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  • SENEGAL-ELECTRICITE / Les défaillances des installations électriques responsables de « beaucoup d’accidents domestiques » (DG  COSSUEL)

    SENEGAL-ELECTRICITE / Les défaillances des installations électriques responsables de « beaucoup d’accidents domestiques » (DG COSSUEL)

    Saint-Louis, 24 déc (APS) – De nombreux accidents domestiques sont causés par ‘’des défaillances dans les installations électriques’’, a affirmé le directeur général du Comité sénégalais pour la sécurité des usagers de l’électricité (COSSUEL).

    ‘’Beaucoup d’accidents domestiques sont dus à des défaillances dans les installations électriques’’, a déclaré Samba Dieng.

    Il intervenait face à la presse, à la fin d’un comité régional de développement organisé pour sensibiliser les populations sur le COSSUEL. La rencontre intervient en perspective de l’ouverture du bureau du COSSUEL à Saint-Louis, le 30 décembre prochain.

    S’il se dit certain que les défaillances dans les installations électriques sont à l’origine de nombreux accidents domestiques, il n’en reconnaît néanmoins qu’il est dans l’impossibilité de donner un chiffre exact ‘’faute d’une évaluation exhaustive’’.

    Malgré tout, il estime qu’‘’il nous faut beaucoup échanger, informer et sensibiliser les parties prenantes que sont les usagers et les installateurs’’.

    Il a rappelé que le COSSUEL s’est donné notamment pour objectif de venir à bout des accidents domestiques, souvent dus à des défaillances dans les installations électriques.

    Samba Dieng a indiqué que ‘’les électriciens sont au premier niveau quand on doit former, ils sont les premiers concernés mais la formation continue va cibler les usagers de manière perpétuelle et récurrente’’.

    Pour l’adjoint au gouverneur de Saint-Louis, chargé des Affaires administratives, Sidy Guissé Diongue, ‘’le COSSUEL vient à son heure et a un rôle déterminant à jouer dans la sécurisation des installations électriques’’.

    Le COSSUEL, dit-il, va délivrer les certificats de conformité des installations électriques et la finalité est d’éviter les incidents dans ce secteur.

    AMD/ASG/OID

  • SENEGAL-ECONOMIE-AGRICULTURE / Matam : les producteurs listent les conditions d’exploitation des 4 000 hectares de riz

    SENEGAL-ECONOMIE-AGRICULTURE / Matam : les producteurs listent les conditions d’exploitation des 4 000 hectares de riz

    Matam, 24 déc (APS) – L’annonce de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED) d’emblaver 4 000 hectares de riz, pour la campagne de contre-saison sèche et chaude, a été bien appréciée par des producteurs de la région de Matam (nord), qui n’ont pas manqué de poser des conditions de sa faisabilité, notamment la réfection de certains aménagements, la baisse des factures d’électricité, la dotation en motopompes et autres matériels.

    « C’est une ambition qui est bien faisable. Mais il faut des préalables, à savoir mettre en place le matériel nécessaire, notamment les tracteurs, les motopompes, les moissonneuses batteuses et surtout revoir la facturation de la Senelec », a dit Ousmane Ndiaye, le président du casier rizicole de Bow, dans le département de Kanel.

    Il s’exprimait ainsi au cours d’un entretien avec l’APS, estimant qu’il s’agit-là des ‘’conditions idoines’’ pour que la SAED puisse réaliser cette ambition.

    Ousmane Ndiaye, qui est également professeur d’anglais au Collège d’enseignement moyen de Ngano, signale que les terres existent dans la région, mais propose à la SAED d’en « aménager encore plus pour permettre aux jeunes de cultiver et de rester dans la zone ».

    « Si on arrive à régler tous ces problèmes, la SAED pourra bien emblaver plus que la superficie espérée. Il faut aussi que les mesures d’accompagnement soit satisfaites », a-t-il lancé.

