Auteur/autrice : Ousmane Ibrahima Dia

  • SENEGAL-METEO / Une baisse des températures du 1er au 04 février dans plusieurs localités du pays (ANACIM)

    SENEGAL-METEO / Une baisse des températures du 1er au 04 février dans plusieurs localités du pays (ANACIM)

    Dakar, 31 jan (APS) – L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie annonce une baisse des températures durant la période du 1er au 04 février dans plusieurs localités du pays.

    ‘’Au cours de la période susmentionnée, les températures connaitront une forte baisse en journée mais surtout la nuit sur plusieurs localités du pays’’, indique l’ANACIM dans un ‘’Avis de fraîcheur’’ dont l’APS a eu connaissance.

    L’agence signale qu’au courant du week-end du 1er au 02 février, ‘’les températures diurnes varieront entre 27 et 31°C dans les régions du Nord notamment Saint-Louis, Matam et Louga tandis qu’elles avoisineront 29 à 33°C dans le Centre (Thiès, Mbour, Diourbel, Fatick et Kaolack).

    Elle ajoute que dans les autres régions, la baisse des températures sera plus modérée.

    Selon l’ANACIM, le froid sera fortement marqué au cours des nuits et en matinée.

    Elle fait état de températures nocturnes devant osciller entre 13 et 18°C dans les régions du Nord (Louga, Linguère, Saint-Louis, Podor et Matam) et du Centre (Kaffrine, Thiès Mbour, Diourbel, Fatick et Kaolack).

    L’agence annonce que sur le reste du territoire, les températures minimales varieront entre 18 et 20°C.

    À Dakar, il est prévu un temps froid, la nuit, avec des températures comprises entre 16 et 18°C, alors que les journées resteront fraîches, affichant des valeurs entre 23 et 25°C.

    OID/ASB

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / La 145e édition de l’Appel des Layènnes et la mobilisation des recettes fiscales et budgétaires à la Une

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / La 145e édition de l’Appel des Layènnes et la mobilisation des recettes fiscales et budgétaires à la Une

    Dakar, 31 jan (APS) – La 145e édition de l’Appel de Seydina Limamou Laye et les stratégies de la Direction générale des impôts et domaines pour mobiliser davantage de recettes sont au menu des quotidiens reçus, vendredi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    L’Observateur plonge ‘’dans la ferveur de Cambérène’’ à l’occasion de la 145e édition de l’Appel de Seydina Limamou Laye Al Mahdi. ‘’La vue est imprenable. Du blanc à perte de vue. Une couleur de paix, de piété et d’unicité. Dans le mausolée à Cambérène, le moment est à la communion dans la joie avec la 145 édition de l’Appel de Limamou Laye. Premier jour de ferveur, de prières et de recueillement qui a vibré, très tôt ce matin du jeudi, aux sons des incantations religieuses distillées par les mégaphones. Ici, l’air frais se hume avec douceur. Tous drapés de blanc, les fidèles layennes sont venus par milliers répondre à l’Appel. Installés sous les tentes, sur le sable fin, ils sont venus de tous les recoins du pays, entonnant avec fierté les chants à l’honneur du Mahdi. Dans un mouvement séculaire et synchronisé des bras, les Layennes n’ont eu de cesse de rappeler les recommandations de leur guide’’, écrit L’Obs.

    ‘’Résonnance éternelle, foi immaculée’’, titre Le Soleil qui note que ‘’le 145e anniversaire de l’Appel de Seydina Limamou résonne une fois de plus, offrant aux fidèles Layènes l’occasion renouvelée de répondre à la voix intemporelle du saint maître. Chaque année, cet événement est bien plus qu’une simple commémoration : il est une renaissance spirituelle, une immersion dans un héritage sacré qui défie le temps et les générations. Al-Muntazar est venu, il a lancé son appel, puis il est reparti.

    ‘’Pourtant, souligne le journal, son message demeure vivant, traversant les époques avec une pertinence qui force l’éveil des consciences. Pourquoi ? Parce qu’à chaque lecture, relecture ou simple survol de ses sermons, on a l’impression qu’ils ont été écrits pour notre époque, bien qu’il ait quitté ce monde en 1909. Ses paroles résonnent avec une force intacte, comme si elles s’adressaient directement aux défis contemporains, aux bouleversements de notre société, aux âmes en quête de lumière’’.

