Catégorie : Education

  • SENEGAL-EDUCATION-EXAMENS / Dagana : 6.215 candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième

    SENEGAL-EDUCATION-EXAMENS / Dagana : 6.215 candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième

    Dagana, 23 juin (APS) – L’inspection de l’éducation et de la formation (IEF) de Dagana (nord) a enregistré 6.215 candidats au CFEE et à l’entrée en sixième pour la session 2024, a-t-on appris de son secrétaire général, Baye Birame Diakhaté.

     »6.215 candidats dont 2.754 filles et 3.461 garçons vont passer les examens du CFEE et de l’entrée en sixième dans 44 centres d’examen de l’IEF de Dagana », a dit à l’APS M. Diakhaté.

     »44 chefs de centre assistés par 44 secrétaires et 468 surveillants pour un personnel de 556 membres, seront mobilisés, pour assurer le bon déroulement de l’examen dans les centres », a-t-il ajouté.

    Il a assuré que toutes les dispositions sont déjà prises par les comités de gestion des écoles et les associations de parents d’élèves, les équipes pédagogiques des différents centres qui vont accueillir les candidats, dès ce mardi.

    Baye Birame Diakhaté a annoncé, la tenue lundi, à Dagana d’une rencontre d’harmonisation avec les différents chefs de centre, une occasion pour l’IEF de faire les derniers réglages avec les responsables des centres.

    Selon lui, cette rencontre, sera l’occasion de partager des informations et les dispositions pratiques par rapport au CFEE, ensuite suivra la remise du matériel nécessaire qui sera utilisé dans les différents centres de même que les épreuves.

    OG/AMD/AB

  • SENEGAL-EDUCATION / Les dispositions pour un bon déroulement des examens du CFEE et de l’entrée en sixième déjà prises à Ziguinchor (IA)

    SENEGAL-EDUCATION / Les dispositions pour un bon déroulement des examens du CFEE et de l’entrée en sixième déjà prises à Ziguinchor (IA)

    Ziguinchor, 23 juin (APS) – L’inspecteur d’académie de Ziguinchor, Cheikh Faye,  a assuré que toutes les dispositions, pour une bonne organisation des examens du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième, sont déjà prises.     

     »Toutes les dispositions sont déjà prises pour bonne organisation des examens du CFEE et de  l’entrée en sixième dans l’académie de Ziguinchor », a-t-il dit à l’APS.

     »D’ailleurs, les centres d’examen inondables comme Jean Kande ont été délocalisés, à Sacré-Cœur », a-t-il indiqué.

     »Et pour le reste, c’est des questions administratives qui doivent être gérées à notre niveau et pour cela nous sommes rompus à la tache », a déclaré l’IA de Ziguinchor.

    M. Faye a indiqué que des CRD, CDD et CLD, ont été organisés en amont, pour une meilleure organisation des épreuves de ces examens solaires.

    L’inspection d’académie de Ziguinchor compte cette année, 16 210 candidats qui seront répartis dans 149 centres d’examen.

    Le nombre de candidats est passé de 15. 901 candidats en 2023 à 16. 210 en 2024, soit une hausse de 309 candidats, selon le bureau des examens et concours de l’inspection d’académie (IA) de Ziguinchor.

    Parmi ces 16. 210 candidats recensés cette année, on compte 8. 061 filles, soit 49,7% des inscrits.

    Dans le département de Bignona,  l’IEF I compte 3. 951 candidats dont 1. 915 filles et 2 035 garçons  réparties dans 36 centres d’examen, tandis que, l’IEF II, a de son côté 3. 691 candidats dont 1. 226 filles et 1965 garçons répartis entre 37 centres d’examen.

     L’IEF d’Oussouye qui polarise 17 centres d’examen, enregistre cette année, 1. 436 candidats dont 730 filles et 706 garçons contre 7. 132 candidats dont 3. 690 filles et 3 442 garçons répartis entre 59 centres d’examen pour l’IEF de Ziguinchor.

    Deux candidats non-voyants vont composer au niveau de l’IEF de Ziguinchor, a-t-on appris de l’IA.

    Les examens du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième se dérouleront, les mardi 25 et mercredi 26 juin 2024

    IM/AB

  • SENEGAL-EDUCATION / Crise de l’école : l’inadaptation des curricula et offres éducatives indexées (formateur)

    SENEGAL-EDUCATION / Crise de l’école : l’inadaptation des curricula et offres éducatives indexées (formateur)

    Thiès, 23 juin (APS) – L’inspecteur de l’éducation Elhadji Babacar Seck, formateur au Centre régional de formation des personnels de l’éducation (CRFPE) a indiqué samedi à Thiès, que l’école sénégalaise traverse une crise de l’étiolement des modèles anciens de réussite, cumulée à une inadaptation des curricula et des offres d’éducation.

