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  • SENEGAL-SANTE / Vers la signature d’une convention visant à améliorer la prise en charge de la santé maternelle et infantile

    SENEGAL-SANTE / Vers la signature d’une convention visant à améliorer la prise en charge de la santé maternelle et infantile

    Dakar, 29 mai (APS) –3CAP Santé, une coalition d’organisations de la société civile et l’Union des associations d’élus locaux (UAEL) vont signer le 6 juin à Thiès une convention de partenariat visant à améliorer la prise en charge de la santé maternelle et infantile, a appris l’APS des initiateurs.

    La signature de cette convention de partenariat visant à unir les efforts des deux entités en faveur d’une meilleure prise en charge de la santé maternelle et infantile va notamment se faire au premier jour d’un atelier national de plaidoyer pour accroître le financement de la planification familiale, la santé maternelle, néonatale, infantile et des adolescents, a expliqué Moundiaye Cissé, le président de l’association 3CAP Santé.

    Ce plaidoyer vise à amener les collectivités territoriales à augmenter de 8 % le financement domestique en faveur de la santé de la mère et de l’enfant, a-t-il rappelé lors d’une conférence de presse récemment organisée à Dakar.

    Il a signalé que l’atelier vise également à favoriser l’adhésion et l’engagement des élus territoriaux à la cause de la santé mère-enfant, en insistant sur l’importance de sensibiliser les élus sur les avantage de la planification au profit de la population.

    Plusieurs thématiques seront abordés lors de ces deux jours d’échanges et de partage sur les enjeux et défis de la Couverture sanitaire universelle au Sénégal, de la santé reproductive maternelle néonatale infantile adolescent au Sénégal.

    L’intérêt pour les collectivités territoriales d’investir dans la santé de la mère et de l’enfant, la mobilisation de ressources au niveau local pour la santé, figurent parmi les thématiques de cette rencontre, a fait savoir M. Cissé.

    AFD/AKS

  • SENEGAL-CUTLURE / Foundiougne abrite le premier festival du  »cousinage à plaisanterie », les 13 et 14 juillet

    SENEGAL-CUTLURE / Foundiougne abrite le premier festival du  »cousinage à plaisanterie », les 13 et 14 juillet

    Dakar, 28 mai (APS) – La première édition du festival du ‘’Cousinage à plaisanterie’’, qui se tiendra du 13 au 14 juillet prochain, sera une occasion de rassembler des communautés et d’œuvrer pour la paix et la cohésion sociale, a-t-on appris des organisateurs.

    Ce festival de deux jours, sera une occasion de rassembler plusieurs jeunes et personnes âgées autour du  »cousinage à plaisanterie », en s’appuyant sur les legs ancestraux du pays.

    Au cours de ce festival, plusieurs activités sont prévues, notamment, la foire commerciale, des plateaux artistiques, des panels, des démonstrations d’art culinaire, la lutte traditionnelle, entre autres. Il est également prévu, un forum axé sur le thème :  »cousinage à plaisanterie et cohésion sociale ».

    ‘’Nous avons choisi le thème du festival du cousinage à plaisanterie pour rassembler des communautés et œuvrer à la paix et la cohésion sociale’’, a expliqué, le président du comité d’organisation, Cheikh Sanou Mône Diouf, dans un entretien accordé à l’APS.

    Selon lui, la parenté ‘’plaisante’’ demeure un lien ancestral qui existe au Sénégal entre les communautés  joola, sérère, pulaar, lébou, etc., il est important de s’appuyer sur ces legs à travers de telles initiatives.

    ‘’Ce cousinage, c’est un acquis laissé par les ancêtres. Un legs tellement positif qui contribue beaucoup à l’harmonie des relations sociales entre les différentes communautés’’, a-t-il fait valoir, soulignant qu’avec la pauvreté et la mondialisation, la vie collective tant à disparaître, poussant ainsi, les gens à oublier les liens existant entre les communautés.

