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  • SENEGAL-COLLECTIVITES-ECONOMIE / Bakel : la révision de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale au menu d’une rencontre

    SENEGAL-COLLECTIVITES-ECONOMIE / Bakel : la révision de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale au menu d’une rencontre

    Bakel, 21 jan (APS) – Des consultations citoyennes consacrées à la révision de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale (LOASP) ont été ouvertes à Bakel (est), à l’initiative de l’ONG Enda Pronat et du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage.

    « C’est une loi promulguée en 2004 (…), après 20 ans, elle devait être révisée, pour la rendre beaucoup plus conforme à l’évolution de la société, à l’évolution des systèmes de production mais également à l’évolution du climat », a expliqué, lundi, Tamsir Mbaye, directeur du Centre national de recherche forestière de l’Institut Sénégalais de recherche agricole (Isra).

    M. Mbaye s’entretenait avec des journalistes au terme de la rencontre présidée par l’adjoint au préfet de Bakel, Ngor Pouye, en présence des autorités administratives et territoriales ainsi que des agriculteurs et éleveurs de la zone.

     »Cette révision permettra d’examiner les statuts de la professionnalisation et de la reconnaissance de l’agriculture », a-t-il indiqué.

    Elle permettra également, a-t-il ajouté, de voir « comment arriver à faire des activités agro-sylvo-pastorales et halieutiques exercées par 70% de la population du Sénégal, des métiers reconnus et socialement acceptable ».

    Il a noté que 52 engagements ont été pris et tournent essentiellement autour de la professionnalisation de l’agriculture, de rendre lisible la production agricole, de revaloriser le métier social de l’agriculture, d’initier des dialogues entre les acteurs.

    « Tambacounda est une région extrêmement importante quand on parle de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale, parce qu’on y retrouve toute les dimensions de l’exploitation rurale (…) il était temps d’y arriver afin de mettre en place des équipes fortes qui vont dans les départements pour recueillir les contributions des acteurs et leurs recommandations », a souligné M. Mbaye.

    Il est prévu d’organiser dans la deuxième quinzaine du mois de février le conseil supérieur d’orientation agro-sylvo-pastorale avec le président de la République Bassirou Diomaye Faye pour « parler avec le monde paysan », a-t-il fait savoir.

    C’est pourquoi,  »une commission ad hoc a été chargée de tout faire pour finaliser les consultations au niveau régional », a ajouté Tamsir Mbaye.

    “Avec le conseil supérieur, les acteurs devaient également partager des messages forts pour le président de République au nom des populations rurales de la région » a-t-il dit, regrettant une « méconnaissance » de la loi et des dispositions qu’elle contient chez les acteurs.

    Des agriculteurs et éleveurs, interrogés se sont réjouis de la rencontre. Ils ont invité les autorités à une meilleure prise en compte des métiers de l’agriculture et de l’élevage avec une maîtrise de l’eau et une bonne organisation des acteurs.

    AND/ABD/ADL/ASB

  • SENEGAL-TOURISME-DIVERS-REPORTAGE / Au Riu Baobab à Pointe Sarène, la vie retrouve son cours normal

    SENEGAL-TOURISME-DIVERS-REPORTAGE / Au Riu Baobab à Pointe Sarène, la vie retrouve son cours normal

    Pointe Sarène (Mbour), 21 jan (APS) – L’hôtel Riu Baobab retrouve une vie normale, au lendemain de l’attaque qu’il avait subie dans la nuit du samedi au dimanche, de la part d’une bande armée, emportant dans sa fuite plus de 12 millions de francs CFA, a constaté l’APS.

    Une vingtaine de personnes armées de fusils de chasse s’étaient introduites ce weekend, dans ce réceptif hôtelier, implanté à Pointe Sarène, dans le département de Mbour.

    Après des échanges de tirs avec les gendarmes, venus à la rescousse, les brigands avaient pris la fuite, avec de l’argent qu’ils ont pris à la réception de l’hôtel.