    “Malgré les énormes efforts, l’école sénégalaise traverse une crise de l’étiolement des modèles anciens de réussite, cumulée à une inadaptation des curricula et des offres d’éducation“, a dit M. Seck.

    Ce qui se traduit par des abandons scolaires de jeunes qui embarquent dans des pirogues pour émigrer.

    M. Seck prenait part à la cérémonie de lancement du renouveau de l’éducation, organisée dans un hôtel de Thiès, par la Force nationale de renouveau de l’éducation, une organisation syndicale qui se veut une “force de proposition“.

    Dans sa présentation, l’inspecteur de l’éducation Elhadji Babacar Seck, formateur au Centre régional de formation des personnels de l’éducation (CRFPE) a, à la lumière du Rapport national sur la situation de l’éducation (RNSE 2019) évoqué les “performances mitigées“ du système éducatif sénégalais.

    “Beaucoup d’indicateurs phares, tels que le taux d’achèvement, le taux brut de scolarité (TBS), le taux brut de préscolarisation (TBPS) et le taux d’admission en CI n’ont pas atteint leur valeurs cible“, a-t-il signalé.

    Il évoque aussi un “développement soudain du non formel, avec la prolifération des daara internat, qui échappent au contrôle et au suivi qualité nécessaires“.

    Le corollaire d’un tel phénomène est le “manque d’horizon des produits de ces daaras qui sortent avec des profils et des âges différents des élèves de l’élémentaire.

    “Des jeunes Sénégalais terminent la mémorisation du coran à 10-12 ans et ne trouvent aucune offre capable de les prendre en charge“, dit-t-il soulignant la nécessité de “repenser, l’insertion à travers le prisme des modèles alternatifs“.

    L’inspecteur Seck pointe aussi du doigt un “déficit d’efficacité interne“, avec des taux de réussite aux différents examens qui “méritent d’être améliorés“. Par exemple, les taux de réussite au baccalauréat tournent autour de 45%.

    Selon lui, le système éducatif sénégalais manque aussi d’efficacité externe. Il s’agit notamment de l’employabilité de ses produits, qui sont obligés de faire une autre formation, pour s’insérer dans le marché du travail.

    L’expert recommande l’introduction dans les curricula, des “valeurs de référence qui font le socle du substrat culturel du Sénégalais“.

    Cela passe également par l’apprentissage dans les langues, pour amener les enfants à raisonner dans ces vecteurs de connaissances mais aussi de culture.

    L’inspecteur préconise que soient répertoriées les pratiques traditionnelles ayant un soubassement scientifique, afin de les intégrer dans les apprentissages.

    Ce qui le fonde à dire que “la rédaction des curricula ne peut plus être un exercice de bureau pour des techniciens de l’éducation“.

    Il évoque des impairs comme un “programme trop vaste à l’élémentaire“, étalé sur six ans de scolarité, un cycle jugé long.

    Ces programmes doivent être continuellement revus, puisque les enfants naissent dans des contextes différents, avec des compétences différentes liées au développement des sciences et des sociétés.

    Parmi ses recommandations, la nécessité de “repenser les cycles d’apprentissage à travers le prisme des profils d’entrée“, a poursuivi le formateur, selon qui, « il faut aussi repenser l’enseignement scientifique et corriger l’atrophie des filières scientifiques ».

    Les contenus d’apprentissage doivent aussi être revus “dans l’optique d’opérer une cure d’amaigrissement“, a-t-il suggéré.

    L’autre recommandation de l’inspecteur est de “prioriser les connaissances instrumentales au détriment des connaissances déclaratives“.

    L’inspecteur Aly Dia, coordonnateur du Projet d’éducation inclusive, a insisté sur la nécessité de prendre en compte les enfants handicapés du bas âge jusqu’au niveau supérieur. Pour lui, le fait qu’un enseignant ne puisse pas enseigner à un enfant souffrant d’un handicap quelconque est un échec pour le système éducatif.

    Evoquant la question des examens pour les candidats malvoyants, il juge « injuste » le fait que quatre élèves qui ont fait leur cursus à Ziguinchor soient obligés de se rendre à Thiès, à 400 km pour pouvoir passer leur baccalauréat. Ce qui dénote une rupture d’équité par rapport à leurs camarades, selon lui.