    Le président du casier rizicole de Bow plaide également pour l’augmentation des superficies dédiées aux familles, notamment pour les jeunes qui ont décidé de rester dans leur terroir et travailler la terre.

    Ces aménagements familiaux, a-t-il souligné, sont très faibles et sont compris entre 0,25 et 0,5 hectare pour tout un ménage.

    La cherté des factures, principal problème des producteurs

    Ousmane Ndiaye pense que l’emblavement d’une telle superficie, 4 000 hectares, nécessite la mise en place d’intrants, ajoutant qu’ils doivent « venir à temps et à des prix accessibles, subventionnés ».

    A Bow, le casier rizicole, créé en 2024 s’étend sur une superficie de 329,76 hectares et est exploité par des producteurs de Ngano et de Barmathial, dans la commune de Ndendory, de Bow, Thialy Maka, Thially Soubalo, Soringho Sébé et Soringho pulaar, des localités de la commune de Ouro Sidy.

    Également producteur agricole à Ndouloumadji, Abdoulaye Mountaga Sall a lui aussi bien accueilli l’annonce de la SAED et exposé les conditions jugées nécessaires au bon déroulement de la campagne de contre-saison sèche et chaude.

    « Tout le monde adhère à ce projet et applaudit, mais le principe seul ne suffit pas. Sans groupe motopompes, avec des aménagements dégradés, des digues coupées et un réseau d’irrigation parfois défectueux, on aura du mal à réussir », signale celui qui s’active dans la polyculture.

    Il a également souligné la cherté des factures d’électricité, proposant que la facturation de la Senelec soit transparente.

    La question liée au coût de l’électricité a été évoquée, vendredi, lors d’une réunion du Comité régional de développement (CRD) sur le lancement de la campagne de contre-saison sèche et chaude.

    Pour Abdoulaye Mountaga Sall, il faut des mesures exceptionnelles, car cette année a été exceptionnelle pour les riziculteurs, qui ont été impactés par la montée des eaux du fleuve Sénégal.

    A Ndouloumadji, par exemple, les producteurs ont perdu plus de 120 hectares, engloutis par les eaux.

    De son coté, le président de la section Matam du Collectif interprofessionnel du riz (CIRIZ), Mamoudou Kane souligne que l’ambition de la SAED est bien faisable ‘’si toutes les conditions sont réunies’’.

    Il laisse entendre qu’avec les inondations passées, qui ont impacté plusieurs parcelles, il faudra les  »réhabiliter ».

    ‘’Il y a aussi le problème des moto-pompes qui doit être réglé. Car, il y a un déficit considérable de GMP qu’il faut résorber. Concernant les intrants, il faut qu’ils viennent à temps afin que les producteurs puissent respecter le calendrier cultural qui est fixé dans la deuxième semaine du mois de janvier », a expliqué M. Kane.

    Il faudra, selon lui que « les moto-pommes soient en place et que les parcelles soient réhabilitées afin que la campagne puise bien démarrer ».

    Mamoudou Kane, par ailleurs membre du Collège des producteurs de riz de Matam évoque aussi les tracteurs qui ne sont pas encore disponibles.

    Pour leur venir en appui, des intrants, notamment du riz, leur ont été offerts par le Projet de résilience et de développement communautaire de la vallée du fleuve Sénégal (PREC-FVS).

    AT/ABB/OID

  • SENEGAL-AGRICULTURE-REPORTAGE / A Mbour, le business florissant de la vente de pastèques confronté au défi de la conservation

    SENEGAL-AGRICULTURE-REPORTAGE / A Mbour, le business florissant de la vente de pastèques confronté au défi de la conservation

    +++Par Daouda BA+++

    Mbour, 24 déc (APS) – La pastèque (« xaal » en langue wolof), un fruit très prisé par les Sénégalais, est visible dans tous les coins et recoins de la ville de Mbour, un buisines florissant pour les grossistes et les détaillants qui n’en sont pas moins confrontés au problème de la conservation de ce produit très périssable.