    La publication ajoute : ‘’Ce legs spirituel, vibrant et actuel en tout temps, trouve un éclat particulier lors de ces deux journées de prière où la ferveur atteint son apogée. D’abord à Cambérène, puis à Ngor et enfin à Yoff, les fidèles s’immergent dans leur foi, en communion avec leur Seigneur et leur Mahdi, dans une ferveur qui témoigne de la pérennité de son appel. Partout, les rues, les mosquées et les maisons se parent de l’aura de cette célébration. Les cœurs s’ouvrent, les esprits s’élèvent, et chacun revit à travers ces instants un fragment de l’histoire de Seydina Limamou Laye’’.

    Selon Sud Quotidien, ‘’les Layènnes prêchent l’unité’’. ‘’La 145éme édition de l’Appel de Seydi Limamou Laye s’est ouverte hier, jeudi 30 janvier, à Cambéréne. En présence de nombreux disciples, le coordonnateur de l’Appel, Seydina Issa Laye, a prononcé un discours unificateur. Selon lui, le métissage culturel est le socle de la cohésion sociale (…) », écrit Sud.

    Sur un tout autre sujet, le même journal signale que dans le cadre de la mobilisation de recettes fiscales et budgétaires, ‘’l’Etat est en quête de nouvelles niches’’. ‘’Le ministère des Finances et du Budget entend s’activer de manière encore plus dynamique pour améliorer la mobilisation des ressources. Sous la conduite de la Direction Générale du Budget dirigée par Abdou Diouf, un atelier de lancement de la gestion 2025 a réuni l’ensemble des acteurs de l’exécution budgétaire afin de partager les enseignements clés de la gestion 2024 et d’identifier les axes d’amélioration pour 2025’’, explique le journal.

    EnQuête met en exergue la modernisation de la Direction générale des impôts et domaines (DGID).

    ‘’La traque des délinquants fiscaux ne faiblit pas. Elle va prendre une autre dimension, avec le lancement, hier, d’une nouvelle application dénommée Asref (Application de suivi des renseignements fiscaux’’, souligne la publication.

    Elle note qu’en ‘’sus du lancement d’une nouvelle application qui va permettre non seulement d’identifier les assujettis qui passent entre les mailles des filets, mais aussi de lutter contre les sous-déclarations, la DGID est en train de préparer les avis d’imposition, à la suite du recensement des propriétés immobilières’’.

    L’Info parle de ‘’réformes audacieuses’’ du ministère des Finances. ‘’Revoir l’assiette fiscale et mettre en place des mesures d’administration rigoureuses. C’est la nouvelle option de l’administration fiscale, afin de pouvoir assurer une mobilisation maximale des recettes. Pour cela, il est préconisé d’identifier d’abord les risques, de cartographier les comportements non conformes tels que la fraude fiscale, le défaut de déclaration, les reçus de paiement irréguliers et les abus d’exonérations. Et en fonction de l’impact de ces risques, des actions préventives ou correctives seront mises en œuvre, notamment à travers une sensibilisation accrue des contribuables. Toujours dans le sens de renforcer la mobilisation des recettes fiscales, la DGID a édicté d’autres : comme le renforcement du contrôle fiscal, la promotion de la transparence fiscale ainsi que la généralisation de la facturation électronique pour sécuriser la collecte de la TVA, l’amélioration du recouvrement des échéances fiscales’’.

    Le Quotidien rapporte que pour l’année 2025, la DGID veut collecter 3014 milliards de francs Cfa, une hausse de 584 milliards par rapport à l’année dernière. ‘’Tout le monde à la caisse !’’, s’exclame Le Quotidien.

    OID/ASB

  • SENEGAL-ARABIE-PELERINAGE / La Mecque : un imam met en exergue la place de la femme dans l’éducation des enfants

    SENEGAL-ARABIE-PELERINAGE / La Mecque : un imam met en exergue la place de la femme dans l’éducation des enfants

    La Mecque, 29 jan (APS) – Cheikh Badr Al-Turki, imam de Al-Masjid Al-Haram, la grande mosquée de La Mecque, a mis en exergue, mardi, la place de la femme dans l’éducation des enfants.

