Auteur/autrice : admin

  • SENEGAL-TRANSPORTS-INFRASTRUCTURES  / L’aéroport Ousmane-Masseck-Ndiaye est prêt à l’exploitation, selon Abdoulaye Dièye

    SENEGAL-TRANSPORTS-INFRASTRUCTURES / L’aéroport Ousmane-Masseck-Ndiaye est prêt à l’exploitation, selon Abdoulaye Dièye

    Dakar, 27 mai (APS) – L’aéroport Ousmane-Masseck-Ndiaye de Saint-Louis (ouest) est ‘’prêt à l’exploitation’’, a déclaré vendredi le directeur général de l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD), Abdoulaye Dièye, affirmant attendre l’autorisation de l’agence sénégalaise de l’aviation civile pour la mettre en service.

    Venu visiter cette infrastructure aéroportuaire, M. Dièye a estimé qu’elle était déjà ‘’prête à l’exploitation’’.

    ‘’Nous attendons que l’ANACIM (Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie) nous fixe une date’’ pour sa mise en service, a-t-il ajouté.

    Le directeur général de l’AIBD dit être ‘’très satisfait’’ de l’exécution des travaux qui, selon lui, sont conformes à la réglementation de l’Organisation de l’aviation civile internationale.

    ‘’Nous avons constaté que les travaux sont presque terminés, cet aéroport international sera bientôt exploité dans de très bonnes conditions de sécurité’’, a assuré M. Dièye.

    Fruit de la coopération sénégalo-tchèque, l’aéroport Ousmane-Masseck-Ndiaye a coûté 23 milliards de francs CFA, selon les autorités sénégalaises.

    Le président de la République, Macky Sall, a procédé à son inauguration, le 14 juillet 2022.

    La société tchèque Transcon Electronic Systems est chargée des travaux de reconstruction de cet aéroport.

    Ousmane Masseck Ndiaye, dont Macky Sall a donné le nom à cette infrastructure aéroportuaire, fut ministre, maire de Saint-Louis (nord) et président du Conseil de la République pour les affaires économiques et sociales, une ancienne institution consultative sénégalaise.

    Il est décédé le 9 janvier 2013 à l’âge de 57 ans.

    AMD/ESF

  • SENEGAL-ECONOMIE / Report de la demi journée d’échange sur la gestion du contentieux social en milieu professionnel

    SENEGAL-ECONOMIE / Report de la demi journée d’échange sur la gestion du contentieux social en milieu professionnel

    Dakar, 27 mai (APS) – Le Conseil national du patronat (CNP) annonce le report à une date ultérieure de sa demi journée d’échanges et de concertation sur la gestion du contentieux social en milieu professionnel, initialement prévue mardi prochain, a appris l’APS  de l’organisation patronale, vendredi.

    AN/ASG

  • SENEGAL-CULTURE / Cinéma : des acteurs cogitent sur les outils de développement du secteur

    SENEGAL-CULTURE / Cinéma : des acteurs cogitent sur les outils de développement du secteur

    Dakar, 26 mai (APS) – ‘’Focus cinéma, quels outils pour développer le potentiel du secteur ?’’ est le thème autour duquel ont réfléchi vendredi, à Dakar, des acteurs du 7e art dans le cadre du Forum africain pour les industries créatives, qui se tient dans la capitale sénégalaise.

    Le panel organisé à cet effet a réuni Aurélien Bodinaux, producteur belge, Kalista Sy, productrice et scénariste sénégalaise, Mouhamed El Mounir Barro, représentant du FOPICA et Souleymane Dia, du Centre Yennenga.

    ‘’Avant le film d’Alain Gomis qui a reçu l’Etalon d’or de Yennenga au Fespaco, en 2017, le secteur du cinéma n’était pas réellement pris en compte’’, a rappelé Souleymane Dia du Centre Yennenga.

