Auteur/autrice : Abdou Kogne SALL

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / A Paris, Bassirou Diomaye Faye a rencontré Abdou Diouf

    SENEGAL-INSTITUTIONS / A Paris, Bassirou Diomaye Faye a rencontré Abdou Diouf

    Dakar, 21 juin (APS) – Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a rendu visite vendredi à l’ancien chef de l’État sénégalais, Abdou Diouf, en marge de son séjour dans la capitale française.

    Dans un message partagé sur le réseau social X, Bassirou Diomaye Faye a indiqué avoir eu un « riche entretien » avec le deuxième président de la République du Sénégal (1981-2000).

    « Je remercie le président Diouf et sa famille pour l’accueil chaleureux qu’ils m’ont réservé et prie Allah de lui prêter longue vie et bonne santé afin qu’il continue de nous éclairer de sa sagesse et de ses conseils avisés », a déclaré le nouveau chef de l’État sénégalais.

    AKS

  • SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Onze cadres de l’opposition malienne arrêtés (média)

    SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Onze cadres de l’opposition malienne arrêtés (média)

    Dakar, 21 juin (APS) – Au moins, onze membres de partis politiques opposés à la prolongation de la transition militaire au Mali ont été arrêtés jeudi à Bamako, a-t-on appris de source médiatique.

    Il s’agit notamment de cadres de l’opposition qui ont été arrêtés alors qu’ils participaient à une réunion d’une plateforme dite de ‘’la déclaration commune du 31 mars’’ regroupant des formations politiques opposées à la prolongation de la transition qui devait s’achever il y a trois mois, indique le site d’information de Radio France internationale.

    Parmi les personnes mises aux arrêts figurent Mohamed Ali Bathily du M5 Mali Kura, Yaya Sangaré de l’Adema, ou encore Moustapha Dicko de l’Adema également, au domicile duquel se tenait la réunion, rapporte RFI.

    Elle signale en la présence parmi les opposants arrêtés des membres du Rassemblement pour le Mali (RPM) de l’ancien président Ibrahim Boubacar Keïta, ou encore le Parti pour le développement économique et la solidarité, de l’ex-président Amadou Toumani Touré.

    En avril, les autorités militaires de la transition avaient annoncé l’interdiction de la tenue de toute activité relative à la politique dans le pays.

    Selon le site d’information de RFI, les cadres de l’opposition travaillaient au moment de leur arrestation sur un projet de règlement intérieur de leur plateforme et l’élaboration d’un plan d’action.

    AKS/ASB

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour se rendre en France

    SENEGAL-INSTITUTIONS / Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour se rendre en France

    Dakar, 19 juin (APS) – Le président Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar mercredi au matin pour se rendre à Paris où il doit participer jeudi au Forum mondial pour la souveraineté et l’innovation vaccinales, a annoncé la Présidence sénégalaise.

    Cette rencontre de haut niveau va marquer le lancement de l’initiative dénommée : ‘’Accélérateur de la production des vaccins en Afrique (AVIMA).

    Elle va en même temps consacrer le début de la campagne de reconstitution des fonds de l’Alliance du vaccin (GAVI) pour la période 2026-2030.

    Le déplacement dans la capitale française du chef de l’Etat sénégalais fait suite à une invitation de l’initiative GAVI et de l’Union africaine.

    Le président de la République va, à l’issue de sa participation au Forum, déjeuner avec son homologue français, Emmanuel Macron.

    AKS/OID

  • SÉNÉGAL-ARABIE-NECROLOGIE / Décès à La Mecque de trois pèlerins sénégalais

    SÉNÉGAL-ARABIE-NECROLOGIE / Décès à La Mecque de trois pèlerins sénégalais

    Dakar, 16 juin (APS) – Le ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères a annoncé le décès à La Mecque de trois  pèlerins sénégalais, conduits par des voyagistes privés.

    Dans un communiqué rendu public, dimanche, le ministère a déclaré avoir donné des instructions afin que des dispositions soient prises en vue de leur  inhumation.

    « Le Consul général du Sénégal à Djeddah a été immédiatement instruit, en rapport avec la Délégation générale au pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, et les autorités saoudiennes compétentes, de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de l’inhumation, sur place des personnes décédées, conformément à la tradition musulmane », indique le communiqué.

    AKS/OID

  • SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa réélu président

    SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa réélu président

    Dakar, 15 juin (APS) – Le président Sud-africain, Cyril Ramaphosa, 71 ans, a été réélu vendredi à la tête du pays à l’issue d’un vote de la nouvelle Assemblée nationale issue des dernières élections législatives.

