L’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP) a organisé vendredi à Thiès un atelier de vulgarisation de la nouvelle loi pharmaceutique qui encadre la circulation des médicaments au Sénégal.
Année : 2025
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VIDEO / Port autonome de Dakar : Le trafic a été multiplié par deux (Responsable)
Le trafic a été multiplié par deux au niveau du Port autonome de Dakar (PAD) qui reçoit, chaque jour, une moyenne des milliers de camions, malgré les contraintes liées à la fluidité et à la congestion, a souligné vendredi, son directeur de la stratégie et du suivi des concessions, Momar Ngary Ba.
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VIDEO / Saly : la problématique de la mobilité des usagers des services bancaires et les services …
Des membres de l’observatoire de la qualité de service financier, des responsables de la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest, des membres de l’association professionnelle des banques et établissements financiers, l’association professionnelle des services financiers décentralisés et des associations de consommateurs ont pris part vendredi à un atelier d’échange et de partage sur la problématique de la mobilité des usagers des services bancaires et les services financiers décentralisés.
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VIDEO / Janvier 2025, en un l’APS de temps : rétrospective de l’actualité et des contenus phares au Sénégal
Round-up mensuel de l’actualité et des reportages marquants de l’Agence de Presse Sénégalaise. Retour sur les dépêches les plus consultées, les contenus les plus performants sur nos plateformes digitales et nos performances du mois de janvier.
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SENEGAL-ENVIRONNEMENT-INITIATIVE / Bakel : le PAREC-CC veut améliorer les conditions de vie des communautés
Bakel, 8 fév (APS) – Le projet d’amélioration de la résilience des écosystèmes et des communautés face au changement climatiques (PAREC-CC) veut apporter des solutions à la dégradations des sols et améliorer les conditions de vie des communautés, a indiqué son Coordonnateur national.
» »Dans le tracé de la Grande muraille verte, nous avons une forte pauvreté, des sols fortement dégradés, des conditions de vie et d’existences très difficiles. Ce projet vient en appui à l’Agence sénégalaise de la reforestation et de la grande muraille verte pour pouvoir inverser les tendances négatives notées sur ce tracé », a déclaré Ibrahima Sall, vendredi, à Bakel (Est).
Il s’entretenait avec des journalistes après une visite des périmètres maraîchers du secteur des eaux et forêts et du centre de formation professionnel (CFP2) de Bakel.
Sous la tutelle de l’Agence sénégalaise de la reforestation et de la grande muraille verte (ASERGMV), le PAREC-CC, présent à Bakel depuis 2022, vise à réduire les vulnérabilités au changement climatique.
« Le département de Bakel fait partie du tracé de la grande muraille verte. Ici nous faisons avec nos deux piliers c’est-à-dire la résilience économique et la résilience écologique », a révélé Ibrahima Sall.
« En termes de résilience économique, nous avons mis en place une ferme agricole communautaire intégrée à Bema de 20 ha. Nous aidons 13 villages que polarise la ferme à mener des activités maraîchers », a souligné M. Sall.
Pour la résilience écologique, il a déclaré que le projet travaille à restaurer des terres dégradées, annonçant qu’ils vont bientôt réhabiliter 500 ha de terres dans le département.
Ibrahima Sall s’est réjoui des activités maraîchères menées par des jeunes de manière communautaire et individuelle en parlant d’un programme « champs-écoles-paysans ».
« Nous ne voulons pas des paysans, mais des agriculteurs qui vont transformer le Sénégal. Si nous voulons que les jeunes vivent de ce métier, nous devons les former. Avec le programme champs-écoles-paysans, les jeunes auront des formations pratiques où ils vont apprendre sur toute la chaîne de valeur », a fait savoir M. Sall.
Le PAREC-CC est appuyé par la coopération canadienne et de la FAO.
AND/ABD/FKS/OID
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VIDEO / 7 SUR 5
L’actualité de cette semaine est marquée la cérémonie du Grand prix du chef de l’Etat pour l’enseignant remporté par Bara Mbengue, professeur de lettres, de géographie et d’histoire à Louga. 7/5 revient également sur le lancement de la deuxième phase du projet d’approvisionnement en eau présidé par le Premier ministre Ousmane SONKO à Louga. -
VIDEO / Richard-Toll : Lancement des travaux de construction d’une usine de traitement et d’un château d’eau
Le ministre de l’Hydraulique et l’assainissement Dr Cheikh Tidiane Dièye a lancé Vendredi, à Richard-Toll les travaux d’une usine de traitement et d’un château d’eau. Ces infrastructures visent à renforcer l’alimentation en eau potable dans le nord du Sénégal.
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VIDEO / Secteur de l’industrie et du Commerce : les vastes chantiers du ministère
Le Sénégal va bientôt lancer une usine de montage de véhicules à Touba a annoncé le ministre de l’industrie et du commerce Dr Serigne Gaye Diop. Pour le ministre, plusieurs autres grands projets seront également lancés, notamment dans le domaine des hydrocarbures, de l’agroalimentaire.
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SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Goudomp : pose de la première pierre du poste de santé de Niagha
Goudomp, 9 fév (APS) – La mairie de Niagha, dans le département de Goudomp, a procédé, vendredi, au village de Bantagnel, non loin de la frontière avec la Guinée Bissau, à la pose de la première pierre d’un poste de santé.
»Cette cérémonie marque le début des travaux de construction d’un poste de santé moderne destiné à offrir des soins de meilleure qualité aux habitants de Niagha et des villages environnants », a déclaré, vendredi, Idrissa Baldé, maire de la commune de Niagha.
