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  • SENEGAL-RELIGION-EVENEMENT / Tivaouane: Diacksao en effervescence à quelques heures de son gamou

    SENEGAL-RELIGION-EVENEMENT / Tivaouane: Diacksao en effervescence à quelques heures de son gamou

    Diacksao (Tivaouane) ,18 jan (APS)- L’effervescence monte à Diacksao avec l’arrivée des fidèles tidjanes, venus commémorer le gamou qu’abrite chaque année cette cité religieuse fondée en 1904 par Seydi Hadji Malick Sy, a constaté l’APS.

    Tous les coins de cette localité située dans la commune de Koul refusent du monde, avec l’arrivée en grand nombre de fidèles venus pour le gamou prévu ce samedi soir.

    Le dispositif sécuritaire est visible partout dans ce village du département de Tivaouane, dans la région de Thiès (ouest).

    Beaucoup d’organisations religieuses ont assisté, la veille, au rassemblement d’invocations déclamées en chœur, qui se tient les vendredis dans l’après-midi.

    Elles ont aussi participé à la journée de consultation médicale gratuite.

    Aux côtés des forces de défense et de sécurité, des disciples se sont mobilisés pour faciliter le mouvement des fidèles vers les différents sites.

    Le plan de circulation élaboré lors de la réunion de sécurité tenue mardi, est déroulé sur le terrain. Il va de la commune de Pire à Diacksao, en passant par Fass où s’est tenue la journée de consultation gratuite.

    Le préfet de Tivaouane, Mamadou Guèye, a dit avoir reçu des instructions des plus hautes autorités du pays, de faire de cet évènement « un gamou sans anicroches ».

    La délégation gouvernementale devant prendre part à la cérémonie officielle prévue dans l’après-midi à Diacksao, sera dirigée par Birame Soulèye Diop, ministre de l’Energie, du Pétrole et des Mines.

    Il sera accompagné des autorités administratives de la région de Thiès.

    MKB/ADI/BK/SBS

  • SENEGAL-PECHE-SECURITE / Plaidoyer pour l’érection d’un poste de police au marché central au poisson de Kaolack

    SENEGAL-PECHE-SECURITE / Plaidoyer pour l’érection d’un poste de police au marché central au poisson de Kaolack

    Kaolack, 18 jan (APS)- Le président du marché central au poisson de Kaolack (centre), Atou Ndiaye, plaide pour l’érection d’un poste de police à proximité de ce lieu de commerce pour assurer la sécurité de ses usagers et de leurs biens.

    « Nous saluons la bonne collaboration entre le comité de gestion et la municipalité à travers l’administration du marché central au poisson, mais sollicitons des pouvoirs publics, l’érection d’un poste de police pour assurer la sécurité des personnes et des biens », a-t-il dit.

    Atou Ndiaye, également coordonnateur du Conseil local de pêche artisanale (CLPA) du département de Kaolack, a fait ce plaidoyer samedi lors du passage de la caravane de sensibilisation pour la promotion d’une pêche responsable, durable et inclusive, à l’initiative de la Coalition nationale pour une pêche durable (CONAPED).

    Se disant « très préoccupé » par l’insécurité qui règne dans ce marché fournissant du poisson à d’autres du Sénégal et de la sous-région, il a insisté sur la nécessité de sensibiliser les autorités sénégalaises sur la nécessité de doter ce lieu de commerce d’un poste de police.

    Le président de l’Union nationale des mareyeurs du Sénégal (UNAMS), Pape Ibrahima Diaw, a fait observer que le secteur des pêches est confronté à un « réel problème » à Kaolack, en raison de la forte salinisation impactant négativement l’évolution et la reproduction des ressources halieutiques, contribuant ainsi à la dégradation de l’écosystème marin et côtier.

    « Nous devons œuvrer ensemble, inlassablement, avec l’implication de tous, pour arriver à une gestion responsable et durable de la ressource. Il ne faut pas attendre l’Etat quand il s’agit vraiment de promouvoir des pratiques irréprochables », a dit M. Diaw, également chargé des relations extérieures du comité de gestion du marché central au poisson de Kaolack.

    Il a déploré la capture de juvéniles par certains pêcheurs et appelle les mareyeurs, micro-mareyeurs et autres femmes transformatrices à ne pas acheter de poisson dont la capture est interdite par les services compétents du ministère des Pêches et des Infrastructures maritimes et portuaires.

    Saluant l’engagement et la forte mobilisation des membres de sa coalition, le président de la Coalition nationale pour une pêche durable, Malick Fall, a rappelé que « la mer est un patrimoine national » qu’il faut préserver avec ses ressources.

