Auteur/autrice : Ousmane Ibrahima Dia

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la large avance prise par Bassirou Diomaye Faye au 1er tour de la présidentielle

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / A la Une, la large avance prise par Bassirou Diomaye Faye au 1er tour de la présidentielle

    Dakar, 25 mars (APS) – Les quotidiens reçus, lundi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS), commentent largement les premières tendances de l’élection présidentielle largement favorables au candidat de l’ex parti Pastef, Bassirou Diomaye Faye.

    Au total 7 371 890 électeurs sénégalais étaient appelés aux urnes, dimanche, pour élire le successeur de Macky Sall.

    Dix-neuf candidats dont une femme étaient en lice pour ce scrutin qui s’est déroulé ‘’sans anicroches’’, selon Le Soleil.

    ‘’Un vote, une lecture. Une lecture simple : une victoire de Bassirou Diomaye Faye se dessine. Ainsi se définit le scrutin présidentiel de ce dimanche, 24 mars 2024. Le candidat Bassirou Diomaye Faye est arrivé largement en tête d’un scrutin qui l’a mis aux prises avec Amadou Ba, candidat de Benno Bokk Yakaar, principalement’’, souligne Le Quotidien.

    ‘’Diomaye, la surprise du chef !’’, s’exclame Sud Quotidien qui écrit : ‘’Les tendances lourdes des résultats provisoires du scrutin d’hier placent le lieutenant d’Ousmane Sonko largement en tête dans les bureaux de vote à Dakar et dans la majorité des villes du pays. Amadou Ba, le candidat de la majorité présidentielle, arrive en deuxième position des suffrages valablement exprimés’’.

    L’As aussi note que les tendances sont ‘’favorables’’ à Bassirou Diomaye Faye. ‘’Les urnes ont parlé. Les premiers résultats de la diaspora en particulier et des régions représentatives montrent que Diomaye Faye est largement en tête de la présidentielle tenue hier’’, écrit le journal.

    Après les premières tendances issues de l’élection présidentielle, ‘’des candidats abdiquent devant Diomaye’’, affiche à la Une Libération, soulignant que Khalifa Sall, Déthié Fall, Mame Boye Diao, Anta Babacar Ngom, Mamadou Lamine Diallo, Daouda Ndiaye, Pape Djibril Fall, Aly Ngouille Ndiaye, Thierno Alassane Sall, Malick Gackou, ont accepté la victoire de Bassirou Diomaye Faye.

    ‘’Diomaye Faye en route vers le Palais’’, selon L’Info, saluant ‘’une forte mobilisation des électeurs, qui ont voté dans le calme, malgré quelques couacs et heurts’’. Le journal relève ‘’le raz de marée de la coalition ‘’Diomaye Président’’ a emporté toutes les grandes communes du pays en dehors de celles du Fouta et de Fatick’’.

     Selon les premières tendances, ‘’Bassirou Diomaye Faye, 5ème président’’ du Sénégal, titre le quotidien Les Echos non sans relever que la coalition Benno Bokk Yakaar ‘’conteste une victoire de Diomaye au 1er tour’’. Son candidat Amadou Ba dit attendre ‘’les remontées et promet de se prononcer aujourd’hui  à midi au plus tard’’.

    ‘’Victoire au premier tour de Diomaye le jour de son anniversaire’’, relève WalfQuotidien qui affiche à la Une : ‘’Happy birthday Mister president’’. ‘’ Agé de 44 ans, Bassirou Diomaye Faye, qui fête aujourd’hui son anniversaire, devient le plus jeune président de la République et le cinquième chef de l’Etat du Sénégal’’, écrit Walf.

    Selon le journal, ‘’les premières tendances donnent une large victoire à  Bassirou Diomaye Faye. Il devance largement ses adversaires dans plusieurs localités, notamment dans les zones à enjeu, tels que Dakar, Thiès, Saint-Louis et Ziguinchor, faisant mordre la poussière à ses rivaux dans leur fief respectif’’.

