Le Jaraaf de Dakar s’est qualifié en seizième de finale de la Coupe du Sénégal après sa victoire 4-0 sur Karack FC. Les Médinois effectuent une bonne opération avant de se rendre à Alger pour faire face à l’USM d’Alger en match comptant pour la dernière journée des phases de poule de la Coupe CAF.
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VIDEO / Ligue 2 : Essamaye FC veut assurer son maintien dès la phase aller (entraîneur)
Le promu et leader actuel de la Ligue 2, Essamaye FC (ex Gazelles de Bignona), affiche l’ambition d’assurer son maintien à l’issue de la phase aller du championnat, déclare son entraîneur, Amadou Fall Hann.
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VIDEO / Signature d’une convention de partenariat entre l’agence de presse saoudienne (SPA) et l’agence de le presse sénégalaise (APS)
Le président par intérim de l’agence de presse saoudienne (SPA), Ali Alzaid et le directeur général de l’agence de presse sénégalaise (APS), Momar Diongue , ont signé, mercredi à Riyad, un mémorandum d’entente entre les deux structures. Cette convention vise à développer la coopération dans les domaines de l’échange d’informations entre les deux services publics d’information.Ce partenariat vise aussi à renforcer davantage les activités médiatiques entre Dakar et Riyad. -
VIDEO / PUDC : Le forage de Lama soulage les populations
Le village de Lama, dans la commune de Kael (Mbacké, centre), est un exemple réussi de gestion du forage. L’infrastructure construite par le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) permet aux populations de disposer de l’eau potable. Sur place elles expriment leur satisfaction à l’occasion de la visite d’une délégation du Burundi venue s’inspirer du modèle PUDC. -
VIDEO / Avec de la poudre de charbon, Assane immortalise Ousmane sonko…
Assane Mbaye est un jeune peintre sénégalais. Avec un pinceau trempé dans la poudre de charbon chez le »Diallo keurigne » du coin, il fait preuve d’imagination pour interpréter l’actualité.La passe d’armes récente entre le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko au sujet des bases militaires en Afrique, capte son attention.La figure de proue qu’est Ousmane SONKO est au centre de sa dernière œuvre artistique. Assane Mbaye arpente falaises et roches pour réussir un mariage d’exception entre nature et culture.Les femmes et les hommes qui ont marqué le Sénégal sont dans sa ligne de charbon. »Doxantu » à Rufisque avec Assane, un peintre passionné et talentueux. -
SENEGAL-CONSOMMATION / Mbour : des consommateurs signalent une tension sur le sucre et l’huile, le service du commerce rassure
Mbour 16 jan (APS) – Des consommateurs, des commerçants et des membres d’associations consuméristes, interrogés par l’APS, ont alerté sur une tension concernant le sucre et l’huile, à Mbour, une situation née d’une ‘’baisse de stocks’’ qui a été »corrigée », a rassuré le commissaire aux enquêtes économiques Mamadou Lamine Ndiaye, le chef de service départemental du commerce.
»Tous les produits, notamment le sucre et l’huile, sont en hausse. On vendait le kilogramme à 600 francs Cfa mais présentement, nous l’achetons à 650 francs, il y en a même qui le vendent à 700 francs’’, a dit Fatoumata Sylla, une vendeuse de jus au marché central de Mbour.
En plus de la hausse sur le prix, poursuit Fatoumata, ‘’on ne voit plus de sucre sur le marché, même les boutiques de quartiers n’en disposent pas. La situation est la même, concernant l’huile’’.
Selon elle, ‘’les boutiquiers ont augmenté le prix’’, en vendant à 1.200 francs le litre qui coûtait auparavant 1.000 franc CFA.
« ’C’est une situation alarmante pour les familles’’, signale-t-elle.
‘’Les prix auxquels nous achetons nous avaient obligé à vendre, c’est 19. 150 pour le bidon de 20 litres, mais là, ce bidon est à plus de 21.000 francs. Et là nous ne pouvons pas l’acheter à ce prix’’, déplore M. Dia, grossiste au marché central de Mbour.
« Pour ce qui est du sucre, a relevé encore le commerçant, le prix au détail qui avait été homologué, était de 28.750 francs le sac, un tarif que nous n’avons pas le droit de dépasser, même si parfois, nous l’achetons au même prix chez le grossiste ».
‘’Ce qui explique tout le problème’’, a-t-il commenté.
Sur les quatre boutiques visitées par l’APS au quartier Grand Mbour, une seule dispose de sucre et en petite quantité.
