histoire de l’Iran sur le plan international.

  • VIDEO / Crise à l’Est du Congo : la Fondation Emery appelle à une paix définitive

    VIDEO / Crise à l’Est du Congo : la Fondation Emery appelle à une paix définitive

    Le Président de la fondation Patrice Emery Lumumba, Loland Lumumba en visite à Dakar, est revenu sur la crise actuelle à l’Est du Congo. Selon lui, l’Afrique doit s’unir pour et s’engager pour une paix définitive.

  • SENEGAL-FINANCES / Bassirou Diomaye Faye : ‘’La trajectoire d’endettement doit être rapidement inversée’’

    SENEGAL-FINANCES / Bassirou Diomaye Faye : ‘’La trajectoire d’endettement doit être rapidement inversée’’

    Dakar, 12 fév (APS) – L’endettement de plus en plus élevé du Sénégal au cours des quatre dernières années doit être rapidement inversé en vue de la préservation de la soutenabilité des finances publiques et de la sauvegarde de l’équilibre économique à long terme du pays, a dit le président de la République, lors du Conseil des ministres de ce mercredi.

    ‘’Le taux d’endettement public a connu une croissance […] alarmante’’, de 2019 à 2023, a dit le président de la République, sur la base de l’‘’Audit du rapport sur la situation des finances publiques – Gestions de 2019 au 31 mars 2024’’, publié ce mercredi par la Cour des comptes.

    En 2019, l’endettement atteignait déjà 65,59 % du PIB, puis 75,50 % en 2020, ensuite 83,58 % en 2021, puis 86,62 % en 2022, et 99,67 % en 2023, indique le communiqué du Conseil des ministres, citant l’audit de la Cour des comptes.

    ‘’Le président de la République a indiqué que cette trajectoire d’endettement doit être rapidement inversée pour préserver la soutenabilité des finances publiques et éviter de compromettre les équilibres économiques de long terme’’, rapporte le ministre de la Formation professionnelle et porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Njekk Sarré.   

    ‘’Le chef de l’État assure que, face à ces constats alarmants, des mesures conservatoires et correctives doivent être prises sans délai. Tout d’abord, il est impératif de mettre fin aux rattachements irréguliers de recettes et d’assurer que toutes les recettes et dépenses soient comptabilisées de manière transparente et régulière’’, ajoute M. Sarré dans le communiqué du Conseil des ministres.

    Il note, en citant Bassirou Diomaye Faye, que ‘’le Premier ministre et le ministre des Finances et du Budget devront prendre les dispositions nécessaires pour garantir que les pratiques budgétaires respectent strictement les règles en vigueur’’.

    ‘’Ensuite, un audit approfondi sera réalisé pour [combler] les écarts observés dans la gestion des dépenses [assurées avec] des ressources extérieures’’, ajoute le communiqué du Conseil des ministres.

    ‘’Le président de la République a également souligné la nécessité de réformer la gestion des comptes spéciaux du Trésor afin de garantir que les transferts budgétaires soient effectués de manière […] transparente. En outre, il est essentiel de revoir la politique d’endettement de l’État afin d’éviter toute dette contractée en excès et de mieux gérer le surfinancement’’, lit-on dans le communiqué publié par le gouvernement après sa réunion hebdomadaire.

    Son porte-parole note qu’‘’un suivi rigoureux des emprunts devra être mis en place pour s’assurer que les fonds sont utilisés conformément aux besoins budgétaires réels’’.

    ‘’Enfin, il est impératif de produire et publier les rapports sur les dépenses fiscales dans les délais légaux. Ces rapports doivent permettre une gestion transparente et rigoureuse des exonérations fiscales, conformément aux directives de l’UEMOA’’, lit-on dans le communiqué du gouvernement.

    Il fait état de réformes dont le but sera de ‘’renforcer la confiance dans la gestion des finances publiques et [de] garantir une meilleure transparence au profit de la nation’’.

    Bassirou Diomaye Faye ‘’a demandé au Premier ministre […] de veiller à la mise en œuvre de ces réformes indispensables pour asseoir une gestion exemplaire des finances publiques et assurer la stabilité économique du pays’’.

