Auteur/autrice : Modou FALL

  • SENEGAL-POLITIQUE-ELECTION / Ziguinchor: 5227 cartes d’électeur en souffrance dans la commune (préfet)

    SENEGAL-POLITIQUE-ELECTION / Ziguinchor: 5227 cartes d’électeur en souffrance dans la commune (préfet)

    Ziguinchor, 15 mars (APS) – Au total, 5227 cartes d’électeur de la commune de Ziguinchor sont en souffrance à la commission de distribution logée à la préfecture de Ziguinchor (sud), a-t-on appris du préfet du département,  Ameth Tidiane Thiaw.

     »Pour l’ancien stock, dans la commune de Ziguinchor, nous avons un restant de 3.034 cartes. Et, pour le nouveau stock, nous avons 2193 cartes qui restent. Ce qui fait un total de 5227 cartes d’électeur », a-t-il précisé, lors d’un entretien avec l’APS.

     »Pour l’ancien stock, ce sont des cartes qui sont en souffrance d’année en année, d’élections en élections. Les gens viennent de façon très timorée retirer leurs cartes », a déploré Ameth Tidiane Thiaw.

    Selon lui,  »parfois dans toute la semaine, c’est une carte, deux ou maximum cinq qu’on retire ».

     »C’est à la traîne que les gens prennent leurs cartes. Dans la semaine passée, il n’y a que quatre cartes qui ont été retirées concernant l’ancien stock », a regretté le chef de l’exécutif départemental.

    Toutefois, a-t-il salué,  »pour le nouveau stock, 101 cartes ont été retirées dans la semaine ».

    Le préfet de Ziguinchor a appelé les électeurs concernés à se rapprocher des commissions installées dans les mairies et les sous-préfectures pour retirer leurs cartes à temps afin de pouvoir participer au processus électoral.

     »Le retrait des cartes peut aller jusqu’au 23 mars à minuit. J’appelle les électeurs concernés à retirer leur sésame pour avoir l’occasion de participer au scrutin présidentiel », a insisté M. Thiaw.

    MNF/SKS/ASB

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-REPORTAGE / A Ziguinchor, la campagne électorale ne draine pas les foules

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-REPORTAGE / A Ziguinchor, la campagne électorale ne draine pas les foules

    Ziguinchor, 13 mars (APS) – La campagne pour le scrutin présidentiel du 24 mars prochain semble avoir du mal à décoller dans la région de Ziguinchor (sud), dont les populations ne manifestent apparemment pas grand intérêt pour ces joutes électorales.

    Cinq jours après le début de la campagne démarrée samedi 9 mars, les populations de Ziguinchor semblent plus préoccupées par le coût de la vie, dans un contexte marqué par le carême et le jeûne musulman.

    Beaucoup de personnes interrogées par l’APS disent ne pas être intéressées par cette élection présidentielle initialement prévue le 25 février dernier avant d’être reportée au 15 décembre 2024 et finalement arrêtée pour le 24 mars.

    Comme si cette indécision avait lassé, dans la commune de Ziguinchor, rien ne laisse penser à une véritable campagne électorale, ni méga-meetings, ni caravanes ne sont organisés pour intéresser les citoyens.

    Ils sont nombreux, les citoyens qui se disent « plus préoccupés par l’inflation galopante », dans un contexte où les fidèles chrétiens et musulmans ont entamé le carême et le ramadan, alors que le coût de la vie continue de préoccuper.

    « Je n’ai jamais pensé que ces élections auront lieu. Et jusqu’à présent je suis pessimiste. C’est la campagne électorale la plus morose qu’on ait jamais connue. Actuellement, on est préoccupé par le ramadan », dit Boubacar Diallo, un jeune conducteur de vélo-taxi.

    « Les gens sont fatigués et ne croient plus aux politiciens », tranche Boubacar Diallo.

    « La vie est très chère. Financièrement, ça ne va pas. Le ramadan est là. Et d’ailleurs, on ne sent pas la campagne à Ziguinchor. À cette heure, les choses devraient bouger pour les vélos-taxis, mais rien », se désole le jeune conducteur de moto « Jakarta ».

    « À Ziguinchor, seuls les partisans d’Ousmane Sonko sont parfois visibles sur le terrain », fait observer un autre conducteur de vélo taxi, trouvé dans son arrêt en train de laver sa vélo taxi.

