Auteur/autrice : Ousmane Ibrahima Dia

  • SENEGAL-USA-DIPLOMATIE / Des ‘’sujets d’intérêt commun, bilatéraux et globaux’’ au menu de l’échange entre Macky Sall et Antony Blinken.

    SENEGAL-USA-DIPLOMATIE / Des ‘’sujets d’intérêt commun, bilatéraux et globaux’’ au menu de l’échange entre Macky Sall et Antony Blinken.

    Dakar, 12 juil (APS) – Le président Macky Sall a indiqué avoir discuté, ce mercredi, ‘’de sujets d’intérêt commun, bilatéraux et globaux’’ avec le Secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken.

    ‘’Je remercie le Secrétaire d’Etat @SecBlinken pour son appel de ce jour. Nous avons discuté de sujets d’intérêt commun, bilatéraux et globaux’’, a déclaré le chef de l’Etat sénégalais à travers un tweet.

    Macky Sall dit apprécier ‘’l’amitié et le partenariat anciens et solides entre les États-Unis d’Amérique et le Sénégal’’.

    OID/ASB

  • Sénégal-émigration / Le ministère des Affaires étrangères dément l’information faisant état de la disparition en mer d’au moins 300 Sénégalais

    Sénégal-émigration / Le ministère des Affaires étrangères dément l’information faisant état de la disparition en mer d’au moins 300 Sénégalais

    Daka, 11 juil (APS ) – Le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur a déclaré que les informations faisant état de la disparition en mer d’au moins trois-cent (300) Sénégalais, candidats à l’émigration, étaient ‘’dénuées de tout fondement’’.

    Dans un communiqué rendu public mardi soir, le Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur (MAESE) dit avoir ‘’appris avec étonnement, la publication, sur les réseaux sociaux, d’informations faisant état de la disparition en mer d’au moins trois-cent (300) Sénégalais, candidats à l’émigration, dont les embarcations en provenance de Kafountine (Casamance) faisaient route vers les Îles Canaries’’.

    La même source ajoute qu’il ‘’ressort des vérifications qui ont été faites, que ces informations, sont dénuées de tout fondement’’.

    Le ministère précise, au demeurant, qu’entre ‘’le 28 juin et le 09 juillet 2023, deux-cent soixante (260) Sénégalais en détresse ont été secourus dans les eaux territoriales marocaines’’.

    Il assure que ‘’le Consulat général du Sénégal dans la ville marocaine de Dakhla en relation avec les autorités marocaines compétentes a pris les dispositions nécessaires pour leur prise en charge et leur rapatriement dans les meilleurs délais’’.

    OID

  • SENEGAL-INVESTISSEMENTS / PPP : Le DG du BOS-PSE souligne l’importance de la maturation et la structuration des projets

    SENEGAL-INVESTISSEMENTS / PPP : Le DG du BOS-PSE souligne l’importance de la maturation et la structuration des projets

    Dakar, 7 juil (APS) – La maturation et la structuration des projets sont des éléments importants dans le cadre du Partenariat public-privé, a laissé entendre, vendredi, le Directeur général du Bureau opération et suivi du Plan Sénégal émergent (BOS-PSE),  Ousseynou Kane.

    ‘’L’autre point qui est important, c’est la maturation des projets, on ne peut pas demander aux investisseurs de venir investir au Sénégal, si nous n’avons  pas une banque  de projets mâtures et structurés’’, a-t-il déclaré.

    Ousseynou Kane s’exprimait lors d’un panel sur ‘’les défis de la mobilisation de l’investissement privé dans les partenariats public-privé (PPP)’’ au deuxième jour du forum ‘’Invest-in Sénégal’’ organisé par l’Agence nationale de promotion des investissements et des grands travaux (APIX) au centre de conférences Abdou Diouf de Diamniadio

    M. Kane a indiqué que le Bureau opération et suivi du plan Sénégal émergent a, depuis quelques années, lancé une méthodologie assez révolutionnaire appelée les ‘’labbs’’ pour structurer ‘’un certain nombre de projets’’ comme la relance de l’usine pharmaceutique, le PSE-Vert, le hub minier et les Agropoles.