    Bës Bi note que ‘’les lourdes tendances donnent Diomaye vainqueur au 1er tour’’. ‘’Un nouveau souffle, une nouvelle équipe. C’est le message sorti des urnes ce 24 mars et qui pourrait se confirmer dès ce lundi. Le successeur de Macky Sall s’appelle donc Bassirou Diomaye Faye, qui a pris une avance énorme de plus de 55%, d’après les premières tendances des statisticiens de la Rfm. Amadou Ba arriverait derrière lui avec plus de 30%’’, écrit le journal.

    OID/AB

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les bureaux ont commencé à fermer

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les bureaux ont commencé à fermer

    Dakar, 24 mars (APS) – Les bureaux de vote ont commencé à fermer partout au Sénégal où 7 371 890 électeurs étaient appelés aux urnes ce dimanche pour l’élection du 5ème président de la République.

    Dix-neuf candidats dont une femme étaient en lice pour le scrutin.

    Les électeurs se sont rendus aux urnes en masse pour l’ultime étape d’un processus électoral dont la mise en œuvre au forceps a éprouvé comme jamais les fondements institutionnels du pays.

    Au total 7 371 890 électeurs étaient appelés aux urnes pour élire le successeur de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans et qui ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Chacun des candidats a accompli son devoir civique dans son centre de vote à l’exception de Mahamad Boune Abdallah Dionne qui n’a pas pu le faire pour des raisons de santé.

    Le scrutin s’est déroulé sous la supervision de plus de près de 2500 observateurs nationaux et internationaux.

    OID/AKS

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Dakar : un taux de participation estimé à 45% à 14h

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Dakar : un taux de participation estimé à 45% à 14h

    Dakar,  24 mars (APS) – Le taux de participation au scrutin présidentiel de ce dimanche s’élevait à 45% à 14 heures dans la région de Dakar, selon le gouverneur cité par plusieurs médias.

     »Le scrutin a commencé depuis 8 heures. Les problèmes sont minimes et négligeables pour une si grande élection. Jusqu’ici il n’y a pas d’incident majeur. À 14 heures le taux de participation était bon. Car les gens étaient venus très tôt dans les bureaux de vote. Le taux était estimé à 45% à 14 heures’’, a indiqué Al Hassan Sall à la RFM.

    Plus de 7 millions d’électeurs sénégalais se rendent aux urnes ce dimanche pour élire un président de la République.

    Dix-neuf  candidats sont en lice pour ce scrutin. Deux parmi ceux retenus par le Conseil constitutionnel ont annoncé leur retrait de la course au profit du candidat Bassirou Diomaye Faye.

    Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans, ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties ayant abouti à la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale.

    OID/AKS

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Keur-Massar : déroulement normal du vote à l’école de l’unité 11 des Parcelles Assainies

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Keur-Massar : déroulement normal du vote à l’école de l’unité 11 des Parcelles Assainies

    Keur-Massar, 24 mars (APS) – Le vote se déroule sans incident à l’école élémentaire de l’Unité 11 des Parcelles Assainies, a constaté l’APS.

    Ce centre compte 14 bureaux de vote.

    KM/OID/ADL/ASG

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Mour Diop

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Mour Diop

    Dakar, 24 mars (APS) – Le vote a démarré à 8h à l’école Mour Diop de la Médina pour l’élection du cinquième président de la République.

    Toutes les dispositions sont prises pour assurer le bon déroulement du scrutin dans ce centre qui totalise 27 bureaux de vote.

    Les représentants de la préfecture de Dakar, de la Commission électorale nationale autonome (CENA) et des observateurs de l’Union européenne (UE) ont effectué un tour sur place pour s’enquérir du déroulement des opérations de vote.

    Des électeurs ont confié avoir du mal à retrouver leur bureau de vote.

