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  • SENEGAL-LITTERATURE-EDITION / Parution du recueil de chroniques « Le Sénégalais entre humeurs et frasques » du journaliste-agencier Cheikh Tidiane Ndiaye

    SENEGAL-LITTERATURE-EDITION / Parution du recueil de chroniques « Le Sénégalais entre humeurs et frasques » du journaliste-agencier Cheikh Tidiane Ndiaye

    Dakar, 15 déc (APS) – Le journaliste et ancien directeur de la rédaction de l’Agence de presse sénégalaise, Cheikh Tidiane Ndiaye a annoncé, vendredi, la parution de son recueil de chroniques intitulé « Le Sénégalais entre humeurs et frasques », dans lequel il dit décortiquer les faits et gestes du Sénégalais, « ses colères et rires, ses chahuts, ses dérapages et ses polissonneries ».

    « Cet ouvrage nous montre que le Sénégalais est un intéressant sujet d’études, capable de satisfaire la curiosité de tout individu qui se donne la peine de l’observer », lit-on dans la quatrième de couverture du livre.

    Edité par la librairie et la maison d’édition Harmattan/Sénégal, l’ouvrage de 192 pages composé de 56 chroniques est préfacé par le journaliste Thierno Ahmadou Sy, actuel directeur général de l’Agence de presse sénégalaise (APS).

    « La société sénégalaise est très intéressante à observer comme à vivre », constate l’auteur, agencier de renom, mais très réputé pour sa grande maitrise des genres journalistiques dits libres (commentaire, billet, chronique).

    « De l’alimentation où le pain tout autant que le +ceebu jen+ fait le délice de son palais à la santé où la Covid-19 a suscité en lui des réflexes inattendus, en passant par la communication, l’éducation, l’habillement, la politique, la religion et le sport, le Sénégalais coche toutes les cases, de par des comportements bien singuliers », indique-t-il.

    Issu de la neuvième promotion (1978-1981) du Centre d’études des sciences et techniques de l’information, l’école de journalisme et de communication de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Cheikh Tidiane Ndiaye a fait toute sa carrière de journaliste à l’APS de 1982 à 2016, date de son départ à la retraite.

    Il y a gravi tous les échelons : reporter, chef de desk central, directeur de la rédaction et de l’édition, coordinateur général de la rédaction et rédacteur en chef.

    Cheikh Tidiane Ndiaye a été également de 2011 à 2020, formateur au CESTI, où il a enseigné le module d’agence de presse et genres rédactionnels. Il est aujourd’hui correcteur au sein d’une agence de presse internationale, lit-on dans une note biographique de l’auteur.

    FKS/SMD/OID

  • SENEGAL-EDUCATION-HOMMAGE / L’école élémentaire de Fass portera le nom de feu  Badara Mamaya Sène

    SENEGAL-EDUCATION-HOMMAGE / L’école élémentaire de Fass portera le nom de feu  Badara Mamaya Sène

    Rufisque, 15 déc (APS) –  L’école élémentaire de Fass, dans la commune de Rufisque Nord, sera baptisé du nom de Badara Mamaya Sène, arbitre international, ancien maire de Rufisque et ancien membre du Haut Conseil des Collectivités territoriales, Badara Mamaya Sène, lors d’une cérémonie prévue samedi 23 décembre, a annoncé à l’APS un membre du comité d’organisation de l’évènement.

    Cette décision fait suite à une proposition des habitants du quartier à travers le Conseil de quartier, les notables et les organisations communautaires de base. Ils ont exprimé le souhait, dans le cadre de leurs instances respectives, que l’école publique porte désormais le nom de l’ancien vice-président de la commission des arbitres de la CAF (2012-2017) et ancien maire de Rufisque (2009-2014), décédé le 22 juin 2022.

    Cette proposition a été fortement soutenue par les conseillers municipaux de la commune qui ont fait une délibération soumise au chef de l’Etat, Macky Sall, qui l’a entérinée par décret numéro 2022-1583.

    Les populations de Rufisque en général et de la commune de Rufisque Nord en particulier comptent ainsi, à travers cette cérémonie de baptême de l’école qui a été entièrement réhabilitée, ‘’immortaliser et honorer la vie et l’œuvre d’un homme multidimensionnel en le présentant aux élèves comme un modèle pour la postérité ».

    L’école, inaugurée en 1994 était baptisée ‘’Amitié Rufisque Nantes’’, pour marquer le jumelage entre les deux villes. Mais, le panneau nominatif en demi-cercle qui surmontait le haut du grand portail de l’école, a disparu depuis belle lurette.

