Auteur/autrice : Ousmane Ibrahima Dia

  • SENEGAL-COLLECTIVITES-PECHE / Plus de 60 000 tonnes de produits halieutiques débarquées au quai de pêche de Kaffountine en 2023 (maire)

    SENEGAL-COLLECTIVITES-PECHE / Plus de 60 000 tonnes de produits halieutiques débarquées au quai de pêche de Kaffountine en 2023 (maire)

    Kaffountine, 21 jan (APS) – Au total, 60.560 tonnes de produits halieutiques ont été débarquées, en 2023, au quai de pêche de Kafountine, soit une valeur de commerciale de 23 milliards 860 millions de francs CFA, a t-on appris du maire de cette localité du département de Bignona, David Diatta.

    M. Diatta s’exprimait, samedi, lors d’une visite guidée au profit des journalistes sur la menace de l’érosion côtière dans sa commune.

     »Le quai de pêche de Kafountine fait partie des quais les plus importants aujourd’hui au Sénégal. L’année passée nous avons enregistré 1001 pirogues avec plus de dix mille pêcheurs. En 2023 , nous avons débarqué du quai de pêche de Kafountine 60560 tonnes de produits avec une valeur commerciale de 23 milliards 860 millions de francs CFA. L’économie de Kafountine est donc fortement touchée sans compter les dégâts écologiques », a dit David Diatta.

    Il fait remarquer que trois hectares sur les 13 du quai de pêche de Kafountine sont maintenant dans l’eau.  »Ce qui fait que les pirogues occupent plus d’un kilomètre du domaine touristique. Et, il y a un conflit ouvert entre les acteurs du tourisme et des acteurs de la pêche », regrette le maire.


    MNF/OID

  • SENEGAL-POLITIQUE-PROFIL / Karim Wade, une ambition présidentielle au rythme des obstacles

    SENEGAL-POLITIQUE-PROFIL / Karim Wade, une ambition présidentielle au rythme des obstacles

    Dakar, 21 jan (APS) –  Les partisans de Karim Meïssa Wade espéraient revoir le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade en chair et en os, battre le pavé avec lui à la conquête des suffrages des Sénégalais, après des années d’exil, mais vont encore déchanter après que le Conseil constitutionnel a déclaré irrecevable sa candidature à la présidentielle de février 2024, un nouvel obstacle sur le chemin politique du leader du Parti démocratique sénégalais (PDS).

    Rebelote pour Karim Meïssa Wade ! Une fois encore les ambitions présidentielles du fils de l’ancien chef de l’Etat, Abdoulaye Wade n’ont pas franchi l’obstacle de la validation de candidature par le Conseil constitutionnel, même après avoir passé avec brio l’étape du contrôle des parrainages. Si à l’élection présidentielle de 2019 sa candidature avait buté sur la perte de ses droits civiques en raison d’une condamnation pour enrichissement illicite, en 2024 elle est plombée par un renoncement tardif à la nationalité française, alors qu’il faut être exclusivement de nationalité sénégalaise pour briguer la magistrature suprême, selon la loi électorale.

    Un nouveau coup à la carrière politique du leader du PDS condamné en 2015 à 6 ans de prison ferme par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) et exilé au Qatar depuis 2016.

    Karim Wade est cet inconnu du grand public à l’élection d’Abdoulaye Wade en 2000, sur lequel tous les projecteurs étaient braqués jusqu’à être considéré à un moment donné comme le futur héritier de son père à la tête du Sénégal.

    Karim Wade est né en 1968 à Paris. Après un Bac économique à Paris, en 1984, et des études en ingénierie financière, il est embauché en 1995 par la société de banque suisse.

    Mais les Sénégalais, dans leur grande majorité, le découvriront en 2000 à la faveur de l’accession de Me Abdoulaye Wade à la magistrature suprême, après 25 ans d’opposition.

    Un père qui n’a cessé aussi de présenter son fils sous les plus beaux habits. Karim Wade, à l’en croire, est une espère rare dans son domaine d’expertise : la finance.

    C’est en 2002 qu’il devient conseiller de son père chargé des grands projets. A la faveur du sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) prévu au Sénégal en 2008, Karim Wade se voit confier dès 2004, la présidence de l’Agence de l’organisation de la coopération islamique (ANOCI).

    La mise en œuvre des chantiers de l’ANOCI met Karim Wade sous les projecteurs. Une phrase de son père, à l’occasion du lancement des travaux de l’ANOCI, aura retenu l’attention des Sénégalais : ‘’Karim, je dirai à ta mère que tu as bien travaillé’’.

