Catégorie : economie

  • SENEGAL-ECONOMIE-POLITIQUE-VIOLENCES / La 18ème édition des Cauris d’or reportée à une date ultérieure (organisateur)

    SENEGAL-ECONOMIE-POLITIQUE-VIOLENCES / La 18ème édition des Cauris d’or reportée à une date ultérieure (organisateur)

    Dakar, 5 juin (APS) – La 18ème édition des Cauris d’or, initialement prévue samedi, est reportée à une date ultérieure, en raison des  violentes manifestations survenues récemment à Dakar et dans les régions, a annoncé le Groupe Promo-Consulting, organisateur de l’évènement.

     »Le Sénégal vit une période de tensions internes qui a fini par installer les populations dans une grande peur et une incertitude inhabituelle suite à des heurts et des débordements qui ont entraîné des pertes en vies humaines et de nombreux dégâts matériels et financiers’’, déplore le groupe dirigé par l’homme d’affaires Mbagnick Diop.

    Il dit adresser  »ses plus vives condoléances aux familles des victimes » et exprimer ‘’sa compassion et sa solidarité aux personnes ayant subi des pertes [à la suite] des scènes de pillage et de saccage, ainsi qu’à toute la nation sénégalaise aujourd’hui meurtrie par ces évènements inédits’’.

    Le Sénégal a été secoué par de violentes manifestations à Dakar et Ziguinchor, suite à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison pour  »corruption de la jeunesse » dans l’affaire de  »viols » et  »menaces de mort » l’opposant à Adji Sarr, une ex-employée d’un salon de beauté dakarois.

    Selon la police, 16 personnes ont perdu la vie dans les violences.

    FD/AB/OID/ASG

  • SENEGAL-AGRICULTURE / A Médina Yoro Foula, les mesures nécessaires ont été prises pour une distribution équitable des semences (préfet)

    SENEGAL-AGRICULTURE / A Médina Yoro Foula, les mesures nécessaires ont été prises pour une distribution équitable des semences (préfet)

    Kolda, 2 juin (APS) – Le préfet du département de Médina Yéro Foula (sud), Alioune Badara Mbengue, a assuré avoir pris les mesures nécessaires pour ‘’une distribution équitable’’, dans cette circonscription administrative, des semences subventionnées par l’Etat pour la campagne agricole 2023-2024.

    ‘’Toutes les dispositions qu’il faut ont été prises pour assurer une distribution équitable des semences subventionnées dans le département de Médina Yoro Foula’’, a-t-il dit en marge d’une réunion consacrée aux activités de l’université numérique Cheikh-Hamidou-Kane.

    Une commission chargée de distribuer les semences dans la transparence a été créée, selon Alioune Badara Mbengue.

    ‘’La commission mise en place pour faire ce travail est à pied d’œuvre pour mener les opérations de vente de façon démocratique et transparente, dans le respect strict des critères fixés, dans le but de satisfaire l’ensemble des ménages’’, a assuré le préfet de Médina Yéro Foula.

    Il a insisté sur la transparence et a invité les acteurs concernés, notamment les paysans, à faire bon usage des semences subventionnées et à éviter tout détournement.

    ‘’Nous insistons sur le système de distribution démocratique et transparent et invitons les bénéficiaires à en faire bon usage, à ne pas détourner les semences et les autres intrants, qui ont coûté 100 milliards de francs CFA à l’Etat’’, a-t-il poursuivi.

    Les besoins de la région de Kolda sont estimés à 6.000 tonnes de semences pour la campagne agricole de cette année.

    MG/ASG/ESF

  • SENEGAL-USA-ECONOMIE / Entrepreneuriat: la chambre de commerce de Dakar et « Feed the future » signent des conventions de partenariat

    SENEGAL-USA-ECONOMIE / Entrepreneuriat: la chambre de commerce de Dakar et « Feed the future » signent des conventions de partenariat

    Dakar, 1er juin (APS) – La chambre de commerce et d’industrie et d’agriculture de Dakar (CCIAD) et Feed the future et projection company, ont procédé jeudi, à la signature d’une convention de partenariat pour ‘’contribuer à l’amélioration de la qualité de l’entrepreneuriat au niveau de la région de Dakar’’, a constaté l’APS.

    ‘’La convention avec Feed the future est motivée par le renforcement de la sécurité alimentaire et celle avec Pojection compagny a pour objet de poser les jalons d’une contribution à l’amélioration de la qualité de l’entrepreneuriat au niveau de la région de Dakar’’, a déclaré Abdoulaye Sow, président de la chambre de commerce et d’industrie et d’agriculture de Dakar.

    Selon lui, « ces signatures ont lieu dans un contexte profondément marqué par les conséquences de la récente crise sanitaire du coronavirus, la guerre en Ukraine et l’ouverture de la ZLECAf qui exigent des compétences avérées de tous ceux qui sont mobilisés autour de la question majeure du développement’’.

