Auteur/autrice : Mohamed Tidiane Ndiaye

  • SENEGAL-COTEDIVOIRE-POLITIQUE-DECES / Décès de l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié

    SENEGAL-COTEDIVOIRE-POLITIQUE-DECES / Décès de l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié

    Dakar, 1ᵉʳ août (APS) – Henri Konan Bédié, le président de la Côte d’Ivoire de 1993 à 1999, est décédé mardi à Abidjan des suites d’un malaise, à l’âge de 89 ans, a annoncé l’Agence ivoirienne de presse (AIP) reçue le même jour à l’APS.

    Victime d’un malaise à Daoukro, son village natal situé au centre de la Côte d’Ivoire, il a été évacué à la policlinique internationale sainte Marie d’Abidjan, où il a rendu l’âme, selon l’AIP.

    Figure de proue de la politique ivoirienne, surnommé HKB, selon ses initiales, il fut président de la Côte d’Ivoire du 7 décembre 1993 au 24 décembre 1999.

    Henri Konan Bédié fut auparavant, pendant treize ans, président de l’Assemblée nationale (1980-1993).

    Il est devenu chef de l’État ivoirien à la mort de Félix Houphouët-Boigny (1905-1993), à la faveur d’un article de la Constitution ivoirienne qui faisait de lui le dauphin constitutionnel du président.

    Le gouvernement d’Henri Konan Bédié a été renversé par un coup d’État mené par le général Robert Guéï, le 24 décembre 1999.

    Figure majeure de la politique ivoirienne, il a tenté de revenir au pouvoir en se portant candidat à l’élection présidentielle de 2010.

    Il était arrivé troisième au scrutin présidentiel avant de se rallier à la candidature d’Alassane Ouattara, qui sort vainqueur de l’élection et d’une crise postélectorale de plusieurs mois.

    En 2015, le leader du PDCI, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire, avait également apporté son soutien à M. Ouattara pour sa réélection.

    Il est investi par son parti au scrutin présidentiel de 2020, qu’il finit par boycotter après la décision du président sortant de briguer un troisième mandat.

    MTN/ESF/BK

  • SENEGAL-SOCIETE-VIOLENCE / L’attaque au cocktail Molotov de Hann-Bel Air est « un acte terroriste », selon le ministre de l’Intérieur

    SENEGAL-SOCIETE-VIOLENCE / L’attaque au cocktail Molotov de Hann-Bel Air est « un acte terroriste », selon le ministre de l’Intérieur

    Dakar, 1ᵉʳ août (APS) – L’attaque au cocktail Molotov ayant fait deux morts et cinq blessés, mardi soir, à Dakar, est un « acte terroriste », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome.

    « Il s’agit d’un acte terroriste […] Nous avons été informés par la gendarmerie et les sapeurs-pompiers que sept individus encagoulés ont pris en étau un minibus de transport en commun, un minibus de la ligne 65 » du réseau de transport AFTU, a soutenu M. Diome.

    Un cocktail Molotov lancé contre un minibus transportant des passagers entre Kounoune et Colobane, dans la région de Dakar, a fait deux morts, mardi soir, dans la commune de Hann-Bel Air.

    Cinq personnes ont eu des blessures graves, selon le ministre de l’Intérieur.

    L’attaque a été menée par « sept personnes encagoulées, qui ont aussi dépossédé les passagers de leurs téléphones, de leur argent et d’autres biens », a-t-il déclaré dans un enregistrement de la Police nationale.

    Antoine Diome, qui s’exprimait depuis le lieu de l’attaque, à Hann-Bel Air, a dénoncé un « acte répréhensible, criminel et inhumain ».

    « Quel acte répréhensible, quel acte criminel, quel acte inhumain que de jeter un cocktail Molotov dans un bus transportant des Sénégalais comme vous ! » s’est-il indigné.

    L’État « va se lancer à la poursuite de ceux qui ont commis cet acte, va les rechercher, les arrêter et les livrer à la justice », a assuré le ministre de l’Intérieur.

    « Nous sommes un pays de démocratie où chacun a des droits et des devoirs. C’est cela qui nous lie. C’est cela qui nous rassemble dans une République. Penser que l’on puisse imposer une théorie de la pensée unique relève de l’illusion […] L’État prendra toutes les dispositions qui s’imposent », a-t-il promis.

    MTN/ESF/BK

  • SENEGAL-POLITIQUE / Deux morts dans des manifestations à Ziguinchor, après l’arrestation d’Ousmane Sonko, selon le ministre de l’Intérieur

    SENEGAL-POLITIQUE / Deux morts dans des manifestations à Ziguinchor, après l’arrestation d’Ousmane Sonko, selon le ministre de l’Intérieur

    Dakar, 1er août (APS) – Deux personnes ‘’de sexe masculin’’ ont trouvé la mort dans des manifestations survenues lundi à Ziguinchor (sud), à la suite de l’inculpation et du placement sous mandat de dépôt d’Ousmane Sonko, a déclaré le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome.