    Et pourtant, à l’arrivée, soulignera le journaliste Abdoulatif Coulibaly dans un ouvrage ‘’Contes et mécomptes de l’ANOCI’’, cette agence ‘’prétendait être en route vers le sommet. Au finish, elle a plongé dans un gouffre à milliards’’.

    Selon l’auteur, ‘’contrairement aux affirmations de ses dirigeants, l’Agence pour l’organisation de la conférence islamique (ANOCI), n’a pas dépensé 72 milliards de francs pour réaliser les travaux nécessaires à l’accueil du sommet qui a eu lieu en mars 2008 dans la capitale sénégalaise’’.

    ‘’Elle en a dépensé plus du double (…) Pour équiper ses bureaux dans les trois étages de l’immeuble qui abrite le siège de l’ANOCI à Dakar, Karim Wade a dépensé plus d’un demi-milliard de francs (750 millions de francs. Ses dépenses de communication dans les pays du Golfe ont coûté 500 millions de francs aux contribuables sénégalais en 4 ans d’existence de l’agence (…)’’.

    Au total, note l’auteur, ‘’l’ANOCI a dépensé pour la réalisation de ses travaux une somme de 205 milliards 211 millions de francs Cfa’’.

    Les câbles diplomatiques révélés par Wikileaks démontrent que les Américains, le FMI et d’autres bailleurs et d’autres ambassadeurs s’inquiètent de ses pratiques en matière de gestion. Karim Wade surnommé également ‘’Monsieur 15%’’ balaie en touche.

    Mais l’homme est intouchable. Le président de l’Assemblée d’alors, Macky Sall, qui lui demande des explications, sur la gestion de l’ANOCI, en le convoquant en octobre 2007, l’apprendra à ses dépens. La convocation est aussitôt annulée par Abdoulaye Wade et Macky Sall se trouve désormais en mauvaise posture et poussé vers la sortie.

    Les amis, sympathisants et soutiens de Karim Wade de tout bord voient les choses autrement et encensent leur champion partout. Ils iront même jusqu’à détourner, à leur faveur, le slogan de l’ANOCI, ‘’En route vers le sommet’’, pour en faire une rampe pour l’accession de Karim Wade au sommet de l’Etat : le pouvoir. C’est ‘’en route vers le sommet’’ de l’Etat, projet politique incarné par ‘’La Génération du concret’’.

    Les élections locales de 2009 seront un ‘’premier test électoral’’ pour Karim Wade à qui l’on prête l’ambition de devenir de maire de Dakar, la capitale sénégalaise. La campagne électorale lui donnera l’occasion d’être au contact des masses, lui qui ne parlerait pas wolof.

    Karim Wade battra campagne à Dakar, Thiès, Saint-Louis, Matam, Ziguinchor, un peu partout, sous la houlette du Parti démocratique sénégalais (PDS).

    Mais à l’arrivée, c’est la douche froide chez les Wade, battus dans leur propre bureau de vote, à Dakar. La coalition Bennoo Siggil Senegal (BSS), regroupement des principales forces de l’opposition, a la mainmise sur les grandes villes du pays.

    Adieu Dakar pour Karim Wade. Mais son père a l’idée de faire lui un ministre dans le gouvernement mis sur pied au lendemain des locales à la faveur d’un énième remaniement en 2010.

    Dans cette équipe, dirigée par Souleymane Ndéné Ndiaye, Karim Wade est une pièce maitresse, un pilier. Il est nommé ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures, de l’Energie, de l’Aménagement du territoire.

    Avec un portefeuille qui représente 20% du budget national, il est surnommé ‘’ministre du Ciel et de la Terre’’.

    Karim Wade est partout : le Plan Takkal, censé résoudre le problème de l’énergie, la remise à en ligne de la compagnie Sénégal Airlines, la construction de l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass, la restructuration des ICS.

    Le ministre n’échappe à la critique de l’opposition et d’une partie de l’opinion. Mais surtout, parce que l’idée selon laquelle, son père travaille pour lui céder le pouvoir est en vogue.

    A l’approche de la présidentielle de 2012, Me Abdoulaye Wade, 86 ans à l’époque, et dont la candidature pour un troisième mandat suscite la controverse, sort l’idée d’un ticket président-vice-président, élu à 25% au premier tour.

    Pour l’opposition et la société civile, ce projet de loi cache une ‘’dévolution monarchique du pouvoir’’. Abdoulaye Wade chercherait tout simplement à léguer le pouvoir à son fils Karim Wade.

    C’est la réforme de trop qui poussera l’opposition et la jeunesse à la révolte, le 23 juin 2011, jour de vote du projet de loi. Des milliers de manifestants investissent la rue et la devanture de l’Assemblée nationale, obligeant le chef de l’Etat à retirer son projet.

