Catégorie : Formation

  • SENEGAL-SOCIETE-TECHNOLOGIE / Onu femmes et Free signent un partenariat pour promouvoir l’inclusion numérique des filles et des femmes

    SENEGAL-SOCIETE-TECHNOLOGIE / Onu femmes et Free signent un partenariat pour promouvoir l’inclusion numérique des filles et des femmes

    Dakar, 24 juin (APS) – ONU Femmes et l’opérateur de téléphonie mobile Free ont signé un partenariat pour  »promouvoir l’inclusion numérique des filles et l’autonomisation économique des femmes au Sénégal », annonce un communiqué reçu lundi à l’APS.

     »ONU Femmes et Free Sénégal ont signé un partenariat portant sur le financement de deux camps de codage par an (2025 et 2026) dédiés aux filles ainsi que l’accompagnement de la fédération des femmes actives dans la pêche à Kayar et de la coopérative des femmes et des jeunes semenciers », précise le texte.

    Ainsi, à travers ce partenariat, ONU Femmes et Free Sénégal marquent ‘’un pas significatif vers un avenir où l’égalité des sexes et les progrès technologiques vont de pair pour briser les stéréotypes de genre et promouvoir l’autonomisation et leadership des femmes et des filles’’, relève la même source.

    ‘’Le digital ouvre de nouvelles perspectives de développement dans tous les secteurs ouverts à l’innovation. Il est donc crucial de promouvoir activement l’inclusion numérique pour aller vers la réalisation des objectifs de développement durable’’, ajoute-t-elle.

    En effet, en Afrique subsaharienne, le domaine des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM) ne compte en moyenne que 30 % de femmes, explique ONU Femmes

    Selon elle, ‘’cette statistique met en lumière la nécessité pressante d’accroître les initiatives visant à renforcer la participation des femmes dans ces secteurs vitaux, créant ainsi les bases d’une société plus égalitaire et dynamique’’.

    C’est pourquoi ONU Femmes, en collaboration avec la Commission de l’Union africaine, l’Union internationale des télécommunications, a lancé l’initiative ‘’African girls can code initiative’’ (AGCCI) pour ‘’renforcer la culture numérique et les compétences opérationnelles des jeunes filles dans les secteurs de l’innovation et des technologies de l’information et de la communication (TIC)’’.

    A travers ses différents programmes, ONU Femmes renforce les capacités des femmes en termes de prise en main de l’outil digital.

    ‘’Les initiatives que nous comptons mener avec Free vont permettre aux femmes et aux filles d’acquérir un ensemble de compétences techniques et générales qui leur permettront de s’épanouir tant sur le plan professionnel que personnel’’, explique la coordinatrice du bureau ONU Femmes Sénégal, Djénaba Wane Ndiaye citée par le communiqué.

    Le programme va permettre d’accompagner la fédération des femmes actives dans la pêche à Kayar ainsi que la coopérative des femmes et des jeunes semenciers.

    ‘’Notre conviction est que la technologie est le moteur qui propulsera le Sénégal vers une ère numérique prospère. Sur ce chemin qui mène au développement, personne ne doit être laissé en rade’’, selon le directeur de Free Sénégal, Mamadou Mbengue.

    ADL/ASB/OID

  • SENEGAL-USA-EDUCATION / Delta innovation camp 2024 : plus de 70 étudiants formés en entrepreneuriat

    SENEGAL-USA-EDUCATION / Delta innovation camp 2024 : plus de 70 étudiants formés en entrepreneuriat

    Dakar, 23 juin (APS) – Plus de 70 étudiants d’établissements supérieurs de Dakar ont été formés samedi en entrepreneuriat, lors l’édition 2024, du Delta innovation camp organisée à la place du Souvenir, a constaté l’APS.

    ‘’Nous voulons à travers ce Delta innovation camp,  aider les étudiants à connaitre le monde de l’entreprenariat et de l’entreprise car l’avenir est dans l’entreprenariat’’, a expliqué Rosa Angèle Dasylva, marketing manager à Delta Airlines, une compagnie aérienne américaine.

    Mme Dasylva s’entretenait avec des journalistes, à l’ouverture de la deuxième édition du Delta innovation camp, axée sur le thème : ‘’les défis environnementaux et les initiatives durables dans le secteur du transport aérien’’.