     »Si le marché est pleinement approvisionné, ça peut nous causer des pertes énormes. Parce que, par exemple si tu achètes une quantité d’une valeur d’un million (de FCFA) au moment où le marché est inondé, tu peux ne pas écouler le produit’’, dit Cheikh Touré, un opérateur de la filière pastèque.

    Cheikh Touré tient un commerce de pastèques qu’il expose, amoncelées sur le bord de la route nationale, vers la mairie de Mbour.

    C’est l’un de ses deux points de vente bien connus de ses clients. Cheikh Touré dit exercer ce business depuis 13 ans. L’autre site est à Saly Velingara, renseigne-t-il.

    Le vendeur déploie ses équipes en zone rurale, surtout dans la région de Kaolack, pour lui acheter la marchandise bord-champ et l’acheminer à Mbour à bord de camions.

    ‘’Nous achetons à un prix variant entre 200.000 à 3000.000 de francs (FCFA), en fonction de la qualité et de la quantité » de la récolte, explique-t-il.

    Tout ce processus de récolte, de chargement, de transport et de déchargement de ce fruit lourd et délicat nécessite l’emploie d’une importante main-d’œuvre.

    ‘’A chaque voyage, je peux acheter 10 champs, et je prends pour chacun d’eux, au moins six personnes pour récolter et embarquer la marchandise dans des camions’’, rapporte Mame Malick Kane, un opérateur de pastèques.

    ‘’Pour le chargement, on peut payer jusqu’à 100.000 (FCFA) et le même montant pour le déchargement, une fois la cargaison arrivée à Mbour’’, note-t-il.

    A Thiocé, Abdourahmane Ngom et ses camarades attendent patiemment autour d’un thé, sous un arbre leur servant de quartier général, l’arrivée des camions de pastèques pour les vider de leur cargaison.

    ‘’Nous nous constituons parfois en équipe de 10, voire 6 personnes, selon le contenu du camion’’, dit-il.

    ‘’Il arrive que nous déchargions deux à trois véhicules par jour, suivant le moment de la campagne », indique le jeune homme. Les tarifs sont compris dans la fourchette de 20.000 à 80.000 francs (CFA) pour chaque opération’’.

    Le secteur du transport profite aussi de cette embellie du business de la pastèque.

    Pape Cheikh Niang, chauffeur de taxi clando se frotte les mains. ‘’On ne se plaint pas !, se réjouit-il, je peux faire deux à trois voyages par jour entre Mbour, Nguékhokh, Sindia et Popenguine-Ndayane, et pour chaque voyage, je peux gagner jusqu’à 5.000 francs (CFA), selon la quantité transportée’’.

    Selon Cheikh Touré, la vente de pastèques nourrit bien son homme, même si le pourrissement des produits hante le sommeil des vendeurs.

    A l’issue de sa campagne de l’année dernière, il s’était retrouvé avec un bénéfice de 2.500.000 francs (CFA)’’, se souvient-il. Cette année, il dit ne pas espérer atteindre le même chiffre d’affaires après avoir  »perdu 850.000 francs (CFA) dans un chargement, dont une bonne partie a pourri’’.

    Il a plaidé auprès des autorités pour la mise à leur disposition de chambres froides pour ôter ce goulot qui étrangle la commercialisation de la pastèque, une activité qui emploie plusieurs catégories d’acteurs.

    Pour M. Ba, un universitaire ne souhaitant pas dévoiler son identité, ‘’ce business doit être accompagné par nos gouvernants depuis la phase de culture jusqu’à la production et essayer de faire de la transformation de jus de pastèque ».  »Toute la quantité produite ne peut pas être consommée et il y a une bonne quantité qui va pourrir’’.

     »On a la terre, l’eau et si on produit une bonne quantité avec une transformation, cela  peut retenir les jeunes au pays et peut participer à lutter contre l’émigration irrégulière’’, a estimé M. Ba, trouvé en train de se procurer des pastèques.

