Catégorie : Formation

  • SENEGAL-FORMATION  / Ziguinchor : des jeunes formés aux techniques de production d’aliments pour poissons et volailles

    SENEGAL-FORMATION / Ziguinchor : des jeunes formés aux techniques de production d’aliments pour poissons et volailles

    Ziguinchor, 16 oct (APS) – Une dizaine de jeunes de la région de Ziguinchor (sud) ont bouclé, lundi, une formation sur les techniques de production d’aliments pour poissons et volailles et la gestion administrative comptable et financière des entreprises, a constaté l’APS.

    Cette formation était initiée par le Réseau national des acteurs de développement (RENAD) en partenariat avec le Bureau de mise à niveau (BMN). Des attestations ont été remises aux dix bénéficiaires au cours d’une cérémonie sanctionnant la fin de la formation.

    « La formation en production d’aliments de bétail pour poissons et volailles a duré quatre mois. Et, celle en gestion administrative comptable et financière des entreprises a duré 15 jours », a rappelé le président du réseau national des acteurs de développement, Eudes Diatta.

    M. Diatta a expliqué que l’objectif de cette formation était de donner à ces jeunes une compétence et de leur permettre de bien mener les activités de l’entreprise RENAD où ils seront tous embauchés.

    « Nous voulons lutter contre le chômage des jeunes et contre l’émigration clandestine », a dit le président du réseau national des acteurs de développement.

    « Cette ligne de production d’aliments de bétail pour poissons et volailles mise en place par le RENAD va permettre aux jeunes de pouvoir travailler. Les éléments de cette formation concourent à une bonne gestion d’une entreprise », a réagi le formateur, Mathieu Sagna.

    Le Réseau national des acteurs de développement (RENAD) du Sénégal a réalisé à Niaguis, dans la région de Ziguinchor, une unité de fabrication d’aliments pour bétails d’une valeur de 42 millions de francs CFA grâce à l’appui de la Délégation à l’entreprenariat rapide (DER), avait indiqué à l’APS, son président national, Eudes Diatta.

    Le RENAD, créé en 2010, regroupe divers acteurs de développement de différentes localités du Sénégal. Il a pour mission principale de contribuer à la lutte contre la pauvreté, à la promotion du genre et des cadres de vie, selon son président.

    MNF/ASB/OID

  • SENEGAL-ENTREPRENEURIAT  / Sédhiou : des jeunes de Diendé formés en techniques d’élaboration de projets

    SENEGAL-ENTREPRENEURIAT / Sédhiou : des jeunes de Diendé formés en techniques d’élaboration de projets

    Sédhiou, 16 oct (APS) – Vingt jeunes originaires de la commune de Diendé, dans la région de Sédhiou (sud), viennent de bénéficier d’une formation sur les techniques d’élaboration de projets, une session dont l’ambition est de contribuer à fixer les jeunes dans leur terroir en facilitant l’auto-emploi.

    Cette session de formation clôturée ce week-end devrait permettre aux bénéficiaires de rendre leurs projets banquables.

    Elle s’inscrit « dans le cadre de renforcement de capacités des jeunes entrepreneurs de la localité, en vue de rendre leurs projets banquables au niveau des structures financières », a expliqué le maire de Diendé, Doura Cissé.

    Selon Doura Cissé, « Pour fixer les jeunes dans leur terroir et lutter contre la migration irrégulière, il faut impérativement passer par la formation des jeunes en termes d’entrepreneuriat pour faciliter l’auto-emploi », a dit l’édile, lors de la cérémonie de clôture.

    Des autorités locales assistaient à cette cérémonie, de même que des représentants des services déconcentrés de l’Etat et des mouvements de jeunes et de femmes.

     

    Les récipiendaires se sont engagés à valoriser les acquis. Ils ont aussi sollicité l’accompagnement des pouvoirs publics.

    « Nous sommes déterminés à nous lancer dans la création de petites entreprises pour non seulement participer au développement de la localité mais aussi améliorer les conditions de vie de nos familles », a déclaré Aïssatou Mané, une bénéficiaire de cette formation.

    « Diendé est une commune où les activités d’agriculture, d’élevage et même la pisciculture peuvent être développées. Il suffit d’un accompagnement technique et financier en faveur des jeunes », pour exploiter comme il faut les potentialités locales, a renchéri Ibrahima Diallo, autre récipiendaire.