    « Tout le monde, pas seulement les acteurs de la pêche, doit œuvrer sans répit pour aller vers une meilleure préservation de ce patrimoine que constitue la mer », d’autant que « les ressources halieutiques contribuent à la sécurité alimentaire des populations », a lancé M. Fall, par ailleurs président du Conseil national interprofessionnel de la pêche artisanale au Sénégal (CONIPAS).

    Amy Diouf, membre de la Coalition nationale de lutte contre l’implantation des usines de farine et d’huile de poisson au Sénégal, a abondé dans le même sens. « On ne peut pas asseoir une bonne politique dans la gestion d’une pêche qui soit profitable à tous, si nos pêcheurs continuent de capturer des poissons juvéniles », a-t-elle soutenu.

    Selon le chef du bureau de contrôle sanitaire du marché central au poisson de Kaolack, Diène Diouf, la Coalition nationale pour une pêche durable est venue à son heure mais elle doit travailler davantage en mettant en place des stratégies de promotion de pratiques de pêche responsables pour la durabilité de la ressource.

    ADE/BK/SBS

  • VIDEO / Kaolack : le CRCR va contribuer à la révision de la loi agrosylvopastorale (responsable)

    VIDEO / Kaolack : le CRCR va contribuer à la révision de la loi agrosylvopastorale (responsable)

    La région de Kaolack (centre) va contribuer à la révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale et halieutique (LOASPH), en tenant compte de sa spécificité liée au changement climatique, à la salinisation, à la dégradation des terres, à la pollution et à l’organisation des producteurs agricoles, a affirmé Sidy Bâ, le président du Conseil régional de concertation et de coopération des ruraux (CRCR).

  • VIDEO / Kaolack : des acteurs planchent sur la validation des recommandations des consultations citoyennes sur la révision de LOASPH

    VIDEO / Kaolack : des acteurs planchent sur la validation des recommandations des consultations citoyennes sur la révision de LOASPH

    Le gouverneur de la région de Kaolack (centre), Mohamadou Moctar Watt, a présidé, vendredi, une réunion du Comité régional de développement consacrée à la validation des recommandations issues des consultations citoyennes sur la révision de la loi agrosylvopastorale et halieutique (LOASPH).

  • VIDEO / Obsèques : Joal-Fadiouth rend un ultime hommage à son premier maire élu, Emmanuel Sombel Diouf

    VIDEO / Obsèques : Joal-Fadiouth rend un ultime hommage à son premier maire élu, Emmanuel Sombel Diouf

    La commune de Joal-Fadiouth a rendu un ultime hommage à Emmanuel Sombel Diouf, premier maire élu de cette collectivité territoriale du département de Mbour (Ouest), récemment rappelé à Dieu. Le cercueil du défunt a été exposé à la mairie de Joal-Fadiouth, jeudi, avant une mise en berne du drapeau symbolisant le deuil, suite à la triste nouvelle qui a affligé les populations de cette commune.
  • SENEGAL-RELIGION-COMMEMORATION / Mbour : invocations et prières vont rythmer la 18-ème « ziarra » annuelle de Thierno Mansour Barro

    SENEGAL-RELIGION-COMMEMORATION / Mbour : invocations et prières vont rythmer la 18-ème « ziarra » annuelle de Thierno Mansour Barro

    Mbour, 18 jan (APS) – La 18e édition de la  »ziarra » annuelle de Thierno Mouhamadoul Mansour Barro, un grand érudit musulman de la Petite-Côte, s’est ouverte vendredi tard dans la soirée à Mbour (ouest), en présence du khalife de cette famille religieuse, Cheikh Ahmed Tidiane Barro, a constaté l’APS.

    La manifestation a démarré par une série d’invocations chantées en chœur par des fidèles venus de divers horizons, a indiqué à l’APS Abdoulaye Siré Daff, secrétaire général adjoint du comité d’organisation de l’événement.

    Samedi, « en plus des cinq prières, il y aura des causeries religieuses des marabouts pour la formation spirituelle des disciples », causeries qui seront suivies de la « wazifa » (séance d’invocations) du matin et du soir.

    Prévue pour se poursuivre jusqu’à dimanche, l’édition 2024 de la  »ziarra » annuelle de Thierno Mouhamadoul Mansour Barro se déroulera sur un terrain situé près du Croisement Saly, à l’entrée de Mbour.

    « Dimanche, c’est la cérémonie de clôture réservée aussi à l’accueil de la délégation gouvernementale, qui viendra délivrer le message du gouvernement et faire son ziarra auprès du Khalife », a ajouté Abdoulaye Siré Daff.

    Thierno Mouhamadoul Mansour Barro était très connu à l’époque coloniale au Sénégal.

    Né en 1925 à Doumga Ouro Thierno, dans la région de Matam (Nord), il est devenu imam après son éducation spirituelle auprès de son illustre père Thierno Ahmadou Barro, à Mbour.

