Auteur/autrice : Abdou Kogne SALL

  • SENEGAL-MALI-MONDE-JUSTICE / La CPI reconnaît le Malien Al Hassan Ag Mahmoud coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité 

    SENEGAL-MALI-MONDE-JUSTICE / La CPI reconnaît le Malien Al Hassan Ag Mahmoud coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité 

    Dakar, 26 juin (APS) – Le militant islamiste malien Al Hassan Ag Mahmoud, dit Al Hassan, âgé de 46 ans, a été reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, mercredi, par la Cour pénale internationale (CPI), ont annoncé plusieurs médias.

    Présenté comme le commissaire de la police islamique du groupe Ansar Din, il a été condamné pour des actes de torture et d’atteinte à la dignité de la personne commis en 2012 et 2013 à Tombouctou, dans le centre du Mali.

    La chambre de première instance X de la CPI n’a pas encore indiqué la durée de la peine requise contre Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud, son nom à l’état civil.

    L’homme est présenté également comme un associé du tribunal islamique que des groupes se réclamant de la mouvance islamiste avaient institué à Toumbouctou.

    Le bureau du procureur de la CPI avait évoqué, à son sujet, des actes de torture, de viol, d’esclavage sexuel, etc.

    Cinquante-deux témoins présentés par le procureur et 22 autres par la défense ont comparu à l’audience ouverte les 14 et 15 juillet 2023 pour le jugement du militant islamiste.

    AKS/ASG/ESF

  • SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Dakar réaffirme sa solidarité et son soutien aux autorités du Burkina Faso (officiel)

    SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Dakar réaffirme sa solidarité et son soutien aux autorités du Burkina Faso (officiel)

    Dakar, 26 juin (APS) – Le gouvernement sénégalais a réaffirmé sa solidarité aux autorités du Burkina Faso et salué leurs efforts dans la lutte contre le terrorisme au lendemain d’une manifestation d’activistes devant la représentation diplomatique du Sénégal à Ouagadougou.

    ‘’Le gouvernement sénégalais, réaffirme sa solidarité et salue les efforts du gouvernement burkinabé dans sa lutte résolue contre le terrorisme et ses efforts pour la restauration de l’intégrité territoriale’’, indique notamment le ministère sénégalais de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères.

    Il a réaffirmé cette position dans un communiqué rendu public à la suite de la tenue mardi d’un sit-in organisé devant l’ambassade du Sénégal au Burkina par des membres de la Coordination nationale des associations de la veille citoyenne du Burkina Faso.

    Cette manifestation avait été organisée en vue de remettre à l’ambassadeur du Sénégal au Burkina Faso une copie d’une lettre de protestation que son président Djibril Sawadogo avait adressée au Coordonnateur d’Amnesty international Burkina, assure le gouvernement sénégalais.

    La diplomatie sénégalaise fait en même savoir que ni le personnel diplomatique, ni les locaux de l’ambassade sénégalaise n’ont fait l’objet d’une quelconque menace de même que les citoyens sénégalais résidant au Burkina Faso, qui continuent de vaquer à leurs occupations.

    La manifestation de la Coordination nationale des associations de la veille citoyenne du Burkina Faso devant la représentation diplomatique du Sénégal à Ouagadougou a été organisée en réaction à un rassemblement tenu vendredi à Dakar par la Coalition sénégalaise des défenseurs des droits humains (COSEDDH) et Amnesty International.

    Le gouvernement du Sénégal signale que le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabé de l’extérieur a exprimé son regret après l’organisation de la manifestation dans la capitale sénégalaise, mais n’a aucunement reproché au Sénégal une quelconque forme d’ingérence.

    AKS/ASG

  • SENEGAL-MONDE-JUSTICE / CPI : le Malien Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud fixé sur son sort mercredi

    SENEGAL-MONDE-JUSTICE / CPI : le Malien Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud fixé sur son sort mercredi

    Dakar, 25 juin (APS) – La Cour pénale internationale va rendre mercredi son jugement en première instance dans le procès pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité intenté par le bureau du procureur de la juridiction contre le Malien, Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud, présenté comme un membre influent du groupe jihadiste Ansar Din à Tombouctou, au moment des faits présumés, a appris l’APS de la juridiction internationale.

    ‘’Le 26 juin 2024 à 12h00 (heure locale de La Haye), la Chambre de première instance X de la Cour pénale internationale prononcera son verdict sur une condamnation ou un acquittement dans l’affaire opposant le Procureur à Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud », fait savoir la CPI sur son site officiel.

    La juridiction internationale signale que le jugement sera rendu en audience publique dans la salle d’audience 1 de la Cour et l’audience. Les juges pouvant soit acquitter, soit condamner l’accusé.