‘’Les commerçants font tout pour créer des pénuries artificielles et généralement, c’est pour augmenter les prix surtout à l’approche du Ramadan’’, regrette Serigne Ba, qui représente à Mbour, SOS Consommateur, une association consumériste dirigée par l’avocat Me Massokhna Kane.
Pour cet acteur de la société civile, ‘’l’État doit prendre les décisions idoines pour protéger les consommateurs contre les commerçants véreux, et revoir la politique de contrôle des prix’’’.
Le Commissaire aux enquêtes économiques Mamadou Lamine Ndiaye, le chef de service départemental du commerce de Mbour, a expliqué à l’APS que cette tension était liée à une ‘’baisse de stocks’’.
Toutefois, il a rassuré qu’elle ‘’a été corrigée grâce à la collaboration » avec les commerçants, grossistes, demi-grossistes.
‘’A l’heure où je vous parle, on a un stock de sucre très important qui nous permet d’approvisionner correctement le marché. Pas plus tard que ce matin (mercredi), deux commerçants ont déclaré avoir reçu 40 tonnes de sucre chacun. Ce qui fait 80 tonnes, largement suffisant pour le moment pour approvisionner le marché au niveau du département’’, a rassuré le chef de service départemental du commerce de Mbour.
M. Ndiaye a écarté toute pénurie d’huile sur le marché, en ce moment.
‘’Le marché est très bien approvisionné. Les quantités que nous avons nous permettent de satisfaire très largement le marché et ce matin (mercredi), nous avons fait un relevé de stocks de 79 mille litres disponibles’’, a-t-il dit.
Il a souligné, par ailleurs, que le service qu’il dirige travaille avec ses partenaires pour que l’huile reste disponible sur le marché et à un prix moindre pour les consommateurs.
DOB/ADI/OID
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SENEGAL-TRANSPORT-SECURITE-BILAN / Mbour : 22 personnes tuées dans des accidents impliquant des motos en 2024
Mbour, 16 jan (APS) – Les accidents impliquant des véhicules à deux roues ont fait au moins 22 morts dans le département de Mbour (Ouest), en 2024, a appris l’APS, mercredi de l’adjudant-major, Jean Pierre Ndiaye, adjoint au commandant des sapeurs-pompiers de Mbour.
‘’Pour l’année 2024, nous avons enregistré 1.050 sorties. (Il y a eu) 1.422 victimes assistées et 22 décès impliquant les accidents de moto’’, a dit Jean-Pierre Ndiaye lors d’une réunion d’information sur la décentralisation des activités de régularisation des deux-roues.
Selon lui, ‘’les motos Jakarta ont fait le plus de dégâts’’.
‘’Ces chiffres alarmants appellent notre vigilance et notre réaction, pour arrêter cette hécatombe’’, a réagi Ngagne Ba, directeur régional des infrastructures et des transports terrestres de Thiès.
L’adjudant-major Jean-Pierre Ndiaye a insisté sur la sensibilisation des conducteurs, sur l’importance du port du casque, du permis de conduire et de l’assurance.
‘’L’usage des casques est formel et c’est une question non négociable’’, a-t-il précisé.
Le directeur régional des infrastructures et des transports terrestres de Thiès a annoncé le démarrage du processus d’immatriculation des cyclomoteurs, mercredi prochain à Mbour.
Comme partout à travers le monde, les autorités sénégalaises, déploient tous les moyens en leur possession, pour lutter contre cette « tragédie », à travers des politiques et stratégies, visant à « limiter les accidents de manière générale et ceux des deux-roues, particulièrement’’, a indiqué Ngagne Ba.
Pour M. Ba, ces « chiffres alarmants » réconfortent le gouvernement dans la pertinence de sa décision de généraliser l’immatriculation des deux- roues et de renforcer le contrôle, à travers une circulaire du Premier ministre.
La rencontre présidée par le préfet de Mbour, Amadou Diop, a regroupé les différents services déconcentrés de l’Etat dans le département, les élus territoriaux et les associations de conducteurs de mototaxis.
Elle a permis d’échanger avec les acteurs locaux sur le processus d’immatriculation des deux- roues, en vue d’une meilleure compréhension des nouvelles mesures.
Ngagne Ba a promis, dans le même sillage, de remonter les doléances des conducteurs de deux-roues, qui ont porté principalement sur le prolongement de la durée du processus et la facilitation de l’acquisition des documents requis pour l’immatriculation de leurs motos.
DOB/ADI/SKS/OID/ASB
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SENEGAL-FORMATION / Bakel: remise de diplômes à 12 jeunes formés par le CFP2
Bakel, 16 jan (APS) – Douze jeunes du département de Bakel (est) ont reçu, mercredi, des diplômes en installation et maintenance de système photovoltaïque, réparation d’appareils électroniques et menuiserie métallique et aluminium, après une formation qui a duré 48 jours.