    Cette parenthèse s’est vite refermée, laissant place au train-train quotidien d’un réceptif implanté dans une zone de grande promotion du tourisme balnéaire.

    « C’est un événement malheureux que nous avons tous vécu. Mais actuellement, tout est revenu à la normale. On est en train de continuer nos activités tranquillement. Les clients arrivent et ceux qui doivent partir sont en train de partir », déclare à l’APS la directrice des ressources humaines de l’hôtel, Ramatoulaye Mbacké.

    « L’événement n’a eu aucun impact sur le fonctionnement normal de l’hôtel. On continue de fonctionner tranquillement et à recevoir des clients », précise Mme Mbacké.

    « Là, on est en train de recevoir un groupe de 141 personnes de nationalité anglaise », explique la responsable, pendant que plusieurs touristes, qui viennent de descendre d’un bus provenant de l’aéroport international Blaise de Diagne, s’activaient aux formalités d’usage à la réception, lundi, peu après 20 heures.

    Dimanche, au lendemain de l’attaque, « nous avons reçu 180 entrées toute la journée et aujourd’hui [lundi], on en a eu 163 », signale-t-elle, ajoutant que « plus de 300 visiteurs ont été reçus dans l’hôtel depuis l’incident ».

    A l’intérieur de l’hôtel, juste après le portail, des éléments de la gendarmerie lourdement armés veillent au grain.

    « La gendarmerie est présente H24 depuis le jour de l’incident. La situation est maîtrisée, le calme et la sérénité règnent actuellement dans l’hôtel et au niveau des clients, du personnel », se réjouit Ramatoulaye Mbacké.

    Dans le principal restaurant du site, règne une belle ambiance autour de plats copieux et divers.

    « C’est l’heure du dîner ! », lance Mme Mbacké, lors d’une visite guidée à l’intérieur de l’hôtel, alors que des serveurs font le tour des tables où une centaine de clients attendent patiemment d’être servis.

    « Vous avez vu l’ambiance dans l’hôtel. On dirait que rien ne s’est jamais passé », fait constater la DRH, après un tour dans un second réfectoire, qui offre un décor similaire.

    « Il y a eu certes des craintes et c’est très normal. Ça se comprend que des clients aient envoyé des mails pour s’enquérir de la situation par rapport à la sécurité et aux mesures nécessaires prises pour qu’ils puissent venir », admet-elle.

    Dimanche soir, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Mountaga Diao, à la tête d’une forte délégation, s’était rendu sur les lieux. Une visite au cours de laquelle, il avait annoncé des mesures, dont notamment l’érection d’une brigade de gendarmerie, pour renforcer la sécurité dans la station touristique de Pointe Sarène.

    « Nous accueillons cette annonce avec beaucoup de plaisir. On attend que cette brigade soit mise en place dans les plus brefs délais. Nous espérons que cela va répondre à toutes les préoccupations sécuritaires que nous avons », réagit la responsable des ressources humaines. Elle se dit confiante quant à l’aboutissement de l’enquête ouverte par la gendarmerie.

    DOB/ADI/BK/ASG

  • SENEGAL-RECHERCHE-PROFIL / Lamine Sané, un spécialiste des technologies numériques à la tête de l’ANRSA

    SENEGAL-RECHERCHE-PROFIL / Lamine Sané, un spécialiste des technologies numériques à la tête de l’ANRSA

    Dakar, 21 jan (APS) – Le nouveau directeur général de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANRSA), Lamine Sané, compte mettre en œuvre des mécanismes et cadres de coordination innovants, dans l’optique d’une plus grande valorisation des résultats de la recherche intégrant plus concrètement les aspects liés aux questions de développement.

    L’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée « doit être un puissant instrument de valorisation des résultats de la recherche permettant d’adresser les problèmes auxquels font face les Sénégalais dans les domaines industriel, agricole, médical, numérique, entre autres », a dit son nouveau directeur général, chercheur en technologies numériques.