    ‘’Pour cette journée,  nous avons invité, un leader pour échanger avec plus de 70 étudiants d’établissements supérieurs de Dakar sur l’entreprise et l’entreprenariat. A travers ce camp, Delta Airlines,  accompagne ainsi dans le cadre de sa responsabilité sociétale d’entreprise (RSE), les jeunes vers le monde de l’entreprenariat’’, a-t-elle encore souligné.

    Selon elle, ‘’au terme de cette formation, les étudiants participants, auront plus de visibilité par rapport à leur avenir’’.

    Concernant le thème de cette édition, Rosa Angèle Dasylva, a révélé que la compagnie aérienne Delta Airlines, utilise à bord de ses avions des matériaux recyclés et moins en moins de plastique pour lutter contre le réchauffement climatique.

    ‘’Delta innove dans ce sens et essaie d’avoir des aéronefs moins polluants’’, a-t-elle ajouté.

    Delta innovation camp, est un rendez-vous d’échange, de partage et de formation, organisé annuellement par Delta Airlines et son partenaire Junior Achievement, une ONG américaine.

    AB

  • SENEGAL-FORMATION / Amadou Moustapha Sarré promet d’appuyer l’initiative « Jang ban », pour l’utilisation de matériaux locaux dans la construction

    SENEGAL-FORMATION / Amadou Moustapha Sarré promet d’appuyer l’initiative « Jang ban », pour l’utilisation de matériaux locaux dans la construction

    Thiès, 20 juin – Le ministre de la Formation professionnelle, Amadou Moustapha Ndieck Sarré, a promis, jeudi, d’aider à la vulgarisation de l’initiative « Jang ban », une filière de génie civil du lycée technique François Xavier Ndione de Thiès spécialisée dans la formation à l’utilisation de matériaux locaux dans la construction.

    « L’initiative « Jang ban » est importante. Nous allons certainement vers la vulgarisation de ce secteur-là, puisque nous avons besoin d’utiliser nos matériaux, non seulement pour amoindrir les coûts, mais également pour faire face à l’environnement », a dit le ministre de la Formation professionnelle.

    Il a profité de sa tournée dans l’unique centre où se déroulent les épreuves du bac technique à Thiès, pour s’imprégner de ce qui se fait au lycée technique François Xavier Ndione.

    En plus du compartiment réservé au froid, il a visité celui dédié au génie civil, dont la particularité réside dans l’initiation des apprenants à l’utilisation de matériaux locaux dans la construction.

    Mody Gaye, ingénieur en génie civil, formateur dans cette filière, a présenté au ministre et à sa délégation les tenants et les aboutissants de ce module qu’il dispense. Il utilise de l’argile mélangée à du typha, comme isolants, en lieu et place des isolants synthétiques, qui sont polluants.

    M. Gaye, qui enseigne aussi à l’université Iba der Thiam de Thiès, a aussi présenté des briques moulées avec de la balle de riz mélangée à de la terre, une formule de construction respectueuse de l’environnement, sur laquelle il dit rédiger une thèse.

    Il dit travailler, à travers son expérimentation, à réduire au minimum la teneur en ciment introduite, en guise de stabilisant, dans les briques en argile qu’il confectionne avec ses élèves.

    « Nous enseignons à des jeunes qui ont fraîchement obtenu leur BFEM », note M.Gaye, avant d’ajouter : « nous leur apprenons un métier et non des paroles. Je ne viens pas avec un cahier, c’est ce que je fais pour gagner ma vie que je fais faire aux jeunes ».

    Le formateur dit utiliser l’approche par les compétences, en faisant « plus de pratique que de théorie ». « Je construis avec mes mains et ils en font de même. Je les corrige quand ils font des erreurs », a dit Mody Gaye, qui encadre trois classes en BT et deux classes en BTS.

    Il forme aussi des jeunes qui viennent pour des certificats de spécialité (CS), des formations de courte durée.

    « Nous allons aider cette filière pour qu’elle aille de l’avant », a dit le ministre de la Formation professionnelle, évoquant le principe de souveraineté qui sous-tend la démarche consistant à compter essentiellement sur les produits locaux dans tous les domaines.

    Se réjouissant du retour en force, dans le voisinage du lycée technique, de ce mode de construction à base d’argile, qui avait été délaissé, il a dit espérer que sous peu, les Sénégalais seront sensibilisés à l’utilité de ce matériau, pour l’utiliser dans leurs constructions.

    Se disant convaincu que « la formation professionnelle est l’un des piliers les plus importants pour développer notre pays », M. Sarré considère qu’il est à la tête d’un « ministère transversal, dont le rôle est de changer le visage de notre pays ».