    Les Sénégalais se rendent aux urnes ce dimanche pour élire un nouveau président de la République, ultime étape d’un processus électoral dont la mise en œuvre au forceps a éprouvé comme jamais les fondements institutionnels du pays.

    Au total, 7 371 890 électeurs sont appelés aux urnes pour élire le successeur de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans et qui ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Dix-neuf candidats dont une femme sont en lice pour le scrutin.

    AMN/OID/AKS

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Démarrage effectif du vote au centre Grand Yoff 2

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Démarrage effectif du vote au centre Grand Yoff 2

    Dakar, 24 mars (APS) – Le vote a démarré à 8h 02 mn au centre de vote Grand Yoff 2 communément appelé ‘’Ecole marché’’ pour l’élection du cinquième président de la République du Sénégal, a constaté l’APS.

    Le premier électeur du bureau n° 1 a introduit son enveloppe dans l’urne à 8h 7 mn.

    Peu après 7 heures déjà, les présidents des bureaux vote s’affairaient à la mise en place du matériel, des bulletins selon l’ordre de passage et l’affichage de la liste des candidats et un extrait du code électoral devant chaque bureau.

    Les électeurs étaient dans l’enceinte du centre très tôt. Les forces de l’ordre sont positionnées à l’entrée et à l’intérieur du lieu de vote.

    La presse étrangère est présente pour les besoins de la couverture.

    Seuls quatre mandataires étaient dans le bureau N°1 dans le bureau ainsi que des membres de la Céda et de l’administration.

    Le candidat Khalifa Ababacar Sall va accomplir son devoir civique à 11 heures dans ce centre qui totalise 13 bureaux de vote.

    FD/OID

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Alassane Ndiaye Allou

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Alassane Ndiaye Allou

    Dakar, 24 mars (APS) – Le vote a démarré, à 8h, à l’école Alassane Ndiaye Allou de La Médina, a constaté l’APS.

    Toutes les dispositions ont été prises pour un bon déroulement de ce scrutin présidentiel.

    De nombreux électeurs en majorité des personnes âgées ont investi tôt le matin ce centre qui compte 17 bureaux de vote.

    AMN/OID

  • SENEGAL-ELECTION / Présidentielle : ouverture des bureaux de vote

    SENEGAL-ELECTION / Présidentielle : ouverture des bureaux de vote

    Dakar, 24 mars (APS) – Les bureaux de vote ont officiellement ouvert leurs portes dimanche à 8 heures pour permettre aux 7 371 890  électeurs sénégalais d’élire leur 5ème président de la République.

    Dix-neuf  candidats sont en lice pour ce scrutin. Deux parmi ceux retenus par le Conseil constitutionnel ont annoncé leur retrait de la course au profit du candidat Bassirou Diomaye Faye.

    Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans, ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties ayant abouti à la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale

    OID

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les Sénégalais aux urnes, épilogue d’un processus électoral mené au forceps

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les Sénégalais aux urnes, épilogue d’un processus électoral mené au forceps

    Dakar, 23 mars (APS) – Les Sénégalais se rendent aux urnes ce dimanche pour élire un nouveau président de la République, ultime étape d’un processus électoral dont la mise en œuvre au forceps a éprouvé comme jamais les fondements institutionnels du pays.

    Les 7 371 890 électeurs sont appelés aux urnes pour élire le successeur de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans et qui ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Dix-neuf  candidats sont en lice pour ce scrutin. Deux parmi ceux retenus par le Conseil constitutionnel ont annoncé leur retrait de la course au profit du candidat Bassirou Diomaye Faye.

    Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties ayant abouti à la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale.

    La limitation de la durée de la campagne électorale est l’une des conséquences des perturbations du processus électoral, un temps interrompu par l’annonce, le 3 février dernier, de l’abrogation du décret portant convocation du collège électoral.

    Cette décision du chef de l’Etat est intervenue à quelques heures de l’ouverture officielle de la campagne électorale pour l’élection présidentielle alors prévue le 25 février.

