Dakar, 17 jan (APS) – ‘’Une baisse significative des températures’’ journalières et nocturnes est prévue sur l’ensemble du territoire sénégalais de samedi à lundi, avec un thermomètre variant entre 10 et 20°C, a-t-on appris, vendredi, de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
‘’Cette vague de fraîcheur, bien que ressentie durant la journée, sera plus marquée sur cette période de la nuit et au petit matin, particulièrement dans les régions du nord, notamment à Saint-Louis, Podor, Matam, Louga et Linguère, avec des températures qui varieront au minima entre 10 et 15°C ’’, indique un bulletin météorologique spécial transmis à l’APS.
Il informe que »dans les localités centre [et ouest] du pays comme Dakar, Thiès, Diourbel, Fatick, Kaolack, les températures minimales seront comprises entre 16 et 18°C ».
Pour les régions sud (Kolda, Ziguinchor, Sédhiou, Kédougou), »il fera plus frais que d’habitude durant la nuit, avec des températures minimales variant entre 18 et 20°C ».
Kaolack, 17 jan (APS) – La région de Kaolack (centre) va contribuer à la révision de la loi d’orientation agro-sylvopastorale et halieutique (LOASPH), en tenant compte de sa spécificité liée au changement climatique, à la salinisation, à la dégradation des terres, a affirmé Sidy Bâ, le président du Conseil régional de concertation et de coopération des ruraux (CRCR).
»La région de Kaolack va apporter sa contribution dans la révision de la LOASPH, avec sa particularité liée notamment au changement climatique, à l’avancée du fond salin, à la dégradation des terres, à la pollution et à l’organisation des producteurs agricoles ’’, a indiqué M. Bâ.
Il intervenait lors d’une réunion du comité régional de développement (CRD) consacrée à la révision de cette loi.
Les acteurs agricoles, dans le processus de révision de la LOASPH, ont mis en exergue tous les problèmes de la région de Kaolack, à vocation essentiellement agropastorale et halieutique.
Le gouverneur de Kaolack, Mohamadou Moctar Watt, a rappelé qu’‘’il ne s’agit pas, en réalité, d’adopter une nouvelle loi mais de réviser tout simplement une loi d’orientation qui va beaucoup insister sur des aspects d’objectif stratégique’’.
‘’C’est pourquoi j’ai demandé à qu’on puisse recadrer la réflexion autour de cet objectif et de l’engager sur la loi d’orientation agro-sylvopastorale et halieutique’’, a-t-il dit.
Le chef de l’exécutif régional soutient que toute révision de la LOASPH devra prendre en compte l’existence du nouveau référentiel des politiques publiques.
‘’Il faut nécessairement l’arrimer à cet objectif stratégique. C’est à partir de cet instant que, de manière subséquente, nous pourrons envisager les modes de gouvernance et de voir quel type d’agriculture nous avons besoin’’, a-t-il dit.
‘’Nécessairement, nous cherchons une agriculture performante qui puisse nous assurer la permanence de la production agricole et qui pourra toujours fournir de la matière première à transformer par les industries’’, a indiqué M. Watt.
Matam, 17 jan (APS) – L’Association des commerçants et industriels du Sénégal (ACIS), en tournée dans la région de Matam (nord), envisage d’installer une cellule à Ourossogui, l’une des principales villes de la zone, en vue de sa massification, a annoncé, vendredi, son responsable chargé des marchés, Mame Thierno Diop.
‘’Notre visite a deux objectifs, à savoir installer une cellule ici, dans la région, avec comme porte d’entrée le marché de Ourossogui, et informer les commerçants de la tenue de notre forum prévu en février prochain’’, a-t-il expliqué.
M. Diop s’exprimait au cours d’une visite d’information effectuée auprès des commerçants du marché de Ourossogui.
Il était accompagné de plusieurs membres de cette association créée en 2018.
Cette visite, a dit Mame Thierno Diop, s’explique par l’absence des commerçants de Ourossogui aux activités de l’ACIS.