    ‘’Nous avons également suggéré, dans le cadre du PAP2A, qu’il y ait un fonds pour accélérer la maturation d’un certain nombre de projets et avoir une banque de projets assez mâtures pour dire aux investisseurs,  voilà  ce que nous avons  comme projets’’, a-t-il ajouté.

    Concernant le développement du partenariat public-privé, Ousseynou Kane a estimé que le Sénégal ne devait pas subir la loi des investisseurs.

    ‘’L’Etat ne doit pas faire des PPP pour en faire seulement. Il ne faudrait pas que le Sénégal subisse la loi des investisseurs, il ne faut pas faire des PPP sur des projets qui les intéressent seulement. Il faut plutôt se tourner sur des projets qui intéressent le Sénégal’’, a-t-il prévenu.

    Le ministère de l’Economie doit aider le secteur privé à investir sur la souveraineté alimentaire et pharmaceutique, la protection sociale, mais aussi l’accès universel, l’eau, l’électricité et l’assainissement.

    ‘’Je pense que ce sont des domaines dans lesquels les PPP doivent investir. Il ne s’agit pas seulement de se mettre à la disposition du secteur privé qui propose des projets  qui ne sont pas les priorités de l’Etat Sénégal’’, a-t-il dit.

    ABD/OID/ASB

     

  • SENEGAL-INVESTISSEMENTS-MECANISME / PPP : Oulimata Sarr évoque les obstacles à la mobilisation des ressources privées

    SENEGAL-INVESTISSEMENTS-MECANISME / PPP : Oulimata Sarr évoque les obstacles à la mobilisation des ressources privées

    Diamniadio, 7 juil (APS) – La mobilisation des ressources privées dans le cadre du partenariat public-privé (PPP) se heurte à de nombreux défis, a déploré, vendredi, Oulimata Sarr, la ministre sénégalaise de l’économie, du plan et de la coopération.

    ‘’Les PPP sont des instruments puissants permettant d’accélérer la réalisation de projets structurants et créateurs de valeur. Cependant, pour que ces partenariats atteignent pleinement leurs potentiels, une mobilisation efficace de l’investissement privé est nécessaire notamment dans un contexte d’optimisation des ressources budgétaires. Toutefois cette mobilisation de ressources privées se heurte à plusieurs défis’’, a-t-elle souligné.

    Elle présidait un panel sur ‘’les défis de la mobilisation de l’investissement privé dans les partenariats public-privé (PPP)’’ au deuxième jour  du forum ‘’Invest-in Sénégal’’ l’agence nationale de promotion des investissements et des grands travaux (APIX) au centre de conférences Abdou Diouf de Diamniadio.

    Oulimata Sarr a souligné que l’un des principaux défis réside dans la mise en place d’un environnement propice à l’investissement privé.

    En effet, explique-t-elle, ‘’les investisseurs recherchent une stabilité politique, sociale, juridique et réglementaire pour s’engager à long terme’’.

    Elle a ajouté que l’autre défi majeur était ‘’la disponibilité de financements attractifs pour soutenir partenariats’’.

    Oulimata Sarr a rappelé que le gouvernement sénégalais a renforcé sa collaboration avec les institutions financières nationales et internationales, ainsi qu’avec le secteur privé, pour développer des mécanismes de financement innovants.

    Selon elle, le troisième défi important est la capacité institutionnelle et technique pour développer et mettre en œuvre des projets PPP de qualité.

    La ministre a expliqué que les PPP exigent une coordination étroite entre les différentes parties prenantes, une expertise technique solide et des compétences avérées en matière de gestion de projet.

    Oulimata Sarr a estimé qu’il est nécessaire d’accroître la sensibilisation et la compréhension des PPP auprès des parties prenantes, y compris le secteur privé et les acteurs publics.

    Elle a rappelé que des campagnes de communication comme ‘’Tabax suῆu PPP, nguir tabax suῆu Rew’’ ont été menées pour vulgariser le concept, permettant ainsi une meilleure compréhension des enjeux.

    La ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a insisté sur la transparence et la bonne gouvernance qui sont essentielles au succès des PPP.

    Pour Oulimata Sarr, il est important de garantir une concurrence équitable et transparente lors de l’attribution des contrats, d’établir des mécanismes de surveillance et de responsabilisation et de promouvoir une communication ouverte et régulière entre toutes les parties.