    L’édile de la commune de Diendé a saisi cette occasion pour offrir un important lot d’équipement sportif estimé à 3 millions de francs CFA. Il comporte « 20 jeux de maillots » et « 6 ballons », en plus d’une enveloppe de cinq cent mille francs CFA destinée à l’Odcav de Diendé dont le stade municipal est en cours de réalisation, a-t-on appris des autorités locales.

    OB/BK/MTN

  • SENEGAL-UNIVERSITES / L’université numérique Cheikh-Hamidou-Kane pourrait bientôt devenir le premier établissement d’enseignement supérieur du pays, selon Amadou Gallo Diop

    SENEGAL-UNIVERSITES / L’université numérique Cheikh-Hamidou-Kane pourrait bientôt devenir le premier établissement d’enseignement supérieur du pays, selon Amadou Gallo Diop

    Diamniadio, 14 oct (APS) – Le numérique concentre tellement d’opportunités que l’établissement public qui lui est dédié, l’université numérique Cheikh-Hamidou-Kane (ex-Université virtuelle du Sénégal), pourrait devenir le premier espace académique du pays en termes d’effectifs d’étudiants, a déclaré le professeur Amadou Gallo Diop, directeur général de la recherche et de l’innovation.

    ‘’Le numérique est devenu incontournable, avec des avantages certains, grâce auxquels on peut étudier à partir de n’importe quel endroit, sans l’obligation d’être présent physiquement’’, a souligné M. Diop.

    Il présidait, vendredi, à Diamniadio (ouest), la cérémonie d’ouverture du premier colloque international ‘’AfricadigitalEdu’’, consacré au numérique dans l’enseignement supérieur en Afrique.

    Avec quelque 2.000 étudiants à ses débuts, l’université numérique Cheikh-Hamidou-Kane en compte aujourd’hui environ 70.000, selon le directeur de la recherche et de l’innovation au ministère de l’Enseignement supérieur.

    L’Université virtuelle du Sénégal, rebaptisée université numérique Cheikh-Hamidou-Kane en janvier dernier, a été créée sur la base de recommandations faites lors de la concertation nationale sur l’enseignement supérieur, qui a eu lieu en 2013 sous la direction du professeur Souleymane Bachir Diagne.

    ‘’Le numérique est devenu incontournable dans la vie des êtres humains. C’est un outil intelligent, puissant et pratique pour toute personne qui veut donner de la chance à tout citoyen qui a acquis le minimum requis pour aller vers l’enseignement supérieur’’, a souligné M. Diop.

    L’importance du numérique attire de plus en plus d’étudiants vers l’université Cheikh-Hamidou-Kane

    Cette importance du numérique attire de plus en plus d’étudiants vers l’université publique qui lui est dédiée, à telle enseigne qu’elle pourrait devenir le plus grand établissement d’enseignement supérieur du Sénégal en termes d’effectifs, selon le directeur général de la recherche et de l’innovation.

    Les recteurs des universités virtuelles publiques du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire ont pris part à l’ouverture du colloque ‘’AfricadigitalEdu’’.

    Cette rencontre scientifique fait partie du programme de la célébration du 10e anniversaire de l’ancienne UVS, devenue université numérique Cheikh-Hamidou-Kane.

    L’ampleur du numérique a également poussé les pouvoirs publics sénégalais à construire des espaces numériques ouverts dans plusieurs régions du pays, selon le professeur Amadou Gallo Diop.

    La possibilité donnée aux étudiants de poursuivre des études supérieures à l’endroit de leur choix met l’État à l’abri de la difficulté ‘’de les loger et de les nourrir’’, a-t-il signalé.

    ‘’On en est à un moment de l’évolution de l’humanité où les outils numériques impactent quotidiennement la vie des êtres humains’’, a souligné M. Diop, spécialiste de la neurologie.

    La pandémie de Covid-19 a démontré l’importante et le caractère incontournable du numérique, selon le directeur de la recherche et de l’innovation.