    « Nous ne pouvons pas le faire, si nous ne formons pas notre jeunesse qui, à coup sûr, constitue la première richesse de notre pays », a dit le ministre.

    Il s’est dit « particulièrement satisfait » du fonctionnement du lycée technique de Thiès, tout comme de l’organisation de l’examen du bac technique, assurant par ailleurs avoir entendu les doléances du proviseur et du représentant des parents d’élèves.

    Amadou Moustapha Sarré s’est réjoui de ce que la formation professionnelle est « devenue très attractive, (et) commence à ne plus être un deuxième choix pour les élèves ». Il en veut pour preuve le fait que le lycée technique de Thiès « refuse du monde ».

    Le ministère de la Formation professionnelle ambitionne de renforcer cette tendance. « Notre objectif, a-t-il dit, est de faire en sorte que dès le bas âge, les élèves optent pour cette formation professionnelle ».

    Il s’agit d’amener à terme 30% des apprenants vers la formation professionnelle. Un taux que son département entend augmenter, convaincu qu’un pays qui veut se développer a le devoir de former sa jeunesse ».

    Avec 75% des Sénégalais âgés de moins de 35 ans, il se dit conscient que « la tâche ardue », même s’il pense que le gouvernement sera « à la hauteur », pour « faire en sorte que le Sénégal soit un véritable exemple en Afrique ».

    ADI/BK/ADL

  • SENEGAL-FORMATION-EXAMEN / Bac technique : Amadou Moustapha Sarré salue une organisation « parfaitement bien faite »  à Thiès

    SENEGAL-FORMATION-EXAMEN / Bac technique : Amadou Moustapha Sarré salue une organisation « parfaitement bien faite » à Thiès

    Thiès, 20 juin (APS) – Le ministre de la Formation professionnelle, Amadou Moustapha Ndieck Sarré, a salué, jeudi, premier jour des épreuves du baccalauréat technique, une organisation « parfaitement bien faite » de cet examen à Thiès.

    Moustapha Sarré était venu constater le déroulement du baccalauréat technique au lycée technique François Xavier Ndione de Thiès, qui abrite le jury 1314, le seul du département pour le baccalauréat technique.

    Il était accompagné d’agents de son ministère, du sous-préfet de Thiès-nord, Abdoul Sy, de l’inspecteur d’académie, El Hadji Mamadou Diouf, d’un responsable de la police et d’un représentant des parents d’élèves.

    L’organisation de l’examen est « parfaitement bien faite », a dit le ministre de la Formation professionnelle, après avoir visité des salles d’examen, et s’être entretenu avec les responsables du centre du lycée technique.

    « Les candidats sont arrivés à l’heure, (et) ont trouvé des surveillants en nombre suffisant – au moins trois par salle », a ajouté M. Sarré, selon qui, sur 210 candidats, dont 124 filles, il y avait quatre absents.

    Aucun retard n’a été signalé, a-t-il poursuivi, tout en saluant le « rôle important » des inspecteurs de spécialité dans cette organisation.

    À l’échelle nationale, 3.411 candidats, dont 1.880 filles, sont inscrits à l’examen du bac technique, a-t-il noté.

    Le ministre a profité de l’occasion pour visiter les salles d’exercices pratiques du lycée technique de Thiès, dont il s’est dit satisfait du fonctionnement.

    Il a promis un appui à l’établissement, notamment certaines filières qui impactent sur le développement durable et la souveraineté du pays.

    « Ici, toutes les conditions sont réunies pour un bon déroulement du baccalauréat », a aussi rassuré, de son côté, Mandickou Bâ, président du jury 1314.

    Un dispositif de sécurité est en place et les correcteurs commencent à arriver, a-t-il dit à l’APS.

    Le jury 1314 est réparti en trois séries : la T1 (mécanique), avec 66 candidats, la T2 (électrotechnique), qui compte 32 candidats, la série STEG, dédiée aux sciences de gestion, totalisant 112 candidats.

    Cette dernière série comptabilise les trois absents, l’autre absent étant inscrit en T1.

    Les épreuves ont démarré avec les sciences économiques et de gestion en STEG, et les mathématiques pour la T1.