    Plusieurs personnalités du monde du sport, de la politique et de la société civile sont annoncées à la cérémonie de baptême de l’école publique de Fass.

    Badara Mamaya Séne a vu le jour le 5 mars 1945 dans ce quartier où il a grandi et vécu avec sa famille jusqu’à son décès.

    ADL/SKS/ASG

  • SENEGAL-CULTURE / Un festival donne Léopold Sédar Senghor en modèle aux jeunes générations

    SENEGAL-CULTURE / Un festival donne Léopold Sédar Senghor en modèle aux jeunes générations

    Dakar, 14 déc (APS) – Le premier festival des cultures africaines et des diasporas noires prévu du 20 au 23 décembre prochain à Djilor Djidiack, dans la région de Fatick (centre) va donner en modèle aux jeunes génération le président-poète Léopold Sédar Senghor (1906-2001) pour ‘’son combat pour les diasporas noires et le dialogue des cultures’’, a annoncé Mamadou Mignane Diouf, de l’Association pour le développement de Djilor Djidiack (Add).

    L’objectif de ce festival qui s’ouvre, mercredi au village natal du premier président du Sénégal indépendant est ‘’de faire connaitre Senghor aux jeunes générations’’, insiste-t-il lors d’une conférence de presse organisée en prélude de la manifestation.

    ‘’Cet homme de lettres mérite tous les honneurs du monde de la culture, de la science et du savoir’’, fait valoir Mamadou Mignane Diouf par ailleurs coordinateur du forum social sénégalais.

    Pour lui, ‘’dans ce monde d’incertitudes, de guerres et de conflits asymétriques, il [Léopold Sédar Senghor] mérite doublement d’être davantage connu des jeunes générations qui cherchent des références dans les nuits si longues de perte de repères et d’identité’’.

    Selon Mamadou Mignane Diouf, le président-poète doit être cité comme modèle dans l’attachement à la République, à l’Etat et au respect des deniers publics.

    ‘’Nous célébrons Léopold Sédar Senghor dans ce qu’il est convenu d’appeler le festival des cultures africaines et des diasporas noires. Un événement qu’il aurait bien aimé parce que recoupant son engagement pour la promotion de la culture et des arts’’, explique-t-il.

    Il indique que ce festival dédié au premier président du Sénégal indépendant célèbre aussi ‘’son combat pour les diasporas noires et le dialogue des cultures, la civilisation de l’universel basée sur l’enracinement et l’ouverture’’.

    Les habitants de son village Djilor Djidiack, ‘’un berceau culturel dans le terroir du village de Fa’oye », se mobilisent désormais dans la vulgarisation des valeurs positives léguées par Senhor, fait-il savoir.

    Revenant sur l’importance de célébrer Léopold Sédar Senghor sur toutes ses dimensions, Moustapha Diouf de l’Add estime que le président-poéte est ‘’un océan de valeurs culturelles et politiques’’.

    ‘’Au moins, sur ces deux registres, on peut raconter Senghor à la jeune génération’’, lance-t-il estimant que c’est ce qui a animé l’esprit de l’association, initiatrice de cette manifestation, 22 ans après la disparition de l’auteur du poème ‘’Femme noire, femme africaine…’’.

    Selon lui, l’événement peut être inscrit sur l’agenda culturel du Sénégal pour donner une opportunité au monde de connaître Senghor sur sa dimension culturelle et politique.

    La mairie de Dakar qui accompagne cette initiative, souligne le chef de la division des arts et de la culture de la ville de Dakar, Ibrahima Cissé, ne peut pas être en reste de cette célébration, car dit-il, ‘’Senghor repose au cimetière de Bel air’’ dans la capitale sénégalaise.

    Léopold Sédar Senghor est décédé le 20 décembre 2001 en France. Il a été le président de la République du Sénégal de 1960 à 1981. Il repose au cimetière de Bel-Air prés de son fils Philippe Maguilen et de son épouse Collette Hubert Senghor.

    OB/FKS/OID

  • SENEGAL-MEDIAS / L’Union nationale des photojournalistes du Sénégal en atelier, jeudi

    SENEGAL-MEDIAS / L’Union nationale des photojournalistes du Sénégal en atelier, jeudi

    Dakar, 13 déc (APS)– L’Union nationale des photojournalistes du Sénégal (UNPJS), organise un atelier, jeudi annonce un communiqué transmis à l’APS.