Lors de cette tournée de deux jours, des membres de cette association ont visité le nouveau marché de Matam.
‘’Nous avons trouvé un marché très bien construit, avec un parking et une mosquée. C’est un lieu fermé, avec des heures d’ouverture et de fermeture. C’est un modèle que les autorités doivent utiliser pour moderniser d’autres marchés’’, a affirmé M. Diop.
Oumar Cissé, le directeur exécutif de l’ACIS, a invité les autorités administratives, les élus territoriaux et les douanes à se rapprocher du futur bureau de l’ACIS, dont les membres seront élus dans les prochains jours.
‘’C’est de cette manière qu’ils pourront discuter avec les acteurs du commerce et de l’industrie des vraies questions liées au secteur, pour qu’on puisse éviter d’éventuels malentendus’’, a-t-il dit.
Kaolack, 17 jan (APS) – La mise en place de chambres agricoles devrait être prise en compte dans le processus de révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale et halieutique (LOASPH), a affirmé, vendredi, le gouverneur de la région de Kaolack (centre), Mohamadou Moctar Watt.
‘’Nécessairement, lorsqu’on parle d’une loi d’orientation, il faudra se poser des questions sur le mode de gouvernance. Quel mode de gouvernance pour le secteur agricole ? De par le passé, un processus a été engagé qui, à terme, devait aboutir à la mise en place des chambres agricoles. Mais, depuis lors, on en parle plus’’, a-t-il dit.
La mise en place de ces chambres agricoles peut ‘’véritablement’’ compléter l’organisation des producteurs en coopératives, a-t-il estimé, lors d’une réunion du comité régional de développement (CRD) consacrée à la révision de la LOASPH.
Il pense que ‘’cela peut être une excellente chose’’, car les chambres agricoles ‘’pourront, véritablement, prendre en charge les questions qui concernent uniquement le développement rural (…)’’.
Il suggère de faire en sorte qu’elles ‘’ne soient pas diluées dans des chambres’’ prenant en charge le commerce et l’industrie.
Le CRD fait suite aux consultations citoyennes consacrées à la révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale et halieutique (15-16 janvier).
Le gouverneur de Kaolack a rappelé que ‘’cette réunion avait pour but de pouvoir valider les conclusions issues’’ des consultations citoyennes.
Mont-Rolland, 17 jan (APS) – La municipalité de Mont-Rolland (ouest) encourage les entrepreneurs à se rapprocher du bureau économique ouvert à la mairie, dans le but de densifier l’économie locale et de propulser les initiatives entrepreneuriales en profitant, par exemple, des travaux de l’autoroute à péage entre Saint-Louis (nord) et Dakar, a-t-on appris de son maire, Yves Lamine Ciss.
Le conseil municipal a versé une caution de plus de 10 millions de francs CFA à deux institutions de microfinance chargées, avec l’aide du bureau économique de la mairie, de leur prodiguer des conseils et de leur prêter des fonds, a dit M. Ciss à l’APS.
‘’Notre préoccupation, c’est que la main d’œuvre générée par les chantiers de l’autoroute à péage soient préservés, même après la livraison de l’infrastructure’’, a-t-il affirmé.
Yves Lamine Ciss pense que c’est seulement en aidant des entreprises à s’installer dans la zone qu’il sera possible d’empêcher la migration des populations locales vers les villes.
La mairie est d’avis que l’activité économique peut se développer en zone rurale comme en ville, ce qui a amené le conseil municipal à faciliter l’installation des entreprises, celles qui s’activent dans la transformation des fruits et légumes, par exemple.
‘’Pendant longtemps, les gens ont voulu nous faire croire que les industries ne doivent exister qu’en ville’’, a dit M. Ciss, estimant qu’il est possible de développer l’industrie partout où il y a de l’électricité et de la main-d’œuvre.
Selon son maire, la commune de Mont-Rolland veut aider à développer la transformation des produits agricoles. Elle envisage en même temps d’aménager une zone économique industrielle.
Pour ce faire, un contrat a déjà été signé par la municipalité et la Zone industrielle pour le développement économique local.