    La femme représente la moitié de la communauté, a déclaré en substance l’imam, en rencontrant des pèlerins de plusieurs africains, dont le Sénégal, venus accomplir la oumra, le petit pèlerinage.

     »Elle éduque ses enfants et accompagne son époux durant toute sa vie », a-t-il rappelé.

    Aussi se doit-elle d’avoir des connaissances sur sa religion et  »savoir distinguer le vrai du faux ». Selon lui, une femme bien éduquée est la garantie d’une « génération propre et bonne ».

    Il conseille aux hommes musulmans de s’entendre avec leurs épouses et d’agir de façon convenable et de la meilleure des façons.

    Certes, la femme joue un rôle primordial dans l’éducation des enfants, mais celle-ci ne doit pas reposer sur ses seules épaules, a relevé l’imam.

    Cheikh Badr Al-Turki estime que tout homme doit aussi aider son épouse dans l’éducation de sa progéniture.

    L’imam a demandé aux pèlerins du continent africains d’être ‘’les ambassadeurs’’ de leurs pays en recommandant ‘’le bien’’ et en appelant leurs prochains ‘’vers l’islam et la vérité’’.

    Il estime que le musulman doit suivre le chemin du juste milieu. Cheikh Badr Al-Turki a ajouté qu’il doit pour cela avancer avec  »douceur » et  »quiétude » et  »s’éloigner de l’exagération ».

    L’imam a appelé à s’inspirer du Prophète Mouhamad qui, selon lui,  »s’intéressait aux conditions de ses prochains ».

    Dix-neuf Sénégalais font partie cette année des pèlerins invités par le ministère saoudien des Affaires religieuses à accomplir le petit pèlerinage.

    Après s’être recueillis sur la tombe du Prophète à Médine dimanche dernier, ils ont accompli la oumra dans la nuit de lundi à mardi.

    Le ministère saoudien des Affaires religieuses a mis en place un programme permettant chaque année à 3000 musulmans de divers pays de se rendre aux lieux saints de l’islam.

    A Médine, les 19 Sénégalais et les pèlerins des autres pays ont pu visiter la mosquée Quba, le mont Uhud, site célèbre contre les infidèles, l’imprimerie du Coran, entre autres.

    ASG/OID/SBS/AB

     

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la ruée des candidats à l’émigration devant les tribunaux et les BAOS

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la ruée des candidats à l’émigration devant les tribunaux et les BAOS

    Dakar, 28 jan (APS) – Les images de jeunes devant les tribunaux et les Bureaux d’accueil, d’orientation et de suivi (BAOS) espérant rallier l’Espagne dans le cadre de la migration circulaire sont largement commentées par les quotidiens reçus, mardi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    ‘’Les images du désespoir’’, titre EnQuête, qui écrit : ‘’Cela a fait le tour de la toile depuis la fin de la semaine dernière. Des hordes de jeunes qui prennent d’assaut les tribunaux et bureaux d’accueil, d’orientation et de suivi (BAOS) à la quête du sésame pour une hypothétique place dans la cohorte de jeunes devant rallier l’Espagne en tant que travailleurs saisonniers’’.

    Le journal note qu’après l’appel à candidatures lancé par le ministère chargé des Sénégalais de l’extérieur pour le recrutement de 250 ouvriers agricoles, ‘’des milliers de jeunes se sont rués vers les tribunaux et bureaux d’accueil, d’orientation et de suivi (BAOS) pour déposer leurs candidatures. Tous, diplômés comme non-diplômés, n’ont qu’un seul rêve : regagner l’Espagne, quels que soient le moyen et le boulot’’.

    ‘’La jeunesse à l’appel des champs du désespoir’’, dit L’Observateur. ‘’L’occasion semble être saisie par beaucoup de Sénégalais. Le programme pilote de +migration circulaire+ offre des opportunités d’emplois saisonniers dans le secteur agricole en Espagne. Des milliers de jeunes ont pris ainsi d’assaut les tribunaux pour obtenir des casiers judiciaires afin de compléter leur dossier dans l’espoir d’être sélectionnés parmi les 250 ouvriers agricoles en Espagne’’, écrit L’Obs.