    ‘’Le ministre de l’Intérieur a été informé de la découverte de deux corps sans vie de sexe masculin, lors de manifestations à Ziguinchor’’, a annoncé M. Diome dans un communiqué.

    Au nom du chef de l’État, il présente ses ‘’condoléances aux familles éplorées et aux proches des victimes’’.

    Le ministre de l’Intérieur invite en même temps les populations au ‘’calme’’ et à la ‘’sérénité’’.

    ‘’Toutes les dispositions’’ nécessaires ‘’sont prises pour préserver la paix et la tranquillité dans le pays’’, a ajouté Antoine Diome.

    De violentes manifestations ont éclaté à Ziguinchor, ville dont Ousmane Sonko est le maire, à la suite de son inculpation et de son placement sous mandat de dépôt.

    Pastef-Les patriotes, son parti politique, a été dissous par un décret du président de la République, Macky Sall, a annoncé M. Diome, quelques heures après l’inculpation de l’opposant, ancien député classé troisième à l’élection présidentielle de 2019 et candidat à celle de 2024.

    Des barricades étaient érigées par des manifestants sur les principales rues de Ziguinchor, lundi. Des branches d’arbres et des poubelles étaient jetées sur les artères de la ville, où le calme est revenu dans la soirée.

    Trois personnes ont été blessées dans les échauffourées, selon des sources hospitalières.

    Six autres ont été interpellées, selon une source policière.

    MTN/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Manifestations : deux décès enregistrés à Ziguinchor (sources hospitalières)

    SENEGAL-POLITIQUE / Manifestations : deux décès enregistrés à Ziguinchor (sources hospitalières)

    Ziguinchor, 31 juil (APS) – Deux jeunes ont succombé à leurs blessures, lundi, à la suite des manifestations violentes qui ont éclaté dans les rues de Ziguinchor (sud), après le placement sous mandat de dépôt de l’opposant Ousmane Sonko, leader de l’ex parti Pastef les Patriotes, a appris l’APS de source hospitalière.

    La première victime, qui était admise dans un hôpital, a succombé à ses blessures après avoir été blessée dans ces manifestations.

    La seconde personne décédée a rendu l’âme au moment de son évacuation vers une structure sanitaire, a indiqué à l’APS une source hospitalière.

    De violentes manifestations ont éclaté cet après-midi à Ziguinchor, ville dont Ousmane Sonko est le maire.

    Les principales artères de la ville sont barricadées. Des débris de briques, des braches d’arbres, des poubelles et des tas d’immondices obstruent les artères principales de la principale ville du sud. La circulation est fortement ralentie, voire à l’arrêt.

    Trois personnes ont été blessées dans les échauffourées. Six autres ont été interpelées, selon une source policière.

    MNF/MTN/ASG

  • SENEGAL-POLITIQUE-DECISION / Le parti Pastef les Patriotes dissous par le gouvernement (officiel)

    SENEGAL-POLITIQUE-DECISION / Le parti Pastef les Patriotes dissous par le gouvernement (officiel)

    Dakar, 31 juil (APS) – Le parti les Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) a été officiellement dissous ce lundi par décret, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome.

    « (…) le parti politique Pastef est dissous par décret n° 2023-1407 du 31 juillet 2023 », écrit-il dans un communiqué.

    Il justifie cette décision par le fait que « Pastef, à travers ses dirigeants et ses instances, a fréquemment appelé ses partisans à des mouvements insurrectionnels ».

    «  »Cela a entrainé de lourdes conséquences, incluant de nombreuses pertes en vies humaines, de nombreux blessés, ainsi que des actes de saccage et de pillage de biens publics et privés », poursuit le ministre de l’Intérieur.

    Il cite à cet égard les «  »graves troubles à l’ordre public enregistrés au cours de la première semaine du mois de juin 2023, après ceux du mois de mars 2021 ».

    Selon le ministre de l’Intérieur, cette dissolution fait suite à « ces évènements qui constituent un sérieux et permanent manquement aux obligations des partis politiques ».

    Pour justifier cette décision, l’Etat a aussi mis en avant les  « dispositions de l’article 4 de la Constitution et de l’article 4 de la loi n° 81-17 du 06 mai 1981 relative aux partis politiques, modifiée par la loi n° 89-36 du 12 octobre 1989 ».