    ‘’On n’avait pas d’identité dans nos films et le FOPICA [Fonds de promotion de l’industrie cinématographique et audiovisuelle] nous a permis d’avoir une carte d’identité, car depuis que le fonds a été doté, c’est devenu un challenge ’’, a-t-il poursuivi.

    Le producteur belge Aurélien Bodinaux, qui a présenté un extrait de son film ‘’Dent pour dent’’, a salué les initiatives du FOPICA. ‘’Lorsque je commençais le cinéma il y a 20 ans, il fallait chercher des financements au nord, en France, en Belgique, et ça causait beaucoup de problèmes au niveau local’’, a-t-il rappelé.

    Il se réjouit de ce que ‘’les choses ont changé et que des initiatives comme le FOPICA ont permis de changer les paradigmes avec un principe de co-financement et de co-production, où il y a un vrai partage des compétences’’.

    Il estime que la Belgique ‘’peut défendre le projet d’un auteur sénégalais en trouvant de l’argent dans le fonds public belge et vice-versa‘’, un point de vue qui a suscité un large débat entre les participants au panel.

    ‘’J’ai été financé par le FOPICA avec mon dernier projet qui sera bientôt disponible, mais si on voit combien le FOPICA met sur un contenu hors continent et combien il met sur un produit local, il y a un gap ‘’, a déploré la productrice et scénariste Kalista Sy.

    Elle estime que les autorités doivent se poser des questions essentielles liées à la façon ‘’d’outiller le secteur du cinéma pour faire en sorte qu’il puisse rivaliser avec des produits étrangers’’. ‘’Aujourd’hui, nous arrivons à toucher une cible difficile à atteindre et nous arrivons à raconter nos histoires. Donc, le cinéma est un secteur qu’il faut prioriser’’, a encouragé Kalista Sy.

    A sa suite, Mouhamed El Mounir Barro, représentant du FOPICA, déclare : ‘’Je suis d’accord sur certains points, mais il faudrait que beaucoup d’acteurs pensent à se formaliser pour capter les financements, parce que l’Etat ne peut pas mettre ses sous n’importe où.’’

    ‘’Pour la plupart des demandes qu’on reçoit au niveau du FOPICA, on se rend compte que même pour décliner un budget convenablement, cela pose problème. Donc, il faut beaucoup plus de maisons de production pour faire ce travail et recevoir des financements’’, a-t-il ajouté.

    Il explique que le ‘’bouillonnement’’ noté aujourd’hui dans le secteur découle du fait qu’’’il y a un appui financier qui est réel’’. Mais il n’en pense pas moins qu’’’il faut aussi trouver des moyens de financement autres que le FOPICA’’.

    MFD/ASG

  • SENEGAL-CONSOMMATION / Huile et sucre : Sédhiou fixe ses nouveaux prix

    SENEGAL-CONSOMMATION / Huile et sucre : Sédhiou fixe ses nouveaux prix

    Sédhiou, 26 mai (APS) – Les autorités administratives et le Conseil régional de la consommation de Sédhiou (sud) se sont réunis vendredi à l’effet d’établir les nouveaux prix du sucre et de l’huile, deux denrées de base très prisés par les consommateurs, a constaté l’APS.

    « Désormais, le prix de l’huile de palme raffinée est fixé à 21 200 FCFA, pour le bidon de 20 litres, soit 1.100 FCFA le litre. Pour le sucre, le prix est fixé à 28.500 FCFA/ le sac, soit 600 FCFA le kilogramme », a précisé Ibrahima Ngom, chef du service régional du commerce de Sédhiou.

    L’adjoint au gouverneur chargé des affaires administratives Modou Guèye, qui a présidé cette rencontre, a exhorté les différents acteurs à bien « veiller à l’application rigoureuse des prix fixés pour les deux produits alimentaires, que sont le sucre cristallisé et l’huile de palme raffinée ».

    Il a aussi invité les commerçants à « accompagner les consommateurs en acceptant de respecter les prix de ces denrées alimentaire ».