    Il assure toutefois qu’il va voter si le scrutin se tient. Mais en attendant, au lieu de « passer la journée avec des politiques, je préfère travailler et subvenir à mes besoins ».

    « Nous sommes fatigués, très fatigués. Tous les prix des denrées alimentaires ont augmenté. Je cherche quoi apporter à la maison durant ce mois béni. Jamais je ne suivrais les politiciens même si je vais voter le jour du scrutin », lance Aissatou Diabang, une jeune fille vendeuse de poisson au marché Boucotte de Ziguinchor.

    Pour Lamine Badiane, à Ziguinchor, « les gens ont déjà en tête leur candidat ».

    « On attend juste le jour-J pour aller voter et faire triompher notre candidat. Il n’est pas nécessaire de suivre cette campagne très morose. Nous préférons travailler et faire nourrir nos familles. Les temps sont durs », dit Joseph Sagna, un docker trouvé au marché de Boucotte.

    « On ne sent pas pour l’instant la campagne à Ziguinchor. Et d’ailleurs on est fatigué de cette politique politicienne. Moi, je préfère travailler et suivre dans la beauté ce mois béni. Je suis préoccupé par le ramadan », déclare Fallou Kane.

    M. Kane reste dans l’incertitude et le doute, estimant qu’il n’est sûr que ce scrutin se tiendra à la date indiquée.

    Au total donc, la campagne a timidement débuté dans la commune de Ziguinchor, où aucun des dix-neuf candidats à ce scrutin n’a encore foulé le sol de la ville.

    Il est toutefois à signaler quelques initiatives par-ci, par-là, comme la caravane organisée mardi soir par des partisans de l’opposant Ousmane Sonko.

    Ces inconditionnels du maire de Ziguinchor, détenu depuis fin juillet dernier et dont la candidature n’a pas été validée par le Conseil constitutionnel, arboraient des tee-shirts sur lesquels on peut lire : « Sonko mooy Diomaye ».

    Le célèbre opposant a en effet appelé à voter Bassirou Diomaye Faye, son lieutenant lui aussi détenu mais autorisé à briguer le suffrage de ses compatriotes par le Conseil constitutionnel.

    MNF/BK/AKS

  • SENEGAL-DIVERS / Diembéring : le chavirement d’une pirogue fait un mort, une personne portée disparue

    SENEGAL-DIVERS / Diembéring : le chavirement d’une pirogue fait un mort, une personne portée disparue

    Ziguinchor, 13 mars (APS) – Une personne a trouvé la mort et une autre est portée disparue suite au chavirement d’une pirogue au large de la station balnéaire de Diembéring, dans la région de Ziguinchor (sud), a-t-on appris des responsables du quai de pêche de ce village.

    « Une pirogue a chaviré ce mardi matin à l’embouchure du fleuve Casamance, au large des côtes de Diembéring », dans le département d’Oussouye, a annoncé à l’APS Madiara Lakhone, président de l’Union nationale des pêcheurs artisanaux du Sénégal à Cap Skirring et Diembéring.

    « Le bilan provisoire est d’un mort et un porté disparu », a-t-il dit, ajoutant que les opérations de secours vont se poursuivre jusqu’à demain, mercredi.

    MNF/SMD/BK

  • SENEGAL-SOCIETE / La question des violences basées sur le genre jugée  »inquiétante » à Kafountine

    SENEGAL-SOCIETE / La question des violences basées sur le genre jugée  »inquiétante » à Kafountine

    Kafountine, 12 mars (APS) – La question des violences basées sur le genre est devenue inquiétante à Kafountine, a déploré, lundi, la Secrétaire générale du réseau des femmes actives de cette commune du département de Bignona, Maïmouna Sow.

     »La question des agressions et de l’insécurité est devenue très accentuée à Kafountine. On n’ose plus se réveiller très tôt pour aller dans les rizières ou au quai de pêche. On nous trouve même dans les maisons. La situation est inquiétante à Kafountine « , a déclaré Maïmouna Sow en marge de la célébration de la journée internationale des droits des femmes, en présence de nombreuses femmes et du maire David Diatta. »Les violences basées sur le genre existent à Kafountine, et la situation est inquiétante. Presque tous les jours, nous constatons des violences physiques, verbales et sexuelles contre des femmes », a souligné Mme Sow, appelant les pouvoirs publics et locaux à renforcer la sécurité à Kafountine.