    ADI/AB

  • SENEGAL-UNIVERSITES / L’USSEIN veut faire de l’agriculture un moteur réel de notre développement (rectrice) 

    SENEGAL-UNIVERSITES / L’USSEIN veut faire de l’agriculture un moteur réel de notre développement (rectrice) 

    Kaolack, 23 juin (APS) – L’université du Sine-Saloum El Hadji Ibrahima Niass (USSEIN), veut faire de l’agriculture une option et un moteur réel de notre développement national, a indiqué sa rectrice, la professeure Ndèye Coumba Touré Kane.

    ‘’L’USSEIN, qui a une vocation agricole, collant à l’agriculture et aux métiers connexes, veut faire de ce secteur tertiaire une option et un moteur réel de notre développement national, en assurant la sécurité et la souveraineté alimentaire ainsi que le développement durable et la prospérité des populations’’, a-t-elle déclaré.

    Mme Kane s’exprimait samedi en présence du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane Diouf, en visite au campus social de Kaolack de l’USSEIN.

     »L’université répond à une nécessité socioéconomique avec des formations très diversifiées dans l’agriculture. Elle a mis en place des filières avec un système pédagogique qui répond au système LMD (Licence-master-doctorat) en vigueur au Sénégal, tout en développant également le volet professionnel avec des licences et des masters professionnalisants », a-t-elle rappelé.

    ‘’Nous avons 36 licences, 60 spécialisations couvrant tous les domaines de l’agriculture ainsi que trois masters. Parmi ces formations, six sont labellisées avec le campus franco-sénégalais Rose Dieng en co-diplomation et/ou double diplomation avec des universités du nord, compte non tenu des masters en géomatique et en Agroécologie et système alimentaire durable (ASAD)’’, a indiqué la rectrice, Pr Ndèye Coumba Touré Kane.

    Créée en 2013 et baptisée en 2015, l’USSEIN est un modèle pédagogique, qui va de la fourche à la fourchette, de l’étable à la table et de l’halieutique à l’assiette, qui veut assurer la sécurité alimentaire du Sénégal, a-t-elle encore souligné.

    Elle compte quatre Unités de formation et de recherche (UFR) subdivisées en départements cloisonnés avec 43 enseignants-chercheurs, 11 contractuels et 500 vacataires.

    Le personnel administratif et des services multitâches est composé de 52 agents et l’effectif global des étudiants est passé de 1500 apprenants en 2019 à plus de 7000 étudiants aujourd’hui, a-t-on appris.

    ADE/AB

  • SENEGAL-EDUCATION-CRISE / La FNERE lance une dynamique de renouveau de l’éducation nationale

    SENEGAL-EDUCATION-CRISE / La FNERE lance une dynamique de renouveau de l’éducation nationale

    Thiès, 23 juin (APS) – L’organisation syndicale Force nationale des enseignants pour le renouveau de l’éducation (FNERE) a lancé samedi à Thiès, une dynamique dite de renouveau de l’éducation au Sénégal, dans laquelle elle entend cheminer avec une variété d’acteurs, sous l’égide du ministère de tutelle.

    “Nous allons devoir opérer des changements, des ruptures dans le comportement des élèves, des enseignants, des parents d’élèves et de toutes les familles d’acteurs, au nombre de huit dans le système qui ont l’obligation de travailler de manière synchrone pour arriver à des résultats acceptables“, a dit Oumar Seck, secrétaire général de la FNERE.

    Le lancement de cette nouvelle dynamique a eu lieu dans un hôtel de Thiès, en présence d’inspecteurs de l’éducation, d’enseignants, d’élèves et de parents. L’inspecteur de l’éducation et de la formation (IEF) de Thiès ville Gora Faye Ndiaye, avait représenté le ministre de l’Education nationale à cette rencontre.

    Le syndicat qui se veut une force de proposition, est parti du constat de l’existence d’une situation à redresser dans le système éducatif, afin de mieux cadrer ses résultats et ses offres avec les besoins d’éducation exprimés par nos communautés.

    Aussi la FNERE entend-elle s’investir dans une éducation inclusive, une éducation de qualité pour tous, offrant avec les mêmes chances de réussite pour tous les enfants sénégalais.

    A travers des programmes dénommés SOS école rurale, “Sous les drapeaux“ et Sentinelles de l’état civil, le syndicat entend œuvrer à l’équité entre l’école en milieu rural et en milieu urbain, le civisme et citoyenneté, mais aussi la résorption du nombre d’enfants sans papiers.