    ADI/BK/ADL

  • SENEGAL-LIBYE-UNIVERSITES / Touba : signature d’une convention de partenariat entre l’UCAK et la Faculté de l’Appel islamique mondial de la Libye

    SENEGAL-LIBYE-UNIVERSITES / Touba : signature d’une convention de partenariat entre l’UCAK et la Faculté de l’Appel islamique mondial de la Libye

    Touba,13 juin (APS) – Le Président du conseil académique de l’université Cheikh Ahmadoul Khadim (UCAK), Mor Faye, et le Doyen de la Faculté de l’Appel islamique mondial de la Libye, Aboubacar Mouhammad Abou Souwayr, ont signé, jeudi à Touba (centre), une convention cadre portant sur l’enseignement supérieur et la formation.

     »Cette signature est quelque chose de très important car elle vient entériner une collaboration existant de fait », a expliqué M. Faye, à l’issue de cérémonie.

    Le Professeur Mor Faye s’est félicité de la collaboration entre l’université Cheikh Ahmadoul Khadim (UCAK) et la Faculté de l’Appel islamique mondial de la Libye.

     »Beaucoup d’étudiants de l’UCAK de Touba préparent des thèses de doctorat à la Faculté de l’appel islamique mondial de la Libye. Certains d’entre eux ont déjà fait leur soutenance de thèse de doctorat », a-t-il salué, ajoutant qu’il attend de ce partenariat interuniversitaire,  »une cotutelle de thèse » qui favorise la mobilité des doctorants et la coopération scientifique et un encadrement mutuel des thésards.

    M. Faye a en outre expliqué que ce partenariat n’exclut pas que des enseignants viennent de la Libye pour donner un appui à nos étudiants titulaires d’un baccalauréat arabe ou arabo-islamique.

    Le Doyen de la Faculté de l’Appel islamique mondial de la Libye, Aboubacar Mouhammad Abou Souwayr a magnifié à son tour la signature de cette convention appuyée par la prise de plusieurs engagements.

     »Parmi ces projets entrant dans le cadre de cette convention, il y a  l’organisation de grands colloques ou de congrès sur l’islam, ou encore l’enseignement de la psychologie. entre autres disciplines », a-t-il cité, précisant que ces colloques qui réuniront des partenaires de la Libye, peuvent se tenir à Touba ou à Dakar.

     »Ce partenariat, a-t-il poursuivi, accorde également une bonne place  à  l’enseignement et à la formation à distance surtout avec l’évolution des nouvelles technologies et un partage de documents de recherches dans plusieurs domaines ».

    Aboubacar Mouhammad Abou Souwayr a réitéré son engagement à soutenir financièrement cette collaboration avec l’UCAK qu’il vient de visiter pour la deuxième fois.

    La cérémonie de signature de cette convention de partenariat, s’est déroulée, en présence du président du Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim pour l’éducation et la Formation (CCAK-EF), Serigne Ahmadou Badawi Mbacké, du directeur de l’UFR des Études islamiques et arabes (UFR-ETISAR), Abdoul Ahad Lô ainsi que plusieurs autorités académiques et administratives de l’UCAK.

    AN/AB/OID

  • SENEGAL-JUSTICE / Des magistrats sénégalais formés aux principes de Bangalore sur la déontologie judiciaire

    SENEGAL-JUSTICE / Des magistrats sénégalais formés aux principes de Bangalore sur la déontologie judiciaire

    Saly, 11 juin (APS) – Des magistrats des cours d’appel de Kaolack (centre), Dakar et Thiès (ouest) prennent part à une formation aux principes de Bangalore sur la déontologie judiciaire, lundi, à Mbour (Saly-Portudal).

    Le but de la formation est de « rehausser le niveau de la justice », en termes d’indépendance et d’impartialité, a expliqué la juge seychelloise Mathilda Twomey.

    « On commence à mettre en œuvre un manuel rédigé pour la déontologie et l’éthique judiciaires », a dit Mme Twomey en parlant de cette formation offerte par la GIZ, l’agence allemande de coopération internationale, et l’Association africaine de formation judiciaire.

    Les principes de Bangalore sur la déontologie judiciaire ont été énoncés dans le but d’aider à garantir l’impartialité, l’indépendance et la probité des juges.

    « C’est important, la déontologie. Ce sont des règles morales et éthiques qui gouvernent les fonctions des magistrats, en dehors des techniques juridictionnelles », a souligné le magistrat Mademba Guèye, directeur général du Centre de formation judiciaire du Sénégal.

    « Il y a beaucoup de défis » à relever en matière de justice, a rappelé Mathilda Twomey en parlant de l’importance de la formation.