    ‘’Puisque la jeunesse d’aujourd’hui tant vers l’isolationnisme, nous voulons à travers ce festival ramener les gens vers une vie collective, autour des idéaux ancestraux’’, a expliqué l’acteur culturel, précisant que l’idée serait de ramener les jeunes, dans le cercle de vie communautaire et collective, où la solidarité est de ‘’rigueur’’.

    ‘’Foundiougne est une zone qui regroupe toutes les ethnies, notamment des diolas, des mandingues, des toucouleurs, des sérères, des lébous, etc., c’est vraiment une diversité culturelle vivant en harmonie, raison pour laquelle nous l’avons choisi pour abriter la première édition de ce festival’’, a pour sa part, soutenu, Thomas Diédhiou, membre du comité d’organisation.

    Il s’agit, selon lui, de ‘’valoriser la culture’’, en montrant à la population l’importance de préserver certaines valeurs existant depuis les ancêtres.

    ‘’Nous avons pour objectif d’organiser le festival annuellement. Le but c’est de ne pas rester dans un seul endroit, mais de le tenir dans plusieurs milieux, sérère, halpulaar, etc. Cela permettra aux gens de mieux connaître les autres cultures’’, a-t-il indiqué.

    Il a appelé la diaspora à s’imprégner de cette initiative, qui permettra aux jeunes nés à l’étranger de mieux s’imprégner de l’importance du cousinage à plaisanterie pour la cohésion sociale.

    AMN/AB/ASB

      

  • SENEGAL-ARTS / Saint-Louis va accueillir la 15e édition du  »Duo Solo Danse », mercredi

    SENEGAL-ARTS / Saint-Louis va accueillir la 15e édition du  »Duo Solo Danse », mercredi

    Saint-Louis, 27 mai (APS) – La 15e édition du festival international  »Duo Solo Danse », prévue à Saint-Louis (nord) à partir de mercredi, sera une occasion pour des talents nationaux et internationaux de s’exprimer par la danse contemporaine, a-t-on appris des organisateurs.

    Quelque 20.000 spectateurs sont attendus à cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’au samedi 1er juin.

    L’évènement se tiendra dans plusieurs endroits, dont le centre culturel français, partenaire historique du festival  »Duo Solo Danse », affirment les organisateurs dans un communiqué reçu à l’APS.

    Le centre culturel  »Le Château » et le bateau de croisière « Bou El Mogdad » vont accueillir des activités de ce festival proposant une programmation « diversifiée et engagée », avec des artistes africains et européens, mais aussi des jeunes chorégraphes de divers horizons. 

    Outre le Sénégal, des artistes viendront du Cameroun, d’Espagne, de la France, du Ghana, d’Italie, du Mali, des Pays-Bas et de la Suisse.

    Le festival  »Duo Solo Danse » est une occasion pour les jeunes artistes, les chorégraphes aussi, de s’exprimer par la danse contemporaine, selon les organisateurs.

    « L’événement est une grande occasion pour les jeunes artistes, les aînés, les chorégraphes, porteuses et porteurs de projets », de démontrer leur talent dans cet art, précise un document de présentation.

    Le festival leur donnera l’opportunité de « restituer les travaux réalisés lors des semaines de résidence précédant » la manifestation culturelle.

    Le  »Duo Solo Danse » est considéré, depuis 2008, comme « l’un des évènements clés de la danse en Afrique de l’Ouest » ayant pour vocation de servir de « tremplin pour les jeunes talents et d’impliquer un public populaire ».

    Lors des précédentes éditions, il a accueilli des centaines d’artistes d’une quarantaine de pays, rappellent ses promoteurs.

    Ils signalent que « le festival a retrouvé sa vraie place avec une édition flamboyante réunissant une quarantaine d’artistes, dont une douzaine d’internationaux », en 2023, « après les éditions particulières de la période Covid-19 ».

    Aussi le festival  »Duo Solo Danse » est-il devenu un évènement artistique « incontournable en Afrique de l’Ouest », grâce à l’engagement de ses organisateurs « dans des actions de développement durable », en lien avec « l’éco-responsabilité ».

    Cette année, ils se sont donné comme « défis » de refuser les sachets plastiques, de s’approvisionner en huile et riz locaux, de sensibiliser les publics et les artistes à la protection de l’environnement.