    A cet égard, elle a signalé que le nouveau cadre des PPP a désigné deux entités à savoir la DCMP (Direction centrale des marchés public) pour le contrôle de conformité des procédures de passation des marchés et l’ARCOP (Autorité de régulation de la commande publique) pour le contrôle a posteriori et du règlement des litiges, ce qui permet de contribuer ainsi de minimiser les risques de corruption.

    ABD/OID/AKS

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE    / Le forum ‘’Invest in Sénégal’’ et la ‘’retraite’’ de Macky Sall au menu des quotidiens

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / Le forum ‘’Invest in Sénégal’’ et la ‘’retraite’’ de Macky Sall au menu des quotidiens

    Dakar, 7 juil (APS) – Les quotidiens parvenus vendredi à l’Agence de presse sénégalaise s’intéressent à l’appel lancé la veille par le chef de l’Etat aux investisseurs tout en épiloguant sur la retraite future de Macky Sall moins d’une semaine après avoir fait part de sa décision de ne pas briguer un nouveau mandat en 2024.

    Au forum Sénégal invest, Macky Sall ‘’appelle à des partenariats qualitatifs et équitables’’, rapporte Le Soleil. ‘’Pour permettre aux pays africains d’accéder à plus de ressources afin de financer leur développement, le chef de l’Etat sénégalais invite les partenaires à avoir une juste perception du risque d’investissement sur le continent. Macky Sall appelle également les hommes d’affaires à se mettre en consortium’’, écrit le journal.

    Parlant de cette rencontre organisée par l’APIX, L’Info affiche à la Une : ‘’Le Sénégal drague les investisseurs’’.

    ‘’Tout investisseur peut venir faire tranquillement ses affaires au Sénégal, où il n’y a aucun risque. C’est l’assurance donnée hier par le chef de l’Etat à l’ouverture du Forum Invest in Sénégal, sur initiative de l’Apix. Pour Macky Sall, la paix et la sécurité sont les premiers facteurs à prendre en compte pour les investissements, c’est pourquoi son gouvernement s’évertue à les garantir et continuera de le faire. Aussi, le président de la République a dénoncé les comportements laxistes dans nos administrations et appelé à les bannir, car constituant des entraves à la bonne marche des affaires’’, indique le journal.

    EnQuête constate que ‘’c’est un Macky Sall libéré, décontracté, rassurant et très souriant qui a été, hier, à Diamniadio, pour l’ouverture du forum Invest in Senegal’’.

    ‘’Dans un style très open et cash, il a aussi tenu à rappeler à tous les investisseurs d’ici et d’ailleurs, les nouveaux paradigmes du partenariat avec l’Afrique’’, selon la publication.

    « Nos partenaires doivent aussi comprendre que maintenant c’est aussi la libre compétition en Afrique. Il faut se mettre à l’esprit qu’on va dans un terrain de chasse, où il y a d’autres chasseurs. Il n’y a plus de monopole. Nous, gouvernements, nous devons faire l’effort d’être attractifs et d’être en mesure d’attirer les investisseurs, mais ceux qui viennent aussi doivent comprendre que les terres conquises c’est fini’’, a  déclaré le chef de l’Etat.

    Bës Bi relève que pour ‘’favoriser un investissement convivial au Sénégal, Macky Sall opte pour les meilleures pratiques’’.

    ‘’Le Président Macky Sall a lancé, hier, l’ouverture de la première édition Invest in Sénégal. Ce rendez-vous d’hommes d’affaires est une occasion d’échanger sur les perspectives, les priorités d’investissement et la transformation structurelle du Sénégal. Le Président Sall a rassuré les investisseurs sur les différentes réformes engagées pour un environnement des affaires viable et attractif’’, rapporte la publication.

    Quelle vie pour Macky Sall après la présidence ? Le Quotidien signale qu’après son départ de la présidence de la République, ‘’Macky Sall n’entend pas faire comme ses prédécesseurs. Le chef de l’Etat promet de rester au Sénégal après les élections de février 2024 et d’être à la disposition de son successeur si ce dernier a besoin de ses conseils’’.