    « La meilleure approche pour réduire l’insécurité alimentaire est de renforcer les capacités des acteurs de l’agro-alimentaire notamment les producteurs de fruits et légumes, de viande, lait et poisson’’, a estimé le président de la CCIAD.

    ‘’La question de la sécurité sanitaire des aliments revêt une importance capitale pour différentes raisons’’, a souligné la Directrice du programme business drivers for food safety, Mariama Samb Dieng, soulignant que l’accès à des aliments sains et nutritifs ‘’en qualité et en quantité suffisantes est essentiel pour nos populations locales’’.

    Elle a ajouté que ‘’le renforcement de la sécurité sanitaire des aliments est important pour l’accès aux marchés locaux et internationaux’’.

    ‘’Notre ambition, c’est que les entreprises du Sénégal, quelle que soit leur taille, respectent les normes de qualité des aliments, puissent à la fois satisfaire aux objectifs de santé publique du gouvernement mais aussi à nos objectifs de compétitivité du secteur privé national’’, a-t-elle dit.

    Le programme business drivers for food safety est ‘’un important programme de renforcement des capacités mis en place par le gouvernement américain, pour la promotion des entreprises sénégalaises comme moteur de la sécurité sanitaire des aliments ». Il veut aider les entreprises partenaires à  »implémenter ses activités avec efficacité et efficience’’.

    Les programmes portent aussi sur ‘’l’éveil des consommateurs à travers la diffusion de messages sur la sécurité sanitaire des aliments ciblant notamment les jeunes et les femmes’’.  Mme Dieng a invité les entreprises alimentaires à ‘’mettre en œuvre les programmes pré requis ou des systèmes performants de management de la sécurité des denrées alimentaires’’.

     ‘’La sécurité sanitaire des aliments est un élément essentiel pour la santé des populations’’, a insisté la Directrice du programme business drivers for food safety. Pour elle, les aliments ‘’impropres à la consommation contenant des bactéries, des virus, des parasites ou des substances chimiques toxiques provoquent chaque année de nombreuses maladies’’.

    CS/ASB/OID

  • SENEGAL-CONSOMMATION / Kaffrine fixe ses nouveaux prix de l’huile raffinée et du sucre cristallisé

    SENEGAL-CONSOMMATION / Kaffrine fixe ses nouveaux prix de l’huile raffinée et du sucre cristallisé

    Kaffrine, 1er juin (APS) – Le Conseil régional de la consommation de  Kaffrine ( centre- ouest)  a homologué mercredi  à l’unanimité les  nouveaux prix du sucre cristallisé  et de  l’huile raffinée en présence des autorités administratives de la région, a constaté l’APS.

    Au cours  d’un Comité régional de développement( CRD), présidé par le gouverneur de la région de Kaffrine William Manel et les adjoints des préfets de Malem-Hodar, Birkelane et de Kaffrine, les acteurs de la consommation ont statué sur les nouveaux prix du sucre cristalisé et de l’huile raffinée, deux denrées de consommation courante.

    « Pour le sucre cristallisé, il y avait  quelques  tensions  sur le marché, il fallait d’où la nécessité de prendre une mesure  tendant à réguler  le marché »,  a expliqué El Hadji Yoro Fall, chef de service du commerce de Kaffrine.

    M. Fall a indiqué que « le prix du sucre chez le grossiste  est fixé désormais  à  629. 000  Francs CFA la tonne ».

    « Chez le demi grossiste, la tonne est cédée  à 635 000 de francs CFA. Ce qui correspond à 31 750 de francs CFA  le sac. Chez le détaillant, le kilogramme du sucre  est vendu à  660 fr de francs CFA au niveau des départements de Malem-Hodar, Birkelane et Kaffrine). Dans le département de Koungheul, le prix du  kilogramme est fixé à 665 francs CFA », a précisé El Hadji Yoro Fall.

    En ce qui concerne l’huile raffinée, le commissaire aux enquêtes économiques  soutient que, les cours mondiaux  sont favorables à une baisse. « Ce que l’Etat a pris  en compte  et mis en œuvre pour protéger les consommateurs », fait-il valoir.

    « Le bidon  d’huile de 20 litres  s’échange  à 20 900 FCFA chez le grossiste, tandis que chez le demi-grossiste, il est fixé  à 21 400 FCFA. Le litre d’huile est vendu  à 1 110 FCFA  dans toute la région », a poursuivi le chef de service régional du commerce.

    Le gouverneur de la région de Kaffrine William Manel  a invité  les acteurs, notamment les commerçants, au respect des prix homologués. L’exécutif régional a aussi engagé ses services à « veiller à l’application des nouvelles mesures ».