    Pour Ibou Mané, le président de l’Union régionale des consommateurs de Sédhiou, ces nouveaux prix vont permettre à la population de « souffler un peu et d’améliorer le panier de la ménagère ».

    « Les services du commerce et les forces de l’ordre doivent faire appliquer la loi à l’endroit de toutes les parties concernées par cette décision », a-t-il plaidé.

    OB/MTN

  • SENEGAL-UNIVERSITE / L’UGB lance un cours sur la dissection de l’os temporal

    SENEGAL-UNIVERSITE / L’UGB lance un cours sur la dissection de l’os temporal

    Saint-Louis, 26 mai (APS) – L’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis a abrité ce vendredi l’ouverture d’un cours sur la dissection de l’os temporal, avec la participation de 32 chirurgiens en ORL issus de 12 pays africains, a constaté l’APS.

    Ce cours, organisé alternativement à Thiès ou à Saint-Louis, permettra aux médecins spécialistes de l’ORL de décentraliser les interventions chirurgicales et les maladies relatives à l’os temporal de l’oreille.

    Selon Pr Adama Kane, directeur de l’unité de formation et de recherche des sciences de la santé,  »ce cours est destiné à renforcer la capacité des médecins en OR qui étaient confrontés à d’énormes difficultés pour parfaire leurs connaissances sur l’anatomie de l’os temporal ».

     »Ils étaient obligés d’aller aux Etats-Unis pour se recycler dans ce domaine afin de mieux prendre en charge les milliers de patients africains qui souffrent de maux et troubles relatifs à l’oreille », a-t-il ajouté.

    Quant au chef du service ORL de l’hôpital régional de Saint-Louis,  il s’est réjoui de l’organisation de ce cours  »qui permettra aux professionnel de la santé de mieux s’imprégner du traitement des spécificités de l’os temporal ».

    AMD/MD/ASG

  • SENEGAL-POLITIQUE / Sur son chemin de retour à Dakar, Ousmane Sonko s’offre un bain de foule à Goudomp

    SENEGAL-POLITIQUE / Sur son chemin de retour à Dakar, Ousmane Sonko s’offre un bain de foule à Goudomp

    Sédhiou, 26 mai (APS) – Le leader du parti les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF, opposition) Ousmane Sonko, escorté par la ‘’caravane de la liberté, a été accueilli par de nombreux militants à son arrivée ce vendredi vers 17 heures à Goudomp, dans la région de Sédhiou, a constaté l’APS.

    Du village de Kaour en passant par les quartiers populaires de Goudomp, une foule nombreuse composée de jeunes et de femmes, est sortie pour acclamer le maire de la ville de Ziguinchor.

    L’opposant Ousmane Sonko, qui séjournait dans cette métropole du sud dont il est maire, depuis le 2 mai, avait annoncé mercredi son retour à Dakar, dans le but de mener ‘’l’ultime combat’’.

    Il en avait fait l’annonce en présence d’un public nombreux et acquis à sa cause, rassemblé devant son domicile au quartier Néma Kadior. L’opposant poursuivi pour viol présumé par Adji Sarr, une employée d’un salon de massage dakarois, était revenu sur son ‘’repli stratégique’’ dans la ville dont il est le maire.

    ‘’Je vais rentrer à Dakar. Je vais partir par la route en faisant un Némékou tour que je vais nommer +Caravane de la Liberté+. Je vais partir en sillonnant toutes les villes sur mon passage et je [re]viendrai ici sans aucune égratignure’’, avait lancé M. Sonko à ses militants.

    Au milieu d’une foule en liesse, la caravane du chef de file de PASTEF s’est frayé un chemin pour prendre la direction de Kolda, l’une des régions administratives de la Casamance naturelle avec Sédhiou et Ziguinchor.

    « La marche pour la liberté et la libération du Sénégal commence ici à Sédhiou, plus particulièrement dans le département de Goudomp », a martelé Ousmane Sonko.