    Elle a signalé que deux femmes qui ont subi des violences sexuelles sont actuellement hospitalisés à Dakar et Ziguinchor.

     »Des femmes sont aussi souvent menacées physiquement et sexuellement. La sécurité doit être renforcée à Kafountine afin de permettre aux femmes de travailler sans inquiétude « , a insisté Mme Sow, plaidant également pour un accompagnement sur le plan sanitaire.

    Elle a, par ailleurs, invité les pouvoirs publics, à les accompagner dans leur combat pour l’accès à la terre afin de pouvoir produire à grande échelle.

     »La question des agressions et de l’insécurité est devenue très inquiétante à Kafountine », a confirmé le maire David Diatta, promettant la mise en place « très prochainement d’un comité de vigilance qui va veiller à la sécurité des biens et des personnes » dans sa commune.

    À Kafountine, a t-il relevé,  »les femmes ne sont pas considérées dans l’accès à la terre ».  »Nous allons leur faciliter l’obtention des délibérations des surfaces de terres », a M. Diatta.MNF/OID

  • SENEGAL-CAMPAGNE-PRESIDENTIELLE / Démarrage timide de la campagne électorale à Ziguinchor

    SENEGAL-CAMPAGNE-PRESIDENTIELLE / Démarrage timide de la campagne électorale à Ziguinchor

    Ziguinchor, 11 mars (APS) – La commune de Ziguinchor (sud) a connu, ce week-end, un début timide de la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du 24 mars prochain, a constaté l’APS.

     »Il n’y a aucune activité et aucune initiative pour le moment à Ziguinchor. Il n’y a aucun programme pour le moment à Ziguinchor. Cette situation est inquiétante. Le terrain a été abandonné complètement par les leaders de la coalition Benno Book Yakaar et ceux de l’opposition », a fait observer le coordonnateur départemental des jeunes de la coalition Benno Book Yakaar (BBY, au pouvoir), Dame Bèye.

    Pour lui,  »beaucoup de gens croyaient que les élections n’allaient pas avoir lieu ».

     »Et jusqu’à présent, il y a des incertitudes dues à l’information selon laquelle le Parti démocratique sénégalais (PDS) va encore introduire un autre recours. Il y a beaucoup d’inquiétudes et d’incertitudes. Actuellement, nous ne sentons pas  le camp de l’opposition et celui du pouvoir à Ziguinchor », a-t-il insisté.

     »Cette timidité est due au manque des moyens financiers des potentiels candidats à la présidentielle. Avec ce report de l’élection présidentielle et avec le recours annoncé par le Parti démocratique sénégalais (PDS) pour l’annulation du processus électoral, les gens n’ont pas assez de courage », dit un militant de la coalition  »Diomaye président », sous le couvert de l’anonymat.

     »La campagne est timide à Ziguinchor. Cette timidité est surtout due au lancement soudain de la campagne électorale et au mois de Ramadan. On va s’adapter », a dit le coordonnateur communal de l’Alliance pour la République à Ziguinchor (APR, au pouvoir), Gora Guèye.

    Pour Abdoulaye Waly Sow, militant du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR, opposition),  »la plupart des candidats semblent un peu pris de court par le lancement soudain de la campagne électorale, après plusieurs semaines d’incertitude quant à la date du scrutin ».

    Le démarrage coïncide également avec le début du mois de Ramadan.

    Aucun des dix-neuf candidats à ce scrutin n’a encore annoncé sa venue dans la ville de Ziguinchor.

    MNF/SKS/ASB/AKS

  • SENEGAL- SANTE / La promotion 99 au chevet des détenus de la MAC de Ziguinchor

    SENEGAL- SANTE / La promotion 99 au chevet des détenus de la MAC de Ziguinchor

    Ziguinchor, 9 mars APS) – La promotion 99 de la Faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar a organisé, samedi, à la maison d’arrêt et de correction de Ziguinchor, une journée de consultations juridiques et médicales.

    L’objectif à travers cette journée est de soutenir les personnes incarcérées, précisent les initiateurs.