    ADL/SMD/ESF

  • SENEGAL-TECHNOLOGIES-INNOVATION / Le Sénégal va disposer de son premier satellite, le 10 novembre prochain (officiel)

    SENEGAL-TECHNOLOGIES-INNOVATION / Le Sénégal va disposer de son premier satellite, le 10 novembre prochain (officiel)

    Dakar, 13 oct (APS) – Le Sénégal va disposer de son premier satellite, le 10 novembre prochain, grâce à une convention de partenariat signée avec le centre spatial universitaire de Montpellier (CSUM), a annoncé, vendredi, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

    Il s’agit d’une ‘’convention de 1 million d’euros’’, environ 655 millions de francs CFA, qui a permis de former huit ingénieurs et cinq techniciens à la fabrication et à l’exploitation d’outil spatiaux, selon un communiqué du ministère.

    ‘’Ces derniers, sous la supervision des ingénieurs du CSUM, ont conçu et fabriqué le premier satellite de notre pays’’, déclare la même source.

    ‘’Après trois années de dur labeur, le premier satellite du Sénégal sera livré le 10 novembre 2023, au cours d’une cérémonie qui sera présidée par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, dans les locaux du CSUM’’, en France, annonce-t-elle.

    Le communiqué signale que ‘’le Sénégal […] a entrepris un ambitieux programme spatial dénommé SenSAT’’ et veut se lancer dans la fabrication et l’exploitation d’outils spatiaux.

    Selon la même source, le pays veut faire du secteur spatial un véritable levier de développement socioéconomique.

    Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation dit miser sur ‘’la formation de ses propres ressources humaines et la mise en place d’infrastructures’’, pour bâtir un écosystème favorable à l’émergence de startup et d’entreprises spatiales.

    ‘’La première phase du projet consiste à la fabrication, à la mise en orbite et à l’exploitation du premier satellite du Sénégal’’, lit-on dans le communiqué.

    Le Sénégal aspire à former des ressources humaines capables de concrétiser ses ambitions dans ce domaine, ajoute-t-il.

    NSS/ESF/MTN

  • SENEGAL-AFRIQUE-RECHERCHE / Lancement de la 1ère Biennale de l’innovation et de la recherche, vendredi

    SENEGAL-AFRIQUE-RECHERCHE / Lancement de la 1ère Biennale de l’innovation et de la recherche, vendredi

    Diamniadio, 11 oct (APS) – La première édition de la Biennale de la recherche, de l’innovation et de l’industrialisation en Afrique sera lancée ce vendredi, à Dakar, lors d’une cérémonie placée sous la présidence du ministre de tutelle de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, a annoncé le directeur de la recherche et de l’innovation.

    ‘’Il s’agit d’organiser pour la première fois une biennale consacrée à la recherche et à l’innovation et à l’industrialisation en Afrique, un espace d’échanges, d’expositions des compétences et des performances des universités, institutions et partenaires’’, a-t-il expliqué cours d’un point de presse organisé ce mercredi à Diamniadio.

    Placée sous l’égide du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la biennale sera organisée de façon transversale et en collaboration avec les autres ministères, a expliqué Pr Diop, coordonnateur de l’événement. Celui-ci se tiendra du 28 au 30 novembre prochains entre l’IRESSEF et l’Université Amadou Mahtar Mbow.

    ‘’Des indications ont été données pour cette première édition qui sera consacrée essentiellement à deux thématiques majeures, à savoir la santé et l’agriculture’’, a précisé Pr Amadou Gallo Diop.

    Justifiant le choix de la thématique majeure de la santé, il a rappelé qu’aucun projet de développement n’est possible si les hommes et les femmes ne sont pas en bonne santé.

    Il a aussi indiqué qu’une alimentation saine garantit les ressources nécessaires pour la survie de l’être vivant. C’est ce qui justifie, selon lui, le choix de ces thèmes majeurs pour démarrer la biennale, de façon à ‘’ne pas se disperser pour cette première biennale’’, dit-il.

    Le Pr Amadou Gallo Diop souligne que ‘’l’idée est d’échanger et d’exposer sur les résultats de la recherche et des innovations, pour voir comment les partager pour en faire partout sur le continent des outils de développement et d’industrialisation’’.

    ‘’Dans un premier temps, on a décidé de nous concentrer sur les recherches et les innovations de ces secteurs avec les universitaires, les partenaires, les instituts de recherche de tous bords sur tout ce qui a été fait dans le secteur de la santé et de l’agriculture’’, a- t-il ajouté.

    Il indique que le thème de la santé, qui va inclure la médecine nucléaire, va être ‘’domicilié à partir et autour de l’Institut de Recherche et de Formation en Santé (IRESSEF)’’. Les expositions des innovations, des résultats de la recherche et les communications sur l’agriculture se tiendront à l’Université Amadou Mactar Mbow qui abritera également la séance d’ouverture.