    WalfQuotidien évoque ‘’la retraite dorée’’ qui attend Macky Sall après 12 ans de présidence.

    ‘’Le président Macky Sall ne va pas s’ennuyer!  Même en quittant la présidence de la République, il vivra sous les lambris dorés du pouvoir. Un privilège tiré du décret numéro 2013- 125 qu’il avait lui-même signé. Selon un communiqué émanant de la présidence de la République, en dehors du traitement mensuel de 10 millions francs CFA, les ex présidents bénéficient d’une assurance maladie étendue à leurs  conjointes en plus de deux véhicules, d’un téléphone fixe, d’un logement et du mobilier d’ameublement’’, explique le journal.

     »Concernant le logement dans le cas où l’ex président y renonce, il perçoit en compensation une indemnité d’un montant mensuel net de 4 500 000 francs Cfa. Toujours au chapitre des privilèges pour les anciens présidents, l’Etat du Sénégal prend également en charge à hauteur de 40 000 000 francs Cfa par an, le coût de leurs billets d’avion ainsi que leurs conjointes’’, ajoute Walf.

    OID/AKS

  • SENEGAL-AFRIQUE-INVESTISSEMENTS / Macky Sall insiste sur un environnement des affaires libre et compétitif

    SENEGAL-AFRIQUE-INVESTISSEMENTS / Macky Sall insiste sur un environnement des affaires libre et compétitif

    Diamniadio, 6 juil (APS) – Le président de la République Macky Sall a souligné, jeudi à Diamniadio la nécessité pour le continent africain d’avoir un environnement des affaires libre et compétitif.

    ‘’Nous devons évoluer dans un environnement de libre concurrence et compétition, tous nos partenaires doivent se mettre en tête que c’est la compétition en Afrique », a-t-il dit en présidant l’ouverture du forum Invest-in Sénégal organisé par l’APIX.

     »Il faut que ces investisseurs se mettent à l’esprit qu’ils vont aller dans un terrain de chasse où il y a d’autres  chasseurs. Il n’y a plus de monopole », a-t-il insisté.

    Macky Sall estime que le contient africain doit faire l’effort d’être attractif et d’être en mesurer d’attirer les investissements mais dit-il, il faut que les partenaires comprennent que les terres conquises n’existent plus.  »Maintenant, on va à la compétition »,  a-t-il indiqué.

    ABD/OID/AKS

  • SENEGAL-INVESTISSEMENT-FORUM / ‘’La paix et la sécurité, préalables sans lesquels, il ne peut y avoir d’investissement’’, selon Macky Sall

    SENEGAL-INVESTISSEMENT-FORUM / ‘’La paix et la sécurité, préalables sans lesquels, il ne peut y avoir d’investissement’’, selon Macky Sall

    Dakar, 6 juillet (APS) – Le président de la République Macky Sall a insisté, jeudi, à Diamniadio, sur la nécessité pour les Etats de préserver la paix et la sécurité afin d’attirer les investisseurs.

    ‘’Notre premier investissement, c’est la paix, la sécurité, la stabilité et l’état de droit. Ce sont des préalables sans lesquels, il ne peut y avoir ni commerce ni investissement durable’’, a-t-il déclaré.

    Le chef de l’Etat présidait la première édition du forum Invest-in Sénégal en présence du vice-président de la République de Côte-d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné, dont le pays est l’invité d’honneur de cette rencontre organisée par l’APIX.

    Des membres du gouvernement, d’organisations du secteur privé, entre autres, ont pris part à cette cérémonie.

    Macky Sall a rappelé que partout dans le monde, ces piliers sont les fondements d’un environnement attractif des affaires.

    ‘’Ce sont des facteurs que tout investisseur avisé cherche à évaluer avant de miser sur un pays », a-t-il souligné.

    Il a relevé que le rôle des pouvoirs publics est avant tout de veiller au maintien de ces fondamentaux à savoir la paix, la sécurité, la stabilité et l’état de droit.

     »C’est ce que nous allons continuer à faire au Sénégal’’, a-t-il dit, assurant qu’il y avait aucun risque à venir investir au Sénégal.