    ‘’L’énergie du désespoir !’’, s’exclame Le Quotidien. ‘’Dans les 14 régions du pays, des centaines voire des milliers de jeunes, qui espèrent des perspectives réjouissantes en Espagne, ont envahi les Baos et les palais de justice pour déposer leur dossier de candidature ou chercher un casier judiciaire. De Kolda à Ziguinchor, en passant par la banlieue dakaroise, les candidats à cette émigration circulaire entre le Sénégal et l’Espagne espèrent provoquer la chance loin de leur pays’’, constate la publication.

    Les Echos aussi note que ‘’depuis l’annonce de la migration circulaire vers l’Espagne, les Bureaux d’accueil, d’orientation et de suivi (Baos) sont pris d’assaut par les candidats’’. ‘’Les jeunes sont prêts à tout pour déposer leur dossier. Des scènes de bousculades et de tensions ont été enregistrées dans certains Baos. Parmi les candidats destinés à être des ouvriers agricoles en Espagne, des femmes et même des étudiants’’, souligne le journal.

    L’Info relève que cette ruée vers la migration circulaire a entrainé des ‘’critiques acerbes contre le régime’’. Selon Boubacar Sèye, de l’ONG Horizons sans frontière, qui s’occupe de questions migratoires, ‘’Ce qui se passe, c’est une honte pour le Sénégal et pour toute l’Afrique. Ces images nous interpellent tous. Ce sont des images qui ne sont pas bonnes pour le Sénégal’’.

    Dans le journal, le député de l’opposition, Abdou Mbow, estime que ‘’la fuite des jeunes vers l’Espagne sonne comme un aveu d’échec et surtout d’impuissance’’.

    Selon le quotidien L’As, l’envoi de travailleurs en Espagne et au Qatar dans le cadre de la migration circulaire ‘’est en déphasage avec la nouvelle dynamique de souveraineté prônée par les nouvelles autorités’’.

    ‘’Le Sénégal semble entrer dans une nouvelle ère avec l’avènement du nouveau régime incarné par le tandem Diomaye-Sonko qui donne une nouvelle impulsion à la souveraineté du pays. Mais entre ce désir de s’affranchir du joug occidental et les accords signés entre l’Espagne et le Qatar dans le but d’envoyer des travailleurs dans ces deux pays, le manque d’harmonie est manifeste’’, écrit le journal qui affiche à la Une : ‘’ci-git le souverainisme’’.

    OID/AB

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / L’œuvre politique de Mamadou Dia et la crise au PUR au menu des quotidiens

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / L’œuvre politique de Mamadou Dia et la crise au PUR au menu des quotidiens

    Dakar, 27 jan (APS) – L’œuvre politique et la vision de Mamadou Dia, l’ancien président du Conseil, et la crise au Parti de l’unité et du rassemblement  (PUR) sont entre autres sujets au menu des quotidiens reçus à l’APS, lundi.

    Le journal Le Soleil rapporte que le lancement des Grandes conférences de la Maison de la Culture Douta Seck  »a été l’occasion pour célébrer le 16e anniversaire de la disparition de l’ancien président du Conseil (1958-1962) ».

    Il souligne que lors de cette rencontre qui s’est tenue, samedi,  »les différents panélistes sont largement revenus sur l’importance de préserver la mémoire de l’ancien président du Conseil Mamadou Dia dont l’œuvre politique et la vision peuvent constituer une source d’inspiration pour la nouvelle génération ».

    Ainsi ont-ils abordé  »son programme politique autour du socialisme autogestionnaire, ses projets de modernisation de l’économie sénégalaise et son legs politique », rapporte la publication.

    Le parcours politique et la vision de développement de Dia ainsi que son emprisonnement  »ont été condensés par des panelistes », note L’As, relevant qu’il  »s’agit de revisiter l’œuvre de l’homme et tirer des leçons de son projet de développement et les œuvres qu’il a produites ».

     »(…) Pour les jeunes, la réflexion va permettre de s’interroger sur les similitudes entre le plan de développement de Mamadou Dia et le projet panafricain de Pastef. D’autant que les tenants du pouvoir se réclament de la vision de développement de l’homme », écrit le journal.