Un studio d’enregistrement qui ‘’commence à faire la fierté de la commune’’
‘’Le bureau économique local recense les [entrepreneurs]. Nous intervenons ensuite en assurant des financements, [grâce à des cautions] que nous avons déposées dans deux institutions de microfinance, pour faciliter les prêts aux entrepreneurs’’, a expliqué Yves Lamine Ciss.
Les entrepreneurs satisfaisant aux critères requis reçoivent un financement leur permettant de débuter leurs activités et de rembourser les prêts plus tard, a expliqué M. Ciss, promettant une augmentation des montants versés aux institutions de microfinance et du nombre d’entreprises bénéficiaires dans les prochaines années.
La mairie s’apprête, selon lui, à ‘’finaliser’’ la création d’incubateur chargé de former les entrepreneurs et de faciliter la présence des entreprises.
À cette innovation s’ajoute l’installation d’un studio d’enregistrement, qui ‘’commence à faire la fierté de la commune’’, a dit Yves Lamine Ciss.
Ce studio entièrement financé par la mairie de Mont-Rolland est un espace de valorisation des talents des jeunes artistes locaux, selon lui.
La Sénégalaise des droits d’auteurs et des droits voisins (SODAV) est associée à cette initiative, a-t-il dit.
La commune de Mont-Rolland compte une trentaine de sociétaires de la SODAV, selon son maire.
Le studio a coûté à la mairie 10 millions de francs CFA, a-t-il dit, rappelant que le représentant de la région de Thiès (ouest) à la dernière édition du Festival national des arts et de la culture, Moussa Palou, est un ressortissant de la commune de Mont-Rolland.
Tambacounda, 17 jan (APS) – L’adjointe au gouverneur, chargée du développement de la région de Tambacounda (est), Diarryatou Ndiaye, a procédé, vendredi, à l’installation du comité régional de gestion du handicap, a constaté l’APS.
L’installation de ce comité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action national sur le handicap 2023-2027 et du projet sur les technologies d’assistance.
« Ce comité est installé pour suivre les programmes et projets de l’État et ses partenaires financiers et techniques concernant la gestion du handicap dans la région de Tambacounda, notamment en termes d’inclusion, de bien-être socio-économique et d’accès aux services sociaux de base », a-t-elle déclaré.
S’exprimant lors de la cérémonie de mise en place dudit comité, dans les locaux de la gouvernance, elle a assuré qu’il est appelé à devenir un outil de veille, de suivi et d’évaluation des projets et programmes de l’État et de ses partenaires dans la région de Tambacounda.
« C’est un comité multisectoriel présidé par le gouverneur et le directeur régional de l’action sociale qui fait office de rapporteur […] », a-t-elle indiqué.
Il regroupe aussi « tous les acteurs qui interviennent dans la gestion du handicap, y compris les associations de personnes en situation de handicap », a-t-elle relevé.
Diarryatou Ndiaye indique que « le comité est toujours prêt à être mobilisé pour suivre l’action des programmes de l’État sur la gestion du handicap ».
Selon le colonel Seydina Ousmane Ba, directeur du Centre national d’appareillage orthopédique de Dakar, l’installation des comités régionaux s’explique par les nombreux changements intervenus au Sénégal avec surtout un nouveau référentiel des politiques publiques.
« Avec le nouveau référentiel des politiques publiques Vision Sénégal 2050, la léthargie des comités de 2013 qui n’ont pas su malheureusement jouer leur rôle, l’arrivée de nouveaux partenaires et de techniciens avec une nouvelle vision, il était important de mettre en place ces comités régionaux », a-t-il expliqué.
»La mise en place de ces comités régionaux permet une appropriation par les populations de la question du handicap pour aller vers une pérennisation de tout ce qu’on a à faire », a-t-il assuré.
Niangué (Tivaouane), 17 janv (APS) – Le poste de santé de Niangué, village du département de Tivaouane (ouest), dont la construction a été entamée par le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC), vient répondre à une demande des populations de cette localité et de celles environnantes, selon les bénéficiaires.