    DOB/ADI/ESF

  • SENEGAL-MEDIAS-TRAVAIL / Kaffrine : des journalistes formés au dialogue social et à la négociation collective

    SENEGAL-MEDIAS-TRAVAIL / Kaffrine : des journalistes formés au dialogue social et à la négociation collective

    Kaffrine, 6 juin (APS) – Vingt-cinq journalistes de la région de Kaffrine (centre) ont bouclé une formation sur le dialogue social et la négociation collective, jeudi, à l’initiative de l’inspection régionale du travail et de la sécurité sociale.

    « Sensible à leurs pressantes demandes et soucieuse de la réussite du Programme national de renforcement du dialogue social, l’inspection régionale du travail de Kaffrine a jugé pertinent de former les journalistes, les reporters et les animateurs de radio de la région, afin de leur permettre d’avoir une idée sur les devoirs et les droits du travailleur comme ceux de l’employeur », a expliqué l’inspecteur régional du travail et de la sécurité sociale de Kaffrine, Ibrahima Ndiour.

    Il s’entretenait avec des journalistes à la fin de la formation, qui portait sur les méthodes et les techniques du dialogue social et de de la négociation collective.

    Les consultations, les négociations, la prévention des litiges dans le monde du travail et l’échange d’information ont été abordés.

    Les professionnels de l’information et de la communication se sont réjouis de la formation qui leur a été dispensée.

    Le correspondant du groupe Wal Fadjri (privé) à Kaffrine, Badara Ndao, a exprimé sa joie d’y avoir participé. Il remercie l’inspection régionale du travail pour cette initiative.

    CTS/ASG/ESF

  • SENEGAL-AGRICULTURE-FORMATION / Bambey : 40 producteurs horticoles formés sur la gestion administrative et financière

    SENEGAL-AGRICULTURE-FORMATION / Bambey : 40 producteurs horticoles formés sur la gestion administrative et financière

    Bambey, 4 juin (APS) – Une formation sur « la gestion administrative, financière et genre des périmètres horticoles » s’est ouverte, mardi, au Centre national de recherches agronomiques (CNRA) de Bambey (Diourbel, centre) au profit de quarante producteurs horticole des fermes mises en place par le programme d’appui au programme national d’investissement agricole du Sénégal (PAPSEN).

     »La formation qui nous réunit vise à fournir aux producteurs horticoles les connaissances et compétences pratiques nécessaires à la gestion des exploitations horticoles en prenant en compte le genre pour une conduite durable et rentable des activités dans la zone d’emprise du PAPSEN/centre », a expliqué le coordonnateur régional de la zone centre dudit programme, Kalidou Kane, relevant que les participants viennent des régions de Thiès Diourbel et Fatick.

    L’objectif spécifique, a-t-il indiqué, c’est de renforcer les capacités des producteurs horticoles en genre et gestion administrative et financière en vue d’améliorer les performances économiques et institutionnelles des périmètres mis en place dans le cadre du PAPSEN.

    De même, la session de 4 jours vise à « renforcer la gouvernance, la communication associative et la planification des activités ainsi que la gestion comptable des exploitations », a-t-il ajouté.

     »Les participants vont effectuer une démultiplication des formations reçues pour les autres producteurs de leurs fermes pour assurer un impact positif sur l’amélioration des performances horticoles des fermes irriguées », a-t-il souligné.

    M. Kane a relevé que sur un objectif de 400 hectares de périmètres irrigués avec le système goutte à goutte à réaliser, le programme PAPSEN/centre a aménagé pour le moment plus de 100 hectares dans ces trois régions d’intervention.

    Il a en outre annoncé le lancement incessamment des travaux de vingt fermes horticoles clé en main pour permettre aux producteurs de bien travailler.

    MS/OID/ASB

  • SENEGAL-ENVIRONNEMENT-FORMATION / Les élèves du lycée de Bambey sensibilisés aux métiers verts

    SENEGAL-ENVIRONNEMENT-FORMATION / Les élèves du lycée de Bambey sensibilisés aux métiers verts

    Bambey, 29 mai (APS) – Des apprenants du lycée de Bambey (Diourbel, centre) ont été sensibilisés mercredi aux métiers verts dans le cadre de la campagne de communication initiée par l’institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Mbacké, a constaté l’APS.

    « Après Diourbel, nous sommes aujourd’hui au lycée de Bambey pour sensibiliser les élèves sur les métiers verts de l’ISEP de Mbacké, le premier modèle de campus vert au Sénégal. Cette activité entre dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’enseignement supérieur pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique (PESEREE) qui est mise en œuvre par la coopérative allemande (GIZ) », a expliqué, Seydou Ba, conseiller technique à la GIZ.