    Avec la défaite de Abdoulaye Wade à la présidentielle de 2012, les ennuis judiciaires commencent pour Karim, invité à justifier l’origine licite d’un patrimoine estimé d’abord à 694 milliards de francs avant d’être ramené à 117 milliards de francs.

    Arrêté en 2013, dans le cadre de ce qui sera appelé la ‘’traque des biens mal acquis’’, il est condamné en 2015 à  6 ans de prison ferme par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI).

    Le 24 juin 2016, à la surprise générale, les Sénégalais apprennent que Karim Wade est sorti de prison. En effet, le Président de la République, par décret n° 2016-880 du 24 juin 2016, a gracié Karim Meissa Wade, Ibrahima Aboukhalil dit Bibo Bourgi et Alioune Samba Diassé.

    Dans la foulée, il s’envole au petit matin vers Doha en compagnie du procureur général du Qatar.

    OID/AKS

  • SENEGAL-MEDIAS-PERSPECTIVES / La CAP a présenté le rapport provisoire des Assises des médias

    SENEGAL-MEDIAS-PERSPECTIVES / La CAP a présenté le rapport provisoire des Assises des médias

    Dakar, 20 jan (APS) – La Coordination des associations de la presse (CAP) a présenté, samedi, le rapport général provisoire des Assises des médias dont ‘’l’objectif global est de bâtir un écosystème médiatique performant’’.

    ‘’Nous avons revisité l’écosystème des médias au Sénégal pour mettre le doigt sur les contraintes qui plombent le développement du secteur’’, a déclaré Cheikh Thiam, le rapporteur général des Assises, lors de la cérémonie de présentation du rapport général provisoire.

    Selon lui, ‘’cette précarité que vivent les entreprises de presse bloque l’épanouissement du journaliste’’.

    Le Directeur général de la Communication et plusieurs acteurs et professionnels des médias ont pris part à la rencontre.

    Les Assises des médias lancées le 24 août 2023 ont été inclusives. La société civile, les religieux, les ONG, les universitaires, les acteurs des secteurs d’activités économiques, les associations patronales, les forces de l’ordre entre autres ont été impliqués dans la réflexion, a indiqué Cheikh Thiam.

    Six commissions ont planché sur les problèmes qui gangrènent le secteur des médias.

    Un diagnostic a été fait en amont sur “le dispositif institutionnel et le dispositif de régulation des médias et autorégulation’’, a relevé M. Thiam.

    “Nous avons réfléchi aussi sur le problème de la sécurité sociale, le problème de la sécurité des journalistes, la couverture maladie, l’assurance retraite’’, a-t-il indiqué.

    Concernant la sécurité sociale, le rapport relève “les conditions dramatiques de travail des journalistiques, le traitement salarial, la situation discriminatoire des femmes dans beaucoup d’entreprises de presse au Sénégal“.

    Sur l’aspect économique, le comité de pilotage des Assises a mis l’accent sur la gouvernance des entreprises de presse qui “pose problème“. “La grande majorité des entreprises sont informelles, il faut amener ces organes à se formaliser pour pouvoir accéder au financement bancaire comme d’autres entreprises’’, a déclaré M. Thiam, ancien Directeur général du quotidien national Le Soleil.

    La question de la formation était également au cœur de la réflexion. “Nous avons abouti à la conclusion qu’il faudrait certifier les écoles de formation en journalisme au Sénégal et instaurer des curriculum très pertinents de la première année de licence à la troisième’’, a encore souligné M. Thiam, citant le rapport.

    Avec le développement de l’Internet, ‘’beaucoup de métiers vont disparaitre, il faut donc des contenus de qualité qui répondent aux normes de notre époque’’, a suggéré le rapport général provisoire des Assises.

    La commission 6 a planché sur la sécurité physique des journalistes, surtout durant les manifestions. “Les journalistes sont victimes d’attaques injustifiées’’, a déploré M. Thiam

    Le rapport général définitif sera rendu public jeudi prochain.

    ‘’Nous allons nous réunir dans les jours à venir pour prendre en compte toutes les observations, les suggestions, les remarques qui ont été formulées verbalement ou par écrit et nous allons les consigner dans un document qui fera office de rapport général des Assises nationales des médias’’, a indiqué le rapporteur général.

    M. Thiam a annoncé que le rapport définitif sera remis au président de la République et à tous les candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

    Il est également prévu la mise en place d’un comité de suivi, dans les délais raisonnables, de la mise en œuvre des recommandations.

    BB/OID

  • SENEGAL-ADMINISTRATION-DEVELOPPEMENT / Les Administrateurs civils planchent sur la territorialisation des politiques publiques

    SENEGAL-ADMINISTRATION-DEVELOPPEMENT / Les Administrateurs civils planchent sur la territorialisation des politiques publiques

    Dakar 20 jan (APS) – L’Amicale des administrateurs civils du Sénégal (AACS) a organisé, samedi, à Dakar, un atelier de réflexion sur la mise en œuvre de la territorialisation des politiques publiques.