    Rappelé à Dieu le 15 janvier 2007 à Trappes (France), à l’âge de 82 ans, il a été inhumé dans sa mosquée à Mbour, aux côtés de son père.

     »Thierno est un homme de Dieu qui a consacré toute sa vie à la réconciliation de l’homme avec Dieu et par le biais des retraites spirituelles qu’il organisait au Sénégal et dans toute la sous-région et même en Europe », a témoigné M. Daff.

    « Ces retraites spirituelles ont pour but de réconcilier l’homme avec Dieu et de débarrasser la pratique de la prière de toute souillure, pour l’inscrire dans la tradition du Prophète Muhammad (PSL) », a-t-il ajouté.

    DOB/ADI/SBS/BK

  • SENEGAL-AFRIQUE-DEVELOPPEMENT / Le Burundi décidé à s’inspirer du PUDC, selon un officiel de ce pays

    SENEGAL-AFRIQUE-DEVELOPPEMENT / Le Burundi décidé à s’inspirer du PUDC, selon un officiel de ce pays

    Notto Gouye Diama, 18 jan (APS)- Frédéric Nimubona, directeur de cabinet adjoint du Premier ministre burundais, a assuré de la détermination de son pays à reproduire le modèle représenté à ses yeux par le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC), se disant impressionné par ledit programme, mis en œuvre au Sénégal depuis 2015.

    Le Programme d’urgence de développement communautaire, lancé en 2015, a pu « répondre parfaitement aux besoins les plus urgentes des populations rurales », a déclaré M. Nimubona, vendredi, à la fin du séjour d’une délégation burundaise (13-17 janvier), venue s’imprégner des réalisations du PUDC.

    « Nous sommes au terme de cet échange d’expériences et nous sommes extrêmement satisfaits du partage de toutes les informations », a-t-il dit, ajoutant que le PUDC « a bien réfléchi pour répondre aux besoins des populations ».

    « Dans chaque village où nous sommes passés, le programme a résolu les besoins les plus urgentes avec des solutions adéquates », a-t-il indiqué, se disant « très satisfait » des visites qui les ont menées dans les régions de Fatick, Kaolack, Diourbel et Thiès.

    En plus des réunions de travail, les équipes du PUDC ont organisé des visites de terrain à l’intention de la délégation de fonctionnaires burundais, à travers plusieurs régions du Sénégal.

    La partie burundaise a pu s’imprégner de diverses infrastructures réalisées par le PUDC, dont une unité de transformation de céréales à Dioffior, dans la région de Fatick (ouest), et un forage à Kaël, dans la région de Diourbel (centre).

    Elle a pu également visiter le chantier d’un poste de santé à Niangué, dans le département de Tivaouane, et celle d’un magasin de stockage à Khondio, dans la région de Thiès.

    Les fonctionnaires burundais ont également eu l’occasion de constater l’impact de l’électrification rurale à Mbanane, un village du département de Mbacké (centre). Ils ont également visité les travaux d’aménagement du tronçon reliant Ngadiaga à Bereup Ba, des localités situées dans la commune de Notto Gouye Diama.

    Cette piste a permis de développer les principales activités de la zone que sont le maraichage et l’arboriculture, en facilitant aux cultivateurs l’accès à leurs cultures et le transport de leurs produits.

    « Nous sommes impressionnés par la production maraichère car, il ne pleut pas mais les cultivateurs ont fait en sorte d’irriguer les plantations pour avoir de bonnes récoltes », a relevé Frédéric Nimubona. Il a promis que son pays va essayer de reproduire ce modèle.

    « Le Burundi regorge de rivières et de ruisseaux, et pourtant nous attendons la pluie pour cultiver; c’est pourquoi le président essaie de lutter contre ça en demandant à tous de cultiver même pendant la saison sèche », en faisant observer que « le PUDC aide les populations locales à maximiser leurs productions agricoles pour subvenir à leurs propres besoins ».

    « Pour moi, c’est ça le développement », a assené le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre burundais.

    Cheikh Diop coordonnateur du PUDC, a souligné que l’objectif du PUDC est de « rééquilibrer les potentialités au niveau de chaque territoire ».

    « Depuis les indépendances, nous avons constaté que l’essentiel des investissements est concentré dans les centres urbains. Et c’est ce qui a motivé les autorités, jadis, à créer le PUDC en 2015 », a expliqué M. Diop.

    Il a indiqué que le nouveau référentiel  »Sénégal 2050 », confirme ce choix des pouvoirs publics d’équilibrer davantage le développement, en dotant les zones rurales d’infrastructures et d’équipements « pour réduire les disparités ».

    « Nous voulions vous montrer toutes les composantes du PUDC et vous expliquer aussi la genèse de ce programme, de la conception à l’exécution, les arrangements institutionnels, le mode de gestion, la passation de marché, la relation avec les partenaires », a-t-il expliqué en s’adressant à la délégation burundaise.