    “En tant que professionnels de l’éducation, nous avons (pris) l’option de lancer le renouveau de l’éducation qui va amener toutes ces catégories d’acteurs à changer dans leur attitude et comportement dans le système, s’impliquer activement, prendre des initiatives dans le sens de redresser la marche de notre école“.

    Cette organisation se considère moins comme une porteuse de doléances qu’une force de proposition pour la correction des manquements qu’ils sont amenés à constater dans l’exercice de leur fonction.

    Pour M. Seck, l’école de la République censée former les citoyens et futures autorités du pays, et agents des services déconcentrés de l’Etat , doit être beaucoup plus assainie“, débarrassée de ce manque de civisme et de discipline constaté de façon unanime.

    Ce qui devrait déboucher sur de meilleurs résultats. “Une école où tout le monde va réussir, c’est possible parce que les enseignants ont été formés pour cela, les inspecteurs ont reçu des instructions dans ce sens et la haute autorité a dégagé tous les moyens pour garantir cette réussite“, soutient Oumar Seck.

    Le syndicat qui s’active depuis 2010, se dit “en phase“ avec le ministre de l’Education nationale qui, en les recevant 13 mai dernier, leur avait présenté sa vision du secteur, leur faisant part de sa volonté de “passer d’un système éducatif à une société éducative“.

    Un “glissement sémantique intéressant“, selon Seck, d’autant plus qu’il implique des valeurs, des compétences, bref “tout ce qui caractérise l’homme dans son humanité“.

    “Quand on va à l’école, c’est pour réussir certes, mais c’est pour faire notre humanité et devenir un acteur vaillant de notre société et s’impliquer dans le développement de ce pays.

    “Nous allons chercher partout des bailleurs et des initiatives pouvant nous permettre de réaliser convenablement les projets que nous aurons à dérouler ultérieurement dans le système, avec bien sûr l’autorisation et la caution de la haute autorité qui est le ministre de l’Education nationale“, a dit le secrétaire général de la FNERE.

    L’inspecteur de l’éducation et de la formation de Thiès ville Gora Faye Ndiaye, a salué l’initiative de la FNERE, invitant les autres formations syndicales à s’inscrire dans la perspective de ce “syndicat de type nouveau“.

    Pour lui, “il faut passer d’une école française au Sénégal à une école sénégalaise au Sénégal“.

    ADI/AB

  • SENEGAL-UNIVERSITES-PERSPECTIVES / Abdourahmane Diouf : ‘’l’université a besoin à court terme de 120 milliards francs CFA pour régler ses problèmes’’

    SENEGAL-UNIVERSITES-PERSPECTIVES / Abdourahmane Diouf : ‘’l’université a besoin à court terme de 120 milliards francs CFA pour régler ses problèmes’’

    Kaolack, 23 juin (APS) – Le montant nécessaire pour régler les problèmes de l’université du Sénégal dans le court terme, c’est-à-dire d’ici la rentrée universitaire d’octobre prochain, est évalué à 120 milliards francs CFA, a indiqué samedi, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf. 

    Cette évaluation est une des propositions sorties du séminaire sur la stabilisation de l’année académique et son encadrement institutionnel organisé récemment à Saly par le, MESRI, avec la participation de toutes les parties prenantes du secteur, a dit M. Diouf, lors de sa visite d’imprégnation du campus universitaire de Kaolack de l’université du Sine Saloum El hadj Ibrahima Niass (USSEIN).  

     ‘’ (…). L’université sénégalaise a besoin à court terme de 120 milliards francs CFA pour prendre en charge ses problèmes d’ici la rentrée universitaire d’octobre prochain.  Nous avons besoin du chiffre fétiche de 120 milliards de francs CFA pour régler dans le court terme, tous ces problèmes de l’université du Sénégal’’, a-t-il indiqué.

    Concernant l’USSEIN, il a souligné que les nouvelles infrastructures des différents campus pourraient être fonctionnelles dès le mois d’octobre prochain, si nous parvenons à mobiliser ces moyens pour achever les chantiers en cours.

    ‘’Je ne vais pas vous raconter des histoires, sur les chantiers en cours,  si nous mobilisons les moyens et nous comptons les mobiliser, en principe, nous devrions vous permettre de rentrer dans vos nouveaux locaux, au plus tard, à la rentrée universitaire du mois d’octobre’’, a-t-il fait valoir devant les étudiants et les enseignants-chercheurs de cet établissement d’enseignement supérieur. 