    ‘’La territorialisation des politiques publiques : quels leviers de mise en œuvre ?’’ est le thème de cette journée de réflexion organisée dans un hôtel dakarois en présence de Alioune Badara Diop, Secrétaire général adjoint du gouvernement.

    ‘’Avec ce concept de territorialisation des politiques publiques, il s’agit de voir comment améliorer davantage l’offre des services publics qui est faite aux populations, de voir comment prendre en compte davantage les particularités et spécificités des territoires dans la conception des politiques publiques, leur mise en œuvre et également leur évaluation’’, a expliqué Hadji Habib Kandji, président de l’AACS.

    Les organisateurs ont voulu que ‘’la rencontre soit inclusive et participative’’.

    ‘’Nous avons convié d’autres experts qui viennent partager avec nous leurs expériences vécues pour faire des propositions concrètes en analysant et identifiant les leviers que nous avons retenus (…)’’, a dit M. Kandji.

    Selon lui, l’objectif de cet atelier est de proposer aux autorités des pistes de solutions pour améliorer la mise en œuvre de la territorialisation des politiques publiques.

    Le Secrétaire général adjoint du gouvernement a rappelé que depuis 2012, l’Etat a changé de démarches et de paradigmes dans la conduite des politiques publiques avec l’avènement de l’Acte 3 de la Décentralisation qui a permis de ‘’renforcer les moyens d’intervention et d’actions des collectivités territoriale’’.

    Selon lui, les Conseils des ministres délocalisés dans les régions ont permis de recueillir les besoins des populations, de les évaluer et de les soumettre au gouvernement.

    L’objectif du gouvernement, a-t-il souligné, c’est de travailler autour de l’équité territoriale et sociale pour permettre à tous les citoyens d’accéder aux offres des services publics.

    Alioune Badara Diop a rappelé l’importance des administrateurs civils qui aident beaucoup le gouvernement à travers les gouverneurs, soulignant qu’ils participent au bon fonctionnement de l’État.


    PD/OID

     

  • SENEGAL-AFRIQUE-RDC-INSTITUTIONS / Le président Macky Sall à l’investiture de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo

    SENEGAL-AFRIQUE-RDC-INSTITUTIONS / Le président Macky Sall à l’investiture de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo

    Dakar, 20 jan (APS) – Le chef de l’Etat sénégalais est à Kinshasa, en République démocratique du Congo, pour prendre part ce samedi à l’investiture de son homologue Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, réélu récemment pour un second mandat.

    ‘’Le président Macky Sall est arrivé à Kinshasa, sur invitation de son homologue Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président nouvellement élu de la RDC. Le chef de l’État prendra part à la cérémonie d’investiture de son homologue, qui a lieu ce samedi, dans la capitale congolaise’’, rapporte la présidence sénégalaise sur compte X.

    Le président Antoine Tshisekedi Tshilombo a remporté l’élection présidentielle du 20 décembre avec 73,47% des suffrages exprimés, selon les résultats publiés par la Cour constitutionnelle.

    Selon la télévision congolaise, 18 chefs d’Etat du continent sont à Kinshasa pour la cérémonie d’investiture de leur homologue Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

    OID

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / Les quotidiens célèbrent la victoire des Lions face au Cameroun

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / Les quotidiens célèbrent la victoire des Lions face au Cameroun

    Dakar, 20 jan (APS) – La victoire du Sénégal, 3-1, face au Cameroun en Coupe d’Afrique des Nations (CAN), synonyme de qualification en 8ème de finale est largement commentée par les quotidiens reçus samedi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    Le Soleil salue ‘’Les Lions dompteurs’’ ave ce message du chef de l’Etat : ‘’Immense bravo (…) pour cette qualification méritée en 8èmes de finale (…) Continuez à représenter dignement le Sénégal sur le terrain. Allez plus loin!’’.

    ‘’Les vrais Lions se qualifient en 8ème de finale’’, selon Vox Populi. Le quotidien parle de  »démonstration de force des Lions’’.

    Le journal L’As met en exergue ‘’l’attaque en puissance des Lions’’. ‘’Une attaque de feu, un milieu de luxe, Aliou Cissé fait l’unanimité’’, dit Les Echos.

    ‘’Avec un statut de champion d’Afrique à conserver, les Lions du Sénégal ont dominé les indomptables du Cameroun lors de leur 2e sortie en phase de groupe.