    CGD/AMD/BK/FKS/ESF

  • SENEGAL-JUSTICE / Le président Faye va présider la quatrième édition du dialogue national, mardi au CICAD

    SENEGAL-JUSTICE / Le président Faye va présider la quatrième édition du dialogue national, mardi au CICAD

    Dakar, 23 mai (APS) – Le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye va présider, mardi, au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, la cérémonie d’ouverture de la quatrième édition du Dialogue national, axée sur le thème : « La réforme et la modernisation de la justice ».

    « Le Dialogue national vise à examiner en profondeur les forces et faiblesses du système judiciaire, identifier les dispositions légales et réglementaires ainsi que les mécanismes institutionnels à améliorer, et élaborer une feuille de route pour la mise en œuvre des solutions dégagées », selon les termes de référence consultés par l’APS.

    Les conclusions des travaux vont permettre au Sénégal de « disposer d’un régime de privation de liberté mieux encadré ».

    Il est attendu aussi de ces concertations, la mise en place d’un système de gestion de la carrière des magistrats plus transparent, l’aménagement d’un dispositif législatif et institutionnel favorisant la célérité dans le traitement des procédures judiciaires.

    Cette quatrième édition du Dialogue national doit également déboucher sur la modernisation des procédures en instituant des plateformes dématérialisées, en améliorant le fonctionnement du système judiciaire par l’allocation de moyens budgétaires suffisants.

    Elle doit également permettre de parvenir à un régime financier autonome pour les six cours d’appel du pays.

    Les participants se pencheront sur plusieurs thématiques cruciales, notamment le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, la dématérialisation du service public de la justice, le temps du procès pénal.

    Les travaux vont de même porter sur le régime de la sanction pénale, particulièrement sur le cadre juridique et institutionnel de l’administration pénitentiaire, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi.

    Pour garantir un dialogue fructueux, plusieurs dispositifs ont été mis en place avec des commissions de travail spécialisées dans la réforme et la modernisation.

    Une commission scientifique sera chargée de la synthèse et du rapport des actes du dialogue ainsi que des travaux en plénière pour des discussions et débats ouverts.

    Une autre commission aura pour tâche de plancher sur la synthèse qui sera réalisée par le modérateur afin de récapituler les principales conclusions.

    Au terme des travaux, il est attendu des rapports thématiques et un rapport général.

    Ce Dialogue national se veut un cadre inclusif avec la participation de toutes les forces vives de la nation.

    Il verra la participation des institutions constitutionnelles : Assemblée nationale, Conseil constitutionnel, Cour suprême, cours et tribunaux, Haut Conseil des collectivités territoriales, Conseil économique, social et environnemental, Haut Conseil du Dialogue social.

    Sont également conviés à ces assises, les administrations publiques, directions et services centraux du ministère de la Justice, le ministère de l’Intérieur, le ministère des Forces armées, le ministère des Finances et du Budget, d’autres administrations habilitées et des universitaires.

    Les professionnels de la justice, notamment l’Union des magistrats du Sénégal, l’Amicale des femmes magistrates, l’Union nationale des travailleurs de la justice, le Syndicat des travailleurs de la justice (SYTJUST) vont aussi prendre part aux travaux.

    Les différents ordres professionnels, avocats, notaires, huissiers, commissaires-priseurs, experts agréés, experts-comptables, géomètres, architectes, sont présentés comme étant les cibles de cette rencontre de cinq jours.

    Ils le sont au même titre que l’administration pénitentiaire, les anciens détenus, les partenaires techniques et financiers (PTF), les organisations de la société civile–patronat, syndicats– les coalitions et partis politiques représentés à l’Assemblée nationale.

    Les acteurs des médias, les collectivités territoriales, les autorités coutumières et religieuses ainsi que des personnalités indépendantes devraient aussi marquer de leur présence à ce dialogue.

    Après la cérémonie d’ouverture, des commissions et sous-commissions seront mises en place. Les travaux vont démarrer mercredi et se poursuivre jusqu’au lundi 3 juin. La restitution sera faite mardi 4 juin.