    Il a justifié le choix du Sénégal de lancer une biennale de la recherche et l’innovation par l’ambition d’en faire un événement africain de ‘’notoriété’’, comme la Biennale des arts et des lettres ou d’autres événements majeurs, à l’image du Fespaco pour le cinéma. Selon lui, il est tout à fait normal d’avoir cette ambition vu l’histoire de la recherche dans notre pays depuis 1917.

    Depuis cette date qui a vu l’ouverture de la première école de médecine devenue université de Dakar, le Sénégal forme des compétences pour toute l’Afrique et dans tous les domaines, a-t-il souligné.

    ‘’Il est tout à fait normal, à ce stade de développement de notre continent avec la création d’autres universités et d’instituts de recherche performants, qu’on s’arrête et expose en face du monde ce qui se fait dans ces temples du savoir en lien avec les objectifs de développement’’, a-t-il estimé.

    La Côte d’Ivoire sera le pays invité d’honneur pour donner à la biennale une dimension ‘’panafricaine, sachant que les deux pays [Sénégal et Côte d’Ivoire] ont été les deux piliers de l’université francophone africaine subsaharienne ».

    ADL/ASG/MTN

  • SENEGAL-FORMATION / Plus de 136 000 personnes accompagnées par le 3FPT en 2022 (directrice)

    SENEGAL-FORMATION / Plus de 136 000 personnes accompagnées par le 3FPT en 2022 (directrice)

    Dakar, 10 oct (APS) – Au total cent trente six mille sept cent quarante sept personnes ont bénéficié de l’accompagnement du Fonds de financement de la formation professionnelle (3FPT) au courant de l’année 2022, a révélé mardi sa directrice Sophie Diallo.

    ‘’En 2022, nous comptabilisons 136 747 personnes à travers notre premier guichet,’’, a informé Sophie Diallo, mardi à Dakar à l’ouverture de l’atelier de renforcement des compétences du personnel du Réseau africain des institutions et fonds de formation professionnelle (AFRO).

    Cet appui a pu se faire grâce à la Contribution forfaitaire à la charge de l’employeur (CFCI) prélevée chez les entreprises à hauteur de 3% et reversée au 3FPT, a  t -elle expliqué.

    Au Sénégal, a t-elle précisé,  »c’est 100% de cette taxe qui est dédiée à la formation professionnelle’’.

    Il s’agit  »d’une manne financière (…) et nous nous assurons à travers la formation de leur personnel que ces entreprises et en ce sens-là soient durables, viables, compétitives et productives qu’elles ne ferment pas et qu’elles ne soient pas en faillite’’.

    Pour la rentrée 2023-2024, le 3FPT a lancé l’enrôlement pour des bons de formation sur sa plateforme avec 9 000 demandes enregistrées sur une offre de 2000 bons.

    Cela prouve, selon Sophie Diallo,  »l’interêt que les jeunes ont pour la formation professionnelle, en se réveillant très tôt pour aller au niveau des pôles emploi pour accéder à la formation’’.

    Selon la directrice du 3FPT, le digital est entré aujourd’hui dans nos foyers et l’ensemble des régions sont couvertes. ‘’On a la domotique maintenant, on parle même de digital énergie, ce qui signifie qu’il y a des dimensions à prendre en compte’’, a-t-elle souligné.

    A travers cette approche par les compétences, le 3FPT par la voix de sa directrice générale dit avoir ‘’des métiers majeurs essentiels’’ nécessitant la poursuite  »d’une démarche standardisée et harmonisée’’.

    ‘’C’est dans cette même veine qu’il nous faut veiller à avoir une standardisation des coûts’’, a énoncé Sophie Diallo. Parce que, soutient-elle, la formation professionnelle est aujourd’hui un’’ levier incontournable’’ de développement.

    NSS/ADL/MTN

  • SENEGAL-FORMATION-CONTROLE   / Enseignement privé : le ministère de la Formation professionnelle lance un audit qualité visant 447 écoles de formation

    SENEGAL-FORMATION-CONTROLE   / Enseignement privé : le ministère de la Formation professionnelle lance un audit qualité visant 447 écoles de formation

    Dakar, 9 oct (APS) – Le ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion a annoncé, lundi, à Dakar, avoir initié un audit qualité visant 447 écoles de formation professionnelle et un audit ne concernant que les écoles de formation en santé.