    Les choses ont changé entre le Sénégal et le Cameroun, la tendance s’est inversée durant la 34e édition de la coupe d’Afrique, c’est-à- dire 34 ans après la dernière victoire des Lions en phase finale de coupe d’Afrique des nations en 1990 en Algérie (1-0). Face aux Lions Indomptables, ceux du Sénégal ont été très conquérants’’, écrit L’Info.

    Selon L’Observateur, ‘’les prières du vendredi des Sénégalais ont été exaucées’’’. ‘’Et voilà les rôles du bourreau et de victime complétement inversés. La glace rompue, le Sénégal se colle la mine du bourreau et prend sa revanche sur un adversaire qui sait lui faire mal. Rigobert Song, sélectionneur des Lions Indomptables, avait pourtant averti, après le match nul contre la Guinée, que son Cameroun est une bête blessée dont on devra craindre. Mais, il n’en est rien. Puisqu’hier soir, dans un Charles Konan-Banny plein et en extase, le Sénégal a dompté le Cameroun (3-1) pour forcer le pas- sage en huitième de finale de la Coupe d’Afrique 2023’’, souligne L’Obs.

    Pour Le Quotidien, ‘’il y avait un seul Lion sur le terrain’’. ‘’Dans un match bien maîtrisé, le Sénégal s’est imposé logiquement devant le Cameroun (3-1) hier, validant du coup son billet pour les 8es de finale de la Can 2023. Finalement, le +duel des Lions+ n’a eu lieu car, en fait, il y avait un seul Lion sur la pelouse du Stade de Yamoussoukro’’, écrit le journal.

     »34 ans de misère effacées !’’, s’exclame WalfQuotidien à la Une. ‘’Le Sénégal signe ainsi une victoire prestigieuse et répare une anomalie de 34 ans. Et pour cause, les Lions n’avaient plus battu (2-0) l’adversaire depuis le 6 mars 1990 dans une Coupe d’Afrique des Nations. C’était en Algérie. Le chat noir, qui poursuivait les Champions d’Afrique éliminés au premier tour depuis 2010, a été aussi vaincu’’, note Walf.

    OID

  • SENEGAL-RELIGION / Les évêques sénégalais opposés à toute forme de bénédiction des couples de même sexe

    SENEGAL-RELIGION / Les évêques sénégalais opposés à toute forme de bénédiction des couples de même sexe

    Dakar, 19 jan (APS) – Les évêques du Sénégal affirment qu’aucune forme de bénédictions liturgiques ou extra liturgiques ‘’ne peut être administrée à deux personnes de même sexe qui en feraient la demande expresse en tant que +couple+’’.

    ‘’Nous, vos Pasteurs, Évêques du Sénégal, affirmons clairement que, dans nos Diocèses, aucune forme de bénédictions liturgiques ou extra liturgiques ne peut être administrée à deux personnes de même sexe qui en feraient la demande expresse en tant que +couple+’’, indique un communiqué de ces évêques portant sur ‘’la Déclaration Fiducia supplicans’’.

    La Déclaration du Dicastère pour la Doctrine de la foi sur la signification pastorale des bénédictions, Fiducia supplicans, en date du 18 décembre 2023, approuvée par le pape François offre la possibilité de bénir les couples formés par des personnes de même sexe, en dehors cependant de toute ritualisation et imitation du mariage. Toutefois, la doctrine sur le mariage ne change pas et la bénédiction ne signifie pas l’approbation de l’union.

    Dans un premier communiqué en date du 28 décembre 2023, les évêques du Sénégal avaient ‘’jugé nécessaire de rappeler la Doctrine de l’Eglise universelle et (leur) intime conviction de Pasteurs relativement à certaines déviations morales de notre temps moderne comme l’homosexualité’’.

    Selon eux, ‘’(…) une certaine interprétation’’ de ce document, ‘’laisse croire que l’Eglise catholique reconnaîtrait maintenant le mariage entre deux personnes de même sexe’’.

    ‘’Une telle interprétation n’est pas conforme à la Doctrine de l’Église, enracinée dans les Saintes Écritures, la Sainte Tradition et l’Enseignement du Magistère’’, affirment les évêques.

    Ils rappellent que ‘’les déviations morales, de manière générale et, en particulier, l’homosexualité, en ses diverses expressions, sont considérées, dans l’Église, comme une abomination à l’encontre de la volonté de Dieu comme en atteste, par exemple, le Livre du Lévitique +Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ce qu’ils ont fait tous les deux est une abomination+’’

    Concernant la récente Déclaration Fiducia supplicans, portant sur la signification pastorale des bénédictions, ils disent retenir ‘’la sollicitude de l’Eglise à l’égard de toute personne, dans le respect de sa dignité et de son intégrité, quels que soient son choix et son orientation de vie’’.