    FD/ASG/BK

  • SENEAL-LITTRERATURE / Saint-Louis : présentation samedi de deux ouvrages sur Omar Blondin Diop

    SENEAL-LITTRERATURE / Saint-Louis : présentation samedi de deux ouvrages sur Omar Blondin Diop

    Saint-Louis, 22 mai (APS) – L’Institut français de Saint-Louis abrite ce samedi, à partir de 17 heures, une cérémonie de présentation de deux ouvrages consacré à Omar Blondin Diop, jeune philosophe sénégalais et opposant au régime du président Léopold Sédar Senghor, retrouvé mort en détention sur l’île de Gorée, le 11 mai 1973.

     »Nous voir nous-mêmes du dehors. Réflexions politiques d’Omar Blondin Diop (1967-1970) », est le titre de l’un de ces ouvrages publiés par Florian Bobin, étudiant-chercheur à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Il a également à son actif un deuxième ouvrage, intitulé  »Cette si longue quête : vie et mort d’Omar Blondin Diop ».

     »La vie et la mort d’Omar Blondin Diop représentent un des moments les plus marquants de l’histoire récente du Sénégal », indique une note transmise à l’APS.

    Depuis près d’un demi-siècle, la version officielle du suicide de Omar Blondin Diop est largement contestée par de nombreuses voix dénonçant un assassinat, renseigne la même note.

    À travers ses deux livres, Florian Bobin, auteur, chercheur en histoire africaine et animateur de webradio, revient sur l’histoire d’Omar Blondin Diop.

    Florian Bobin, né en 1999 à Bruges, une commune située en Gironde, dans le sud-ouest de France, vit à Dakar. Il est étudiant-chercheur en histoire à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, renseigne une note biographique.

    CGD/AMD/ASG/BK

  • MONDE-SOCIETE-COMMEMORATION / L’ARDN va participer à la Journée de l’Afrique aux Nations unies, vendredi

    MONDE-SOCIETE-COMMEMORATION / L’ARDN va participer à la Journée de l’Afrique aux Nations unies, vendredi

    Dakar, 22 mai (APS) – Le Réseau de la Renaissance africaine et de la diaspora (ARDN), dirigé par le Sénégalais Djibril Diallo, annonce sa participation à la Journée de l’Afrique, prévue vendredi à New York et dont l’édition 2024 va mettre l’accent sur les femmes dans l’agriculture.

    Prévue « de 15 h à 17 h », l’édition de cette année porte sur le thème « Les femmes d’Afrique et de la diaspora et le développement agricole », indique un communiqué transmis à l’APS.

    Selon la même source, le thème de cette année, « vise à sensibiliser le public sur le rôle crucial que jouent les femmes dans l’agriculture. Il souligne également les dimensions économiques et sociales des pays africains et de la diaspora africaine ».

    « L’accent sera mis sur l’importance de l’éducation, à la fois pour les femmes, afin de leur donner les connaissances et les outils nécessaires, et pour les hommes, afin de promouvoir les alliances et les partenariats égaux », ajoute le communiqué.

    En perspective de cette commémoration, le président-directeur général de l’ARDN, Djibril Diallo a souligné le rôle essentiel des femmes dans l’agriculture pour l’avenir du continent.

    « Un secteur agricole dynamique et fort est nécessaire pour que les pays d’Afrique, la diaspora africaine et leurs populations puissent prospérer au 21ᵉ siècle », a déclaré M. Diallo, ancien directeur de la communication du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dont les propos sont contenus dans le communiqué.

    « Reconnaître et soutenir le rôle et le travail des femmes dans l’agriculture est essentiel à la réalisation des objectifs de développement durable et de l’Agenda 2063 pour l’Afrique », a souligné le président fondateur du Réseau de la renaissance africaine et de la diaspora, dont le siège est à New York.

    Cette ONG internationale est dotée du statut d’organisme de bienfaisance public et a des conventions de partenariat avec plusieurs organes des Nations unies.