    Le ministre a rappelé que l’USSEIN est la première université thématique du Sénégal et pas n’importe quelle thématique, mais celle de la souveraineté alimentaire.

      » Je retiens que dans cette université, on est dans la projection, la prospection et dans l’Afrique de demain, alors qu’on nous a habitué à nous confiner dans des tâches quotidiennes pour régler des problèmes quotidiens. Au moment où le reste du monde se projette sur les années futures, développe des innovations’’, a-t-il déclaré.  

    Abdourahmane Diouf dit être sûr que si le gouvernement du Sénégal soutient ce projet de l’USSEIN, avec la projection faite sur le futur, nul doute que cette université sera le ‘’point d’impulsion’’ de la souveraineté alimentaire et de toutes les questions innovantes qui vont de plus en plus devenir la priorité du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

    Il a invité les enseignants-chercheurs et les étudiants de l’USSEIN à être sûrs d’avoir l’accompagnement de l’Etat, du gouvernement, ‘’pour assouvir cette ambition que vous portez avec beaucoup de dignité et de compétence’’.

    Selon lui, ‘’l’USSEIN a les filières les plus innovantes et les plus originales du pays’’.

    Le ministre a présidé au cours de son périple de deux jours dans la zone centre, des réunions avec les partenaires et les organisations syndicales de cet établissement d’enseignement supérieur, à qui il a renouvelé sa  »disponibilité » à travailler pour le rayonnement de l’USSEIN dans le monde.

    Au cours de sa visite d’imprégnation à Kaolack,  il a visité  les nouvelles infrastructures des campus de Mbadakhoune et de Khelcom Birane.

    ADE/AB

  • ENEGAL-EDUCATION-EXAMENS / Podor : 4.594 candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième

    ENEGAL-EDUCATION-EXAMENS / Podor : 4.594 candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième

    Podor, 22 juin (APS) – L’inspection de l’Education et la formation (IEF) de Podor a enregistré 4.594 candidats au certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et au concours d’entrée en sixième de la session 2024, a appris l’APS.

     »4.594 candidats dont 3.139 filles vont subir, cette année, dans l’IEF de Podor, les épreuves du concours d’entrée en sixième et du certificat de fin d’études élémentaires, dans 38 centres d’examen », a dit à l’APS, l’IEF Mamour Cissé.

    Il a indiqué que comparativement à l’année dernière, l’effectif global du nombre de candidats, a connu cette année,  »une hausse de 300 élèves ».

    Le centre d’examen Donaye Tarédji, avec 195 candidats, regroupe le plus grand effectif, a-t-il signalé, indiquant qu’un effectif de 396 enseignants sera mobilisé, pour la surveillance des épreuves.

    M. Cissé a assuré que  »toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour une bonne organisation des examens ».  »Le préfet a de son côté mobilisé des véhicules. Et les épreuves sont sécurisées par les forces de défense et de sécurité », a-t-il ajouté.

    L’IEF a annoncé la tenue ce lundi d’une réunion de partage avec l’ensemble des chefs de centres d’examen, suivie de l’enlèvement des épreuves et la mise en route vers les centres.

    AHD/AMD/ADL/AB

  • SENEGAL-EDUCATION / Louga  : 14.743 candidats inscrits aux examens du CFEE et de l’entrée en sixième

    SENEGAL-EDUCATION / Louga : 14.743 candidats inscrits aux examens du CFEE et de l’entrée en sixième

    Louga, 22 juin (APS) – L’inspection d’académie de Louga a enregistré cette année 14. 743 candidats inscrits aux examens du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième, a indiqué samedi, Ousmane Kane, chargé de la communication. 

    Ces candidats seront répartis dans 86 centres d’examen des inspections de l’éducation et de la formation (IEF) de Kébémer, Linguère et Louga, a-t-il précisé.

    Il a indiqué que les filles représentent 59,51% de l’effectif total, soit 8. 775 candidates, contre 5. 968 candidats.

    Comparativement à l’année précédente, a-t-il relevé, « le nombre de candidats inscrits a connu une augmentation significative, passant de 13. 389 candidats en 2023 à 14. 743 en 2024, soit une hausse de 1. 354 candidats ».

     »Cette augmentation du nombre de candidats, a-t-il précisé, est particulièrement marquée dans les départements de Louga (+572 candidats) et Kébémer (+507 candidats) ».