    ‘’C’est le souci pastoral défendu par le Magistère de l’Église depuis toujours, et par le Pape François qui rappelle la nécessité, pour l’Eglise, à la suite de son Divin Fondateur Jésus-Christ, d’être proche de toute personne, notamment des plus vulnérables, pauvres ou marginalisées, les homosexuels y compris’’, soulignent-ils.

    Cependant, estiment-ils, ‘’dans le contexte actuel d’une légitimation ou légalisation progressive et insidieuse de l’homosexualité et d’autres déviations morales, nous, vos Pasteurs, Évêques du Sénégal, affirmons clairement que, dans nos Diocèses, aucune forme de bénédictions liturgiques ou extra liturgiques ne peut être administrée à deux personnes de même sexe qui en feraient la demande expresse en tant que +couple+’’.

    Par ailleurs, concernant ‘’des couples en situation irrégulière (concubins, divorcés remariés, polygames…)’’, les évêques estiment qu’il ‘’ne faut en rien altérer la Doctrine de l’Église catholique sur l’institution matrimoniale, au risque de semer le doute dans les esprits ou de créer le scandale dans la vie de nos communautés’’.

    Les évêques invitent les fidèles à ‘’rester calmes et sereins, soudés par le ciment de la prière et de l’espérance du Christ qui ne déçoit pas’’.

    OID/ASB/ASG

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / Le match Sénégal-Cameroun au menu des quotidiens

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / Le match Sénégal-Cameroun au menu des quotidiens

    Dakar, 19 jan (APS) – L’enjeu du match Sénégal-Cameroun, ce vendredi à Yamoussoukro, lors de la deuxième journée dans la poule C de la CAN est largement commenté par les quotidiens reçus à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    ‘’Se qualifier dès ce soir !’’, s’exclame à la Une le quotidien Stades, rappelant que ‘’trois mois après leur dernière rencontre amicale jouée en France, Sénégalais et Camerounais se retrouvent pour l’une des attractions de cette 2ème journée de la CAN ivoirienne. Un choc de Lions, entre ceux de la Téranga et Indomptables’’.

    Le journal note toutefois, que ‘’les deux équipes entament ce 2ème match avec des soucis différents. Le Sénégal cherchera dès ce soir (17h00) à se qualifier avant terme. Et ce, après sa large victoire en ouverture devant la Gambie (3-0). Le Cameroun voudra, lui, lancer sa CAN après son nul face à la Guinée (1-1)’’.

    ‘’Duel de Lions’’, dit L’As. ‘’(….) vainqueurs d’entrée devant la Gambie (3-0), les Lions de la Teranga doivent confirmer leur statut de champions devant les Lions indomptables et vaincre enfin le signe indien’’, selon L’As.

    Le Quotidien rappelle que les deux équipes, opposées en octobre dernier, en amical, s’étaient quittées sur une victoire des champions d’Afrique (1-0) à Lens, en France. ‘’Comme pour dire qu’il y aura un sacré parfum de revanche cet après-midi sur la pelouse du stade de Yamoussoukro’’, souligne le journal.

    ‘’En tête du Groupe C, les hommes de Aliou Cissé, forts de leur expérience, affichent la sérénité. Ce qui n’est pas le cas chez leurs adversaires où l’affaire Onana et la blessure de leur buteur, Vincent Aboubakar, ont fini de jeter le doute’’, ajoute la publication qui affiche à la Une : ‘’Faim de Lions’’.

    L’Observateur voit ce match ‘’comme une finale’’.

    ‘’C’est un match au goût d’une finale. Une rencontre qui promet d’offrir un spectacle. Entre Lions de la Téranga et Indomptables, l’histoire a toujours été rocambolesque et pleine d’émotions. Et il a fallu que le sort refasse le coup, mettant le Sénégal et le Cameroun, qui ont l’une des rivalités les plus pesantes du football africain, dans la même poule C, pour la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations, Côte d’Ivoire 2023. La 15e confrontation, la 7e en match officiel, entre Lions de la Téranga et Lions Indomptables, a une autre dimension. Elle intervient dans un contexte particulier où les deux équipes n’ont qu’une chose en tête, la victoire et les trois points à prendre’’, souligne L’Obs.

    ‘’Une affiche de finale avant la lettre’’, estime également WalfQuotidien. ‘’Entre le Sénégal et le Cameroun, ce n’est jamais facile. Des oppositions tendues en un engagement sans faille dans les duels. Ah oui, normal puisque quand deux Lions se rencontrent, il faudra forcément qu’il y ait un Roi sur la pelouse. Le Sénégal entame cette 34ème Coupe d’Afrique des Nations dans le costume de rockstar avec la couronne de champion d’Afrique sur la tête. L’adversité sera encore plus élevée’’, indique walf.