    Explorer l’intersection entre droits des femmes et développement agricole

    Akeju Abass, son ambassadeur itinérant, a également insisté sur l’importance de la Journée de l’Afrique.

    Cette commémoration « n’est pas seulement un moment pour réfléchir sur notre patrimoine, mais aussi pour tracer la voie à suivre », a-t-il dit, cité par le communiqué.

    « En autonomisant les femmes et en luttant contre les disparités dans l’agriculture, ajoute-t-il, nous semons les graines d’un avenir plus prospère et plus équitable pour tous les Africains et la diaspora ».

    « Les objectifs des célébrations de la Journée de l’Afrique 2024 incluent l’exploration de l’intersection entre les droits des femmes et le développement agricole dans le cadre de la campagne visant à donner un carton rouge à toutes les formes de discrimination et de violence à l’égard des femmes et des filles, en mettant en valeur le potentiel et les promesses de l’Afrique, et à promouvoir un récit positif du continent », précise le communiqué.

    Il note que malgré « leurs contributions significatives, les femmes agricoles sont confrontées à de nombreux défis, notamment un accès limité à la terre, à l’eau, aux semences, aux engrais, aux marchés, au crédit et aux services financiers ».

    Des « défis sont souvent exacerbés par des lois et des coutumes inéquitables qui favorisent l’héritage masculin et entravent l’accès des femmes à la propriété foncière ».

    La Journée de l’Afrique aux Nations unies se veut « une plateforme unique pour célébrer le succès et la diversité du continent africain, en mettant en valeur son potentiel économique et culturel ».

    BK/ASB

  • SÉNÉGAL-FOOTBALL / Éliminatoires mondial 2026 : Aliou Cissé va rendre publique la liste des joueurs convoqués, vendredi

    SÉNÉGAL-FOOTBALL / Éliminatoires mondial 2026 : Aliou Cissé va rendre publique la liste des joueurs convoqués, vendredi

    Dakar, 21 mai (APS) – Le sélectionneur Aliou Cissé fera face à la presse, vendredi, pour communiquer la liste des joueurs convoqués pour les deux matchs du Sénégal face à la République démocratique du Congo (06 juin) et à la Mauritanie (09 juin), comptant respectivement pour les 3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe du mondial 2026, annonce la Fédération sénégalaise de football (FSF).

    Premier du groupe B avec 4 points, le Sénégal va recevoir la République démocratique du Congo le 06 juin, au stade Abdoulaye Wade, avant d’effectuer un déplacement à Nouakchott, le 09 juin, pour affronter la Mauritanie.

    Les Lions avaient battu le Soudan du Sud sur le score de quatre buts à zéro (4-0) lors de la première journée avant de concéder un match nul (0-0), en déplacement au Togo, lors de la 2ème journée.

    FDS/OID/ASG

     

  • SENEGAL-FRANCE-ISLAM / Paris abrite une conférence internationale sur l’Islam soufi, à partir de jeudi

    SENEGAL-FRANCE-ISLAM / Paris abrite une conférence internationale sur l’Islam soufi, à partir de jeudi

    Dakar, 21 mai (APS) – Le Dahira (association religieuse) Sop Naby de France et la Cellule Zawiya Tijaniyya du Sénégal organisent, jeudi, à Paris, une conférence internationale sur ‘’Islam soufi et défis de la mondialisation’’ dont le but est de  »contribuer à la co-construction de solutions universelles recherchées pour bâtir un monde de paix et de dialogue’’.

    Cette rencontre de trois jours se tiendra dans le cadre du programme des  »Journées culturelles Serigne Babacar Sy », indique un communiqué transmis à l’APS.

    La même source indique que dans un contexte de crise des valeurs et des identités, la conférence de Paris ‘’cherche à contribuer à la co-construction de solutions universelles recherchées pour bâtir un monde de paix et de dialogue’’.

    Cette initiative conjointe, renseigne le document, vise également à offrir aux participants un cadre de réflexions et d’échanges sur ‘’une réponse sénégalaise et africaine aux crises qui secouent le monde musulman’’.