    CTS/ASB/MTN

     

     

     

     

  • SENEGAL-ADMINISTRATION / Le diner-débat de l’Amicale des inspecteurs du Trésor reporté

    SENEGAL-ADMINISTRATION / Le diner-débat de l’Amicale des inspecteurs du Trésor reporté

    Dakar, 31 mai (APS) – L’Amicale des inspecteurs du Trésor du Sénégal (AITS) a annoncé le report du dîner-débat qu’il avait prévu d’organiser samedi 3 juin sur ‘’la problématique de la revalorisation des salaires des personnels des collectivités territoriales’’.

    L’AITS n’a avancé aucune nouvelle date pour la tenue de cette rencontre, qui devait être présidée par le ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba.

    ESF/MTN

  • SENEGAL-ADMINISTRATION / L’Amicale des agents de recouvrement reporte le lancement de ses activités

    SENEGAL-ADMINISTRATION / L’Amicale des agents de recouvrement reporte le lancement de ses activités

    Dakar, 31 mai (APS) – L’Amicale des agents de recouvrement et autres corps du Trésor (AARACT) a annoncé le report de la cérémonie de lancement officiel de ses activités, qu’elle avait prévu d’organiser samedi.

    L’AARACT n’a avancé aucune nouvelle date pour la tenue de cette rencontre, qui devait avoir lieu sous la présidence de Cheikh Tidiane Diop, le directeur général de la comptabilité publique et du Trésor.

    Cette amicale réunit les agents de recouvrement, de service et d’administration, ainsi que les commis d’administration en service dans l’administration du Trésor.

    ESF/MTN

  • SENEGAL-AFRIQUE-ECONOMIE / Dakar, hôte d’un forum international sur la finance islamique, les 12 et 13 juin

    SENEGAL-AFRIQUE-ECONOMIE / Dakar, hôte d’un forum international sur la finance islamique, les 12 et 13 juin

    Dakar, 31 mai (APS) – L’Institut africain de finance islamique (AIIF) annonce vouloir organiser la huitième édition du Forum international sur la finance islamique en Afrique de l’Ouest, les lundi 12 et mardi 13 juin, au King Fahd Palace, à Dakar.

    ‘’Les opportunités de financement islamique pour le secteur de l’énergie : pétrole, gaz et énergies renouvelables’’ est le thème de cette rencontre, selon un communiqué de l’organisateur.

    Les échanges vont également porter sur la souveraineté alimentaire en Afrique de l’Ouest.

    Le gouvernement du Sénégal, la Banque islamique de développement et le Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent prennent part à l’organisation du forum.

    L’événement sera présidé par le président sénégalais, Macky Sall.

    ‘’L’objectif de ce forum est de mettre en rapport les investisseurs privés et institutionnels de la finance islamique avec les porteurs de projets dans les domaines de l’énergie et de la souveraineté alimentaire’’, explique la même source.

    ESF/OID

  • SENEGAL-ALIMENTATION / Dr Fatou Cheikh Dione : « Nous ne produisons que 48% de nos besoins en lait »

    SENEGAL-ALIMENTATION / Dr Fatou Cheikh Dione : « Nous ne produisons que 48% de nos besoins en lait »

    Diamniadio, 31 mai (APS) – Le Sénégal ne produit que 48 pour cent de ses besoins en lait, le déficit étant comblé par des importations de lait en poudre, a révélé la directrice des industries animales au ministère de l’Elevage, Dr Fatou Cheikh Dione.

    Le Sénégal produit 280 millions de litres de lait par an, alors que ses besoins sont estimés à 580 millions de litres, a-t-elle dit lors de la célébration de la Journée mondiale du lait, organisée à la sphère ministérielle Ousmane Tanor Dieng, à Diamniadio.

    Cette année, la journée est axée sur le thème : ‘’La chaine de valeur lait local dans la stratégie de souveraineté alimentaire’’.

    ‘’Nous devons tirer les leçons de la crise sanitaire de la Covid-19 et de la guerre en Ukraine pour apprendre à être résilients et produire ce dont nos populations ont besoin mais également consommer ce que nous produisons’’, a-t-elle dit.

    La directrice des industries animales estime que ‘’la principale stratégie pour arriver à l’autosuffisance en lait [passe par] l’amélioration de la production avec des mécanismes mis en place par l’Etat, en relation avec l’Association nationale pour l’intensification de la production laitière’’.

    Dans le cadre de ce partenariat public-privé, dit-elle, plus de 4000 génisses à potentiel laitière ont été importées pour améliorer la productivité en lait. ‘’Cela a impacté le volume d’importation du lait en poudre, qui a connu une baisse de 37%’’, a-t-elle relevé.

    Elle a rappelé que ‘’le lait est stratégique et multidimensionnel, du fait de son importance nutritionnelle, économique’’. En effet, ‘’dans les territoires pastoraux, le lait joue un rôle important en termes de création de revenus et d’emplois pour les jeunes’’, a-t-elle dit.