    Le syndicaliste et homme d’affaires, arrivé au pouvoir en 2018 à la suite de la démission du président d’alors, Jacob Zuma, va ainsi présider aux destinées de la Nation Arc en ciel les cinq prochaines années.

    La réélection de Cyril Ramaphosa survient au lendemain de l’annonce par son parti, le Congrès national africain (ANC), d’un accord avec d’autres formations politiques pour la formation d’un gouvernement de coalition.

    Le parti de Nelson Mandela, arrivé en tête des élections législatives en Afrique du Sud avec 40, 19 % des suffrages, mais n’a pas réussi à conserver la majorité absolue au Parlement, une première en trente ans.

    Le parti au pouvoir a été crédité de 159 sièges sur les 400 que compte l’Assemblée nationale sud-africaine. Ce qui l’a placé dans l’obligation de trouver un accord avec d’autres formations politiques pour continuer à gouverner l’Afrique du Sud.

    AKS

  • SENEGAL-ETATSUNIS-POLITIQUE / Uzra Zeya : « La démocratie est le socle de la stabilité du Sénégal »

    SENEGAL-ETATSUNIS-POLITIQUE / Uzra Zeya : « La démocratie est le socle de la stabilité du Sénégal »

    Dakar, 14 juin (APS) – Le sous-secrétaire d’Etat américain à la Sécurité civile, la Démocratie et les Droits de l’homme, Uzra Zeya, a de nouveau salué vendredi le modèle démocratique sénégalais qu’elle présente comme le socle de la stabilité du pays.

    « La démocratie sénégalaise dont le modèle exemplaire est représentatif de la volonté du peuple, est le socle de la stabilité du pays », a-t-elle notamment déclaré lors d’un point de presse digital.

    Elle livrait ses observations à la suite de ses récentes visites au Sénégal et en Guinée, où elle a rencontré de hauts représentants des gouvernements et des leaders de la société civile des deux pays

    « La réputation du Sénégal en tant qu’exemple de démocratie, de tolérance et de gouvernance est bien méritée. Je félicite le peuple sénégalais pour son courage d’avoir élu le candidat qui sied à ses attentes, car le droit de vote est le seuil de la liberté démocratique », a souligné Mme Zeya.

    Elle a insisté sur le fait que la présidentielle sénégalaise du 24 mars dernier avait mis en évidence la force des institutions du pays.

    « Cela est important et doit servir d’exemple pour que la région puisse effectuer des transferts pacifiques de pouvoir à travers des élections libres et justes », a déclaré la diplomate.

    D’autres sujets ayant trait à la justice, à la question des droits de l’homme et aux préoccupations liées à la sécurité civile ont été abordés lors de cette conférence de presse digitale.

    « Le Sénégal est un partenaire clé dans la promotion de la paix et de la sécurité en Afrique de l’ouest et au-delà », a-t-elle par exemple fait valoir.

    Le sous-secrétaire d’État américain a rappelé que la coopération liant le Sénégal à son pays avait permis d’établir « une relation de sécurité civile profonde qui fait progresser l’État de droit, la justice, l’application de la loi et la sécurité des frontières ».

    « Rien qu’au Sénégal, les Etats-Unis contribuent à hauteur de 26 millions de dollars par an pour soutenir la sécurité à l’intérieur de sa frontière et dans la région », soutient Mme Zeya.

    Elle a en outre évoqué la stratégie élaborée par le Sénégal pour lutter contre la traite des êtres humains et d’autres formes de trafic, saluant notamment les efforts déployés par le pays pour que les trafiquants répondent pénalement de leurs actes.

    Uzra Zeya a de même félicité le Sénégal pour l’accueil que le pays réserve aux réfugiés de la sous-région.

    Elle a en même temps magnifié les « efforts » du nouveau gouvernement allant dans le sens de lutter contre la corruption.

    La diplomate américaine a évoqué les perspectives d’une plus grande collaboration avec les services de sécurité sénégalais dans la lutte contre le blanchiment d’argent, la mise en œuvre de la réforme des prisons et dans le domaine de la formation en matière de lutte contre les stupéfiants.

    KM/AKS/BK

  • SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / L’ANC annonce un accord avec d’autres partis pour gouverner l’Afrique du Sud

    SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / L’ANC annonce un accord avec d’autres partis pour gouverner l’Afrique du Sud

    Dakar, 13 juin (APS) – Le Congrès national africain (ANC), au pouvoir en Afrique du Sud depuis la fin de l’apartheid, a, par la voix de son secrétaire général, Fikile Mbalula, annoncé avoir trouvé un accord avec d’autres formations politiques en vue de la formation d’un gouvernement de coalition.

