Auteur/autrice : Sokhna Diom

  • SÉNÉGAL-PRÉSIDENTIELLE-PREPARATIFS / La CEDA de Fatick va recruter 643 contrôleurs et superviseurs

    SÉNÉGAL-PRÉSIDENTIELLE-PREPARATIFS / La CEDA de Fatick va recruter 643 contrôleurs et superviseurs

    Fatick, 15 mars (APS) – La Commission électorale départementale autonome (CEDA) de Fatick (ouest) compte mobiliser 643 contrôleurs et superviseurs pour le scrutin présidentiel du 24 mars prochain, a indiqué son président, Diockel Ngom.

    « Nous devons mettre à la disposition de chaque lieu de vote un contrôleur et un superviseur. En plus du volet sécuritaire dont on a la charge en cas d’absence. Ce qui nous fait un personnel à employer de 643 agents », a-t-il dit lors d’un entretien avec l’APS.

    Le département de Fatick compte 349 bureaux de vote et 226 lieux de vote, a fait savoir M. Ngom.

    « Compte tenu du nombre important de bureaux de vote, nous avions pris les devants depuis le 15 janvier dernier et aujourd’hui, nous sommes dans la phase préparatoire à très court terme », a-t-il souligné.

    Le président de la CEDA a annoncé le recrutement suivi de la formation, prochainement, des contrôleurs et superviseurs avant leur déploiement dans les différents bureaux de vote.

    Il a précisé que les listes d’émargement de la Commission électorale nationale autonome (CENA) sont disponibles en attendant la réception du matériel électoral.

    SDI/ADL/BK

  • SÉNÉGAL-PRÉSIDENTIELLE-CAMPAGNE / A Fatick, Thierno Alassane Sall en chantre de la transformation des produits agricoles

    SÉNÉGAL-PRÉSIDENTIELLE-CAMPAGNE / A Fatick, Thierno Alassane Sall en chantre de la transformation des produits agricoles

    Fatick, 12 mars (APS) – Thierno Alassane Sall, leader du parti La République des valeurs et candidat à la prochaine présidentielle, a promis, mardi, à Fatick (ouest), d’accompagner cette région pour l’exploitation de son potentiel agricole par la transformation des produits locaux.

    « Fatick a un potentiel agricole inestimable. Il pousse ici beaucoup de fruits qui doivent être transformés localement et être exportés », a-t-il déclaré lors de son passage dans la capitale régionale de cette région, dans le cadre de la campagne pour la présidentielle du 24 mars.

    Selon Thierno Alassane Sall, grâce à son potentiel agroforestier, la région de Fatick a les capacités de produire beaucoup de fruits pouvant être exportés à l’étranger.

    « La transformation de ces produits agricoles peut régler le problème de l’emploi », a-t-il dit, déplorant l’importation des jus de fruits alors que la région de Fatick dispose d’un grand potentiel dans ce domaine.

    Le candidat à l’élection présidentielle a promis, s’il est élu, de prendre les dispositions nécessaires pour « une transformation des fruits en quantité et en qualité ».

    Cela permettrait de créer de l’emploi et des usines « dans beaucoup de domaines », a-t-il conclu.

    SDI/BK

  • SENEGAL-ENVIRONNEMENT / Fatick : l’Etat invité à mener des  »actions concrètes » pour le climat et l’agroécologie

    SENEGAL-ENVIRONNEMENT / Fatick : l’Etat invité à mener des  »actions concrètes » pour le climat et l’agroécologie

    Fatick, 12 mars (APS) – Des organisations communautaires de base et de la société civile ont invité l’Etat, à mener des  »actions concrètes » et  »durables », sur le financement pour le climat et la promotion de l’agroécologie, annonce un communiqué reçu à l’APS, mardi.

     »Notre plaidoyer est que des actions concrètes et durables soient menées en faveur du financement pour le climat et de la promotion de l’agroécologie », indique le texte.

    Ces organisations invitent également l’Etat du Sénégal à orienter,  »une grande partie du financement public du ministère de l’Agriculture à la promotion d’une agriculture saine et durable et à l’agroécologie », ajoute la même source.