     » (…) Il est de tradition pour l’association promotion 99, lors de la journée internationale des droits des femmes, de mener des consultations juridiques et médicales en direction des femmes détenues dans les différentes maisons d’arrêt et de correction », a expliqué le responsable de la communication de ladite association, Moustapha André Diop.

    Il a signalé que l’association promotion 99 est venue avec une équipe médicale de neuf médecins de diverses spécialités : dermatologues, cardiologues, médecins généralistes.

    Moustapha André Diop annonce que leur association va appuyer les dossiers judiciaires de certains détenus de la MAC de Ziguinchor.

    « Nous allons œuvrer pour faire avancer les dossiers de certains détenus à Ziguinchor. Il y a des cas de longues détentions. Nous essayons de voir comment nous pouvons appuyer leurs dossiers, pour qu’ils puissent passer un procès », a-t-il dit.

    Le Dr Oumou Dème Kébé Ba, spécialiste des vaisseaux sanguins, révèle que les consultations ont permis de dépister l’hypertension artérielle ‘’en grand nombre parmi les détenus’’. ‘’Il y a des hypertensions artérielles qui étaient très mal contrôlées, des cas d’AVC, entre autres », a-t-elle informé.

    « À la MAC de Ziguinchor, nous avons trouvé des détenus qui sont très bien suivis sur le plan médical, mais ce qui reste, c’est le médicament essentiel », a précisé la cardiologue.

    Cette journée de consultations juridiques et médicales a été aussi l’occasion pour l’association dite promo 99 de remettre un lot de matériel médical et un don en nature pour soulager les détenus durant leur séjour carcéral.

    « Au-delà de ces consultations, nous avons procédé à des remises de dons en nature et de médicaments pour participer à l’amélioration des conditions de vie des détenus », a signalé Moustapha André Diop.

    Composée, entre autres, de magistrats et d’avocats, la promotion 99 de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar s’investit dans la résolution de la situation difficile des femmes et hommes incarcérés dans les différentes MAC du pays.

    MNF/ASG/SMD

  • SENEGAL-SOCIETE-GENRE / L’accès à la terre, préoccupation des femmes de la Casamance

    SENEGAL-SOCIETE-GENRE / L’accès à la terre, préoccupation des femmes de la Casamance

    Boutoupa-Camaracounda, 8 mars (APS) – Des femmes de la Casamance, réunis au sein d’un réseau, ont demandé, vendredi, à Boutoupa-Camaracounda (sud), aux pouvoirs publics de les accompagner dans leur combat pour l’accès à la terre afin de pouvoir produire à grande échelle.

     »Nous demandons aux autorités administratives et locales d’accompagner les femmes dans leur négociation pour leur accès à la terre et son contrôle, en veillant qu’on leur attribue des surfaces arables de qualité leur permettant de produire à grande échelle, a déclaré la présidente du réseau des fédérations des femmes de la Casamance (REFFEC), Justine Manga par ailleurs mairesse de la commune de Niassya dans le département de Ziguinchor.

    Elle s’exprimait en marge de la célébration de la journée internationale des droits des femmes à Boutoupa-Camaracounda, dans le département de Ziguinchor, en présence de nombreuses femmes.

     »Nous demandons aux femmes d’effectuer des échanges pour favoriser l’apprentissage par les paires en partageant les bonnes pratiques pour une bonne exploitation des bas-fonds », a ajouté Justine Manga, invitant aussi les femmes à sensibiliser sur les méfaits de la divagation des animaux qui selon elle risque d’être un frein à leur autonomisation économique.

    La présidente du réseau des fédérations des femmes de la Casamance a, par ailleurs, demandé aux autorités administratives et locales de faciliter l’implication des femmes dans les instances de prise de décision.

    Elle a aussi invité les autorités compétentes à mettre en application les lois en faveur des femmes telles que la parité, le code de famille, le protocole de Maputo, la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes.

     »Nous invitons les inspections de l’éducation et de la formation (IEF) et l’inspection d’académie de Ziguinchor à veiller à la prise en charge de l’hygiène menstruelle dans les établissements scolaires », a conclu Justine Manga.

    MNF/ASB/OID

  • SENEGAL-ENFANCE-SOCIAL / Bignona : des produits alimentaires offerts aux enfants du centre de réinsertion sociale 

    SENEGAL-ENFANCE-SOCIAL / Bignona : des produits alimentaires offerts aux enfants du centre de réinsertion sociale 

    Bignona, 7 mars (APS) – L’amicale des femmes de l’Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Bignona (sud) a offert, jeudi, un don en produits alimentaires aux enfants souffrant de handicap mental du centre de réinsertion sociale de ce département,  de la région Ziguinchor, a constaté l’APS, jeudi.