    Le prévenu, suspecté d’avoir été un membre du groupe Ansar Diin, au point d’avoir été commissaire de facto de la Police islamique associé au travail du Tribunal islamique de Tombouctou, est accusé de crimes de guerre et crimes contre l’humanité sur la période allant d’avril 2012 à janvier 2013.

    Le Bureau du procureur de la CPI a évoqué entre autres crimes la torture, le viol, l’esclavage sexuel et d’autres actes inhumains.

    Quelque 52 témoins présentés par le procureur et 22 autres présentés par la défense ont comparu à l’audience qui avait été ouverte les 14 et 15 juillet 2023.

    AKS/OID

  • SENEGAL-DIPLOMATIE / Appel à la création de conditions permettant un meilleur accès des femmes au monde diplomatique

    SENEGAL-DIPLOMATIE / Appel à la création de conditions permettant un meilleur accès des femmes au monde diplomatique

    Dakar, 25 juin (APS) – La ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, a souligné la nécessité de créer les conditions permettant à davantage de femmes d’embrasser le métier de diplomate.

    “Il y a du travail à faire au niveau mondial pour améliorer la représentativité des femmes dans la sphère diplomatique. Cela n’exclut pas la responsabilité de l’Etat et de ses institutions de créer les conditions pour ouvrir le métier’’, a-t-elle notamment déclaré.

    La ministre sénégalaise des Affaires étrangères intervenait lundi soir à un panel organisé dans le cadre de la Journée internationale des femmes dans la diplomatie.

    La rencontre à l’initiative de l’Union des conseillers des affaires étrangères du Sénégal et l’Amicale des chanceliers des affaires étrangères du Sénégal était consacrée au thème : “Carrières et leadership des femmes en diplomatie : regards croisés.”

    L’objectif du panel était de mettre en exergue le parcours inspirant de femmes diplomates, évoquer les atouts et obstacles liés à la carrière, identifier les défis auxquels elles sont confrontées et réfléchir sur les moyens d’accroître leur participation à la gouvernance mondiale.

    La rencontre à laquelle ont pris part nombre de diplomates et d’associations de femmes au Sénégal a également permis d’aborder les aspects liés à la représentativité des femmes dans cette profession longtemps considérée comme ‘’ l’apanage des hommes’’.

    De l’avis de Yassine Fall, les femmes ont une capacité extraordinaire de survie et de résilience pour réussir une carrière de diplomate. ‘’Il ne reste qu’à les accompagner à tous les niveaux afin de leur permettre non seulement de s’épanouir dans le milieu passionnant de la diplomatie, mais surtout de participer aux processus de prise de décisions’’, a-t-elle laissé entendre.

    ‘’Cet accompagnement doit s’articuler autour de l’aspect éducatif et celui de la réflexion critique en vue de leur permettre d’avoir une parfaite compréhension des relations entre les Etats, les institutions et les enjeux géostratégiques mondiaux et africains’’, a ajouté la ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères.

    KM/AKS/ASG

  • SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Assimi Goïta à Ougadougou pour une visite de travail et d’amitié

    SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Assimi Goïta à Ougadougou pour une visite de travail et d’amitié

    Dakar, 25 juin (APS) – Le président du Mali, le colonel Assimi Goïta, est arrivé ce mardi en fin de matinée à Ouagadougou pour une visite d’amitié et de travail, a annoncé la présidence du Burkina Faso.

    Le chef de l’Etat malien a été accueilli à sa descente d’avion par son homologue burkinabé, le capitaine Ibrahim Traoré, a indiqué la Présidence du Faso sur sa page Facebook.

    L’information est illustrée d’images immortalisant la venue du président malien sur le sol burkinabé. L’une d’elles montre notamment les deux dirigeants, en uniforme, échangeant vraisemblablement des civilités.

    A la suite de l’exécution des hymnes des deux pays sur le tarmac de l’aéroport de Ouagadougou, Assimi Goïta et Ibrahim Traoré ont été acclamés à leur sortie par une foule nombreuse massée devant l’aéroport sur le chemin de la Présidence du Faso, a constaté l’Agence d’information du Burkina Faso.

    L’AIB a en même temps fait savoir que les deux hommes s’étaient entretenus une première fois au salon d’honneur de l’aéroport.

    La présidence malienne qualifie le déplacement de Goïta  »d’étape importante » dans le partenariat entre les deux pays en précisant que les deux chefs d’Etat allaient échanger sur les efforts contribuant à la pacification de l’AES (Alliance des pays Sahel, regroupant les deux pays et le Niger).

    La visite d’Assimi Goïta à Ougadougou est interprétée par bon nombre d’observateurs comme un soutien au régime de son homologue burkinabé.