    ‘’Nous sommes parvenus à un accord commun sur la nécessité de travailler ensemble’’, a déclaré le responsable du parti de Nelson Mandela, dans des propos rapportés par plusieurs médias.

    Fikile Mbalula a fait savoir que le gouvernement de coalition devant être prochainement formé allait graviter autour du centre en incluant notamment l’Alliance démocratique (DA), parti arrivé deuxième des récentes élections législatives, le parti nationaliste zoulou Inkatha Freedom Party (IFP) et d’autres petites formations politiques.

    L’annonce de cet accord ouvre la voie à une reconduction de président du l’ANC, Cyril Ramaphosa, à la tête de la Nation Arc en Ciel pour un second mandat.

    Le Congrès national africain (ANC) est arrivé en tête des élections législatives en Afrique du Sud avec 40, 19 % des suffrages, mais n’a pas réussi à conserver la majorité absolue au Parlement, une première en trente ans.

    Le parti au pouvoir a été crédité de 159 sièges sur les 400 que compte l’Assemblée nationale sud-africaine. Ce qui l’a placé dans l’obligation de trouver un accord avec d’autres formations politiques pour continuer à gouverner l’Afrique du Sud.

    AKS/OID

  • SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / A Freetown, les présidents Faye et Bio ont parlé du renforcement de la coopération bilatérale

    SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / A Freetown, les présidents Faye et Bio ont parlé du renforcement de la coopération bilatérale

    Dakar, 13 juin (APS) – Le chef de l’Etat sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, et son homologue de la Sierra Leone, Julius Maada Wonie Bio, ont échangé, jeudi à Freetown, sur les voies et moyens de renforcer la coopération entre les deux pays tout en abordant d’autres sujets d’intérêt commun, a-t-on appris de source officielle.

    Au State House, la résidence officielle du président de la Sierra Leone, Bassirou Diomaye Faye et Julius Maada Wonie Bio ont tenu des entretiens pour renforcer la coopération bilatérale entre le Sénégal et la Sierra Leone, indique notamment la présidence sénégalaise dans un message publié sur le réseau social X.

    Elle ajoute que les deux chefs d’Etat ont également abordé d’autres sujets ayant notamment trait à l’intégration en région ouest-africaine.

    Ce déplacement de Bassirou Diomaye Faye dans la capitale sierra-léonaise entre dans le cadre d’une série de visites entreprise par le nouveau président de la République du Sénégal après sa prise de fonction officielle. Il s’est déjà rendu en Mauritanie, en Gambie, en Guinée Bissau, en Côte d’Ivoire, au Nigeria, au Ghana, au Cap-Vert, au Mali, au Burkina Faso et en Guinée Conakry..

    AKS/OID

  • SENEGAL-MONDE-GOUVERNANCE / Antonio Guterres préconise une nouvelle architecture de la finance internationale

    SENEGAL-MONDE-GOUVERNANCE / Antonio Guterres préconise une nouvelle architecture de la finance internationale

    Dakar, 12 juin (APS) – Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a souligné, mercredi, la nécessité d’œuvrer en faveur de l’avènement d’une nouvelle architecture internationale de la finance, de la fiscalité et du numérique afin de promouvoir un commerce garantissant la stabilité dans un monde multipolaire.

    ‘’Il devient évident d’avoir une nouvelle architecture de la finance internationale, de la fiscalité et de la gouvernance numérique. Une nouvelle vision qui devrait permettre de promouvoir le commerce sud-sud et de garantir la stabilité dans un monde multipolaire’’, a-t-il notamment déclaré.

    Intervenant à la célébration à Genève (Suisse) des 60 ans de l’Agence des Nations unies pour le commerce et le développement, Antonio Guterres a de nouveau estimé que l’architecture financière internationale s’était révélée dépassée, dysfonctionnelle et injuste.

    Dans des propos rapportés par Onu Info, le site d’information des Nations unies, il a insisté sur le fait que les conflits nouveaux et prolongés avaient un effet d’entraînement sur l’économie mondiale.

    ‘’La dette mondiale a grimpé en flèche alors que les principaux indicateurs de développement, y compris la pauvreté et la faim, ont régressé’’, a déploré le chef de l’ONU en listant défis qui se dressent sur la voie d’une économie mondiale plus durable et davantage inclusive.

    Il n’a pas manqué de rappeler que l’élimination de la pauvreté demeurait l’objectif premier du développement durable.