    Il s’en est suivi une crise politico-institutionnelle dont le point final a été le rejet par la Cour suprême des recours en annulation des décrets portant sur la tenue du scrutin le 24 mars.

    Le recours rejeté le 15 mars par la plus haute juridiction du pays à l’issue d’une audience publique, était introduit par des candidats recalés et des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS), dont la candidature du leader, Karim Meissa Wade, avait été rejeté par le Conseil constitutionnel.

    La décision de la Cour suprême a levé tout doute sur la tenue d’un scrutin marqué en amont par des incertitudes jusqu’à la fixation, au 24 mars, de la date définitive de l’élection par le président de la République.

    Motivant sa décision de geler la convocation des électeurs pour le 25 février, le chef de l’Etat avait invoqué, lors d’une adresse à la nation, des divergences entre l’Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel sur fond de soupçons de corruption à l’encontre de juges parmi ceux qui avaient contrôlé la régularité des dossiers de candidature à l’élection présidentielle.

    Ces accusations ont été portées par le Parti démocratique sénégalais qui avait demandé et obtenu la création d’une commission d’enquête parlementaire pour enquêter sur cette affaire.

    Le Conseil constitutionnel constate l’impossibilité de tenir le scrutin le 25 février

    L’un des points culminants de cette crise politique a été sans doute le vote par les députés d’une loi constitutionnelle fixant au 15 décembre la tenue de la présidentielle, deux jours après l’interruption de facto du processus électoral.

    Le Conseil constitutionnel, saisi par des députés opposés à ce report, a rejeté cette loi constitutionnelle et annulé le décret pris le 3 février par le chef de l’Etat pour renoncer à la convocation du collège électoral.

    Dans sa décision rendue le 15 février, le Conseil constitutionnel avait invité l’autorité compétente, notamment l’exécutif incarné par le chef de l’Etat, à organiser l’élection présidentielle ‘’dans les meilleurs délais’’, après avoir constaté l’impossibilité de la tenir à la date initialement prévue, le 25 février.

    Réagissant à ce développement, le président Macky Sall, dans un communiqué rendu public le lendemain, s’était engagé à ‘’pleinement appliquer’’ la décision de la haute juridiction.

    Le Conseil constitutionnel s’est de nouveau illustré le 6 mars, en jugeant ‘’contraire à la Constitution’’ la tenue de l’élection présidentielle au-delà du 2 avril, ce qui sous-entend que le président sortant ne peut pas rester en fonction au-delà du 2 avril.

    Cette décision faisait suite à une saisine du chef de l’Etat pour avis sur les conclusions du dialogue national organisé le 26 et le 27 février, à l’initiative du président de Macky Sall, afin de trouver les voies et moyens de permettre au pays de surmonter la crise politique qu’elle traversait.

    Les sept ‘’sages’’ se rallient au chef de l’Etat pour la tenue du scrutin le 24 mars

    Les participants à cette concertation, boycottée par seize des dix-neuf candidats à l’élection présidentielle et de nombreuses franges de la société civile, avaient notamment recommandé la tenue au 2 juin du scrutin et la possibilité pour le président sortant de rester au pouvoir jusqu’à l’installation de son successeur.

    Le Conseil constitutionnel a également maintenu la liste des 19 candidats déjà retenus pour participer à l’élection présidentielle, en considérant que l’existence d’un consensus issu d’un dialogue postérieur à la décision arrêtant la liste définitive des candidats, ne fait pas partie des causes de modification de cette liste, limitativement énumérées par les articles 29, alinéa 2, et 34, alinéa premier de la Constitution.

    Dans la foulée, la haute juridiction en matière électorale, a répondu favorablement à une requête introduite par des candidats et fixé la date du 31 mars, en considérant la carence de l’autorité chargée de prendre une telle décision.

    La juridiction se rangera le lendemain derrière la décision du chef de l’Etat contenue dans un décret convoquant le corps électoral le 24 mars, ouvrant la voie à la tenue du scrutin.