    Le président Macky Sall a indiqué par ailleurs que l’enjeu pour le Sénégal est de créer et maintenir un standing national qui tend vers les standards internationaux afin de stimuler les investissements en mettant en avant les atouts et en identifiant objectivement les fragilités.

    Le forum invest in Sénégal doit surtout s’inscrire dans une logique de perfectionnement devant permettre au pays de délivrer les meilleures performances en restant à l’écoute des partenaires du secteur privé et intégrant les pratiques qui sont font ailleurs, a-t-il estimé.

    ABD/OID

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / La réhabilitation de Khalifa Sall et de Karim Wade et les préparatifs de la présidentielle à la Une

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / La réhabilitation de Khalifa Sall et de Karim Wade et les préparatifs de la présidentielle à la Une

    Dakar, 6 juil (APS) – La réhabilitation de Khalifa Sall et de Karim Wade grâce à la mise en œuvre des conclusions du  dialogue national et les préparatifs de l’élection présidentielle du 25 février 2024 à laquelle ne participera pas Macky Sall sont au menu des quotidiens reçus jeudi à l’APS.

    Selon Le Soleil, ‘’le gouvernement passe aux actes’’ avec l’examen et l’adoption en Conseil des ministres du projet de loi modifiant le code électoral conformément aux conclusions du dialogue national.

    ‘’Macky Sall acte le dialogue’’, affiche à la Une Sud Quotidien, qui écrit : ‘’Après avoir donné des gages à l’ouverture du dialogue national, le mercredi 31 mai 2023 et réitéré cet engagement lors de sa clôture, en recevant les conclusions le samedi 24 juin, puis lors de son message à la Nation de lundi dernier, le président Macky Sall l’a +acté+ hier, mercredi 5 juillet. En effet, le Conseil des ministres a examiné et adopté les projets de loi portant révision de la Constitution, modification du Code électoral et du Code pénal. Ces textes seront soumis au vote : de l’Assemblée nationale, en procédure d’urgence’’.

    Selon L’Observateur, ‘’Macky Sall pose l’acte 1 de la réhabilitation de Khalifa Sall et de Karim Wade’’. ‘’Plus de temps à perdre. Le Président Macky Sall a commencé hier, en Conseil des ministres, à poser les premiers actes de la concrétisation des décisions prises lors de son adresse à la Nation du 3 juillet 2023’’, rapporte L’Obs.

    Le quotidien Kritik parle de ‘’lavage à grande eau de Karim Wade et de Khalifa Sall’’.

    ‘’Ecartés de la course à la présidentielle en 2019 pour avoir écopé de peines fermes d’emprisonnement, Khalifa Sall et Karim Wade sont en train de renaitre’’, écrit le journal.

    Selon WalfQuotidien, ‘’la réintégration dans le jeu politique de Karim Wade et Khalifa Sall, respectivement candidat déclaré du Pds et de Taxawu Sénégal, est en bonne voie’’.

    ‘’Après la grâce présidentielle et la participation de leur formation politique respective au dialogue national, le Conseil des ministres d’hier a examiné et adopté le projet de loi portant révision de la constitution, le projet de loi modifiant le code électoral et enfin le projet de loi modifiant le code pénal. Ces modifications permettront à Karim Wade et Khalifa Sall, jusque-là inéligibles en raison de leur condamnation à des peines de prison ferme, de pouvoir briguer le suffrage universel lors de l’élection présidentielle du 25 février 2024’’, indique Walf.

    Concernant l’élection présidentielle, le quotidien EnQuête note qu’à ‘’7 mois chrono’’ de l’échéance, ‘’c’est encore le grand flou sur les candidats de certains grands partis’’.

    ‘’A sept mois de l’élection présidentielle, c’est encore le grand flou sur les candidats de certains grands partis politiques. Mais avec le lancement de la collecte des parrainages qui arrive à grands pas, les états-majors seront obligés de presser le pas. S’ils doivent avoir des plans B ou Z, ils seront obligés de les dévoiler, lors du retrait des formulaires’’, souligne le journal.

    Au sujet de la présidentielle toujours, L’Observateur signale qu’après son retrait de la course, ‘’Macky Sall engage la bataille de succession’’. ‘’Le Secrétariat exécutif national (Sen) de l’Alliance pour la République (APR) s’est tenu hier, au Palais de la République. Le Président Macky Sall qui ne participe pas à la Présidentielle de 2024, a promis à ses lieutenants de les accompagner à la victoire’’, signale le journal.