    Evoquant des données du Fonds monétaire international (FMI), Guterres a signalé que l’augmentation des restrictions au commerce international pourrait réduire la production économique mondiale de plus de 7.000 milliards de dollars à long terme, soit trois fois la production annuelle de l’Afrique subsaharienne.

    Le système monétaire mondial actuel n’a pas réussi à fournir un filet de sécurité aux pays en développement criblés de dettes, a regretté le secrétaire général des Nations unies tout en déplorant les pressions ayant plongé le système commercial international au bord de la fragmentation.

    AKS/OID

  • SENEGAL-MONDE-CONFLIT / A Gaza, Israël commet des crimes contre l’humanité, selon des enquêteurs onusiens

    SENEGAL-MONDE-CONFLIT / A Gaza, Israël commet des crimes contre l’humanité, selon des enquêteurs onusiens

    Dakar, 12 juin (APS) – Des enquêteurs indépendants ont, mercredi, pointé du doigt la responsabilité des autorités israéliennes dans des crimes contre l’humanité, d’extermination, de meurtre et de persécution perpétrés dans l’enclave palestinienne de Gaza depuis le 7 octobre.

    Les enquêteurs indépendants des Nations unies ont également accusé les groupes armés palestiniens de crimes de guerre commis en Israël à travers une attaque meurtrière sur ce territoire, le point de départ de l’aggravation de l’escalade militaire dans la bande de Gaza.

    Les crimes contre l’humanité, d’extermination, de meurtre, de persécution fondée sur le genre ciblant les hommes et les garçons palestiniens, de transfert forcé, d’actes de torture et de traitements inhumains et cruels, ont été commis par Israël, ont indiqué les enquêteurs dans un communiqué rendu public mercredi à Genève, en Suisse.

    Ils ont notamment constaté que les déclarations faites par les responsables israéliens relèvent de l’incitation et peuvent constituer d’autres crimes internationaux graves.

    L’incitation directe et publique au génocide est un crime de droit international dès lors qu’elle est perpétrée, même par des personnes n’ayant pas d’autorité directe sur la conduite des hostilités, ont fait valoir les enquêteurs en rappelant en même temps que l’incitation à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence est une violation grave du droit international des droits de l’homme et peut constituer un crime international.

    Ils ont également mentionné que dans l’opération militaire en cours à Gaza  des attaques sont intentionnellement dirigées contre des civils et des biens de caractère civil, de même que des transferts forcés, la violence sexuelle, la torture et les traitements inhumains ou cruels, la détention arbitraire et l’atteinte à la dignité de la personne.

    Le nombre considérable de victimes civiles à Gaza et la destruction massive de biens et d’infrastructures civils sont le résultat inévitable d’une stratégie visant à causer le maximum de dégâts, au mépris des principes de proportionnalité, a déploré la mission d’enquête.

    Les enquêteurs onusiens ont ainsi fustigé l’utilisation intentionnelle d’armes lourdes dans des zones densément peuplées et le fait d’imposer un  siège total équivalant à ‘’une punition collective à l’encontre de la population civile’’.

    Navi Pillay, la présidente de la mission a, dans des propos rapportés par le communiqué, pressé Israël d’immédiatement cesser ses opérations militaires et ses attaques à Gaza, y compris l’assaut sur Rafah, qui a coûté la vie à des centaines de civils et déplacé à nouveau des centaines de milliers de personnes vers des lieux dangereux, sans services de base ni aide humanitaire.

    Les enquêteurs indépendants onusiens ont également relevé la responsabilité de la branche militaire du Hamas, le mouvement de résistance palestinienne et six autres groupes armés dans la commission de crimes de guerre en Israël.

    Dans leurs conclusions, les enquêteurs reprochent à ces mouvements armés de diriger intentionnellement des attaques contre des civils, à travers le meurtre ou l’homicide volontaire, la torture, les traitements inhumains ou cruels, la destruction ou la saisie des biens d’un adversaire, les atteintes à la dignité de la personne et la prise d’otages, y compris des enfants.

    ‘’Des membres de groupes armés palestiniens, aidés dans certains cas par des civils palestiniens, ont délibérément tué, blessé, torturé, pris des otages, y compris des enfants, et commis des violences sexuelles et sexistes contre des civils’’, ont rapporté les enquêteurs.

    Près de 40 000 personnes, en majorité des femmes et des enfants ont perdu la vie en Palestine depuis le déclenchement d’une intervention militaire israélienne dans la bande de Gaza en réaction à une attaque meurtrière menée par le Hamas sur le sol israélien, le 7 octobre 2023.

    AKS/ASG