    Vox populi évoque ‘’un duel de Lions aux allures de revanche’’. ‘’Les retrouvailles entre le Sénégal et le Cameroun, ce vendredi (17h), seront un duel aux allures de revanche. Puisque, par trois fois de suite, en phase finale de la CAN, les Lions Indomptables ont toujours pris le dessus sur les champions d’Afrique en titre’’, rappelle le journal.

    ‘’Qui sont les vrais Lions’’, s’interroge Le Soleil en page intérieure’’. ‘’C’est le gros choc du groupe C. Il y a toujours de l’électricité dans l’air lorsque le Sénégal et le Cameroun s’affrontent et ce sera encore le cas, cet après-midi, au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro. Leader de ce groupe (3 pts), le Sénégal est en position de force pour se qualifier au tour suivant et il pourrait sceller l’affaire dès ce deuxième match contre le Cameroun en cas de succès’’, écrit le journal.

    C’est ‘’le moment de solder enfin les comptes’’, selon le quotidien Bës Bi. ‘’(….) Un choc au sommet que les Lions devront gagner pour assurer définitivement leur qualification en huitièmes de finale mais aussi pour briser le signe indien face à des Lions indomptables que le pays de la Téranga n’a plus battus depuis 34 ans en Can’’, relève la publication.

    OID/AB

     

     

  • SENEGAL-MONDE-DROITSHUMAINS / Examen de la situation des droits de l’homme au Sénégal dans le cadre de l’EPU, lundi à Genève

    SENEGAL-MONDE-DROITSHUMAINS / Examen de la situation des droits de l’homme au Sénégal dans le cadre de l’EPU, lundi à Genève

    Dakar, 18 jan (APS) – La situation des droits de l’homme au Sénégal sera examinée, lundi, à Genève (Suisse), dans le cadre de l’Examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, a appris l’APS.

    Ce sera le quatrième passage du Sénégal, après février 2009, octobre 2013 et novembre 2018, devant l’EPU, un mécanisme unique qui permet d’examiner périodiquement la situation des droits de l’homme dans les 193 États membres des Nations Unies.

    La délégation sénégalaise sera dirigée par Aïssata Tall Sall, Garde des Sceaux et ministre de la Justice.

    Les trois États faisant partie du groupe de rapporteurs (troïka) pour l’examen du Sénégal sont l’Allemagne, le Kazakhstan et la Somalie.

    Le Groupe de travail sur l’EPU adoptera les recommandations faites au Sénégal, le 26 janvier. Selon la procédure, l’État examiné pourra alors indiquer sa position sur les recommandations reçues lors de l’examen.

    Dans un communiqué, le Conseil des droits de l’homme indique que le Sénégal est l’un des 14 Etats à être examiné par le Groupe de travail de l’EPU au cours de sa 44e session qui se tient du 22 janvier au 2 février 2024.

    Il explique que le Groupe de travail de l’EPU est composé des 47 États membres du Conseil des droits de l’homme, cependant, chacun des 193 États membres de l’ONU peut participer à l’examen d’un pays.

    L’EPU se fera sur la base du rapport national (informations soumises par l’État examiné) ; la compilation d’informations provenant de rapports d’experts et d’expertes des droits de l’homme, plus connus sous le nom de Procédures spéciales, d’organes créés par des traités internationaux relatif aux droits de l’homme et d’autres organismes des Nations Unies; les informations provenant d’autres parties prenantes, y compris les institutions nationales des droits de l’homme, les organisations régionales et la société civile.

    Le communiqué rappelle que l’EPU ‘’est un mécanisme unique qui permet d’examiner périodiquement la situation des droits de l’homme dans les 193 États membres des Nations Unies.’’

    Il ajoute que depuis la première session de l’EPU en avril 2008, tous les 193 États membres ont été examinés à trois reprises dans le cadre du premier, second, et troisième cycle de l’EPU.

    Pour ce quatrième cycle de l’EPU, les États vont à nouveau ‘’énoncer les mesures qu’ils ont prises pour mettre en œuvre les recommandations faites au cours des examens précédents auxquelles ils se sont engagés à donner suite, ainsi que de mettre en évidence l’évolution récente des droits de l’homme dans le pays’’.

    OID/ASB

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / La renonciation de Karim Wade à sa nationalité française au menu des quotidiens

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / La renonciation de Karim Wade à sa nationalité française au menu des quotidiens

    Dakar, 18 jan (APS) –  La publication au Journal officiel de la République française d’un décret officialisant la perte de la nationalité française de Karim Meïssa Wade alors qu’un recours tente de faire invalider sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février pour cause de double nationalité est au menu des quotidiens reçus jeudi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    ‘’Sont libérés de leur allégeance à l’égard de la France les Français dont les noms suivent : (…) Wade (Karim, Meïssa), né le 01/09/1968 à Paris 15e (75015)’’, rapporte le journal officiel français en date du mercredi 17 janvier 2024.