    Le quotidien Bës Bi souligne qu’après sa non candidature, ‘’Macky Sall fait son candidat’’ en demandant au gouvernement ‘’Un plan d’actions de 6 mois pour des projets sociaux’’.

    La publication explique qu’en ‘’’se fixant un nouveau plan de travail, il a en ligne de mire la Présidentielle à laquelle il ne participera pas. Mais au moins pour laisser encore un bilan plus reluisant. Surtout pour offrir à son candidat du +biscuit+ pour sa campagne’’.

    ‘’En attendant le nom de celui qui portera les couleurs de Benno, le président de l’APR se pose en +directeur de campagne+. Il a demandé au Premier ministre de présenter lors du prochain Conseil des ministres, +le Plan d’actions du Gouvernement pour les 6 prochains mois (juillet au 31 décembre 2023) en plaçant, parmi les priorités, les programmes d’équité sociale et territoriale (bourses de sécurité familiale, Pudc, Puma, Promovilles, Pacasen urbain et rural…) et les solutions rapides pour promouvoir les formations, l’apprentissage, l’entreprenariat et l’emploi des jeunes+’’, rapporte Bës Bi.

    OID/AKS

     

     

     

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / La survie de BBY en débat après le retrait de Macky Sall

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / La survie de BBY en débat après le retrait de Macky Sall

    Dakar, 5 juil (APS) – Les quotidiens s’interrogent sur la survie de la coalition Benno Bokk Yaakaar et la question de la désignation de son candidat après le retrait de Macky Sall de la course à la présidentielle de 2024.

    ‘’Ces défis qui attendent BBY’’, affiche à sa Une Le Soleil qui estime que ‘’la décision du Président Macky Sall de ne pas aller à une troisième candidature à l’élection présidentielle aura plusieurs implications sur la scène politique sénégalaise’’.

    ‘’Du côté de la majorité, la coalition Benno bokk yaakaar, en place depuis 2012, il faudra poser le débat des perspectives à sept mois de la Présidentielle du 25 février 2024’’, ajoute le journal.

    L’As évoque des ‘’frictions en vue’’ et ‘’le choc des ambitions en perspective’’. ‘’Avec onze ans d’existence, Benno Bokk Yaakaar (BBY) a réussi le pari de la longévité. Macky Sall a su gérer d’une main de maître cette coalition qui regroupe des partis et entités venus d’horizons divers avec des idéologies différentes. Aujourd’hui qu’il ne se présente plus à la Présidentielle de 2024, on se demande si les jours de cette coalition ne sont pas comptés’’, note la publication.

    ‘’Exit Macky. Place à qui ?’’, s’interroge le quotidien Bës BI.

    ‘’Le Président Sall a donc la délicate tâche de désigner son dauphin. Peut-être l’a-t-il déjà choisi. Mais dans cet océan d’incertitudes et d’ambitions au sein de son parti, son candidat aura du mal à se déployer. 3 noms circulent parce que ce sont les plus en vue. Amadou Ba, Aly Ngouille Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo. Ces 3 +A+ veulent être les premières lettres de la liste du Président. Il y a aussi, semble-t-il, Antoine Diome. Mais que valent-ils ? Le chef de Benno bokk yaakaar doit d’abord faire face au reflux de sa décision de ne pas se présenter en 2024. Car ses alliés, qui comptaient bien l’accompagner s’il y allait, peuvent bien revoir leur copie. Pas forcément avoir un candidat. Mais surtout soutenir d’autres qui ne soient pas le choix du Président. Macky Sall va devoir faire avec des dos… fins. Faute de compter sur d’autres avec plus d’épaisseur politique’’, lit-on dans le journal.

    Selon WalfQuotidien, le retrait de Macky Sall de la course à la présidentielle du 25 février 2024 à moins de sept mois du scrutin ‘’impose au chef de l’Etat et ses collaborateurs un bon casting pour assurer la continuité’’. ‘’Un choix difficile, selon des observateurs, au regard des rivalités intenses entre des responsables comme le Premier ministre, Amadou Bâ, le président du Cese Abdoulaye Daouda Diallo, le ministre de l’Agriculture Aly Ngouille Ndiaye…’’.