    Selon Le Quotidien, l’ancienne Première ministre Aminata Touré  »demande que l’héritage de Mamadou Dia soit vulgarisé à travers l’enseignement de sa pensée dans les écoles ».

    En politique toujours, Sud Quotidien se fait l’écho de la  »crise interne » au Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), une formation de l’opposition.

     »Les Secrétaires généraux de fédération (SGF) et Secrétaires nationaux (SN) du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) réclament la tête de Cheikh Tidiane Youm, le Secrétaire général du parti de Serigne Moustapha Sy. En effet, ces cadres du PUR, au sortir d’une rencontre tenue, samedi 25 janvier, au siège du parti, ont fait face à la presse pour +définir les bases d’une nouvelle organisation politique plus solide et plus adéquate+ mais surtout déclarer +indésirable+ le Secrétaire général au sein du parti », rapporte Sud qui affiche à la Une :  »Cheikh Tidiane Youm sur siège éjectable ».

    Vox Populi parle de  »vent de rébellion au PUR » et signale que  »la tête de Cheikh Tidiane Youm est réclamée ».

    EnQuête s’intéresse à la question de la rémunération des ministres et Directeurs généraux et titre : Les incongruités du système ».

     »Alors même qu’ils sont censés être les patrons des directeurs généraux, les ministres gagnent moins que les directeurs des structures relevant de la catégorie 1 et se retrouvent parfois à la merci des DAGE pour faire face aux fins du mois difficiles et aux nombreuses sollicitations », écrit le journal.

    OID/MK

  • MAROC-AFRIQUE-MEDIAS / La MAP a signé des accords de coopération avec plusieurs agences de presse dont l’APS

    MAROC-AFRIQUE-MEDIAS / La MAP a signé des accords de coopération avec plusieurs agences de presse dont l’APS

    Dakar, 25, jan (APS) – Neuf accords bilatéraux de coopération et de partenariat ont été signés, à Salé (Maroc), entre des agences membres de la Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaines (FAAPA), rapporte l’Agence marocaine de presse (MAP).

    Ces accords ont été paraphés à l’occasion de la 8ème Assemblée générale de la Fédération.

    Ainsi, l’Agence Maghreb Arabe Presse (MAP) a signé huit accords de coopération avec, respectivement, l’Agence d’information du Burkina (AIB), l’Agence gabonaise de presse (AGP), l’Agence ghanéenne de presse (GNA), l’Agence libérienne de presse (LINA), l’Agence malienne de presse et de publicité (AMAP), l’Agence de presse de Sao Tomé-et-Principe (STP-Press), l’Agence de presse sénégalaise (APS) et l’Agence sierra-léonaise de presse (SLENA).

    Ces accords visent, entre autres, à « donner un nouvel élan à la coopération entre la MAP et les huit agences signataires et à consolider leurs relations professionnelles, à travers notamment l’échange d’expériences, d’expertises, de formations, de visites et de services rédactionnels (bulletins d’information, photos, audio, vidéo et infographie) », selon la même source.

    La 8e Assemblée générale de la FAAPA a pris fin, vendredi. Elle était placée sous le thème “Les agences de presse africaines, levier de promotion de la souveraineté sanitaire du continent”.

     

     

    OID

  • SENEGAL-MEDIAS-NUMERIQUE-REGULATION / Une nouvelle Autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies en gestation

    SENEGAL-MEDIAS-NUMERIQUE-REGULATION / Une nouvelle Autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies en gestation

    Dakar, 24 jan (APS) – Le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique et le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ont organisé, vendredi, un atelier de partage de l’avant-projet de loi portant création d’une nouvelle autorité indépendante de régulation des médias aux compétences plus élargies.

    La cérémonie d’ouverture de cette rencontre tenue au Building administratif a été présidée par le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Aliou Sall, et le président du CNRA, Mamadou Oumar Ndiaye.

    Les représentants de la présidence de la République, de la Primature, du Secrétariat général du gouvernement, des ministères de la Justice, de l’Intérieur, des organisations de journalistes et le patronat de la presse, entre autres, ont pris part à la rencontre.