    En général du ressort des femmes, le lait est produit et commercialisé par des groupements pour certes l’autoconsommation, mais elles investissent aussi parfois les revenus générés dans l’éducation et la santé de leurs enfants, a-t-elle souligné.

    La célébration de la journée mondiale du lait a été un cadre propice d’échanges et de concertation entre les acteurs de la filière sur les stratégies à mettre en œuvre pour une souveraineté en la matière.

    Les femmes actives dans la filière, notamment dans la transformation des produits laitiers, ont exposé du lait caillé, des fromages et d’autres produits dérivés du lait, dans une quinzaine de stands dressés dans l’un des parkings de la sphère ministérielle.

    ADL/ASG/OID

  • SENEGAL-SOCIETE / Ziguinchor : la commission régionale de régulation du loyer installée

    SENEGAL-SOCIETE / Ziguinchor : la commission régionale de régulation du loyer installée

    Ziguinchor, 31 mai (APS) – Safiétou Joséphine Dieng, l’adjointe du gouverneur de Ziguinchor (sud) chargée des affaires administratives de la région, a installé la commission régionale de régulation du loyer des locaux à usage d’habitation, a constaté l’APS, mercredi.

    ‘’Nous venons de procéder à l’installation officielle de la commission régionale de régulation du loyer des locaux à usage d’habitation’’, a dit Mme Dieng en présence du secrétaire exécutif de la Commission nationale de régulation des loyers du Sénégal (Conarel), Idrissa Baldé.

    On attend de la commission régionale qu’elle mette en œuvre des orientations fixées par l’instance nationale dont elle est un démembrement.

    La commission installée à Ziguinchor doit aussi veiller au règlement à l’amiable des différends qui pourraient opposer les bailleurs et les locataires dans l’exécution des contrats de location.

    ‘’La région de Ziguinchor n’est pas très problématique en termes de plaintes. Cette commission va prendre en charge les difficultés et les litiges qui naîtront de l’exécution des contrats de location’’, a précisé Safiétou Joséphine Dieng.

    ‘’Cette commission va lutter contre la hausse illicite des loyers des locaux à usage d’habitation’’, a dit Idrissa Baldé.

    MNF/AB/ASG/ESF

  • SENEGAL-PECHE / Six pays ouest-africains, dont le Sénégal, perdent quelque 1.414,8 milliards de francs CFA par an à cause de la pêche illégale (Amnesty International)

    SENEGAL-PECHE / Six pays ouest-africains, dont le Sénégal, perdent quelque 1.414,8 milliards de francs CFA par an à cause de la pêche illégale (Amnesty International)

    Dakar, 31 mai (APS) – La Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et la Sierra Leone perdent environ 1.414,8 milliards de francs CFA par an à cause de la pêche illégale, a déclaré, mercredi, à Dakar, la directrice d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique du Centre, Samira Daoud.

    Mme Daoud intervenait au lancement d’un rapport sur ‘’le coût humain de la surpêche’’.

    Elle a invité le gouvernement gambien à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à la pêche ‘’illicite, non déclarée et non réglementée’’.

    Selon Mme Daoud, le gouvernement gambien a signé des accords de pêche avec l’Union européenne, ce qui autorise des bateaux de pays étrangers à pêcher dans les eaux gambiennes.

    La directrice d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique du Centre recommande aux autorités gambiennes de ‘’lutter contre la surpêche’’ et d’‘’améliorer la transparence des accords concernant la pêche’’.

    Près de 13 % des Gambiens vivent ‘’directement ou indirectement’’ de la pêche, selon Samira Daoud.

    Selon elle, la raréfaction des ressources de la mer aura un impact considérable sur la vie des populations, d’autant plus que 60 % des apports en protéines des personnes vivant en Gambie proviennent du poisson.

    Certains acteurs de la pêche ‘’nuisent’’ à l’environnement et ‘’mettent à mal’’ les moyens de subsistance des Gambiens, a dit la responsable d’Amnesty International.

    Elle appelle au respect de la ‘’réglementation nationale et internationale’’ relative à la pêche en Gambie.

    La grande quantité de poisson exportée chaque année par les navires industriels étrangers et des usines de farine de poisson ‘’diminue rapidement’’ les stocks disponibles pour la population locale, selon le bureau d’Amnesty International en Afrique de l’Ouest et du Centre.

    Il est ‘’crucial’’, selon Mme Daoud, que la population gambienne puisse ‘’continuer de pêcher à l’aide de méthodes durables’’.

    Amnesty international invite la Gambie à ‘’réglementer’’ la production des usines de poisson et le nombre de permis de pêche octroyés aux chalutiers.

    CS/ESF/OID