Ces jeunes ont été formés par le centre de formation professionnel (CFP2) de Bakel grâce à un financement du Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel dans sa phase 2 (Praps-2 Sénégal).
« Il s’agit de la remise de diplômes à 8 jeunes formés en installation et maintenance des systèmes photovoltaïques, à 3 jeunes formés en réparation d’appareils électroniques, et 1 en menuisier métallique et aluminium », a expliqué Mamadou Badji, directeur du CFP2 de Bakel.
Ces diplômés, choisis sur la base du registre national unique (RNU), ont bénéficié de la composante 4 du Praps-2 qui privilégie, l’inclusion sociale et économique des jeunes et des femmes pasteurs et agro-pasteurs.
« Les lauréats vont également bénéficier de deux jours de formation en entrepreneuriat, pour qu’ils puissent avoir des notions sur la gestion d’entreprise. Après, on va doter chacun de kits de démarrage d’activités leur permettant d’être opérationnels dans leurs métiers », a ajouté Alfred Diouf, chef d’antenne du Praps-2 de Kanel.
Il a indiqué également que ce projet contribue à la résilience des populations au Sahel. Au Sénégal, le projet intervient dans 10 départements.
« Aujourd’hui, nous voulons que ces jeunes qui sont opérationnels dans le système de l’emploi, puissent aider à la sensibilisation pour que les gens puissent s’approprier la formation professionnelle et technique », a indiqué M. Diouf.
Le parrain de cette promotion, Mame Birame Bodian, chef de service départemental de l’élevage, a invité les bénéficiaires à utiliser les connaissances acquises aux bénéfices des populations.
AND/ABD/OID/ASB
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SENEGAL-COLLECTIVITES-DEVELOPPEMENT / PUDC : l’accès à l’eau et l’électricité a amélioré les conditions de vie des habitants de Lama et Mbanane
Lama/Mbanane (Kaèl), 16 jan (APS) – Les habitants de Lama et de Mbanane, des villages de la commune de Kaèl dans le département de Mbacké (centre), se réjouissent de l’accès à l’eau et à l’électricité, des services sociaux de base qui ont grandement contribué à l’amélioration de leurs conditions de vie.
En 2013, le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) a réalisé à Lama un forage d’un coût global de 113 millions 699 mille 200 FCFA. L’ouvrage de plus de 30 mètres polarise 10 villages de la zone. Ce qui permet à 2448 habitants d’avoir accès à l’eau potable pour leurs différents besoins journaliers.
“Il y a de cela 10 années en arrière, nous perdions du temps à aller chercher de l’eau à pied ou à l’aide de montures ; le forage nous a facilité la vie car il suffit d’ouvrir son robinet pour avoir de l’eau’’, a déclaré Marie Faye, habitante du village de Lama, situé dans la commune de Kaèl.
Devant les membres d’une délégation burundaise venue pour s’inspirer de l’expérience du PUDC, Mme Faye a rappelé que les femmes du village parcouraient des kilomètres pour avoir de l’eau pour les tâches domestiques, la zone la plus proche étant à 10 kms.
Selon Aliou Faye, le chef de village, “les femmes rencontraient beaucoup de difficultés pour avoir de l’eau pour les besoins domestiques de même que les bergers pour le pâturage, mais désormais tout est devenu plus facile grâce au forage de Lama’’.
El Hadj Bâ, le maire de Kaèl, s’est réjoui de la présence de la délégation burundaise, invitant les Etats africains à travailler sur l’accessibilité des services sociaux de base pour les populations ‘’les plus démunies’’ et les zones ‘’les plus excentrées’’.
‘’Cela nous ferait un grand plaisir si demain nous avons un feed-back montrant que vous avez réalisé quelque chose de ce genre dans votre pays’’, a-t-il dit.
Selon lui, si les Burundais réussissent ce pari, d’autres pays pourront également venir s’inspirer de leur exemple.
La délégation burundaise effectue une mission du 13 au16 janvier, au Sénégal, pour mieux s’imprégner des réalisations du PUDC dans les zones de Fatick, Diourbel et Thiès.
Après Lama, la délégation s’est rendue à Mbanane, une localité qui a accès à l’électricité grâce au PUDC.
Ce projet, d’un coût global de 61 millions 987 mille, a impacté environ 400 personnes, avec des raccordements à domicile, en plus de l’éclairage public.
L’électricité a permis d’améliorer les conditions d’études des élèves qui s’éclairaient auparavant à la bougie. Les femmes peuvent exercer des activités génératrices de revenus comme la vente de glace.