    Selon elles,  »l’un des défis contemporains majeurs auxquels les communautés au Sénégal sont confrontées reste le changement climatique dont les impacts continuent d’affecter les différents secteurs de l’économie notamment l’agriculture, l’élevage, la pêche et les produits forestiers ».

    Concernant le programme Justice climatique et agroécologie de l’ONG ActionAid, qui intervient dans les régions de Fatick, Tambacounda et Kédougou, les organisations communautaires veulent que  »les subventions destinées aux intrants organiques atteignent 10 à 30% pour permettre une conservation des sols, l’augmentation des rendements agricoles et la préservation de l’environnement ».

    Ce programme déplore  »les impacts négatifs du changement climatique visibles », souligne le communiqué, relevant qu’ils constituent une menace sérieuse pour la souveraineté alimentaire.

     »Les effets du changement climatique augmentent également la vulnérabilité des femmes et des jeunes qui subissent certaines inégalités dans l’accès à la terre et aux facteurs de productions », indique la même source.

    SDI/AB/ASB

  • SÉNÉGAL- DÉVELOPPEMENT / Fatick : le GIE Adja coumba Timbo reçoit 70 tonnes de céréales locales

    SÉNÉGAL- DÉVELOPPEMENT / Fatick : le GIE Adja coumba Timbo reçoit 70 tonnes de céréales locales

    Ndiouwar ( Fatick ), 9 mars (APS) – Des femmes du Groupement d’intérêt économique Adja Coumba Timbo de Fatick ont reçu 70 tonnes de mil et maïs pour démarrer leurs activités de transformation des céréales locales.

    Ce GIE qui regroupe 2.300 femmes a signé une convention avec l’Ong Nitidae pour recevoir chaque mois, 60 tonnes de mil et 10 tonnes de maïs, destinées aux régions de Fatick, Kaolack et Diourbel.

    « Nous sommes 20 GIE dans les régions de Fatick, Kaolack et Diourbel. Nos activités tournent majoritairement autour de la transformation des céréales locales », a indiqué, vendredi, la présidente de la fédération nationale des GIE Adja coumba Timbo, Sokhna Dieynaba Séne, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de droits de la femme.

    Selon elle, les  » braves femmes » du GIE ont souhaité célébrer autrement la journée du 8 mars en signant une convention pour l’octroi de 960 tonnes de mil et de maïs par an.

    Elle a ajouté que le groupement dispose de plusieurs boutiques pour exposer et vendre mais aussi de magasins de stockage pour conserver ses matières premières.

    « Nous venons d’apporter le premier lot de 60 tonnes au GIE et ainsi, elles feront le partage avec les deux autres régions », a expliqué Mamadou Tine, intermédiaire commercial agricole du département de Foundiougne, membre de l’Ong Nitidae.

    Il a souligné que  »le souci de l’Ong Nitidae est d’accompagner les femmes qui souhaitent travailler dans le domaine agricole ».

    SDI/OID

  • SENEGAL-ENERGIE-ACCES / Gossas : une centrale électrique de 225.000 volts mise en service à Saréme

    SENEGAL-ENERGIE-ACCES / Gossas : une centrale électrique de 225.000 volts mise en service à Saréme

    Saréme (Gossas), 5 mars (APS) – Le ministre du Pétrole et des Énergies, Antoine Félix Abdoulaye Diome, a procédé, mardi, à la mise en service d’une centrale électrique d’une puissance de 225.000 volts à Saréme, dans la commune de Ouadiour.

    C’est une centrale de 225.000 volts que l’on peut régler à 220.000 volts grâce à une technologie innovante consistant à faire descendre la haute tension directement par une basse tension sans passer par un poste, a-t-il expliqué à l’inauguration de l’infrastructure réalisée par l’entreprise Alga.

    Selon le ministre des Énergies, cette forme d’alimentation va distribuer de l’électricité à Saréme et Thiécky, dans la commune de Ouadiour ainsi que les hameaux et les villages environnants.