    Il a indiqué que les apprenants ont bénéficié d’une démonstration pour les imprégner sur les métiers verts notamment les systèmes solaires photovoltaïques, l’éco construction, le biogaz et le pompage solaire.

    L’objectif, a-t-il indiqué, « consiste à montrer aux jeunes, notamment les futurs bacheliers ce que les ISEP proposent à travers une formation axée sur la pratique par le biais de l’approche par les compétences ».

    De même, a-t-il fait valoir, ce programme ambitionne d’améliorer la formation initiale et continue dans le domaine des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

    « Nous voulons à travers cette tournée sensibiliser les lycéens et lycéennes sur les filières de l’ISEP de Mbacké dans le but de leur permettre de faire des choix de formation adaptée au besoin du marché du travail », a-t-il ajouté.

    M. Sy a précisé que quatre filières, (énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, environnement biodiversité et BTP et la filière artisanale, sont enseignées à l’ISEP) de Mbacké 

    Venue assistée à la démonstration des techniciens, Faty Sy élève en première S1 au lycée de Bambey a salué cette initiative qui selon elle, peut aider les élèves à faire des choix d’études adaptés après l’obtention du baccalauréat.

    La lycéenne dit avoir particulièrement apprécié la démonstration sur le biogaz notamment la transformation des bouses de vache en gaz pour l’utilisation domestique.

    MS/ASB/OID

  • SENEGAL-FORMATION-EMPLOI / Couture, restauration, coiffure : des kits d’équipements offerts à 44 jeunes filles du CFP de Louga

    SENEGAL-FORMATION-EMPLOI / Couture, restauration, coiffure : des kits d’équipements offerts à 44 jeunes filles du CFP de Louga

    Louga, 29 mai (APS) – Quarante-quatre jeunes filles formées au Centre de formation professionnelle (CFP) de Gouyar Sarr ont reçu mardi des kits complets utilisés dans la couture, la restauration et la coiffure, a constaté l’APS.
    « Aujourd’hui, nous franchissons une étape importante en dotant chacune des quarante-quatre filles formées d’un kit complet dans les filières de la couture, de la restauration et de la coiffure afin de leur permettre de démarrer leurs activités », a expliqué la directrice du bureau régional de l’ONG Plan international, Fatou Kiné Ndiaye, lors de la remise des kits. 

     « Les filles formées en couture ont reçu une machine à coudre piqueuse, un fer à repasser, une équerre mètre, une règle équerre, un perroquet, deux paires de ciseaux, un cône de fil de grand modèle et un cône de fil de petit modèle », a-t-elle détaillé. 

    Elle indique que  »les filles formées en restauration ont reçu une cuisinière à gaz, une balance électronique, un saladier en pyrex, une planche en plastique, un fouet professionnel, une spatule en bois, un moule à cake et un moule à génoise ».

     »Quant aux jeunes femmes formées en coiffure, elles ont reçu une valisette de petit modèle, une brosse à brushing, un trousseau de peignes, un sèche-main électrique, un poste de coiffage, des pinces croco et des pinceaux », a-t-elle poursuivi.

    Fatou Kiné Ndiaye félicite et invite les jeunes filles formées à  »persévérer ». elle appelle « les autorités locales et administratives à soutenir cette démarche ».

    Elle a indiqué que « le coût total de ce projet initié par Plan international s’élève à environ 24 millions de francs CFA, couvrant les frais de formation et l’acquisition de l’équipement nécessaire ».

    « Cette formation, qui offre une opportunité tangible d’autonomisation, vise les jeunes femmes en raison de leur vulnérabilité et de leurs besoins  mais aussi parce que leur autonomisation profite à toute la famille et contribue à l’épanouissement de la société », a encore souligné Mme Ndiaye.

    L’adjoint au préfet du département de Louga, Cheikhou Seydi, a appelé les autres ONG présentes dans cette circonscription administrative à suivre l’exemple de Plan international en participant activement à l’éradication du chômage des jeunes.

    Il a salué cette belle initiative de l’ONG consistant à former et à équiper les jeunes femmes. De telles actions devraient être du ressort de l’Etat, a-t-il estimé.

    « Si Plan international mène de telles actions, nous ne pouvons que nous en réjouir. Je tiens à exprimer notre gratitude envers cette ONG au nom de l’État du Sénégal, pour ses initiatives visant à former les jeunes femmes », a-t-il conclu.

    DS/AB/ASG