    La rencontre est prévue à partir de 9 heures 30, à la Maison de la presse, ajoute la source sans autre précision.

    AMN/SBS/AKS

  • SENEGAL-NUTRITION / Saint-Louis accueille les 15 et 16 décembre la 3eme édition du salon de la nutrition

    SENEGAL-NUTRITION / Saint-Louis accueille les 15 et 16 décembre la 3eme édition du salon de la nutrition

    Saint-Louis, 13 déc (APS) – La ville de Saint-Louis (nord) va accueillir les 15 et 16 décembre, la troisième édition du Salon de la nutrition, un évènement qui vise à promouvoir une alimentation saine, a appris l’APS auprès des organisateurs.

    Le thème choisi pour la troisième édition de ce Salon initié par l’Organisation non gouvernementale (ONG Agora) est :  »Alimentation saine et durable ».

    ‘’Dans le but de lutter contre la malnutrition, l’ONG Agora organise la troisième édition du salon de la nutrition les 15 et 16 décembre’’, lit-on dans un communiqué transmis à l’APS.

    La même source indique que ‘’cet évènement vise à promouvoir une alimentation saine pour prévenir les maladies chroniques et mettre en valeur les produits locaux’’.

    L’objectif est de sensibiliser la communauté sur l’impact de la nutrition sur les maladies chroniques telles que le diabète et l’hypertension, ajoute le même communiqué précisant que cet évènement va se dérouler à l’Institut français.

    Toujours dans le cadre de cet évènement, sont prévus entre autres des panels, des ateliers culinaires.

    CGD/AMD/OID

  • SENEGAL-AFRIQUE-CULTURE / Lancement officiel de la 15ème édition du Dak’Art, lundi

    SENEGAL-AFRIQUE-CULTURE / Lancement officiel de la 15ème édition du Dak’Art, lundi

    Dakar, 13 déc (APS) – La 15ème édition de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art) prévue du 16 mai au 16 juin 2024 sera lancée officiellement, lundi, à partir de 16h à l’ancien Palais de justice sis au cap manuel, a annoncé, mercredi, le ministère de la Culture et du Patrimoine historique.

    La cérémonie se déroulera en présence du comité d’organisation de la biennale et de la directrice artistique de l’évènement, Salimata Diop, indique un communiqué de presse du ministère transmis à l’APS.

    Il souligne que la sélection des artistes retenus pour l’exposition internationale ou ‘’IN’’ sera dévoilée à cette occasion, ainsi que l’équipe curatoriale et le programme culturel de l’édition 2024.

    Le thème général de la quinzième biennale de l’art africain de Dakar proposé par la directrice artistique est ‘’The Wake’’ (l’Eveil le sillage) qui, selon le texte, ‘’évoque une transformation imminente, personnelle, sociale, écologique et économique, dans un monde confronté à des crises liées aux changements climatiques, à des mutations sociétales et à des préoccupations environnementales, impliquant la nécessité d’un changement et l’éveil d’une génération à un écho puissant’’.

    Il vise surtout, ajoute le document, à  »jeter un pont entre le passé et l’avenir, en explorant les relations entre l’art, la société, les changements environnementaux et l’histoire, en particulier dans le contexte de Dakar, positionnant finalement les artistes comme en sentinelles d’un nouveau récit mondial’’.

    Les Etats-Unis sont le pays invité d’honneur de cette 15ème édition de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar.

    CN/FKS/OID

  • SENEGAL-ECONOMIE / Lancement du Conseil national de l’entrepreneuriat, mardi

    SENEGAL-ECONOMIE / Lancement du Conseil national de l’entrepreneuriat, mardi

    Dakar, 13 déc (APS) – Le Sénégal va lancer son Conseil national de l’entrepreneuriat (CNE), mardi 19 décembre, pour soutenir les start-up et les ‘’entrepreneurs chevronnés’’ du pays, annonce un communiqué reçu à l’APS.

    ‘’Sous l’égide du Premier ministre, Amadou Ba, et après une première réunion d’information couronnée de succès, le 13 novembre 2023, le Conseil national de l’entrepreneuriat est fier d’annoncer son lancement officiel, le 19 décembre 2023, à Dakar’’, affirme le communiqué.

    Il précise que le CNE est une ‘’plateforme ouverte et dynamique’’, dont le but est de ‘’renforcer le tissu économique sénégalais par l’innovation et une croissance durable, grâce à l’avènement d’une génération émergente de nouveaux chefs d’entreprises’’.