    « Au-delà du champ limité de la recherche scientifique appliquée », l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée « devra s’adapter aux exigences de l’heure en intégrant concrètement l’aspect développement de la recherche et l’innovation technologique », a souligné Lamine Sané, cité dans une note parvenue à l’APS.

    Dans ce cadre, il promet de « contribuer, en collaboration avec la tutelle et les acteurs de l’écosystème de la recherche scientifique appliquée, aux réformes du système national de la recherche et particulièrement aux nouvelles orientations de l’ANRSA adaptées aux ambitions de la Vision 2050 », le nouveau référentiel des politiques publiques.

    Lamine Sané ambitionne de mettre en place « des mécanismes et cadres de coordination innovants entre les acteurs du secteur », en lien avec sa mission de coordonnateur de la recherche scientifique appliquée, se disant conscient de « l’importance stratégique et des énormes défis de l’ANRSA dans le développement socio-économique de notre pays dans un contexte marqué par l’impératif d’un nouveau modèle de développement ».

    Le nouveau directeur de l’ANRSA, natif de Kaolack (centre), enseignait à l’Institut des sciences appliquées et de technologie (INSAT) dont il était le directeur des études avant sa nomination en Conseil des ministres.

    Il a fait son cycle supérieur à la faculté des sciences et techniques de l’université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD), où il a obtenu une licence en physique, chimie, sciences de la matière en 2012, puis une maitrise en physique appliquée en 2014.

    Lamine Sané a ensuite obtenu, en 2015, un master 2 en sciences de l’ingénieur, option informatique, modélisation et simulation des systèmes Complexes à l’Ecole supérieure polytechnique de l’UCAD, avant d’y soutenir un doctorat en télécommunications en 2020.

    Ses travaux, portant sur le sujet « Antennes miniatures multi-bandes adaptatives pour les futurs réseaux 5G », ont été sanctionnés par une dizaine de publications scientifiques.

    M. Sané, qui n’a pas encore pris service en tant que directeur général de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée, a proposé, dans le cadre de ses travaux, « une approche innovante dans la conception d’antennes intelligentes pour les réseaux mobiles de cinquième génération ».

    Il s’est activement impliqué, pendant la préparation de sa thèse, dans l’animation scientifique, à travers la coordination des jeunes chercheurs de l’ESP dont il fut successivement le secrétaire général, le président puis le chargé des relations extérieures.

    Il intervenait en tant qu’enseignant en électronique, en télécommunications et en réseaux dans plusieurs établissements publics et privés d’enseignement supérieur du Sénégal depuis 2016.

    En 2021, dans le cadre du programme européen d’échanges d’étudiants « Erasmus », il a effectué un séjour de recherche postdoctoral au centre de traitement de l’information et des télécommunications de l’université polytechnique de Madrid, en Espagne.

    ADL/BK/ASG

  • SENEGAL-ECONOMIE-AGRICULTURE / Podor : un producteur liste les obstacles à l’essor de la filière gombo 

    SENEGAL-ECONOMIE-AGRICULTURE / Podor : un producteur liste les obstacles à l’essor de la filière gombo 

    Podor, 21 jan (APS) – Le président de l’association départementale des producteurs de gombo de Podor, Silèye Thiène, a évoqué plusieurs difficultés et obstacles au développement de la filière dans cette circonscription administrative, située au nord du pays. 

    Parmi ces difficultés,  »nous connaissons de grands retards dans la mise en place des semences, des engrais et produits phytosanitaires. L’accès au financement pose aussi problème », a-t-il dit, au cours d’un entretien, lundi, avec l’APS.

    ‘’Ces difficultés perturbent notre calendrier cultural », a-t-il ajouté .

    Faisait le bilan de la précédente campagne, il a indiqué que 1000 hectares de champs de gombo avaient été mis en valeur dans les différents casiers du département de Podor,  lors de ladite campagne.

    « Les producteurs avaient enregistré un rendement de 16 tonnes à l’hectare », a-t-il rappelé.