    ‘’Au départ, il s’agissait de 447 établissements visés, toutes formations confondues. Mais il y a en même temps un audit qui concerne les établissements de formation en santé’’, a-t-on appris de Mamadou Camara Fall, le secrétaire général dudit ministère.

    L’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ANAQ-Sup) va participer aux audits, selon M. Fall.

    ‘’Il s’agit d’un échantillon représentatif, sur lequel nous nous adosserons pour observer les résultats, avec l’ANAQ-Sup, et tendre vers l’amélioration de ce qui se fait dans nos établissements privés de formation’’, a-t-il expliqué lors d’une réunion du ministère.Les audits ne sont pas menés en vue de la ‘’répression’’ des établissements qui ne seraient pas en règle, a précisé Mamadou Camara Fall, ajoutant qu’il s’agit d’‘’identifier […] les points à améliorer’’ et d’assister ‘’techniquement et institutionnellement’’ les écoles de formation.

    ‘’C’est cela la finalité du jeu. Je pense qu’ils (les leaders des établissements concernés) l’ont bien compris en y adhérant pleinement’’, a-t-il assuré.

    Les audits vont aider à ‘’inciter’’ les écoles de formation ciblées à ‘’s’aligner sur les normes et les standards de qualité en matière de formation, étant entendu que le Sénégal a toujours misé sur la bonne qualité de ses ressources humaines’’, a poursuivi Mamadou Camara Fall.

    Les audits vont servir à recueillir ‘’leurs avis et suggestions’’, ce qui va permettre au ministère et aux écoles concernées d’‘’améliorer la qualité de la formation au bénéfice de notre pays’’, selon le secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion.

    Un comité de pilotage sera mis en place dans chacune des 14 régions du pays, dans le but de faciliter les audits, a-t-il dit.

    NSS/ADL/ESF/SMD

  • EGYPTE-AFRIQUE-MEDIAS / Des stagiaires de l’Union des journalistes africains invités à s’intéresser davantage aux catastrophes naturelles

    EGYPTE-AFRIQUE-MEDIAS / Des stagiaires de l’Union des journalistes africains invités à s’intéresser davantage aux catastrophes naturelles

    De l’envoyé spécial de l’APS, Cheikh Tidiane Sarr

    Le Caire, 4 oct (APS) – Le président du Conseil suprême pour l’organisation des médias en Égypte, Karam Gabre, a invité les stagiaires de la 57e session de formation organisée par l’Union des journalistes africains (UJA), mercredi, au Caire, à s’intéresser davantage aux questions relatives à l’industrialisation, à l’intelligence artificielle, à l’écologie et aux catastrophes naturelles.

    ‘’Nous exhortons les journalistes à davantage s’intéresser aux questions de l’industrialisation, de l’intelligence artificielle, aux questions écologiques et, surtout, aux catastrophes naturelles, qui ont fait beaucoup de dégâts au cours de ces dernières années en Afrique et ailleurs’’, a conseillé M. Gabre aux journalistes.

    Il prenait part à une cérémonie de remise d’attestations aux stagiaires de la 57e session de formation du Conseil suprême pour l’organisation des médias en Égypte.

    Le journaliste Édouard Adzotsa, président de la Fédération syndicale des travailleurs de la communication du Congo, et invité d’honneur de l’UJA, a exhorté les stagiaires à être davantage actifs dans l’exercice de la profession.

    Il leur a conseillé aussi de s’engager dans les luttes syndicales des médias de leur pays.

    Essi Brathold, porte-parole des bénéficiaires de la formation, a assuré l’UJA de l’engagement des stagiaires à faire un bon usage des connaissances acquises pendant trois semaines.

    Quinze journalistes ont pris part à cette formation. Il viennent d’une quinzaine de pays, dont le Burkina Faso, le Congo, la Côte d’Ivoire, le Nigeria, le Kenya, la Tunisie et le Zimbabwe.