    La future autorité administrative indépendante va intégrer tous les types de supports d’informations et de productions, physiques et numériques, diffusant des contenus destinés au grand public.

    Selon le ministre la Communication, ‘’l’objectif principal est de parvenir à un consensus sur les orientations majeures d’une législation qui intègre tous les supports de diffusion, qu’ils soient physiques ou numériques, tout en garantissant des contenus de qualité respectueux des normes éthiques et du droit à l’information’’.

    Aliou Sall a estimé qu’en l’absence d’une régulation efficace, ‘’les plateformes numériques, les réseaux sociaux et l’intelligence artificielle peuvent aussi être sources de menaces sérieuses en raison notamment de la prolifération des discours de haine, de défiance, de désinformation, de manipulation et de déstabilisation sociale, politique et économique, nuisibles à tous’’.

    Pour sa part, le président du CNRA, Mamadou Oumar Ndiaye, a salué ‘’l’idée d’élargir les compétences de la future instance de régulation aux plateformes numériques mais aussi à la presse écrite et en ligne’’, soulignant qu’aucun média, ‘’y compris les plateformes numériques, ne devrait échapper à la régulation’’.

    Selon les termes de référence de l’atelier, ‘’le paysage médiatique sénégalais est caractérisé par la pluralité et la diversité des supports de communication allant de la presse écrite aux médias en ligne, en passant par les télévisions publiques et privées, les radios privées commerciales et communautaires’’.

    Le document note que ‘’le développement rapide du secteur et les mutations technologiques qui l’accompagnent ont facilité l’accès rapide et abondant aux services audiovisuels à la demande, et favorisé la diffusion et la réception instantanées des contenus médiatiques grâce notamment aux médias en ligne’’.

    Toutefois, relève la même source, ‘’l’explosion des médias numériques et des émissions radio et télé, ainsi que la multiplication et la diversification des organes de presse écrite, bien que contribuant à la démocratisation de l’accès à l’information, s’accompagnent parfois de dérapages et participent à véhiculer des informations trompeuses, surtout pendant des périodes sensibles’’.

    Elle estime qu’une ‘’mauvaise utilisation des médias numériques ou classiques peut ainsi être source de désinformation et de propagation de contenus haineux, qui alimentent les conflits, et menacent la cohésion sociale’’.

    Si le Sénégal dispose d’une série de lois sur le secteur des médias, elles ne s’appliquent que sur des domaines spécifiques concernant les entreprises de presse, les professions ou les contenus médiatiques.

    Créé en 2006, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) ne prend pas en compte l’ensemble des supports médiatiques. Et la Haute autorité de régulation de la communication audiovisuelle (HARCA), créée sur la base du Code de la presse, en remplacement du CNRA, a également montré ses limites avant qu’elle ne prenne réellement forme.

    Tenant donc compte de l’évolution du secteur et de la nécessité d’encadrer efficacement la production et la diffusion des contenus médiatiques dans un contexte marqué par la prééminence du numérique, les pouvoirs publics ont initié un projet de loi relatif à la création d’une nouvelle autorité administrative indépendante de régulation des médias et du numérique.

    Il s’agira de ‘’consolider l’avant-projet de loi sur la HARCA en intégrant tous les types de supports d’information et de productions, physiques et numériques, diffusant des contenus destinés au grand public’’.

    La rencontre de ce vendredi marque le lancement d’un processus devant aboutir à la rédaction d’un texte final, qui sera soumis au gouvernement puis à l’Assemblée nationale.

    OID/ABB/ASB/SKS

  •  SENEGAL-METEO / Alerte à un vent fort sur toute la côte sénégalaise

     SENEGAL-METEO / Alerte à un vent fort sur toute la côte sénégalaise

    Dakar, 24 jan (APS) – L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météo (ANACIM) a lancé une alerte au sujet d’un vent fort sur toute la côte sénégalaise pour la période allant de jeudi à partir de 12h jusqu’à 15h vendredi.

    Dans un bulletin spécial transmis à l’APS, l’agence indique qu’un vent momentané fort de secteur nord pouvant atteindre ou dépasser 40km/h « est prévu sur toute la côte à partir de ce jeudi (…) à 12h au vendredi (…) à 15h ».