    Entre temps, les réactions de désapprobation et les manifestations qui s’en sont suivies ont provoqué le décès de quatre personnes à Dakar, Saint-Louis et Ziguinchor.

    Ces personnes ont péri dans des échauffourées entre des manifestants opposés aux report de l’élection et les forces de défense et de sécurité.

    Ces violences ont été suivies d’un vent de décrispation avec la sortie de prison de centaines d’activistes et militants détenus pour des activités en lien avec leur engagement politique.

    Cette initiative d’apaisement et de réconciliation a été matérialisée quelques jours plus tard par un vote à l’Assemblée nationale d’un projet de loi d’amnistie portant sur les faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le pays entre février 2021 et février 2024.

    La promulgation de cette loi a débouché sur l’élargissement de prison d’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye, les deux principaux responsables du Parti africain du Sénégal pour le travail l’éthique et la fraternité (Pastef), une formation politique dissoute.

    Cette sortie de prison, six jours après l’ouverture de la campagne électorale, a donné au candidat Bassirou Diomaye Faye l’opportunité de rejoindre la course aux suffrages pour l’élection du prochain locataire du palais de la République.

    AKS/BK/OID

  • SENEGAL-GABON-FOOT-REACTION / Boulaye Dia évoque « la grosse concurrence » en sélection

    SENEGAL-GABON-FOOT-REACTION / Boulaye Dia évoque « la grosse concurrence » en sélection

    De l’envoyée spéciale de l’APS : Fatima Dieng

    Amiens (France), 23 mars (APS) – L’attaquant sénégalais Boulaye Dia, en difficulté dans son club de la Salernitana (Italie), se dit conscient des efforts à faire pour rester dans le groupe de la sélection nationale où la concurrence est rude.

     »Je pense qu’il faut s’imposer parce qu’on a une grosse concurrence », et pas seulement en attaque, a-t-il confié à l’APS, à l’issue de la victoire du Sénégal aux dépens du Gabon, pour le compte d’une rencontre amicale internationale jouée vendredi au stade de La Licorne, à Amiens, en France.

    « Il faut rester dans la sélection et faire nos matchs. On est le Sénégal et on reste l’une des meilleures équipes d’Afrique », a indiqué Boulaye Dia, en conflit ouvert avec son club depuis le début de la saison et écarté du groupe.

    L’ancien joueur de Villarreal (Espagne), qui n’a plus joué avec son club depuis le 24 février dernier, a profité de la rencontre face au Gabon pour retrouver le terrain.

    Entré à la 64ème minute, il est impliqué sur le 3ème but sénégalais, inscrit par Sadio Mané (90+3). 

    L’attaquant Boulaye Dia, comme les autres cadres de la Tanière des Lions, s’est lui aussi réjoui de la prestation des jeunes convoqués pour la première fois avec la sélection A.

     »Ils ont beaucoup de talent, et cela s’est confirmé aujourd’hui, vu leur belle prestation […] C’est un maillot qui est lourd mais c’est avec beaucoup de plaisir et d’enthousiasme qu’on le porte pour défendre la nation. Ils ont montré qu’ils avaient de la qualité », a-t-il dit.

    L’équipe nationale du Sénégal a dominé le Gabon sur le score de trois buts à zéro, lors de cette rencontre amicale internationale.

    Le premier but sénégalais a été marqué contre son camp par le défenseur gabonais Appindagoye Aaron à la 12e mn de jeu.

    Le latéral Mikayil Ngor Faye du Barça B (Espagne), titularisé pour la première fois en équipe nationale, a doublé la mise, un peu avant la mi-temps, sur une frappe d’une trentaine de mètre.

    Le troisième but sénégalais est l’œuvre de Sadio Mané dans les ultimes minutes de la rencontre, la star sénégalaise parachevant ainsi la domination sénégalaise.

    FDS/OID/BK