« Avant, il y avait ici une case de santé. Donc, aujourd’hui, si on a ce poste de santé, c’est une grande évolution pour notre village. Ce poste était un vœu et une demande que vient de réaliser le PUDC », déclare avec fierté Moussa Mbaye, un habitant de Niangué, un village de la commune de Darou Khoudoss.
Ce poste de santé d’un étage est érigé sur une surface bâtie de 420 m². Il devra abriter un dispensaire et une maternité, sur une parcelle clôturée de 2500 m².
La réalisation du poste de santé de Niangué a été rendue possible grâce à un investissement de 198 millions de FCFA. Il devrait être livré en février prochain.
« Il ne reste plus, après réception du bâtiment, que de confier ce poste de santé à des personnes compétentes dans le domaine sanitaire », souligne M. Mbaye.
Il indique que les habitants de son village sont tous contents du choix porté sur Niangué pour abriter cette infrastructure.
« Le bâtiment est bien construit, il est près de la route, et tout cela nous va droit au cœur », fait-il remarquer.
Le poste de santé de Niangué pourrait impacter 4326 habitants qui choisiraient de venir s’y faire soigner.
« Si on a des professionnels de santé compétents et accueillants, ce sera à notre avantage. Car il y a beaucoup de villages aux alentours et je suis sûr que les habitants de ces localités préféreront venir ici plutôt que d’aller ailleurs », prédit Gora Niang, chef du village de Niangué.
Il souhaite que les travaux se terminent « à la date échue », que « les attentes et l’espoir » des habitants ne soient pas vains.
« Il nous arrive de venir ici passer la journée avec les ouvriers et partager notre repas avec eux tellement nous sommes heureux, mais aussi pressés d’ouvrir notre poste de santé », révèle-t-il.
Lamine Sène, adjoint au maire de Darou Khoudoss, ne cache pas non plus son enthousiasme.
« Ce genre de travaux est une première et nous sommes fiers et contents de pouvoir en profiter », dit-il.
Marguerite Mbodj, infirmière chef de poste de Darou Khoudoss, déclare, elle aussi, que le choix porté sur Niangué répond à une demande sociale.
« On se réjouit de ce choix qui était un souhait depuis 2016. Le médecin-chef me demandait tout le temps quelle est la zone qui avait le plus besoin d’un poste de santé et je répondais toujours : Niangué », raconte-t-elle.
Elle souligne que c’est un « vœu réalisé » qui « vient à son heure ».
« Ce poste de santé va couvrir environ neuf villages dont les habitants pourront venir se soigner ici », renseigne l’infirmière chef de poste.
Elle a remercié le PUDC et souhaité que le programme construise des postes de santé dans d’autres localités du Sénégal.
« Il y a beaucoup de localités qui ont besoin de ce genre d’infrastructure. Il n’y a pas assez d’hôpitaux au Sénégal, les villages sont éloignés, et les gens parcourent souvent des kilomètres pour aller se faire soigner », a rappelé Marguerite Mbodj.
Les habitants de Niangué recevaient la visite une équipe du PUDC accompagnée d’une délégation venue du Burundi pour s’inspirer de ses projets réalisés.
Moussa Mbaye habitant de NianguéMarguerite Mbodj, infirmière chef de poste de Darou Khoudoss
Dakar, 17 jan (APS) – Le Jaraaf de Dakar se déplace dimanche, à Alger, pour affronter l’USM Alger et tenter de valider sa qualification en quart de finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF).
Deuxième de la poule C avec huit points, le Jaraaf va rencontrer le club algérien, leader de la poule C et déjà qualifié à l’issue de la journée précédente.
L’équipe de la Médina dispute aux Ivoiriens de l’ASEC d’Abidjan l’unique place qualificative restante dans le groupe C.
Le représentant sénégalais compte trois points d’avance sur les Ivoiriens. Les protégés de l’entraîneur Malick Daf ont besoin d’un nul pour obtenir la qualification.