    « Nous allons multiplier les initiatives et explorer toutes les voies qu’offre la technologie afin qu’aucun Sénégalais ne soit laissé au bord de la route », a indiqué Antoine Diome.

    Il a souligné que chacun a droit à une électricité en qualité et quantité suffisante conformément à la vision du président de la République.

    « Notre objectif consiste à faire en sorte que le courant soit accessible à tout le monde. Et, nous allons continuer à travailler avec l’entreprise Alga pour électrifier 300 villages et atteindre 3.000 kms de réseau », a dit le ministre des Énergies.

    Dans cette perspective, a-t-il poursuivi, des projets de cette nature vont être multipliés afin de couvrir le territoire national pour atteindre l’accès universel à l’électricité en 2026.

    SDI/ADC/OID

  • SÉNÉGAL-AGRICULTURE-FINANCEMENT / Fimela: un prêt de 3, 5 millions pour l’extension de la ferme  »Naagué »

    SÉNÉGAL-AGRICULTURE-FINANCEMENT / Fimela: un prêt de 3, 5 millions pour l’extension de la ferme  »Naagué »

    Kobongoye (Fimela), 4 mars (APS) – La fondation Sococim a décidé d’octroyer un financement de 3,5 millions de francs Cfa à la ferme  »Naagué » de Kobongoye (Fimela centre ouest), pour l’extension de son exploitation à vocation agricole et en élevage écologique, a annoncé lundi, son administratrice générale, Patricia Diagne.

     »La ferme Naagué installée à peine un an et demi, a sollicité la fondation Sococim pour son extension. Nous avons été séduite par l’ambition de cette jeune entrepreneure dont la ferme produit du bio en élevage et en agriculture », a-t-elle déclaré lors de la signature d’accord de financement avec la propriétaire de la ferme, Bowel Diop.

    Mme Diagne a précisé que la fondation Sococim accorde des crédits sans intérêt aux entrepreneurs pour participer au renforcement du tissu économique local.

     »Nous finançons des projets économiques qui sont créateurs d’emplois puisque notre mission est de contribuer au mieux-être social », a-t-elle ajouté.

    La ferme  »Naagué » dispose d’une superficie de 3,5 hectares où  sont plantés 300 pieds de citronniers, 96 papayes et 100 pieds de corossol.

     »Nous avons testé sur un périmètre de 1.000 mètres au carré, plusieurs variétés d’arbres fruitiers tels que la papaye, la banane, le corossol et tout grandit ensemble », a fait savoir la propriétaire de la ferme, Bowel Diop qui déclare avoir démarré son activité avec ses économies.

    Selon elle, l’appui financier de la fondation Sococim est  »une aubaine pour passer à l’étape supérieure avec l’augmentation de la commande tant pour l’agriculture et la volaille ».

     »Nous pratiquons de l’élevage bio avec des poulets locaux améliorés qui, à maturité peuvent peser jusqu’à six kg. Il en est de même pour les pintades et les canards », a souligné Bowel Diop.

    Elle a affirmé que l’objectif de la ferme est de fournir des produits bios aux consommateurs en pratiquant de l’agriculture écologique.

    SDI/ASB/OID

  • SENEGAL-ENVIRONNEMENT / Foundiougne : un comité local de suivi pour accompagner la création d’emplois décents autour de la mangrove

    SENEGAL-ENVIRONNEMENT / Foundiougne : un comité local de suivi pour accompagner la création d’emplois décents autour de la mangrove

    Toubacouta, 28 fév (APS) – Le projet « Emplois verts pour les femmes et les jeunes dans le delta du Saloum » compte mettre en place un comité local de suivi en vue d’accompagner la création d’emplois économiques et écologiques dans les écosystèmes de mangrove du département de Foundiougne.

    Ce projet mis en place grâce à l’Organisation internationale du travail (OIT) vise 2.000 bénéficiaires âgés de 15 à 35 ans, dont des femmes.

    Son coût est de 4 millions d’euros, soit 2, 623 milliards de francs CFA pour une durée de trois ans. Le démarrage des activités est prévu dans le courant du premier trimestre de cette année.