    Le communiqué annonce que « les biens du parti dissous seront liquidés conformément aux dispositions légales et réglementaires en vigueur ».

    Cette décision survient quelques heures après l’inculpation et le placement sous mandat de dépôt du leader de PASTEF Ousmane Sonko, par un juge d’instruction pour plusieurs chefs d’inculpation.

    M. Sonko, arrêté et placé en garde à vue vendredi, est poursuivi en justice pour sept chefs d’accusation, dont celui d’appel à l’insurrection.

    ‘’Appel à l’insurrection, association de malfaiteurs, atteinte à la sureté de l’État, complot contre l’autorité de l’État, actes et manœuvres à compromettre la sécurité publique et à créer des troubles politiques graves, association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, mais également vol de téléphone portable’’ figurent aussi parmi les charges retenues par le procureur de la République près le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar, Abdou Karim Diop.

    Ousmane Sonko est également poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles.

    Le parti PASTEF  été fondé en janvier 2014 par des jeunes cadres de l’administration publique sénégalaise, du secteur privé, des professions libérales, des milieux enseignants et des hommes d’affaires.

    En juin dernier, son leader a été jugé et condamné à deux ans de prison ferme dans le procès pour viol l’oppoSant à Adji Sarr, une ex-masseuse d’un salon de beauté dakarois.

    M. Sonko n’a pas comparu devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar, qui l’a reconnu coupable de ‘’corruption de la jeunesse’’.

    Jugé pour des faits de viol et de menaces de mort sur la demoiselle Adji Sarr, il a déclaré n’avoir jamais reçu une convocation de la chambre criminelle lui demandant de comparaître. La juridiction l’a démenti.

    La peine de prison requise est susceptible de l’empêcher de présenter sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024, selon ses avocats.

    De violentes manifestations ont eu lieu à Dakar et dans d’autres villes du pays après la condamnation d’Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme.

    Elles ont entraîné la mort de 16 personnes, selon le ministère de l’Intérieur. Amnesty International a fait état de 23 morts, l’opposition parlant de 29, voire 30 morts.

    MTN/ASG

  • SENEGAL-POLITIQUE / L’opposant Ousmane Sonko arrêté et auditionné par la Sûreté urbaine (Police)

    SENEGAL-POLITIQUE / L’opposant Ousmane Sonko arrêté et auditionné par la Sûreté urbaine (Police)

    Dakar, 28 juil (APS) – L’opposant Ousmane Sonko, leader de Pastef-Les patriotes, a été arrêté par la Gendarmerie nationale, vendredi après-midi à son domicile, puis auditionné par la Sûreté urbaine, un démembrement de la Police nationale, a appris l’APS d’une source policière.

    Arrêté par des gendarmes, M. Sonko « est en train d’être auditionné par la Sûreté urbaine au siège de la Brigade des affaires générales », a déclaré la même source, un haut responsable de la Police, s’exprimant sous le sceau de l’anonymat.

    Elle ne donne pas les raisons de l’arrestation de l’opposant, laquelle a été confirmée à l’APS par le député Guy Marius Sagna, membre du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, que domine Pastef-Les patriotes.

    MTN/ESF

  • SENEGAL-MAROC-MIGRATION / 235 migrants sénégalais seront rapatriés du Maroc cet après-midi

    SENEGAL-MAROC-MIGRATION / 235 migrants sénégalais seront rapatriés du Maroc cet après-midi

    Dakar, 28 juil (APS) – Les opérations terrestres de rapatriement de migrants sénégalais du Maroc se poursuivent avec le départ ce vendredi de Bir-Guindouz de 235 d’entre eux vers la localité sénégalaise de Rosso, dans la région de Saint Louis ( nord), a appris l’APS de source officielle.

    « 235 migrants sénégalais vont quitter le Maroc aujourd’hui (vendredi) dans la soirée. Ils devraient arriver à Rosso dans le nord du pays dans la nuit de vendredi à samedi », a indiqué à l’APS le ministère en charge des Sénégalais de l’extérieur.

    Une cinquantaine de migrants sénégalais rapatriés de Dakhla (Maroc) avait atterri, mercredi soir, à l’aéroport militaire de Ouakam.

    La ministre en charge des Sénégalais de l’extérieur Annette Seck Ndiaye a ramené ces migrants après avoir effectué une mission d’évaluation de la situation des candidats à l’émigration secourus en mer par la marine royale marocaine.

    Il s’agissait d’un premier groupe de migrants à regagner le Sénégal dans le cadre d’une opération d’envergure qui consiste à faire revenir au bercail quelque 478 compatriotes dont les embarcations ont échoué à Dakhla ou ont été arraisonnées par la Marine royale marocaine.