    Mardi, la chambre criminelle du tribunal de Dakar a mis en délibéré au 1er juin le verdict du procès de Ousmane Sonko, poursuivi pour viol par Adji, une ex-employée d’un salon de massage dakarois.

    Le parquet a requis dix ans de réclusion criminelle à son encontre à la suite l’audience spéciale qui s’est tenue au tribunal de Dakar.
    Cette audience spéciale s’était ouverte en l’absence du leader de Pastef/les Patriotes, qui est accusé de viol et de menaces de mort par l’ex-masseuse Adji Sarr.

    M. Sonko, après avoir refusé de coopérer avec la justice sénégalaise dans cette affaire, s’était retiré depuis plusieurs jours dans sa ville natale de Ziguinchor.

    OB/MTN/ASG

  • SENEGAL-CULTURE / FACC de Matam : Une centaine de projets culturels toujours en attente d’être produits faute de moyens (Président)

    SENEGAL-CULTURE / FACC de Matam : Une centaine de projets culturels toujours en attente d’être produits faute de moyens (Président)

    Thilogne (Matam), 26 mai (APS) – Le président de la Fabrique artistique culturelle et citoyenne (FACC), El Hadji Kane, a déclaré vendredi qu’une centaine de projets culturels soumis à sa structure tardent à être mis en œuvre, « faute de moyens’’.

    « Nous avions lancé en 2022 un nouvel appel à candidatures. Nous avons jusque-là recueilli une centaine de candidatures qui n’ont toujours pas été produits, car nous n’avons pas de moyens financiers pour le faire. La première fois, c’est l’Institut français de Dakar qui avait mis les moyens nécessaires pour produire les projets », a-t-il dit.

    S’entretenant avec l’APS, le président de cette structure culturelle installée à Thilogne, dans le département de Matam, a soutenu que lors du premier appel à candidatures, la FACC avait reçu 80 projets culturels initiés par des jeunes venus de toute la région.

    Après audition, dix jeunes avaient été choisis et ont été par la suite produits. Ils avaient par la suite bénéficié d’une production audiovisuelle, selon lui.

    « Après avoir produit l’artiste, nous lui trouvons des prestations scéniques pour lui permettre de se former, de découvrir d’autres aspects et réalités de la musique », a fait savoir M Kane.

    Il signale que depuis la création de la Fabrique artistique culturelle et citoyenne de Matam, la structure fonctionne avec les moyens du bord « pour financer certains projets ».

    El Hadji Kane a laissé entendre que la FACC attend toujours de bénéficier d’un financement du conseil départemental de Matam, qui a signé avec la structure culturelle une convention, « mais le financement n’est toujours pas disponible ».

    De même, il indique que la FACC est toujours en attente d’un soutien de l’Etat pour dérouler des projets et financer des productions artistiques, de même qu’un appui du ministère de la Culture.

    Le jeune El Hadji Kane souligne que la FACC a d’énormes perspectives, dont la mise en place d’un restaurant dénommé FACC Food.

    « Nous sommes en train de chercher des financements pour nous lancer dans la restauration avec FACC Food. Nous comptons aussi explorer d’autres secteurs comme l’évènementiel et le sport », a fait savoir le président.

    Il explique que la Fabrique artistique culturelle et citoyenne a eu un impact positif sur les jeunes artistes, qui ont trouvé un cadre d’épanouissement, de rencontres, de création et d’échanges artistiques.

    El Hadji Kane estime que « la FACC a redonné de l’espoir à des jeunes qui étaient découragés de la vie artistique ».

    « La FACC, c’est aussi un outil de création d’emplois, d’insertion, de formation professionnelle et d’employabilité des jeunes. Notre objectif, c’est aussi d’aider des jeunes qui ont du talent à se produire », a lancé le président de cette structure culturelle.