    Concernant l’organisation de ces examens scolaires, il a assuré que des  »mesures strictes » ont été prises pour assurer un bon déroulement.

    M. Kane a indiqué que le gouverneur de Louga a réquisitionné à cet effet, des véhicules pour le transport des épreuves et des membres du jury, en plus d’un dispositif de sécurité renforcé pour protéger les centres d’examen.

    Les examens du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième se dérouleront, les mardi 25 et mercredi 26 juin 2024.

     

    DS/ADL/AB

  • SENEGAL-EDUCATION / Examens scolaires : baisse du nombre de candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième à Kaolack (IA)

    SENEGAL-EDUCATION / Examens scolaires : baisse du nombre de candidats inscrits au CFEE et à l’entrée en sixième à Kaolack (IA)

    Kaolack, 22 juin (APS) – Le nombre de candidats inscrits aux examens du certificat de fin d’études  élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième est passé de 21. 221 en 2023 à 20. 127 candidats en 2024 dans l’académie de Kaolack(centre), soit une différence de 1094 élèves , a-t-on appris.

    En 2023, au CFEE et à l’entrée en sixième, il y avait 21. 221 candidats inscrits dans la région, dont 12. 229 filles, soit 57,62% des effectifs, selon des sources académiques.

     »Pour ces examens du  certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et d’entrée en sixième, 2024, il y a au total, 20. 127 candidats dans la région, répartis dans 146 centres d’examen », a dit à l’APS, l’inspecteur d’académie de Kaolack, Siaka Goudiaby.

    Il a assuré qu »’au niveau organisationnel, les acteurs de l’école ont échangé sur toutes les dispositions pratiques appropriées à la bonne organisation de ces examens ».

    Les inspections départementales de l’éducation et de la formation (IEF), ont, en relation avec les préfets, les présidents des comités de gestion des écoles (CGE), les associations de parents d’élèves (APE), les directeurs d’écoles et autres chefs d’établissements, organisé des réunions préparatoires, depuis la tenue au mois d’avril dernier, du Comité régional de développement (CRD) axé sur les préparatifs de ces examens scalaires.

    Les examens du certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et de l’entrée en sixième se dérouleront, les mardi 25 et mercredi 26 juin 2024.

    ADE/AB

     

     

  • SENEGAL-UNIVERSITES-PERSPECTIVES / USSEIN :  »Les solutions vont arriver bientôt », assure Abdourahmane Diouf

    SENEGAL-UNIVERSITES-PERSPECTIVES / USSEIN :  »Les solutions vont arriver bientôt », assure Abdourahmane Diouf

    Kaffrine, 21 juin (APS) – Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf, a demandé vendredi aux parties prenantes de l’université Sine Saloum El H Ibrahima Niass (USSEIN) de Kaolack (centre) de faire preuve d’un peu de patience, en leur assurant que bientôt des solutions seront apportées aux problèmes de cet établissement.

     »Je demande à toutes les parties de l’université : les étudiants, les enseignants, le personnel administratif et technique, les syndicats avec lesquels nous discutons, d’être un peu patients, car nous sommes en train de mettre en branle les solutions qui vont arriver très bientôt », a-t-il lancé.

    Il s’exprimait vendredi au terme d’une visite des différents sites du campus de Kaffrine, en compagnie des autorités administratives, de représentants des universitaires, des étudiants, des syndicats et de divers autres acteurs du secteur.

    Abdourahmane Diouf a fait observer que les universités ont certes « beaucoup de capacités de résilience, beaucoup d’ambition, mais elles continuent encore à travailler dans des conditions difficiles […] avec des difficultés d’ordre pédagogique qui sont liées à des salles de classe, des amphithéâtres, entre autres ».

    Il a assuré que  »des efforts sont en train d’être faits pour que, très rapidement, toutes les questions relatives aux chantiers en cours soient réglées ».

     »La plupart des chantiers que nous avons visités sont en phase de finition, il en est de même pour les campus sociaux où il y a des problèmes de pavillons universitaires qui doivent être réceptionnées » a-t-il relevé.

    Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a annoncé que les services concernés ont engagé un travail « pour que d’ici la rentrée prochaine, tous ces problèmes soient résolus ».

    S’agissant de la question des enseignements, le ministre a soutenu que  »toutes les universités ont des contenus très intéressants, mais à l’université Sine Saloum El Hadji Ibrahima Niass, en plus d’avoir des contenus intéressants, les enseignements sont originaux avec des formations très orientées vers les besoins de la société ».

    CTS/ADL/BK