    « Il s’agit d’apporter des changements systémiques en accompagnant la création d’emplois économiques et écologiques des écosystèmes de la mangrove », a expliqué le chef du projet, Eli Maxime Sogbossi.

    Il s’exprimait à l’ouverture d’un atelier de mise en place du comité local de suivi du projet.

    « Nous voulons contribuer à la création d’emplois décents pour les femmes et les jeunes autour des activités de la mangrove, spécialement sur les chaînes de valeur de l’apiculture et des mollusques », a expliqué M. Sogbossi.

    Selon lui, les chaînes de valeur basées sur la mangrove sont plus efficaces et compétitives pour garantir des emplois et des revenus conséquents.

    Le préfet de Foundiougne a préconisé une formalisation des structures autour du delta du Saloum pour permettre aux jeunes et aux femmes de la localité de tirer un meilleur profit des ressources naturelles dont regorge la mangrove.

    « Les filières telles que l’apiculture et les mollusques sont très développées dans la zone de Foundiougne. Cela permettra aux organisations féminines et aux jeunes qui sont plus actifs d’en tirer meilleur profit », a-t-il ajouté.

    Le projet « Emplois verts pour les femmes et les jeunes dans le delta du Saloum » va mettre en place des comités locaux dans les arrondissements de Niodior et Djilor pour élargir le champ d’actions avec des communautés identifiées.

    SDI/ASG/BK

  • SENEGAL-PECHE / Fatick : la SIRN veut financer la construction d’une centaine de pirogues en fibre de verre

    SENEGAL-PECHE / Fatick : la SIRN veut financer la construction d’une centaine de pirogues en fibre de verre

    Djiffer (Fatick), 21 fév (APS) – La Société des infrastructures de réparation navale (SIRN) ambitionne de financer la construction d’une centaine de pirogues en fibre de verre afin de garantir la sécurité des pêcheurs et rentabiliser leur activité, a annoncé, mercredi, à Fatick (centre), son directeur général, Saliou Samb.

    ‘’Nous voulons, cette année, financer entre 200 et 300 pirogues en fibre de verre pour accompagner les pêcheurs à rentabiliser la pêche mais aussi les assurer une sécurité en mer’’, a-t-il dit lors d’une rencontre avec les mareyeurs de Djiffer portant sur le programme du parc piroguier de la SIRN.

    Selon M. Samb, l’objectif est mettre à la disposition des pêcheurs 1.000 pirogues en fibre de verre d’ici l’année prochaine.
    ‘’Et, au bout de 10 ans, les pirogues en bois seront remplacées’’.

    ‘’C’est un programme qui permettra de préserver le bois en luttant contre la déforestation. En plus de la rentabilité, les pêcheurs auront des ressources supplémentaires par une consommation moindre et de meilleure qualité’’, a-t-il ajouté.

    Le directeur général de la SIRN a souligné que l’Etat a subventionné les embarcations en renonçant à toutes les charges douanières, les impôts et les taxes sur la matière première en passant de 9 à 3 millions FCFA sur les pirogues et 5 millions FCFA sur des embarcation plus conséquentes.

    Pour sa part, le sous-préfet de l’arrondissement de Fimela, Ousmane Diédhiou a soutenu que la mise en service des pirogues en fibre de verre va réduire ‘’les nombreux accidents’’ enregistrés chaque année sur les côtes de Djiffer.

    ‘’On a enregistré beaucoup d’accidents en mer, parfois avec des pertes en vies humaines. La plupart des accidents sont liés à l’état des pirogues’’, a-t-il dit.

    Il a prôné une sensibilisation des pêcheurs sur l’acquisition des pirogues en fibre de verre afin qu’ils s’approprient le programme et éviter les accidents.

    SDI/OID/ASB

  • SENEGAL-SOCIETE / Fatick : six millions Fcfa épargnés par la Calebasse de solidarité

    SENEGAL-SOCIETE / Fatick : six millions Fcfa épargnés par la Calebasse de solidarité

    Fatick, 19 fev (APS) – La calebasse de solidarité, une initiative du Cocogep (Comité de coordination et de gestion du partenariat) destinée à lutter contre les inégalités, a permis d’épargner 6 456 000 de FCFA dans six communes du département de Foundiougne.