    DOB/ADI/OID/SKS

  • SENEGAL-ECONOMIE / Tambacounda : l’ANPEJ accompagne plusieurs entrepreneurs et PME en activité

    SENEGAL-ECONOMIE / Tambacounda : l’ANPEJ accompagne plusieurs entrepreneurs et PME en activité

    Tambacounda, 24 déc (APS) – Vingt entrepreneurs et trente petites et moyennes entreprises (PME) en activité ont reçu, mardi, un accompagnement de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes (ANPEJ) dans le cadre du Programme national de promotion de l’entrepreneuriat des jeunes au Sénégal (PNPEJ/SN, a constaté l’APS.

    ‘’Pour la région de Tambacounda, nous avons 50 bénéficiaires dont 20 qui vont recevoir un appui en kits matériels et 30 entreprises qui sont en cours de formalisation,’’ a déclaré Fatou Lèye Sow, coordinatrice du Programme national de promotion de l’entrepreneuriat des jeunes au Sénégal (PNPEJ/SN).

    Elle intervenait lors de la cérémonie de remise de matériels organisée au CDEPS de Tambacounda en présence des autorités administratives et des bénéficiaires.

    Selon Fatou Lèye Sow, les entrepreneurs bénéficiaires de cet accompagnement s’activent dans plusieurs secteurs d’activités telles que la coiffure, la couture, l’aviculture, la menuiserie, l’élevage, etc,.

    ‘’Ce projet concerne des entrepreneurs en activité qui ont démarré sur leurs fonds propres. L’objectif, c’est de les aider à développer et à consolider leurs activités’’, a-t-elle expliqué.

    ‘’Il y a parmi les bénéficiaires des migrants de retour et des personnes en situation de handicap. Ils ont tous reçu des kits qui leur permettent non seulement de s’agrandir mais aussi de pouvoir diversifier leur activité’’, a-t-elle ajouté.

    Présidant la cérémonie de remise de ces kits matériels, l’adjointe au gouverneur de la région de Tambacounda Diaryatou Ndiaye a salué la pertinence de cette initiative, qui  »permettra de réduire le chômage et le sous-emploi dans cette région du Sénégal oriental ».

    L’autorité administrative a invité surtout les bénéficiaires à faire bon usage de ce matériel qui va, selon elle, renforcer leurs compétences en entreprise, faciliter l’accès au financement et encourager la formalisation.

    ‘’Un entrepreneur formé et outillé est un pilier de croissance pour sa population. Ces kits symbolisent la confiance que l’ANPEJ et ses partenaires placent en votre potentiel. Donc, je vous invite à faire bon usage de ce matériel qui facilitera l’atteinte de vos objectifs’’, a-t-elle dit aux bénéficiaires.

    ABD/SKS/ASG

  • SENEGAL-FOOTBAL / Aly Male dénonce la violence dans le championnat sénégalais

    SENEGAL-FOOTBAL / Aly Male dénonce la violence dans le championnat sénégalais

    Dakar, 24 déc (APS) – L’entraîneur de l’US sportive de Gorée (Ligue 1), Aly Male, a dénoncé la violence des supporters, estimant qu’elle en train de gâcher le championnat local de football.

     »On ne peut pas vivre comme ça. Ça ne peut pas continuer comme ça. La violence n’a pas sa place dans notre championnat. Il faut que les gens parlent de la violence. Elle est en train de gâcher notre championnat », a-t-il dit.

    Aly Male s’exprimait, lundi soir, après la victoire (2-0) de son équipe devant le Jaraaf, en match comptant pour la 9ème journée du championnat de ligue 1, disputé au stade Djagaly Bagayogo de Grand-Yoff.

    A la fin de la rencontre, des supporters du Jaraaf ont jeté des pierres, insulté leur entraîneur Malick Daff, avant d’envahir le stade, obligeant les forces de l’ordre à faire usage de grenades lacrymogènes.