    Elle survient dans un contexte marqué par un regain d’attaques d’insurgés contre les populations civiles et l’armée Burkinabé. La dernière en date a récemment fait perdre la vie à une centaine de soldats dans la localité de Mansila, ont confirmé plusieurs sources.

    AKS/ASG

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / Les députés en plénière samedi pour un débat d’orientation budgétaire

    SENEGAL-INSTITUTIONS / Les députés en plénière samedi pour un débat d’orientation budgétaire

    Dakar, 24 juin (APS) – Les députés se retrouvent en séance plénière samedi à partir de 9 h 30 pour un débat d’orientation budgétaire, a-t-on appris de source officielle, lundi.

    Cheikh Diba, le ministre des Finances et du Budget, sera ainsi face aux députés lors de cette séance qui va en même temps marquer la clôture de la session unique 2023-2024 de l’Assemblée nationale, indique l’institution parlementaire dans un communiqué émanant de son service de communication.

    AKS

  • SENEGAL-MONDE-JUSTICE / La CPI émet un mandat d’arrêt international à l’encontre du Malien Iyad Ag Ghaly

    SENEGAL-MONDE-JUSTICE / La CPI émet un mandat d’arrêt international à l’encontre du Malien Iyad Ag Ghaly

    Dakar, 22 juin (APS) – La Cour pénale internationale a émis vendredi un mandat d’arrêt international à l’encontre d’Iyad Ag Ghaly pour des faits présumés de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis au nord du Mali entre janvier 2012 et janvier 2013 à la tête du groupe Ansar Dine, un mouvement armé très actif à cette époque dans cette partie du territoire malien.

    La Chambre préliminaire I de la CPI, a, notamment, à la demande du procureur, rendu public le mandat d’arrêt à l’encontre d’Iyad Ag Ghaly pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui auraient été commis au nord du Mali. Le mandat avait été initialement délivré sous scellés le 18 juillet 2017, indique la juridiction internationale sur son site officiel.

    La CPI estime qu’il existe des motifs raisonnables de croire que M. Ghaly, surnommé Abou Fadl serait le chef incontesté d’Ansar Dine, qui avait le contrôle à l’époque des faits de Tombouctou jointement avec Al Qaida dans le Maghreb islamique (AQMI).

    Iyad Ag Ghaly, natif de la région de Kidal, est suspecté de meurtres de soldats hors combats à Aguelhoc, de viols, d’esclavage sexuel et d’autres formes de violence sexuelle, d’atteinte à l’intégrité corporelle entre autres en ce qui concerne les crimes de guerre.

    S’agissant des crimes contre l’humanité pour lesquels la responsabilité de ce malien d’ethnie touareg membre de la tribu des Ifoghas, la CPI a, entre autres, visé des faits d’empoisonnement, de privation de liberté physique, de tortures et d’actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique.

    AKS/AB

  • SENEGAL-SOCIETE / Le nom de l’individu suspecté d’un meurtre ne figure pas sur la liste des personnes graciées (ministère de la Justice)

    SENEGAL-SOCIETE / Le nom de l’individu suspecté d’un meurtre ne figure pas sur la liste des personnes graciées (ministère de la Justice)

    Dakar, 22 juin (APS) – Le ministère de la Justice a déclaré que le nom de la personne suspectée du meurtre d’un jeune homme dans la banlieue dakaroise, ne figure pas sur la liste des détenus ayant bénéficié d’une mesure de grâce à la veille de la célébration de la Tabaski.

    Dans un communiqué parvenu à l’Agence de presse sénégalaise, le ministère de la Justice assure qu’aucun individu répondant au nom de la personne suspectée ne figure sur le décret de grâce concerné.

    Il rappelle en même temps qu’il n’y pas de condamné qui ne puisse prétendre à une mesure de grâce,  »le critère le plus déterminant étant l’offre de gages sérieux d’amendement et de réinsertion sociale ».

    Le débat sur l’opportunité de la grâce présidentielle a dernièrement été agité dans l’espace public après la publication d’une information faisant étant de la commission d’un meurtre par un individu ayant récemment bénéficié de la mesure.

    AKS

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Les orientations et missions de l’OIF au menu d’échanges entre le président Faye et Louise Mushikiwabo

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Les orientations et missions de l’OIF au menu d’échanges entre le président Faye et Louise Mushikiwabo

    Dakar, 22 juin (APS) – Le chef de l’Etat sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a échangé vendredi à Paris avec la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), la rwandaise Louise Mushikiwabo, sur les orientations et les missions de cette  instance regroupant 88 Etats, a-t-on appris de source officielle.