    ‘’L’Unité de BBY, Une épreuve de feu !’’, s’exclame EnQuête. ‘’Avec plus de 470 maires, 37 présidents de conseil départemental, 82 députés, près de 50 % de l’électorat aux dernières élections législatives, Benno Bokk Yaakaar demeure une force politique indéniable, dont le contrôle est devenu l’enjeu majeur en direction de la prochaine Présidentielle, surtout après le renoncement de son porte-étendard à une troisième candidature’’, estime le journal.

    ‘’BBY cherche candidat : s’unir ou périr’’, selon Kritik qui écrit : ‘’Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Si la déception est la chose la plus partagée dans le camp du pouvoir, la crainte d’un avenir incertain, la peur d’un retour de bâton même la probabilité d’une chasse aux sorcières hantent les dignitaires du régime sortant qui sont désormais obligés de s’unir ou de périr ensemble’’.

    L’Observateur signale qu’après ‘’avoir caché son jeu à ses frères de parti’’, le Président de l’Alliance pour la République (APR) ‘’va échanger avec les responsables de son parti’’. ‘’Macky Sall a convoqué le Secrétariat exécutif national (Sen) de l’Apr ce soir. Une rencontre qui sera une occasion pour le président d’aborder la question de sa succession en interne. Il est aussi attendu à cette réunion que le sujet sur la candidature de Benno bokk yaakaar (Bby) à la Présidentielle du 25 février 2024 soit débattu, après que Macky Sall a renoncé’’, explique le journal.

    Source A parle d’une ‘’réunion cruciale’’.

    ‘’Macky Sall ne sera pas candidat à sa propre succession. Il en a décidé ainsi le 03 juillet dernier. Mais la question de son dauphin est sur toutes les lèvres. Plusieurs profils sont avancés en même temps mais les contraintes de temps s’imposent pour jouer sur la bonne préparation du successeur de Macky Sall. Les Partis politiques alliés de Benno n’ont que 8 mois pour désigner un candidat s’ils décidaient de quitter la grande Coalition de la majorité. Mais, pour enjamber le temps, Macky Sall a convoqué, pour ce mercredi, une réunion du Secrétariat exécutif national de l’APR. Pour non seulement expliquer davantage à ses camarades de Parti le bien- fondé de sa renonciation à sa candidature. Mais aussi, pour poser les jalons d’une unité des coeurs au sein de sa famille politique. Avant d’arriver prochainement au choix du dauphin’’, explique le journal.

    Le Quotidien souligne que ‘’le Président Macky Sall est appelé à se pencher sur ses derniers dossiers, à 9 mois de la fin de son mandat. Ceux-ci ont pour noms : la gestion judiciaire des évènements du mois de juin, le choix d’un candidat pour la majorité pour la Présidentielle de 2024, l’avenir de Benno bokk yaakaar (Bby), le dossier des 1000 milliards du Force Covid-19 et l’achèvement des projets et programmes qu’il a mis en place’’.

    OID/AKS

  • SENEGAL-EEDUCATION-EXAMENS / Bac : Macky Sall souhaite plein succès aux candidats

    SENEGAL-EEDUCATION-EXAMENS / Bac : Macky Sall souhaite plein succès aux candidats

    Dakar, 4 juil (APS) – Le président de la République, Macky Sall, a souhaité, mardi, plein succès aux 155 000 candidats au Baccalauréat général.

    ‘’Je souhaite plein succès aux 155 000 candidats au Baccalauréat général et rends hommage à leurs braves parents et valeureux enseignants. Bon courage !’’, a twitté Macky Sall.

    Quelque cent cinquante-cinq mille cent neuf (155109) candidats, soit une hausse de 4184 candidats par rapport à 2022, ont entamé ce mardi les épreuves du Baccalauréat général.

    Le nombre de filles est de 88467, soit 57,04% des effectifs.

    Le pourcentage de candidats issus du public est de 52.89% et celui des candidats individuels de 16,49%, indique l’Office du Baccalauréat.

    OID