    Depuis quelques journées, des supporters du Jaraaf dénoncent le choix tactique de leur entraîneur.

    Pour Aly Male, dont l’équipe est le leader du championnat, la violence n’a pas sa place dans notre football local. Il a invité les acteurs à savoir raison garder.

     »C’est la première défaite du Jaraaf, je ne comprends pas le comportement des supporters(…), pourquoi quand ils perdent, ils lancent des pierres, insultent l’équipe adverse et houspillent leur entraîneur. Il faut que les gens sachent raison garder. C’est un match de football  », a déclaré Aly Male.

    Il a rappelé que Malick Daff a remporté la dernière Coupe d’Afrique des nations des moins de 20 ans et plusieurs titres au plan local.

     »Malick Daff est un champion d’Afrique, c’est un grand entraîneur  », a souligné Aly Male.

    BHC/OID

  • SENEGAL-SANTE-SOCIAL / Koungheul : plus de 1500 personnes bénéficient de consultations gratuites à Lour Escale

    SENEGAL-SANTE-SOCIAL / Koungheul : plus de 1500 personnes bénéficient de consultations gratuites à Lour Escale

    Lour Escale (Koungheul), 24 déc (APS) – Plus de 1500 personnes ont bénéficié, lundi, des soins de santé à travers des consultations médicales gratuites, à Lour Escale, dans le département de Koungheul (Kaffrine), à l’initiative du mouvement ‘’Mankoo Taxawou Commune Lour Escale’’, a appris l’APS.

     »Nous avons organisé ces journées de consultations gratuites pour être au service de la santé et du bien-être des populations. Et au final, nous avons consulté plus de 1500 personnes’’, a notamment dit El Hadji Malick Top, coordonnateur dudit mouvement.

    Il s’exprimait lors de la cérémonie de clôture des ‘’48 heures de Lour Escale’’, en présence du personnel sanitaire, des autorités territoriales et entre autres  personnalités.

    Selon le représentant des médecins de ‘’Bambouck Santé’’, le docteur Ndiaga Faye, ces personnes ont été consultées dans les domaines de la médecine générale, la pédiatrie, l’urologie, la gériatrie, la gynécologie, la cardiologie et la maladie bucco-dentaire.

    Dr Faye a rappelé que cette initiative a été rendue possible par les membres d’un collectif de médecins du Maroc qui ont apporté leur contribution dans les domaines organisationnel et logistique.

    Le maire de Lour Escale, Abdoulaye Ka, a, pour sa part, magnifié l’action sociale et sanitaire du mouvement ‘’Mankoo Taxawou Commune Lour Escale’’ qui, à son avis, vient, faciliter l’accès des populations aux soins de santé.

    CTS/ADE/OID

  • SENEGAL-SPORT-INFRASTRUCTURES / La ministre des Sports veut doter 100 communes de plateaux multifonctionnels en 2025

    SENEGAL-SPORT-INFRASTRUCTURES / La ministre des Sports veut doter 100 communes de plateaux multifonctionnels en 2025

    Dakar , 24 déc (APS) – La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diène Gaye, veut doter 100 communes du pays de plateaux multifonctionnels en 2025, dans le cadre d’un partenariat avec le secteur parapublic et le patronat.

     »Globalement, avec le secteur parapublic et le patronat , nous voulons atteindre 100 communes et les doter de plateaux multifonctionnels », a-t-elle dit lors d’une réunion sectorielle avec le secteur parapublic.

    La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture et le directeur de l’Agence de construction des bâtiments et édifices publics (ACBEP), Baye Niass, ont signé, début décembre, une convention pour la réalisation de 25 plateaux multifonctionnels dans 25 communes du Sénégal.

     »Concernant notre département, et par rapport à nos missions sectorielles durant ce quinquennat, nous voudrions en 2028, à l’heure du bilan pour que nous puissions dire que 500 communes ont des infrastructures sportives de proximité », a indiqué .