    La nouvelle structure va ‘’soutenir les start-up et les entrepreneurs chevronnés, consolider la croissance et la création d’emplois’’.

    Le Conseil national de l’entrepreneuriat est appelé à devenir ‘’un acteur clé’’ de la politique d’entrepreneuriat et à ‘’stimuler l’investissement privé et la reprise économique’’, dans un contexte marqué par ‘’un ralentissement de la croissance due aux chocs liés à la pandémie de Covid-19’’.

    Le CNE s’engage à intégrer les compétences de la diaspora sénégalaise pour enrichir le dynamisme économique national, notamment en matière de création d’entreprises.

    ‘’En s’appuyant notamment sur le Plan Sénégal émergent, indique la même source, le CNE contribuera à l’objectif national d’accroître la compétitivité et la création d’emplois, tout en renforçant la résilience et la durabilité face à des risques croissants’’.

    Selon une étude menée en 2016 de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, 99,8 % des entreprises opérant au Sénégal sont de très petites entreprises, petites et moyennes entreprises et start-up représentant 90 % du produit intérieur brut.

    Quatre cents entrepreneurs du Sénégal et de l’étranger sont attendus au lancement du CNE, selon les organisateurs.

    Avec le CNE, le Sénégal va disposer d’un nouvel organisme chargé du secteur de l’entrepreneuriat, en plus de la Délégation à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes.

    ABB/BK/ESF

  • SENEGAL-AFRIQUE-SOCIETE-GENRE / La campagne « Carton rouge » de l’ARDN lancée mardi en Côte d’Ivoire

    SENEGAL-AFRIQUE-SOCIETE-GENRE / La campagne « Carton rouge » de l’ARDN lancée mardi en Côte d’Ivoire

    Dakar, 11 déc (APS) – La campagne « Carton rouge » contre les discriminations et les violences visant les filles et les femmes va être lancée mardi en Côte d’Ivoire, dans le sillage de plusieurs pays d’Afrique et de la diaspora ayant engagé une initiative similaire sous l’égide du Réseau de la Renaissance africaine et de la diaspora (ARDN), dirigé par le Sénégalais Djibril Diallo, ancien directeur de la communication du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

    « Le ministère ivoirien de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population et le Réseau de la Renaissance africaine et de la diaspora (ARDN), s’apprête à lancer la campagne +Carton rouge+ à Abidjan, marquant une position décisive contre la discrimination et la violence visant les femmes et les filles en Afrique de l’Ouest », apprend-on d’un communiqué reçu du représentant de l’ARDN au Sénégal.

    « Prévue le 12 décembre 2023, la campagne, intitulée +Engagement et actions pour la mise en œuvre d’une stratégie régionale de tolérance zéro à l’égard des violences basées sur le genre (VBG) d’ici 2030+, vise à obtenir un engagement de haut niveau dans la lutte contre les VBG en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest », explique le communiqué.

    Il ajoute que cette initiative, déjà lancée au Sénégal et au Kenya notamment, ainsi que dans d’autres pays de la diaspora africaine, « sollicite la participation active des gouvernements, du monde universitaire, du secteur privé, de la société civile, des autorités locales, des organisations de femmes et de jeunes ».

    Dans des propos rapportés par le communiqué de l’ARDN, son président-directeur général, Djibril Diallo, a exprimé « son enthousiasme pour l’initiative du gouvernement ivoirien, renforçant les lancements de la campagne Carton rouge en Afrique de l’Ouest, en Afrique, dans les Caraïbes, en Amérique, en Amérique latine et aux États-Unis d’Amérique ».

    « La lutte contre la discrimination et la violence exige un engagement et une action ; la neutralité n’est pas une option », a ajouté M. Diallo, avant d’insister sur « l’urgence de la cause » de la lutte contre les violences et les discriminations visant les filles et les femmes.

    Le communiqué affirme que « des études mondiales révèlent des statistiques alarmantes », selon lesquelles « 35 % des femmes dans le monde déclarent avoir été exposées à des violences physiques ou sexuelles ».

    « En Côte d’Ivoire, les données de l’enquête MICS 2016 indiquent que 36 % des femmes ont subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans, et 31 % ont subi des violences sexuelles de la part de leur partenaire », peut-on lire.

    Aussi, la campagne « Carton Rouge » vise-t-elle « à positionner Abidjan comme une plaque tournante internationale dans la lutte contre les VBG, en tirant parti de l’importance stratégique de la Côte d’Ivoire en Afrique de l’Ouest et en Afrique dans son ensemble ».