En cas d’égalité de points, l’ASEC va passer grâce à une différence particulière favorable.
Mais cela ne semble pas ébranler le Jaraaf. Le club de la Médina demeure confiant en dépit des problèmes de logistique qu’il rencontre pour son déplacement dans la capitale algérienne.
Mercredi, son entraîneur a assuré que l’équipe est fin prête pour valider, dimanche, devant l’USM Alger, sa qualification pour les quarts de finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF).
En 2021, le Jaraaf avait passé la phase de poule en se qualifiant pour les quarts de finale de la Coupe CAF avec son entraîneur actuel, Malick Daf.
Ourossogui, 17 jan (APS) – La gestion des conflits en milieu scolaire est l’un des thèmes au menu de l’assemblée générale du Collectif des chefs d’établissement de la région de Matam (COLCEMA) dont les travaux ont démarré vendredi.
Plusieurs autres thématiques vont être discutées au cours de cette assemblée générale prévue pour deux jours, selon les organisateurs.
« Pour ces deux jours, nous allons d’abord procéder au renforcement des capacités sur des thématiques bien définies liées aux procédures administratives, aux engagements budgétaires, mais également à la gestion des conflits en milieu scolaire », a dit Abdoulaye Bâ, président dudit collectif.
Les initiateurs de cette rencontre prévoient aussi de former leurs jeunes sur le remplissage des documents comptables.
Le Collectif des chefs d’établissement de la région de Matam, qui existe depuis 2004, tient tous les deux ans une rencontre de ce genre, pour « renforcer les liens entre les chefs d’établissement et outiller les acteurs », a ajouté M. Bâ, en présence de l’inspecteur d’académie (IA) de Matam, Mamoudou Mamour Guèye et des inspecteurs de l’éducation et de la formation (IEF) des trois départements de la région du même nom.
« Le COLCEMA est un cadre d’échange, d’information et de partage des bonnes pratiques, mais aussi de renforcement des capacités des acteurs. Il intervient dans le règlement des conflits en milieu scolaire. Il accompagne aussi l’IA dans ce sens », explique Abdoulaye Bâ, par ailleurs principal au collège d’enseignement moyen de Thilogne.
Il a signalé que le renouvellement du bureau du collectif sortant va clôturer cette assemblée générale.
Dakar, 17 jan (APS) – L’Union africaine de radiodiffusion (UAR) annonce la tenue, à l’occasion de la Journée internationale de la radio, du deuxième sommet des médias sur les changements climatiques et la réduction des risques de catastrophes, les 13 et 14 février prochains, à Dakar.
Cet évènement, placé sous le thème ‘’La radio au cœur des communautés : ensemble face au défi climatique’’, va explorer les moyens de renforcer l’utilisation de la radio comme outil de sensibilisation, d’éducation et de mobilisation, lit-on dans un communiqué parvenu à l’APS.
‘’Ce rendez-vous international (…) réunira des journalistes, des experts, des climatologues/environnementalistes, des décideurs politiques et des représentants de la société civile pour discuter du rôle crucial de la radio dans la lutte contre le changement climatique’’, ajoute la même source.
Ce deuxième Sommet des médias sur les changements climatiques et la réduction des risques de catastrophes est organisé par l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNDRR) et la Radiotélévision sénégalaise (RTS).
Il aura pour but de partager les meilleures pratiques, notamment en échangeant les expériences sur l’utilisation de la radio pour sensibiliser à l’urgence climatique, de renforcer les capacités des journalistes et des producteurs radiophoniques dans le domaine du climat et de favoriser les partenariats entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre le changement climatique, précisent les organisateurs.
Selon eux, le choix porté sur la radio pour parler du défi climatique se justifie par la capacité de ce médium à atteindre un large public.
‘’Dans un monde hyper connecté, la radio reste un média essentiel, en particulier dans les zones rurales et les communautés isolées. Sa portabilité et sa résilience en font un outil indispensable pour diffuser des informations vitales sur le changement climatique et encourager la prévention’’, estiment-ils.