    Des spécialistes, des chercheurs érudits et citoyens vont prendre part à ces échanges qui seront articulés autour de deux thématiques.

    Le Professeur Bakary Sambe, enseignant chercheur au Centre d’étude des religions du Sénégal, va animer le panel sur ‘’Islam ouvert, intégration et dialogue des cultures’’.

    Le théologien et essayiste Mohamed Bajrafil, Ambassadeur des Comores à l’UNESCO, traitera du sujet : ‘’Vivre en France et être musulman : Entre spiritualité et citoyenneté agissante’’.

    Le deuxième thème de ces journées culturelles sera animé par le professeur archiviste et historien sénégalais, Mbaye Thiam, sur ‘’la vision universaliste dans la pensée et l’action de Cheikh El Hadj Malick Sy et l’École de Tivaouane’’.

    Il aura comme invité discutant l’Islamologue Gregory Vandame, Chercheur en soufisme classique, qui va aborder la question de la ‘’communauté du juste milieu’’ dans le Coran, comme fondement de l’Islam soufi.

    Le Professeur Abdoul Aziz Kébé de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), spécialiste en droit et civilisations islamiques, prendra part aux travaux.

    FD/OID/ASB

     

     

  • SENEGAL-ENVIRONNEMENT-COLLECTIVITES / Une grande campagne de nettoiement et d’embellissement des rues de La Médina, le 26 mai

    SENEGAL-ENVIRONNEMENT-COLLECTIVITES / Une grande campagne de nettoiement et d’embellissement des rues de La Médina, le 26 mai

    Dakar, 17 mai (APS) – L’Association des jeunes de la rue 5 de Médina (AJ5M) et les mouvements citoyens  »Gueule Tapée Debout » et  »Diappal Ma Diap » organisent, le dimanche 26 mai, une grande campagne de nettoiement et d’embellissement des rues de La Médina, annonce un communiqué reçu à l’APS.

     »Cette grande campagne de nettoiement et d’embellissement va se dérouler dans toutes les rues (rue 1 à 9) de La Médina, en partant de l’avenue Blaise Diagne vers la rue 6 », précise la même source.

    L’ activité est organisée en collaboration avec la Société nationale de gestion intégrée des déchets solides (SONAGED), la ville de Dakar et des structures partenaires, renseigne le communiqué.

    AB/OID

  • SENEGAL-ALLEMAGNE-CULTURE / Le Musée des civilisations noires abrite une exposition sur le patrimoine culturel immatériel, mardi

    SENEGAL-ALLEMAGNE-CULTURE / Le Musée des civilisations noires abrite une exposition sur le patrimoine culturel immatériel, mardi

    Dakar, 16 mai (APS) – Le Musée des civilisations noires va abriter à partir de mardi une exposition mettant en lumière des enregistrements audios réalisés entre 1910 et 1920 en Allemagne par des Africains, a appris, jeudi, l’APS des organisateurs.

    Le thème de l’exposition est ‘’Echo du passé : à la découverte du patrimoine culturel immatériel’’.

    Il s’agit, écrit-on, dans le dossier de presse reçu du Musée des civilisations noires, d’archives sonores et visuels historiques attribués à des sources sénégalaises.

    ‘’Cette exposition est un voyage artistique et historique captivant mettant en lumière le patrimoine immatériel dans le contexte du retour des biens culturels en Afrique’’, précise le texte.

    Cette exposition à voir jusqu’au 21 juin a pour commissaire le docteur Massamba Guèye, fondateur de ‘’Keur Leyti’’, maison de l’oralité et du patrimoine.

    Les organisateurs prévoient dans la journée du 21 mai deux tables rondes au musée des civilisations noires à partir de 9 heures dont l’une portera sur les directeurs des musées et l’autre sur les experts du patrimoine culturel.

    L’exposition est co-organisée avec le musée ethnologique de Berlin, celui d’Art Asiatique et les musées d’Etat de Berlin, la fondation du patrimoine culturel Prussein et le Goethe institut Sénégal.

    Le 21 mai coïncide avec la journée de la diversité culturelle instaurée par l’UNESCO.

    FKS/OID/AKS