Il intervenait lors de la cérémonie de pose de la première pierre qui a rassemblé les autorités locales et des membres de la communauté.
Selon lui, cette journée marque une avancée significative pour la commune de Niagha dans le domaine de la santé.
L’investissement dans les infrastructures de santé et d’autres projets et programmes permet un accès équitable et de qualité aux services sociaux de base, a t-il soligné.
Le sous-préfet de l’arrondissement de Simbandi Birasssou, Jean Paul Diatta, a exprimé sa gratitude, soulignant l’importance de cette infrastructure stratégique, située à quelques kilomètres de la Guinée Bissau. Elle polarise également plusieurs villages.
Les acteurs de la santé ont réitéré leur engagement à travailler ensemble pour le bien-être de la population locale.
Ils ont également souligné l’importance de la coopération pour atteindre des objectifs communs et améliorer l’accès aux soins de santé.
La cérémonie a été marquée par la réception d’une ambulance offerte »Bamtaré Fouladou Birasssou » de la diaspora.
Docteur Babacar Valentin Badji, médecin chef du district de Goudomp, s’est réjoui de ce don, »une avancée majeure », selon lui, pour renforcer la capacité de réponse aux urgences médicales.
»Cet ajout crucial au parc de véhicules médicaux de Niagha permettra un transport rapide et sécurisé des patients vers les centres de soins, améliorant ainsi la prise en charge des urgences et sauvant des vies », a-t-il affirmé.
Selon Idrissa Baldé, maire de la commune de Niagha, »la construction de ce nouveau poste de santé et l’arrivée de l’ambulance représentent un pas en avant vers l’amélioration des conditions de vie et de la santé publique » dans sa collectivité territoriale.
OB/FKS/OID
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SENEGAL-ECONOMIE-INFRASTRUCTURES / Port autonome de Dakar : vers le lancement d’un plan de repositionnement
Kaolack, 8 fév (APS) – Le Port autonome de Dakar (PAD) va lancer son plan de repositionnement pour être en cohérence avec le nouveau référentiel des politiques publiques, a t-on appris du directeur de la stratégie et du suivi des concessions dudit port, Momar Ngary Ba.
‘’Le directeur général du PAD va lancer cette semaine un plan de repositionnement pour mettre en adéquation nos stratégies par rapport au nouveau référentiel des politiques publiques. Mais, nous faisons tout de façon inclusive avec les opérateurs pour que les besoins de nos investissements et de nos programmes puissent refléter des attentes et des investissements qui sont attendus’’, a-t-il notamment dit, vendredi.
M. Ba s’exprimait lors d’un point de presse au terme d’une visite de prise de contact du Directeur général de l’Agence nationale des affaires maritimes (ANAM), Bécaye Diop, avec le personnel de la Circonscription maritime (CIRCAM) de la zone centre.
Le DG de l’ANAM était à la tête d’une forte délégation composée de ses collaborateurs et de responsables du Port autonome de Dakar.
Ainsi, pendant son périple, il a rencontré les autorités administratives et territoriales des régions de Fatick et Kaolack, entre autres acteurs maritimes et portuaires.
‘’Nous sommes dans un secteur où il ne faut pas juste construire des ports et des infrastructures pour les besoins de l’affaire ; c’est pour soutenir une activité, un commerce et développer les industries’’, a souligné Momar Ngary Ba, estimant que le maillage du pays en infrastructures portuaires est important.
En créant ce maillage national entre les différents ports régionaux, cela va ‘’forcément permettre de faire des économies d’échelle et des leviers pour le développement », a soutenu M. Ba.
‘’Nous avons vu l’état de dégradation et les accidents causés sur nos routes. Nous devons forcément développer ce maillage national et créer de la complémentarité entre le Port autonome de Dakar, ceux de Ndayane, de Bargny-Sendou et les ports régionaux’’, a dit Momar Ngary Ba.
L’idée, d’après lui, ce n’est pas de se substituer ou de faire baisser les revenus des Chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture dont celle de Kaolack, mais plutôt d’être un émulateur et d’emmener les conditions de développement de ces infrastructures portuaires.
‘’Nous sommes dans un secteur où l’intensité capitaliste est énorme, il faut beaucoup de moyens pour faire ces investissements. Nous avons, mine de rien, le savoir-faire au niveau du PAD et avons aujourd’hui enclenché le projet de construction du port de Ndayane sur 1200 hectares avec une première vague d’investissements d’environ 700 milliards de francs CFA’’, a-t-il relevé.
Pour y arriver, le PAD doit nécessairement avoir des ‘’pôles d’appui’’, pense-t-il.
Le port autonome de Dakar ne compte pas seulement se limiter sur l’infrastructure portuaire, mais surtout créer les conditions favorable pour que les zones économiques et le tissu industriel, obéissant à la politique de ‘’pôles territoires’’ fixés dans le nouveau référentiel des politiques publiques puissent se développer, a-t-il souligné.
‘’Nous pouvons avoir des navires après avoir créé des voies d’accès, mais si derrière, nous n’avons pas l’activité et le trafic, ce qu’on appelle dans le secteur +l’aliment+, les bateaux ne viendront pas’’, a-t-il signalé.
‘’C’est un secteur holistique, une vue d’ensemble que nous comptons développer et nous saluons le fort engagement de l’ANAM aux côtés du PAD avec toutes les composantes des autres secteurs de notre écosystème pour pouvoir ensemble mener vers cet objectif’’, a indiqué le directeur de la stratégie et du suivi des concessions du PAD.
ADE/ASB/FKS/OID