    ESF

  • SENEGAL-AFRIQUE-EDUCATION / Ouverture à Dakar du Sommet des acteurs du changement sur l’éducation et l’emploi

    SENEGAL-AFRIQUE-EDUCATION / Ouverture à Dakar du Sommet des acteurs du changement sur l’éducation et l’emploi

    Dakar, 12 fév (APS) – Le Sommet des Acteurs du Changement s’est ouvert mercredi à Dakar, réunissant des décideurs politiques, des experts de l’éducation, des représentants du secteur privé et des innovateurs sociaux pour débattre des défis et des opportunités liées à l’éducation, à la formation et à l’employabilité en Afrique de l’Ouest.

    Organisé par Ashoka Sahel en partenariat avec des organisations sous-régionales, cet événement se tient sur deux jours, après un pré-sommet Jeunesse organisé la veille à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD 2).

    S’exprimant au nom du ministre de l’Éducation nationale, la conseillère technique Aminata Diena Ndiaye a souligné l’importance de ce sommet pour relever les défis persistants qui compromettent les ambitions éducatives du Sénégal et de la région.

    ‘’Le thème nous interpelle tous au regard des défis énormes et persistants qui risquent de tout compromettre, y compris notre ambition pour le secteur de l’éducation et de la formation’’, a-t-elle déclaré.

    Elle a insisté sur la nécessité d’une réflexion collective, d’une écoute mutuelle et d’une organisation méthodique pour atteindre des résultats concrets.

    Mme Ndiaye a rappelé que l’éducation est un pilier essentiel du développement national et a plaidé pour un modèle éducatif adapté aux réalités africaines.

    ‘’Il nous faut un pays souverain, juste et prospère, et cela ne peut passer que par le secteur de l’éducation et de la formation ‘’, a-t-elle affirmé.

    Elle a mis en avant la vision du ministère qui prône une éducation de qualité, ancrée dans des valeurs endogènes partagées. Cette approche inclut l’intégration dans le curriculum éducatif des figures historiques et culturelles, telles qu’El Hadji Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba et Moussa Ka, entre autres.

    La conseillère technique a insisté sur l’urgence d’anticiper les besoins futurs en infrastructures, en ressources humaines et en technologies éducatives.

    ‘’Anticiper le nombre de salles de classe à construire, l’effectif enseignant, les manuels scolaires, l’équipement des élèves en tablettes ou ordinateurs est essentiel pour répondre aux besoins de la jeunesse africaine ‘’, a-t-elle expliqué.

    La reprèsentante du ministre a également évoqué la nécessité d’intégrer l’intelligence artificielle dans l’éducation, tout en veillant à l’adapter aux réalités et aux valeurs locales.

    Mme Ndiaye a abordé la question cruciale du financement, notamment après la perte du soutien de l’aide américaine.

    ‘’Avons-nous suffisamment de solutions innovantes pour répondre aux besoins énormes de ce secteur ? ‘’, s’est-elle interrogée, appelant à renforcer la coopération et la collaboration entre les acteurs locaux et internationaux pour consolider les acquis et garantir des solutions durables.

    La conseillère technique a évoqué un changement de paradigme, appelant à passer d’un système éducatif classique à une société éducative, où toutes les catégories sociales participeraient à la formation et à l’encadrement des jeunes.

    Elle a évoqué l’initiative du ministère d’intégrer les “Daara” (écoles coraniques) dans le système éducatif formel, mettant en avant le concept de “talibéship”, qui vise à valoriser les enseignements traditionnels dans un cadre structuré.

     »Co-créer des solutions innovantes , systémiques et durables siur les questions d’éducation, de formation et d’employabilité en Afrique de l’Ouest », est le théme principal de ce Sommet qui se poursuit jusqu’au jeudi avec plusieurs autres panels retenus pour cet événment.

    AN/ADL

     

  • VIDEO / ANACIM : immersion des parlementaires de la commission Habitat, Urbanisme, des Infrastructures et des Transports

    VIDEO / ANACIM : immersion des parlementaires de la commission Habitat, Urbanisme, des Infrastructures et des Transports

    La Commission de l’Aménagement du territoire, de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Infrastructures et des Transports de l’Assemblée nationale a effectué mercredi, une visite à l’Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie (ANACIM). Les parlementaires ont pu s’imprégner des missions et défis de l’ANCIM. Ils ont décidé de porter le plaidoyer auprès des autorités étatiques pour un renforcement des moyens financiers, humains et surtout l’adoption d’un nouveau code de l’aviation civile.