    Les produits alimentaires offerts comprennent des paquets de sucre, des pots de beurre, des cartons de lait, des pots de café, des paquets de fromage et des pots de mayonnaise.

     »Nous sommes venus aujourd’hui au centre de réinsertion sociale de Bignona afin d’apporter un don en nature aux enfants souffrant de handicap mental, aux trisomiques et aux enfants souffrant d’autres pathologies. A travers ce geste, nous voulons soutenir l’éducation de cette catégorie d’enfants », a dit Ndèye Fatou Diagne Diatta, enseignante-formatrice à l’ISEP de Bignona.

     »Ce don nous permet également de marquer à notre manière, la Journée internationale de la femme, prévue ce vendredi 8 mars », a-t-elle ajouté en présence de ses collègues et des responsables du centre de réinsertion sociale de Bignona.

    Elle a expliqué que ce geste a été rendu possible grâce à une collecte de moyens réalisée auprès du personnel de l’Institut supérieur d’enseignement professionnel de Bignona.

     »Pour jouer notre partition à l’occasion de cet événement célébrant la femme, nous avons offert ce don d’accompagnement en nourriture à ces enfants, pour pouvoir les aider » a  encore expliqué Mme Diatta.

    Jacqueline Mendy Dione, enseignante au centre de réinsertion sociale de Bignona a estimé que ce don en nature est d’une importance capitale et permet d’offrir à ces enfants handicapés une vie meilleure.

     »Nos enfants ont besoin de cet accompagnement dans leur insertion professionnelle et sociale. C’est un geste de haute portée. Nous remercions l’ISEP de Bignona », a ajouté Mme Dione.

    MNF/AB/ASB

  • SENEGAL-JUSTICE / Ziguinchor : liberté provisoire pour neuf détenus de la MAC

    SENEGAL-JUSTICE / Ziguinchor : liberté provisoire pour neuf détenus de la MAC

    Ziguinchor, 27 fév (APS) – Neuf détenus de la Maison d’arrêt et de correction (MAC)de Ziguinchor (sud), dont des mineurs, ont bénéficié, lundi, d’une liberté provisoire, a appris l’APS d’une source pénitentiaire.

     »Il s’agit de neuf personnes dont des mineurs qui ont bénéficié lundi d’une liberté provisoire », a indiqué un agent de l’administration pénitentiaire ayant requis l’anonymat. Il précise que le maire de Diacounda, Amadou Sané, une commune du département de Bignona,  »fait partie de ces personnes libérées ».

    MNF/SBS/SKS/ASB/ASG

  • SENEGAL-FORMATION / L’ISEP de Bignona a reçu 200 nouveaux bacheliers (directeur)

    SENEGAL-FORMATION / L’ISEP de Bignona a reçu 200 nouveaux bacheliers (directeur)

    Bignona, 26 fév (APS) – L’Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Bignona (sud-ouest) a reçu cette année 200 nouveaux bacheliers venant de différentes régions du pays et de la sous-région, a indiqué son directeur, Nfansou Victor Diatta.

    « Ces 200 étudiants seront formés dans les domaines de métiers en lien avec les potentialités socio-économiques de la région de Ziguinchor. Ils deviendront au finish des techniciens supérieurs (Bac+2) spécialisés dans les domaines de l’agroforesterie, l’agroalimentaire, les énergies renouvelables et la production animale, entre autres », a -t-il dit à l’APS.

    Nfansou Victor Diatta s’entretenait avec des journalistes, au terme de la traditionnelle “amphi de rentrée” pour l’année académique 2023-2024, en présence des acteurs de l’éducation et des étudiants.

    Il a signalé qu’un module lié à l’éducation physique sera introduit cette année à l’ISEP de Bignona pour permettre aux étudiants de pratiquer le sport et de rester en bonne santé.

    L’Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Bignona, créé par décret n° 2016-1496, a pour vocation de former des bacheliers dans des métiers en lien avec les potentialités socio-économiques de la région de Ziguinchor.

    MNF/ASG/OID