    « Nous avons collecté 6.456.000 Fcfa pour l’année 2023 et 40 greniers collectifs avec un stock de deux tonne de mil et maïs », a indiqué le coordonnateur du Cocogep, Babacar Thiam lors de la cérémonie de présentation des résultats de la calebasse de solidarité.

    Cette initiative mise en oeuvre dans les communes de Diossong, Niasséne, Ndiédieng, Diagane Barka, Nioro Alassane Tall et Keur Saloum Diané est « un système de proximité pour le renforcement de la solidarité, la réduction des inégalités et de protection contre toutes formes d’usure ».

    Elle a également permis de mobiliser 10, 356 millions Fcfa pour l’autofinancement et les achats groupés destinés aux six communes.

    Babacar Thiam a indiqué que 95 calebasses de solidarité ont été mises en place avec 4.232 membres, en majorité des femmes.  »La finalité est de sortir les plus démunis de la soudure et de l’endettement », a t-il expliqué.

    Selon lui, la calebasse de solidarité est une émanation volontaire de groupes de personnes vivant ensemble.

    Et, pour cette année, un crédit de 354.000 a été octroyé à 79 bénéficiaires dans le domaine de la santé. Pour l’éducation et l’alimentation 216.000 Fcfa et 641.000 fcfa ont été alloués aux membres.

     »Notre objectif est de lutter contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire et l’endettement des ménages vulnérables », a dit le coordonnateur du Cocogep.SDI/OID

  • SÉNÉGAL -SOCIÉTE / Fatick : Le sous-préfet de Tattaguine salue le rôle positif des écoles coraniques

    SÉNÉGAL -SOCIÉTE / Fatick : Le sous-préfet de Tattaguine salue le rôle positif des écoles coraniques

    Fatick,18 fév (APS)- Le sous-préfet de l’arrondissement de Tattaguine (Fatick, centre), Aliou Wade, a salué samedi « le rôle important » des « daaras » dans la société sénégalaise.

     » Ce qui ont fait l’école coranique en même temps que l’école française sont toujours des références dans la société », a-t-il dit lors de la cérémonie officielle du Gamou annuel de Thiaméne Tattaguine en présence du maire de Tattaguine Ibou Ndiaye, de Cheikh Baye Niass, khalife d’El hadji Barham Niass de Keur Madiabel et des notables du village.

    Il a déclaré qu’une visite effectuée au daaras (école coranique) de Thiamène en compagnie du maître coranique lui a fait savoir que  » tous ses élèves apprennent simultanément le coran et la langue française. C’est très important de nos jours puisque les résultats sont en faveur de ceux qui le font » a-t-il souligné.

    Le Sous-préfet s’est également réjoui des efforts faites par la population de Thiamene dans l’éducation religieuse.

    Pour l’autorité administrative les enseignements qui sont délivrés dans ces établissements sont en rapport avec  » la paix et la tranquillité publique  » et compense le devoir régalien de l’État envers les jeunes.

    M. Wade dit avoir pris note des doléances de la population notamment la reconstruction de la mosquée ainsi que le bitumage de l’axe Tattaguine/Ngohé qui passe par Thiamène. Pour lui, certains engagements n’ont pas été tenus par les services publics du fait du “contexte particulier”. Il n’a pas non plus manqué de solliciter des prières pour un bon déroulement de l’élection présidentielle.

    Cheikh Baye El Hadj Barham Niass a, de son côté,  magnifié les sacrifices des ancêtres qui  » se sont battus contre les colonisateurs » pour implanter l’islam au Sénégal.

    Pour lui ces valeurs font que les élèves issus des écoles coraniques sont toujours des acteurs de développement.

    « Tous les pays de la sous-région nous envient et migrent grâce à la paix. Essayons de la préserver  » a-t-il dit avant de prier pour la paix et la prospérité.

    MBT/SDI/AKS