    La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a fait remarquer que Dakar ne fait pas partie de ce programme.

     »Le contenu de ce projet met l’accent sur la démocratisation et l’accessibilité aux infrastructures sociales de base. Parmi celles-ci, la culture et le sport y occupent une très grande place. Nous voulons mettre l’accent sur les infrastructures de proximité  », a expliqué Khady Diène Gaye.

    BHC/ABB/OID

  • SENEGAL-PARLEMENT / Mbaye Dione démissionne de la BIMAO pour siéger à l’Assemblée nationale

    SENEGAL-PARLEMENT / Mbaye Dione démissionne de la BIMAO pour siéger à l’Assemblée nationale

    Dakar, 24 déc (APS) – Le banquier Mbaye Dione, élu membre de la 15e législature, a démissionné de la BIMAO, la Banque des institutions mutualistes d’Afrique de l’Ouest, pour se consacrer à son mandat parlementaire, a annoncé, mardi, à Dakar, le président de l’Assemblée nationale, Malick Ndiaye.

    ‘’Je vous annonce la démission de notre collègue Mbaye Dione de la direction générale de la BIMAO’’, a déclaré M. Ndiaye à ses collègues lors de l’examen de la loi de finances rectificative 2024.

    Mbaye Dione a été élu député de la coalition Jàmm ak Njariñ emmenée aux élections législatives du 17 novembre dernier par l’ancien Premier ministre Amadou Ba.

    Guy Marius Sagna (groupe Pastef) a dénoncé, samedi 14 décembre, le ‘’cumul de mandats’’ de son collègue.

    M. Dione, directeur général de la BIMAO, était présent ce jour-là à l’Assemblée nationale.

    Aucune information n’avait été rendue publique, concernant sa démission de la direction générale de la BIMAO.

    CS/ESF/SMD

  • SENEGAL-ENERGIE-JUSTICE / Controverse autour du marché public entre l’ASER et AEE Power : le gouvernement a déposé une plainte

    SENEGAL-ENERGIE-JUSTICE / Controverse autour du marché public entre l’ASER et AEE Power : le gouvernement a déposé une plainte

    Dakar, 24 déc (APS) – Le ministère des Finances et du Budget déclare avoir porté plainte, via l’Agent judiciaire de l’État, à la suite de la controverse relative au marché public conclu entre l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER) et la société espagnole AEE Power.

    ‘’Le ministère des Finances et du Budget […] a porté plainte’’, déclare un rapport de la commission des finances de l’Assemblée nationale, citant le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba.

    L’Agent judiciaire de l’État s’est chargé du dépôt de la plainte du ministère, précise le document parlementaire. Il ne mentionne pas l’identité de la personne mise en cause ni les faits visés par la plainte.

    Le rapport a été distribué à la presse lors de l’examen de la loi de finances rectificative 2024.

    ‘’La Direction générale des impôts et des domaines s’est saisie du dossier et a commandité un audit, dont les résultats préliminaires sont en train d’être étudiés par mon département’’, affirme le rapport parlementaire en citant Cheikh Diba.

    L’ARCOP, l’Autorité de régulation de la commande publique, a suspendu le marché public d’électrification rurale conclu entre l’ASER et la société AEE Power.

    Le marché public en question a été attribué en vue de l’électrification de nombreux villages situés dans différentes régions du pays.

    L’ARCOP a suspendu la procédure en estimant qu’il y a eu une violation des règles de passation des marchés publics.

    CS/ESF/OID

  • VIDEO / Thiès : le DGPRE et le GREAT prônent une gestion intégrée des ressources en eau

    VIDEO / Thiès : le DGPRE et le GREAT prônent une gestion intégrée des ressources en eau

    La Direction de la gestion et de la planification des ressources en eau et ses partenaires prônent une gestion intégrée des ressources du liquide précieux.