    OID/BK

  • SENEGAL-AFRIQUE-MEDIAS-DISTINCTION / Le reporter photographe Abdou Khadre Dieylani Seydi de l’APS a reçu le Grand Prix photo 2023-2024 de la FAAPA

    SENEGAL-AFRIQUE-MEDIAS-DISTINCTION / Le reporter photographe Abdou Khadre Dieylani Seydi de l’APS a reçu le Grand Prix photo 2023-2024 de la FAAPA

    Dakar, 23 jan (APS) – Le reporter photographe Abdou Khadre Dieylani Seydi, de l’Agence de presse sénégalaise (APS), a reçu, jeudi, à Salé (Maroc), le Grand Prix photo 2023-2024 de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (FAAPA).

    Il a reçu cette distinction en marge de la 8ème Assemblée générale de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (FAAPA) qui s’est ouverte mercredi à Salé (Maroc) sur le thème ‘’Les Agences de presse africaines, levier de promotion de la souveraineté sanitaire du continent’’.

    Le directeur de l’Agence de presse sénégalaise (APS), Momar Diong, était présent.

    La photo présentée par Abdou Khadre Dieylani Seydi au concours de la FAAPA pose la problématique de l’érosion côtière à Mbao, une commune située dans la région de Dakar.

     »À Mbao, une commune côtière (…), l’urgente gravité du changement climatique rythme le quotidien des populations confrontées à l’avancée de la mer, avec des conséquences plus que visibles sur la dégradation de leur cadre de vie », a écrit Seydi en guise de légende de la photo récompensée par le jury.

    La MAP, Maghreb Arabe Presse, l’agence officielle de presse marocaine, a remporté le Grand Prix reportage de la FAAPA.

    L’AIP, l’Agence ivoirienne de presse, s’est adjugée le Grand Prix vidéo du concours.

    Abdou Khadre Dieylani Seydi avait remporté le Grand Prix photo 2020-2021 de la FAAPA. Deux journalistes de l’APS, Mohamed Tidiane Ndiaye et Abdoulaye Diallo, sont également lauréats du Grand Prix reportage de la FAAPA, respectivement en 2018 et 2023.

    Créée en 2014 à Casablanca, la Fédération atlantique des agences de presse africaines réfléchit à l’avenir des agences de presse d’Afrique et à l’accomplissement de leurs missions, en tenant compte des profondes mutations et de la diversité du paysage médiatique africain.

     

    OID/SBS/AB

  • SENEGAL-GHANA-VISITE / Le président ghanéen John Dramani Mahama attendu à Dakar cet après-midi

    SENEGAL-GHANA-VISITE / Le président ghanéen John Dramani Mahama attendu à Dakar cet après-midi

    Dakar, 17 jan (APS) – Le président ghanéen John Dramani Mahama, effectue, ce vendredi, dans l’après-midi, une visite de courtoisie au Sénégal, a-t-on appris auprès de la présidence sénégalaise.

    ‘’Le président de la République du Ghana nouvellement élu, Son Excellence John Dramani Mahama, effectuera, ce vendredi 17 janvier 2025 dans l’après-midi, une visite de courtoisie à son homologue le Président de la République du Sénégal, Son Excellence Bassirou Diomaye Faye’’, indique un communiqué transmis à l’APS.

    La même source ajoute que ‘’cette visite, la première depuis sa prise de fonction, traduit l’excellente qualité des relations entre nos deux pays et la volonté commune de raffermir la coopération dans des domaines d’intérêt mutuel’’.

    Le président Bassirou Diomaye Faye a participé, le 6 janvier, à  Accra, à l’investiture du nouveau chef de l’Etat ghanéen, John Dramani Mahama.

    Jon Dramani Mahama à remporté l’élection présidentielle ghanéenne du 7 décembre dernier avec de 56 % des suffrages devant le candidat du pouvoir, le vice-président sortant, Mahamudu Bawumia.

    Le chef de l’Etat sortant Nana Akufo-Ado n’était pas candidat après avoir effectué deux mandats à la tête de ce pays d’Afrique de l’ouest. 

    OID/ABB