    AKS/MTN

  • AFRIQUE-POLITIQUE-REACTION / Niger : Macky Sall s’offusque du coup d’Etat contre un président démocratiquement élu

    AFRIQUE-POLITIQUE-REACTION / Niger : Macky Sall s’offusque du coup d’Etat contre un président démocratiquement élu

    Dakar, 27 juil (APS) – Le chef de l’Etat Macky Sall a condamné jeudi le coup d’Etat au Niger contre un « président démocratiquement élu », estimant que la prise de pouvoir « par la force est innaceptable ».

    « Je condamne fermement le coup d’Etat militaire au Niger contre un président démocratiquement élu. La prise de pouvoir par la force est inacceptable », a notamment déclaré le présdent sénégalais sur son compte twitter.

    Il a estimé que « la sécurité et la sûreté du président Mohamed Bazoum et de sa famille doivent être préservées et l’ordre constitutionnel restauré ».

    Des militaires nigériens se réclamant d’un Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) ont annoncé, mercredi en fin de soirée, avoir renversé le régime du président Mohamed Bazoum.

    Dans une déclaration lue à la télévision nationale par le Colonel major Amadou Abdramane, ils ont déclaré avoir décidé de « mettre fin au régime que vous connaissez » suite à ‘’la dégradation continue de la situation sécuritaire » et la ‘’mauvaise gouvernance économique et sociale ».

    Toutes les institutions issues de la 7ème République sont suspendues, tandis que les  secrétaires généraux des ministères sont chargés d’assurer les affaires courantes.

    Selon le CNSP,  « les forces de défense et de sécurité gèrent la situation ».

    Les frontières terrestres et aériennes ont été fermées jusqu’à la stabilisation de la situation et un couvre-feu instauré jusqu’à nouvel ordre, ont ils encore déclaré.

    Mohamed Bazoum a été élu le 21 février 2021 en remplacement de Mohamadou Issoufou au terme de deux mandats.

    Le Niger avait été secoué par une tentative de coup d’Etat les 30 et 31 mars 2021, laquelle n’avait pas cependant empêché le président élu d’être investi le 2 avril.

    Le pays a connu son premier putsch en 1974 avec le renversement de son premier président, Hamani Diori, par le lieutenant-colonel Seyni Kountché.

    Le 27 janvier 1996, le président Mahamane Ousmane était à son tour renversé par le colonel Ibrahim Baré Maïnassara, qui sera tué en avril 1999 dans un coup d’Etat du commandant Douada Malam Wanké.

    Elu en 1999, le président Mamadou Tandja avait été renversé le 18 février 2010.

    MTN/ASG

  • SENEGAL-TRANSPORTS / Accident de la route de Louga : Macky Sall présente ses condoléances aux familles des 23 morts

    SENEGAL-TRANSPORTS / Accident de la route de Louga : Macky Sall présente ses condoléances aux familles des 23 morts

    Dakar, 26 juil (APS) – Le président de la République a exprimé mercredi sa ‘’compassion’’ envers les familles des 23 personnes décédées dans l’accident de la route survenu mercredi près de Louga (nord) et leur a présenté ses ‘’condoléances émues’’.

    ‘’J’exprime ma compassion à la suite du terrible accident de la route [survenu] ce matin sur la RN2, à Ngeune Sarr. Je présente mes condoléances émues aux familles des 23 personnes décédées’’, a écrit Macky Sall sur Twitter.

    Il souhaite un ‘’prompt rétablissement aux blessés’’.

    L’accident a fait 23 morts et une cinquantaine de blessés, selon le préfet de Louga, Ndèye Nguénar Mbodj.

    ‘’J’appelle encore à plus de prudence sur la route’’, a ajouté le chef de l’Etat dans son tweet.

    Un bus de 72 places en provenance de Dioudé Diabé, dans la région de Saint-Louis (nord), a heurté un arbre vers 7 heures, près de la ville de Louga.

    MTN/ESF/ASG

  • SENEGAL-TRANSPORTS / Accident de la route de Louga : une délégation gouvernementale attendue dans cette région

    SENEGAL-TRANSPORTS / Accident de la route de Louga : une délégation gouvernementale attendue dans cette région

    Louga, 26 juil (APS) – Une délégation gouvernementale conduite par le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome, s’est rendue mercredi à Louga (nord), où un accident de la route a fait 23 morts, a appris l’APS d’une source officielle.

    Une cinquantaine de blessés ont été dénombrés à la suite de l’accident, selon le préfet de Louga, Ndèye Nguénar Mbodj.

    Un bus de 72 places en provenance de Dioudé Diabé, dans la région de Saint-Louis (nord), a heurté un arbre vers 7 heures, près de la ville de Louga.

    DS/MTN/ESF