     »Le chef de l’État a accordé ce matin à Paris une audience à Madame Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie. Cette prise de contact a permis d’échanger sur les orientations et les missions de l’organisation, dont le Sénégal est un des membres éminents », a notamment indiqué la Présidence du Sénégal dans un message partagé sur le réseau social X.

    Cette rencontre avec la secrétaire générale de l’OIF s’inscrit dans le cadre d’une série d’entretien entreprise par le nouveau président sénégalais en déplacement dans la capitale française pour les besoins d’un forum mondial consacré à la souveraineté et à l’innovation vaccinales en Afrique, une initiative de l’Alliance pour le vaccin GAVI.

    A Paris, Bassirou Diomaye Faye a également échangé avec son homologue rwandais, Paul Kagamé qui a récemment été en visite d’amitié et de travail au Sénégal. Les deux chefs d’Etat ont de nouveau évoqué la visite que le président Faye envisage de faire prochainement à Kigali et du renforcement de la coopération bilatérale, a fait savoir la Présidence sénégalaise par le même canal.

    AKS

  • SENEGAL-POLITIQUE / Amadou Ba assure travailler à la construction d’un nouveau cadre politique

    SENEGAL-POLITIQUE / Amadou Ba assure travailler à la construction d’un nouveau cadre politique

    Dakar, 22 juin (APS) – L’ancien Premier ministre, Amadou Ba, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 24 mars, s’est engagé vendredi à mettre en place dans les prochaines semaines un cadre politique porteur d’une  »nouvelle orientation » et d’une  »nouvelle dynamique ».

    ‘’Ensemble, nous construirons dans les toutes prochaines semaines, un nouveau cadre résolument porteur d’une nouvelle orientation et d’une nouvelle dynamique politiques’’, a-t-il fait savoir dans une déclaration rendue publique.

    Amadou Ba n’a pas donné davantage de détails sur les contours et les orientations de ce nouveau cadre politique, ni sur son avenir au sein de l’Alliance pour la République (APR, formation politique dirigée par Macky Sall), mais a proposé à ses compatriotes de s’assigner une nouvelle responsabilité ayant pour but de bâtir une société équilibrée.

     »Notre nouvelle responsabilité, à laquelle j’appelle toutes les bonnes volontés, est de conjuguer le futur au présent en multipliant les espaces de concertation, de discussions, de débats d’idées, de projets et d’action, où se tissent une nouvelle trajectoire, une nouvelle dynamique, une nouvelle manière de faire la politique », a toutefois indiqué l’ancien chef du gouvernement.

    Il a ainsi invité tous ses amis et cadres du pays et de la diaspora à le rejoindre dans ce qu’il considère comme un combat pour asseoir et conduire cette nouvelle responsabilité à laquelle il appelle.  » Je m’y engage, sans aucune concession possible, vous y engage également, en sachant pouvoir compter sur vous tous pour mener le combat », a affirmé Amadou Ba.

    ‘’Notre conviction intime est qu’à présent, nous devons regarder résolument vers l’avenir dans la perspective de nous assigner une nouvelle responsabilité. Nous y sommes même condamnés, si nous ne voulons laisser aucune chance aux démons de la division et de la violence de nous mettre face à de nouveaux périls, alors que nous avons de réelles opportunités de réaliser notre émergence politique et économique’’, a-t-il estimé.

    L’ancien Premier ministre souligne à cet égard la nécessité de faire de l’espace politique un lieu apaisé, un cadre de confrontations d’idées, de définition de stratégies, de projets et de programmes dans l’unique but de construire une société équilibrée pouvant offrir à chaque citoyen les moyens de vivre heureux et de participer activement à la vie de la communauté.

    ‘’Notre Nouvelle responsabilité est d’incarner une opposition démocratique et républicaine. Une opposition adossée à la fois dans sa conduite et dans son action à une éthique politique soucieuse en priorité de la vie de chaque Sénégalaise et de chaque Sénégalais’’, a-t-il ajouté dans la déclaration parvenue à l’APS.

    Le candidat de la mouvance présidentielle sortante à l’élection présidentielle du 24 mars dernier a insisté sur le fait que la Constitution indiquait clairement que les ressources naturelles appartiennent aux populations.

    ‘’Face à cette prescription impérieuse, notre responsabilité est de tout faire pour que ce qui est aujourd’hui perçu comme un idéal de bien commun passe d’un principe à une réalité dans la vie de chaque citoyen’’, a-t-il fait valoir.

    Amadou Ba n’a pas manqué de signaler que la dernière élection présidentielle illustrait la capacité politique du sénégalais ‘’’à veiller sur les équilibres et à tracer des lignes rouges, dont les institutions de la république demeurent les garants de leur inviolabilité’.

    AKS