    Concernant la présente campagne, Silèye Thiène, a indiqué que trois hectares ont été déjà mis en valeur par des producteurs.

    Les producteurs des casiers du Ngallenka, un site agricole à cheval entre les communes de Ndiayène Pendao, Guédé Village et Fanaye, d sont entrain de faire leurs récoltes, a-t-il renseigné.

     »Les premières récoltes issues des champs de gombo qui concernent 276 hectares sont déjà sur le marché », a-t-il fait savoir, précisant que  »le prix du kilogramme de gombo est à 900 francs CFA ».

     »C’est un prix intéressant, si l’on sait que l’on peut récolter tous les deux mois », a estimé le producteur de gombo.

    AHD/AT/SBS/AB/ADL

  • SENEGA-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN Maroc 2025 : le tirage au sort prévu lundi prochain

    SENEGA-AFRIQUE-FOOTBALL / CAN Maroc 2025 : le tirage au sort prévu lundi prochain

    Dakar, 21 jan (APS) – Le tirage au sort de la Coupe d’Afrique des nations CAF Maroc 2025 (21 décembre-18 janvier 2026) se tiendra  à Rabat le lundi 27 janvier 2025, annonce la Confédération africaine de football (CAF).

    La cérémonie va démarrer à 18 heures et verra la participation des délégations des 24 nations qualifiées, selon l’instance du football africain.

    La CAF informe que cette cérémonie  »offre aux équipes nationales l’opportunité d’évaluer les superbes infrastructures sportives du Maroc, incluant des stades modernes, des centres d’entraînement de pointe et des complexes hôteliers d’excellence ».

    Les 24 équipes qualifiées seront réparties en six groupes de quatre. À l’issue de la phase de groupes, les deux meilleures équipes de chaque poule ainsi que les quatre meilleures troisièmes accéderont aux huitièmes de finale.

    Le coup d’envoi de la CAN 2025 sera donné le 21 décembre 2025, tandis que la finale aura lieu le 18 janvier 2026.

    Voici la liste des 24 équipes qualifiées pour cette édition : Afrique du Sud, Algérie, Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Cameroun, Comores, Côte d’Ivoire, Egypte, Gabon, Guinée équatoriale, Mali, Maroc, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République démocratique du Congo, Sénégal, Soudan, Tanzanie, Tunisie, Zambie, Zimbabwe.

    BHC/ADL/ASG

  • SÉNÉGAL-TRANSPORTS-REGLEMENTATION / L’immatriculation des deux-roues démarre le 29 janvier à Tivaouane

    SÉNÉGAL-TRANSPORTS-REGLEMENTATION / L’immatriculation des deux-roues démarre le 29 janvier à Tivaouane

    Tivaouane, 21 jan (APS) – Le processus d’immatriculation des deux-roues dans le département de Tivaouane démarre le 29 janvier, a-t-on appris lors d’une réunion d’information tenue lundi sous la présidence du préfet, Mamadou Guèye.

    Les procédures d’immatriculation sont prévues au Champ de courses, dans la commune de Tivaouane, qui compte à elle seule environ 7.000 mototaxis Jakarta.

    D’autres rendez-vous similaires sont prévus à Taïba-Ndiaye Ndiaye, Meckhé et Notto.

    En plus du directeur régional des transports terrestres de Thiès, Moustapha Tall, les maires de Tivaouane Demba Diop Sy et de Pambal Lazare Lamane Thiaw avaient pris part à cette rencontre.

    Des représentants d’autres communes du département ont également assisté à cette réunion d’information sur la décentralisation des activités d’enrôlement pour l’immatriculation des deux-roues dans le département de Tivaouane.

    Les forces de défense et de sécurité et les associations de conducteurs de motos Jakarta étaient aussi représentées à cette séance d’information.

    Dans une circulaire du premier ministre Ousmane datée du 13 décembre 2024, il a été demandé aux services compétents de lancer une opération d’immatriculation des deux-roues, qui devra être gratuite, sauf pour la carte grise et la plaque.