    MFD/SBS/BK

  • SENEGAL-FOOTBALL-AGENDA / N2 : derby de Matam entre NSFCI et l’USM, dimanche

    SENEGAL-FOOTBALL-AGENDA / N2 : derby de Matam entre NSFCI et l’USM, dimanche

    Matam, 18 jan (APS) – Noyau sportif football club Iyane (NSFCI) et l’Union sportive de Matam (USM), deux équipes de la région de Matam (nord) engagées en Nationale 2, vont s’affronter dimanche dans un derby comptant pour la huitième journée de ce championnat.

    Classés 8e et 9e respectivement avec sept points au compteur, les deux clubs vont se rencontrer pour la première fois à ce niveau du football amateur.

    Après 7 journées, les deux clubs n’ont gagné que deux matchs, perdu à quatre reprises et concédé le nul une seule fois.

    L’USM a enregistré la plus large défaite du championnat lors de la troisième journée, en perdant devant Fierté de Mbacké, 7-1.

    L’USM évolue en N2 depuis quatre ans, alors que le club de Taïba Nguéyène effectue cette année sa première saison en 4e division.

    Les deux formations qui reçoivent au stade régional de Matam partagent la poule B, en compagnie des équipes de Saint-Louis, Louga et Diourbel.

    Haayo des Agnam, l’autre équipe de la région évoluant en Nationale 1, reçoit Avenir de Dakar, ce samedi.

    Avec quatre points, l’équipe de la commune des Agnam occupe la 13ème place de la poule B, en position de premier relégable.

    Après sept journées, Haayo n’a toujours pas gagné le moindre match. Le club partage la poule B avec des équipes comme la Jeanne d’Arc de Dakar, l’UCT Port de Dakar, Yeggo, l’Association des forces armées (ASFA),  entre autres.

    AT/SBS/BK

  • SÉNÉGAL-SOCIAL-APPUI / Thiès: du matériel de déplacement à des enfants en situation de handicap

    SÉNÉGAL-SOCIAL-APPUI / Thiès: du matériel de déplacement à des enfants en situation de handicap

    Thiès, 18 jan (APS)- Le Réseau des organisations communautaires de base des acteurs de la santé (ROCBACS) a offert un lot de matériel à des enfants en situation de handicap à Thiès, dans le cadre d’une initiative mise en oeuvre de concert avec l’association « La Voix des enfants vulnérables ».

    Cette initiative « est venue de notre vécu en tant que personne vivant avec un handicap », a indiqué le président dudit réseau, El Hadj Baytir Samb, lors de la cérémonie de distribution de matériel aux bénéficiaires, jeudi, au Conseil régional de Thiès.

    Le don est composé de béquilles, de cannes, de crèmes solaires, de lunettes, de chaises roulantes, en plus d’autres gadgets pour enfant.

    « Nous allons vous apporter un soutien qui va vous permettre d’avoir une autonomie, selon votre besoin spécifique », a promis M. Samb aux bénéficiaires.

    Il a déploré le fait que, selon lui, « il n’y a pas de données sur la présence de besoins spécifiques des enfants handicapés ».

    Cette absence de données touche, dit-il, les secteurs du transport, de l’éducation, de la santé, domaines dans lesquels l’on ignore combien d’enfants handicapés utilisent le transport en commun, vont à l’école ou encore fréquentent les structures de santé.

    « On ne peut pas te donner des chiffres », a-t-il fustigé.

    « Dans tous les domaines, il n’existe pas de données » relatives aux enfants handicapés, a insisté El Hadj Baytir Samb.

    La « Voix des enfants vulnérables » prévoit, en plus du soutien technique apporté à cette catégorie d’enfants, d’appuyer les mères d’enfants vivant avec un handicap dont la santé est fragile.

    Ce soutien sera orienté vers la nutrition et l’alimentation, afin d’atténuer la vulnérabilité des enfants handicapés.

    Président du Réseau des organisations communautaires de base des acteurs de la santé (ROCBACS) Elhadji Baytir Samb

    BT/ADI/BK/SBS

  • VIDEO / Présentation de  »Baku national », une chorégraphie pour promouvoir les JOJ 2026

    VIDEO / Présentation de  »Baku national », une chorégraphie pour promouvoir les JOJ 2026

     »Bakû national », une chorégraphie animée par des sonorités traditionnelles, a été présenté vendredi au Grand Théâtre. Animée principalement par le champion MMA Omar Kane alias Reug-Reug, cette initiative est organisée en perspective des Jeux olympiques de la jeunesse Dakar 2026. Après trois semaines de travail intense avec plusieurs percussionnistes dont les familles de Doudou Ndiaye Coumba Rose et Babou Ngom, les acteurs culturels et sportifs ont présenté ce projet dans le cadre d’une rencontre de restitution.