    En plus de Matam, il existe également les FACC Strasbourg et Marseille, en France, et FACC Dakar. La structure a été créée en 2018 en partenariat avec la Compagnie Mémoires Vives.

    La FACC Matam a été mise en place en 2021 avec l’aide de l’équipe municipale sortante qui avait mis à la disposition de l’association le centre culturel de Thilogne, entièrement réfectionné par les jeunes.

    « Nous avons bénéficié d’un appui financier s’élevant à 10 000 euros (6 500 000 francs CFA) pour acheter du matériel comme un studio d’enregistrement professionnel, du matériel audiovisuel, des vidéos-projecteurs et des écrans », a dit El Hadji Kane.

    AT//MD/BK

  • SENEGAL-FOOTBALL-REFORMES / FSF : le CA de la ligue de football amateur cherche à harmoniser sa position

    SENEGAL-FOOTBALL-REFORMES / FSF : le CA de la ligue de football amateur cherche à harmoniser sa position

    Kaolack, 26 mai (APS) – Les membres du Conseil d’administration de la ligue sénégalaise de football amateur, réunis pendant deux jours à Kaolack, ont échangé entre eux dans le but d’harmoniser leur position en perspective des réformes envisagées par la Fédération sénégalaise de football (FSF), a appris l’APS d’Amadou Ndoye Ndiaye, le premier vice-président de cette instance.

     ‘’Aujourd’hui, la Fédération sénégalaise de football est en train de travailler pour la révision des textes et nous avons échangé entre membre du Conseil d’administration de la ligue sénégalaise de football amateur, pour pouvoir harmoniser nos positions’’, a expliqué M. Ndiaye.

     Il s’exprimait lors d’un point de presse organisé au sortir d’une réunion du conseil d’administration organisée jeudi et vendredi à Kaolack (centre). Il a signalé qu’au cours de la rencontre, le CA a reçu une délégation de la FSF relativement à la demande du chef de l’Etat, Macky Sall, de lui soumettre un dossier en vue d’appuyer le football sénégalais.

     ‘’Au niveau de la ligue sénégalaise de football amateur, nous ne faisons pas la dissociation entre le football professionnel et celui dit amateur, même si on sait qu’aujourd’hui le football amateur est le socle sur lequel le football professionnel s’appuie’’, a souligné Amadou Ndoye Ndiaye.

    Pour lui, tous les acteurs du football forment une seule et même famille et doivent, par conséquent, parler le même langage pour aller défendre leurs intérêts devant les autorités étatiques.

     

     

    ‘’On s’est rendu compte que depuis l’avènement du football professionnel en 2009, sans la volonté politique de l’Etat, on ne peut pas avancer. Mais, on avait constaté que jusqu’ici, il n’y avait pas un appui financier de l’Etat, même si on reconnaît qu’aujourd’hui, si le football marche avec les résultats enregistrés, c’est parce que le président de la République, Macky Sall, a eu à mettre énormément de moyens’’, a-t-il dit.

    Il a rappelé que  »l’innovation majeure’’ pour la finale de la Nationale 1, prévue le 10 juin prochain, réside dans le fait que cette compétition se tiendra au stade Abdoulaye-Wade de Diamniadio. Cette finale mettra aux prises l’équipe de Niary-Tally-Grand-Dakar-Biscuiterie (NGB) à celle de la Renaissance de Yoff.

     ‘’C’est parce qu’au niveau de la ligue sénégalaise de football amateur nous osons et avec la Coupe dotée du trophée du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT), on avait augmenté les primes jusqu’à dix millions de francs CFA pour le vainqueur. Ce qui est une première’’, a salué le premier vice-président de la ligue de football amateur.

    Pour la prochaine finale du 10 juin prochain, le vainqueur empochera une prime de dix millions de francs CFA contre cinq millions de francs CFA pour le perdant, a-t-il précisé, saluant ‘’une grande avancée pour le football amateur’’.

    ADE/ASG/MD