    CTS/ESF/ASG

  • SÉNÉGAL - FORMATION / Bambey : 26 jeunes ont reçu des bons de formation en conduite automobile

    SÉNÉGAL – FORMATION / Bambey : 26 jeunes ont reçu des bons de formation en conduite automobile

    Bambey, 23 sept (APS) – Quelque 26 jeunes du département de Bambey (région de Diourbel) ont reçu samedi des bons de formation en conduite automobile, en vue d’obtenir un permis de conduire, à l’initiative du conseil départemental de la jeunesse (CDJ) a constaté l’Agence de presse sénégalaise.

     »Cette formation entre dans le cadre du plan d’action annuel du conseil départemental de la jeunesse. Après la formation en aviculture et en embauche bovine, nous avons décidé avec notre partenaire BMCC (Boabab mining chemicals corporation) d’organiser une formation en conduite automobile au profit de vingt six jeunes des douze communes du département de bambey » a déclaré le président du conseil départemental de la jeunesse de bambey, Dame Seck.

    Selon lui,  »il est important pour les structures de jeunesse de jouer leur rôle pour l’employabilité des jeunes et dans la lutte contre le phénomène de la migration irrégulière » en les accompagnant notamment à  »trouver un emploi décent. »

    Prenant la parole, l’adjoint au préfet du département de Bambey, Mamadou Faye a salué les initiatives du conseil départemental de la jeunesse en termes de formations qui, selon lui,  »participent à l’employabilité des jeunes. » Il a également saisi l’occasion pour inviter les jeunes à  »un retour à la terre pour gagner dignement leur vie. « Nous sommes dans une zone agrosylvopastorale, l’agriculture doit être le véritable vecteur de développement de ce terroir et les jeunes doivent être les principaux acteurs » a-t-il dit.

    Pour sa part, le directeur de l’école auto-école Ndiouck Dickel, Alioune Diouf, en charge de cette formation, a invité les bénéficiaires à être assidus et attentionnés aux cours. Il s’est aussi engagé avec ses équipes, à leur assurer une formation de qualité pour leur permettre d’être opérationnels avec une bonne maîtrise du code de la route.

    MS/MK/ADC/AKS

  • SENEGAL-FORMATION-ECONOMIE / Ziguinchor : des responsables de PME initiés aux outils et mécanismes de la ZLECAf 

    SENEGAL-FORMATION-ECONOMIE / Ziguinchor : des responsables de PME initiés aux outils et mécanismes de la ZLECAf 

    Ziguinchor, 19 sept (APS) – Quelque vingt-cinq dirigeants de petites et moyennes entreprises (PME) de la région de Ziguinchor (sud) ont bouclé, mardi, une formation axée sur les outils et mécanismes de la Zone de libre échange continentale africaine (ZLECAf), a constaté l’APS.

    Cet atelier de formation de trois jours a été organisé par l’union nationale des chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal en partenariat avec le projet de valorisation des eaux pour le développement des chaines (PROVALE-CV) et la direction du commerce extérieur.

    Il entre dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’appui et d’accompagnement aux PME/PMI agricoles sénégalaises dans le cadre de la ZLECAF.

     »L’objectif de cet atelier régional (…) était de renforcer les connaissances et les compétences des acteurs locaux en matière de commerce intra-africain et de facilitation des échanges », a expliqué le chef du pôle projets et partenaires à l’union nationale des chambres de commerce, industriel et d’agriculture du Sénégal, Aliou Ndiaye.

    Il a ajouté que la finalité de cet atelier est de définir un plan d’actions ZLECAf à la chambre de commerce de Ziguinchor en cohérence avec la stratégie nationale ZLECAf.

     »Nous avons mis en place un mécanisme de travail avec les différents acteurs pour accompagner 25 PME de la région de Ziguinchor à exporter dans le marché africain », a fait savoir M. Ndiaye, rappelant qu’au final, le projet devrait accompagner 50 PME du Sénégal à effectivement exporter dans le marché africain.

    Il a rappelé que ces 25 PME de la région de Ziguinchor bénéficiaires de cet atelier de formation sont notamment dans les secteurs de l’anacarde, des fruits et légumes, de la transformation des céréales.

     »La ZLECAf a mis à notre disposition des outils d’analyse qui nous permettent aujourd’hui de comprendre les marchés. Nous sommes ravis de pouvoir bénéficier de cette formation », a salué le PCA de la société coopérative pour les acteurs de la mangue du département de Ziguinchor, Idrissa Diouf.

    La Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAf) est un accord commercial historique qui vise à promouvoir l’intégration économique et le développement en Afrique.

    MNF/OID/AKS