    Selon le responsable régional des transports terrestres de Thiès, quatre cas de figure sont les plus fréquents depuis le début du processus d’immatriculation des deux-roues.

    Le premier concerne les motos dédouanées sans la carte grise, dont les propriétaires doivent fournir un certificat de mise à la consommation (CMC), une déclaration en douanes, un acte de vente légalisé dans un commissariat ou dans une brigade de gendarmerie.

    Le deuxième cas de figure concerne les personnes ayant importé des motos sous forme de pièces détachées et les ayant dédouané en leur nom. Dans ce cas, elles doivent produire un CMC, une quittance prouvant qu’elles ont payé les frais de dédouanement et une photocopie de leur carte d’identité nationale.

    Pour ce qui est du troisième cas, il s’agit de motos déjà immatriculées et mutées donc « sénégalisées ». Les propriétaires doivent fournir une carte grise en format papier ou numérisé, avec la mention barrée, un acte de vente légalisé et les deux pièces d’identité nationale de l’acheteur et du vendeur.

    Dans le dernier cas de figure, relatif au renouvellement, le propriétaire détenant l’ancienne carte grise sous format papier, cherche à se faire établir une carte grise numérique et biométrique.

    Il doit se présenter avec son ancienne carte grise à renouveler et la photocopie de sa carte d’identité nationale, explique Moustapha Tall, directeur régional des transports terrestres de Thiès.

    Le maire de Pambal a salué cette « excellente initiative visant à renforcer la sécurité des ‘Jakartaman’ et des usagers », assurant qu’elle sera accompagnée par l’ensemble des maires du département.

    Dans le même sillage, son collègue Demba Diop Sy s’est engagé à identifier les différentes préoccupations de la direction régionale du transport et de les satisfaire, avant le 29 janvier 2025, pour les besoins de l’organisation de cette opération.

    Un délai de trois mois a été fixé pour l’immatriculation gratuite des motos.

    Cette phase d’identification ne concerne pas les tricycles, a précisé le responsable régional des transports terrestres de Thiès.

    Les représentants de plusieurs associations de conducteurs de mototaxis Jakarta ont bien apprécié cette réunion d’information, qui a permis de lever bien des incompréhensions.

    MKB/ADI/BK

  • VIDEO / Les entretiens de l’APS avec Babo Amadou BA DG 3FPT

    VIDEO / Les entretiens de l’APS avec Babo Amadou BA DG 3FPT

    Nommé à la tête du 3FPT – Fonds de Financement de la Formation professionnelle et technique, il y a 7 mois, Dr Babo Amadou Ba tire un bilan satisfaisant à mi-parcours. Il a souligné avoir travaillé au renforcement de l’impact sur le financement de la formation professionnelle au cours de ces derniers mois. Pour une meilleure efficacité du 3FPT, M.Ba compte apporter 4 innovations majeures à savoir, la digitalisation, le renforcement des partenariats public-privé, l’élargissement du financement ainsi que la prise de participation. Le directeur général du 3FPT a accordé un entretien aux équipes de l’APS.
  • VIDEO / RSE : la ville de Thiès a engagé « de larges concertations » avec les sociétés minières

    VIDEO / RSE : la ville de Thiès a engagé « de larges concertations » avec les sociétés minières

    La ville de Thiès a engagé  »de larges concertations » avec les entreprises minières implantées dans la région, afin de les faire contribuer à l’effort de développement, a-t-on appris de son maire, Babacar Diop.

  • VIDEO / Transformation de la fonction publique, une priorité absolue du gouvernement (Président de la République)

    VIDEO / Transformation de la fonction publique, une priorité absolue du gouvernement (Président de la République)

    « La transformation de la fonction publique est une priorité absolue » a déclaré lundi, au CICAD ( Diamniadio) le Président de la République Bassirou Diomaye Faye , à l’ouverture de la 1ère édition de la conférence des administrateurs et managers publics. Pour le chef de l’Etat, l’usager et le citoyen doivent être replacer au centre des préoccupations.