    Le candidat Thierno Alassane Sall a introduit un recours au Conseil constitutionnel demandant l’invalidation de la candidature de Karim Wade pour cause de double nationalité, sénégalaise et française alors que la Constitution postule que ‘’tout candidat à la présidence de la République doit être exclusivement de nationalité sénégalaise’’.

    ‘’Karim Wade a renoncé, à la dernière minute, à sa nationalité française. La décision qui a été publiée hier dans le Journal officiel français n’a été signée que le 16 janvier dernier, par le ministère de l’Intérieur français et contresignée par le tout nouveau Premier ministre Gabriel Attal. Alors que le Conseil constitutionnel a validé sa candidature depuis bientôt une semaine, au moment où le renoncement n’était pas encore officiel’’, note WalfQuotidien, qui affiche à la Une : ‘’Karim se joue de tout le monde’’.

    Pour Source A aussi, M. Wade ‘’s’est joué’’ de tout le monde, sa candidature étant validée ‘’sur la base d’une déclaration sur l’honneur ô combien suspecte’’.

    L’Observateur y va avec un jeu mot et parle de ‘’Krim (im)parfait’’ en s’interrogeant sur l’impact du décret français sur la décision attendue du Conseil constitutionnel.

    ‘’Au moins, une partie du débat est clos. Karim Wade est déchu de sa nationalité française. Il reste maintenant à savoir si la publication, hier, du décret français l’attestant aura un impact sur la décision des sept sages, attendue au plus tard le 20 janvier’’, dit L’Obs.

    Selon Le Quotidien, ‘’Karim Wade établit la preuve de son mensonge’’. Le journal qui affiche à la Une ‘’Le Krim (im)parfait’’ souligne que ‘’Karim Wade a été déchu de sa nationalité française le 16 janvier alors qu’il avait signé une déclaration sur l’honneur indiquant qu’il était exclusivement de nationalité sénégalaise, conformément aux lois du Sénégal’’.

    Le quotidien Bës Bi signale que ‘’les avis des spécialistes divergent’’ sur cette ‘’renonciation’’ de Karim Wade à sa nationalité française. ‘’Ça va dans tous les sens. Karim a officiellement renoncé à sa nationalité française. Et le décret a été publié, hier, dans le Journal officiel français. Ce, après qu’il ait déclaré sur l’honneur n’avoir que la nationalité sénégalaise. La polémique enfle. Des spécialistes ne parlent pas le même langage’’, souligne le journal.

    En publiant ce décret, le dernier jour de dépôt des recours au Conseil constitutionnel contre les candidatures, ‘’la France force la porte de la présidentielle pour Karim Wade’’, selon Vox Populi. Thierno Alassane Sall, à l’origine de ce recours, dénonce ‘’une immixtion flagrante de la France et une solidarité agissante entre les tenants de la Françafrique et du néocolonialisme’’, rapporte le journal.

    Dans cette affaire, ‘’Karim Wade mouille Amadou Ba’’, le Premier ministre, note le quotidien Kritik. Pour le fils de l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, ‘’cette polémique stérile et dangereuse (est) alimentée par Thierno Alassane Sall pour gagner en visibilité et agissant pour le compte du très peu courageux Premier ministre Amadou Ba, spécialiste des coups bas (….)’’, selon Karim Wade dont les propos ont été rapportés par le journal.

     »La machine s’emballe !’’, s’exclame EnQuête. ‘’En attendant la bataille des programmes, les candidats se livrent un combat épique sur fond de contentieux des listes électorales devant le Conseil constitutionnel. Alors que Thierno Alassane Sall tente de faire de Karim Wade son punchingball, ce dernier essaie de le minimiser pour cogner directement sur le PM Amadou Ba qu’il accuse d’être derrière. Pendant ce temps, Sonko recadre les recalés et autres encagoulés qui utilisent son nom sans son consentement’’, écrit le journal.

    Pour le quotidien L’As, il revient maintenant aux ‘’7 Sages’’ du Conseil constitutionnel de ‘’jouer’’. ‘’Le Conseil constitutionnel a reçu officiellement 3 recours de candidats contre d’autres en lice pour la présidentielle. Ainsi, à l’issue des 48 heures consacrées à la réception des réclamations, la juridiction va étudier dans les deux jours suivants les dossiers avant de publier, le 20 janvier, la liste définitive des candidats au scrutin de février prochain’’’’, dit le journal.

    OID/AB