     

  • SENEGAL-PECHE-AQUACULTURE / Aquaculture : les professionnels invités à s’approprier du code de la filière

    SENEGAL-PECHE-AQUACULTURE / Aquaculture : les professionnels invités à s’approprier du code de la filière

    Louga, 12 fév (APS) – Le directeur général de l’Agence nationale de l’aquaculture (ANA), Samba Kâ, a exhorté, mercredi, les acteurs du secteur à s’approprier le code de l’aquaculture, dont il a souligné l’importance dans la structuration et la crédibilisation de la filière.

    « Ce code est un outil essentiel pour organiser et encadrer l’aquaculture au Sénégal. J’invite tous les acteurs du secteur à le connaître, à l’appliquer et à en faire un levier de développement. Une activité bien réglementée attire des investisseurs, crée des emplois et renforce la sécurité alimentaire », a-t-il déclaré.

    Intervenant lors d’un atelier de sensibilisation et de vulgarisation du code de l’aquaculture, entré en vigueur le 15 avril 2022, Samba Kâ a insisté sur « la nécessité pour les professionnels d’en maîtriser les dispositions ».

    « L’Agence nationale de l’aquaculture existe depuis 2011, après avoir succédé à l’Agence de promotion de l’aquaculture (2006-2011). Pourtant, le code n’a été promulgué qu’en 2022, ce qui a longtemps freiné la reconnaissance et le développement du secteur », a-t-il expliqué.

    Selon lui, cette initiative s’inscrit dans le cadre du Projet de gestion des ressources naturelles du Sénégal (SENRM), logé au ministère de la Pêche et de l’Environnement.

    « Elle vise à vulgariser le code auprès des acteurs à travers les régions du pays. Après Fatick, Louga accueille cette phase avant Saint-Louis, dans un processus qui couvrira sept régions dans un premier temps », a ajouté M. Kâ.

    Il a souligné que la mise en place du code de l’aquaculture vise à structurer le secteur, à attirer des investissements et à renforcer la crédibilité de l’activité.

    « Un investisseur sérieux, national ou international, exige d’abord un cadre réglementaire clair. Ce code joue le même rôle qu’un code de la route : il fixe les règles, garantit la transparence et assure la viabilité de l’activité », a-t-il indiqué.

    Le président de l’Association régionale des acteurs de la filière aquacole (ARAFA), Mouhamed Lamine Ndiaye, a salué ce qu’il considère comme une « avancée ».

    « Ce code était une demande forte des professionnels. Il nous permet d’exercer notre métier dans un cadre organisé et reconnu, et d’accéder plus facilement à des partenaires », a-t-il déclaré, appelant à « une large diffusion du texte auprès des acteurs ».

    L’atelier de Louga a réuni divers représentants du secteur, dont l’Association régionale des acteurs de la filière aquacole (ARAFA) et l’Association nationale des acteurs de la filière aquacole du Sénégal (ANAFAS) ainsi que les services techniques concernés.

    DS/ADL/BK

  • SENEGAL-FOOTBALL-RESULTATS / Coupe du Sénégal :  AJEL, Espoirs de Guédiawaye et RS Yoff en huitièmes

    SENEGAL-FOOTBALL-RESULTATS / Coupe du Sénégal :  AJEL, Espoirs de Guédiawaye et RS Yoff en huitièmes

    Dakar, 12 fév (APS) – Trois clubs, dont AJEL de Rufisque et les Espoirs de Guédiawaye, ont obtenu leur ticket pour les huitièmes de finale de la Coupe du Sénégal, à l’issue des premiers matchs disputés mercredi pour le compte des huitièmes.

    Les Rufisquois d’AJEL sont venus à bout (1-0) de SONACOS, à l’issue de la seule confrontation de ce tour entre deux clubs de Ligue 1. 

    Les Espoirs de Guédiawaye ont sorti (2-0) l’AS Kaffrine, pendant que la Renaissance sportive de Yoff se qualifiait aux dépens de l’UCST Port, (3-2).

    Voici le programme des autres matchs prévus ce jeudi

    – Pout SC-AS Kolda, Étoile Lusitana-US Gorée, Guédiawaye-Damels, Jaraaf-Stade de Mbour, ASFA-Builders, Ndiambour-AS Douanes, Pépinière Sud-NGB, US Rail-DUC, Jamono Fatick-US Ouakam.

    BHC/BK/ADL