L’électrification de ce village a également mis fin au vol de bétail, un problème récurrent dans la zone. En effet l’éclairage des sentiers permet d’avoir une visibilité sur tout le village, ce qui décourage les malfaiteurs.
Selon le maire de Kaèl, El Hadj Bâ, l’électrification qui est devenue une ‘’nécessité’’ est un ‘’outil de développement’’.
Le coordonnateur du PUDC, Cheikh Diop a rappelé que l’objectif du programme est de »tout faire pour que les populations vivent dans de meilleures conditions et puissent avoir accès aux services sociaux de base’’. “Les résultats sont probants et les populations ont le droit de disposer du nécessaire pour vivre’’, a-t-il dit.
Selon lui, “c’est une fierté de voir un autre pays venir s’inspirer du travail accompli par le PUDC’’.
Frédéric Nimubona, chef de la délégation burundaise, a plaidé pour que les communes africaines soient dotées de moyens pour prendre en main leur propre développement.
‘’Nous voulons reprendre le format PUDC au Burundi car nous avons réalisé des infrastructures dans le pays mais nous avons un peu oublié les zones rurales’’, a-t-il soutenu.
Le gouvernement du Sénégal, avec l’appui technique du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), a lancé en 2015, le PUDC.
Ce programme vise l’amélioration de l’accès des populations rurales aux services sociaux de base à travers la mise en place d’infrastructures socio-économiques, tout en favorisant l’implication des acteurs locaux dans le développement économique et social de leurs localités.
MFD/OID/ASB
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SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, les annonces en Conseil des ministres et les résultats de la DER
Dakar, 16 jan (APS) – Les quotidiens reçus, jeudi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS), traitent de divers sujets dont les annonces en Conseil des ministres et les résultats de la campagne nationale d’autonomisation initiée par la Délégation générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes (DER/FJ) entre septembre et octobre 2024.
Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a présidé, mercredi au Palais de la République, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres.
‘’Le président Faye a pris au cours de ce Conseil des ministres plusieurs décisions. Sur le transport, il a invité les ministres en charge du secteur à veiller à la finalisation du plan d’action du gouvernement pour la modernisation du transport ainsi qu’à l’application des mesures d’amélioration de la sécurité routière’’, rapporte Sud Quotidien qui titre : ‘’Diomaye presse son gouvernement’’.
Selon EnQuête ‘’Diomaye accélère la cadence’’ pour la modernisation des transports. Le journal relève que ‘’la modernisation des transports dans tous leurs compartiments est une grande priorité pour l’Etat du Sénégal, qui entend accélérer le processus’’. ‘’Des décisions importantes ont été prises lors du Conseil des ministres, hier, concernant les transports terrestres et maritimes’’, souligne la publication.
Concernant les transports maritimes, ‘’Diomaye se jette à l’eau’’, titre Le Quotidien, qui note que ‘’dans le cadre la nouvelle politique maritime et portuaire, le président de la République attend des réformes de l’Agence nationale des affaires maritimes (ANAM), au Consortium sénégalais d’activités maritimes (COSAMA), à la Société des infrastructures de réparation navale (SIRN) et au Conseil sénégalais des chargeurs (COSEC)’’.
Au sujet du Conseil des ministres toujours, Libération souligne que le président Bassirou Diomaye Faye »opère un chamboulement’’ dans les représentations diplomatiques et à la Douane. ‘’Diomaye secoue la diplomatie et chamboule la Douane’’, dit L’As.
Le même journal s’intéresse au »financement massif » opéré par la Délégation générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes (DER/FJ) dans le cadre de sa campagne d’autonomisation financière sur la période de septembre à octobre 2024.
‘’La déléguée à la DER/FJ, Aida Mbodj, a fait le point mercredi sur les financements octroyés par sa structure, lors d’un point de presse. Elle indique qu’en moins de sept mois, la DER/DJ a financé 8667 projets pour un montant global de 5,6 milliards de francs CFA’’, note le journal.
La DER/FJ »débourse 5,6 milliards pour 8667 projets’’, rapporte WalfQuotidien, ajoutant qu’en 2025, »la DER prévoit un montant de 11 milliards de FCFA’’.
Source A relève qu’au départ, la DER/FJ avait prévu une enveloppe de 5 milliards francs CFA pour répondre aux besoins exprimés dans le cadre de sa dernière campagne d’autonomisation. ‘’Mais à la grande surprise générale de la déléguée générale, Dr Aissatou Mbodj, la DER a reçu une demande de financement globale de 60 milliards de francs CFA (…) », selon le journal.
AB/OID