    « La campagne Carton rouge devrait s’étendre sur douze mois, au cours desquels un plan d’action sera élaboré pour contrôler les engagements, impliquant toutes les parties prenantes. Cet effort global sera évalué à la fin de la période de douze mois », renseigne la même source.

    Le Réseau de la Renaissance africaine et de la diaspora (ARDN), dont le siège est à New York, est une ONG internationale dotée du statut d’organisme de bienfaisance public et qui a des conventions de partenariat avec plusieurs organes des Nations unies.

    Il opère dans plus de 80 pays à travers le monde, et « se consacre à accélérer la réalisation de la Renaissance africaine en soutenant les programmes et priorités des Nations unies ».

    BK/ASG/OID

  • SENEGAL-CULTURE-INSTANCES / Assemblée générale ordinaire de l’Association des métiers de la musique, lundi

    SENEGAL-CULTURE-INSTANCES / Assemblée générale ordinaire de l’Association des métiers de la musique, lundi

    Dakar, 10 déc (APS) – L’Association des métiers de la musique annonce qu’elle va tenir, lundi, une assemblée générale ordinaire consacrée au renouvellement de ses instances, a appris l’APS, dimanche, auprès du président de l’AMS.

    Prévue à partir de 15 heures à la maison de la culture Douta Seck, la rencontre devrait permettre aux membres de renouveler leurs instances, notamment l’élection du comité directeur qui se chargera de choisir le président, a précisé Daniel Gomes.

    Il sera également pour l’Association des métiers de la musique l’occasion de présenter les rapports financiers et d’activités, pour ensuite dégager des perspectives pour les prochains quatre ans, a-t-il ajouté.

    Selon Daniel Gomes, le bureau actuel de l’AMS a été élu en 2016 pour un mandat de quatre ans.

    « L’assemblée générale de l’AMS devrait se tenir en 2020. Mais avec la pandémie du covid-19, c’était impossible. Et en 2021 cela n’a pas pu se tenir, faute de moyen », a-t-il expliqué.

    FKS/SMD

  • SENEGAL-GENRE-ECONOMIE / Dakar abrite un colloque sur l’autonomisation des femmes en Afrique de l’Ouest, à partir de lundi

    SENEGAL-GENRE-ECONOMIE / Dakar abrite un colloque sur l’autonomisation des femmes en Afrique de l’Ouest, à partir de lundi

    Dakar, 9 déc (APS)- Le consortium pour la recherche économique et sociale (CRES) a annoncé qu’il compte organiser à partir de lundi, la deuxième édition du colloque international sur l’autonomisation des femmes en Afrique de l’Ouest

    Cette rencontre scientifique de deux jours (11 et 12) est organisée en collaboration avec le Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI), l’Organisation des Nations Unies pour les Femmes (ONU Femmes). Le Ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants la Délégation nationale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale font également partie des organisateurs de cet évènement.

    « La deuxième édition du colloque est une activité qui s’intègre dans le cadre du plan d’action du forum pour l’autonomisation des femmes en Afrique de l’Ouest qui est une initiative récemment crée dans le but de renforcer les synergies entre les différents acteurs qui travaillent sur les questions d’autonomisation des femmes que ça soit des chercheurs, des décideurs publiques et privés comme des partenaires techniques et financiers » a expliqué Fatou Cissé, enseignante-chercheure au Consortium pour la recherche économique et sociale .

    S’exprimant, vendredi, lors d’un atelier de sensibilisation destiné à des journalistes en perspective de cette rencontre dont le thème porte sur « femmes, travail de soins non rémunérés et transition verte », l’universitaire et économiste a indiqué qu’il s’agira pour les participants de « partager des connaissances en terme de production scientifique que les chercheurs ont réalisé sur la problématique ».

     

    Fatou Cissé a aussi indiqué que le colloque devrait offrir un cadre pour discuter sur la nécessité d’aller vers ce qu’elle a appelé une « requalification » de certains métiers de femmes.

    « Par exemple en zone rurale la femme qui avait comme activité de vendre du bois de chauffe ne pourra plus faire cette activité avec le contexte changement climatique. On va lui demander de contribuer à la protection de l’environnement’’, a expliqué l’enseignante affiliée au CRES.

    A cet effet, elle a insisté sur la nécessité de sensibiliser les jeunes filles pour qu’elles soient davantage dans les filières scientifiques qui leur permettent de « profiter des opportunités d’emplois dans les secteurs verts comme celui de la construction ou des énergies renouvelables ».

    NAN/SBS/SMD