Catégorie : Formation

  • SENEGAL-ECONOMIE-FORMATION  / Casamance  : des jeunes et femmes formés en techniques de transformation des produits céréaliers 

    SENEGAL-ECONOMIE-FORMATION / Casamance : des jeunes et femmes formés en techniques de transformation des produits céréaliers 

    Abèné (Kafountine), 1er sept (APS) – Quelque 19 jeunes et femmes des départements de Ziguinchor, Bignona et Bounkiling (Sédhiou) ont été formés en techniques de transformation des céréales et des légumineuses locales, a constaté l’APS.

    Cette session de formation a été organisée à l’initiative de  l’Office national de formation professionnelle (ONFP) avec l’appui de l’Agence des travaux et gestion des routes (AGEROUTE) sur une durée de 15 jours. Elle a lieu au centre de formation professionnelle d’Abéné, dans la commune de Kafountine (Ziguinchor).

    « Cette formation nous a été confiée par l’AGEROUTE dans le cadre du projet de réhabilitation de la route Sénoba-Ziguinchor. Aujourd’hui, 19 jeunes et femmes viennent de boucler une formation en transformation de céréales et légumineuses locales au centre de formation professionnelle d’Abèné », a dit le directeur général de l’Office national de formation professionnelle (ONFP), Mamadou Mounirou Ly, au terme d’une visite de terrain effectuée jeudi à Bignona et à Abèné.

    « Grâce à cette formation, ces jeunes et femmes pourront transformer leurs produits avec des conditions d’hygiène très strictes, les valoriser et gagner de l’argent » a-t-il ajouté, assurant que sa structure va davantage accompagner ces bénéficiaires.

    M. Ly a rappelé que la formation professionnelle est le levier de développement du pays.

    Ibrahima Lo, spécialiste suivi-évaluation à l’AGEROUTE, a souligné que qu’i il a été retenu de former un total de 500 jeunes dans les métiers porteurs du BTP, de l’agro-alimentaire et du tourisme.

    « Ce geste de l’AGEROUTE est une contribution locale par rapport à la lutte contre le chômage des jeunes », a t-il ajouté.

    L’exécution de ce programme de  formation entre l’ONFP et l’AGEROUTE au bénéfice des populations locales s’inscrit dans le cadre du Projet de réhabilitation de la route Sénoba-Ziguinchor -Mpack et de désenclavement des régions du sud.

    Le projet est financé par l’Etat du Sénégal avec le concours de la Banque africaine de développement (BAD) et de la Banque européenne d’investissement (BEI).

    MNF/AB/MTN

     

     

     

     

     

     

  • SÉNÉGAL-FORMATION  / Bambey : 162 jeunes formés en code et conduite automobile

    SÉNÉGAL-FORMATION / Bambey : 162 jeunes formés en code et conduite automobile

    Bambey, 30 août (APS) – Cent soixante-deux jeunes du département de Bambey ont été formés en code et conduite automobile, à l’initiative du Fonds de financement de la formation professionnelle et technique (3FPT), a constaté l’APS.

    « Aujourd’hui, nous avons remis à 162 jeunes du département de Bambey leurs papiers d’enrôlement pour obtenir un permis de conduire, après une formation financée par le Fonds de financement de la formation professionnelle et technique (3FPT) », a ainsi déclaré Serigne Saliou Seck, coordonnateur du centre du 3FPT.

    Il s’exprimait lors de la cérémonie de remise des papiers d’enrôlement aux bénéficiaires, en présence de plusieurs autorités adminsitratives et locales.

    A l’en croire,  »ces jeunes peuvent dès demain se rendre au service des mines de Diourbel, munis de leurs papiers d’enrôlement pour récupérer leurs permis de conduire. »

     »D’un coût de plus de 16 millions de francs CFA pour le département de Bambey, cette formation en sécurité routière vise à outiller les jeunes, mais surtout à limiter les nombreux cas d’accident constatés dans la région », a-t-il précisé.

    Il a par ailleurs invité les récipiendaires à se rendre au centre de formation professionnelle de Ndangalma (CFP), pour approfondir leurs connaissances dans la filière mécanique automobile.

    Cheikh Dièye, un des récipiendaires, a  »magnifié cette initiative du 3FPT. » Selon lui, cette formation a permis aux jeunes, surtout les conducteurs de moto Jakarta, d’avoir les rudiments du code de la route. »

    MS/MK/ASG

  • SENEGAL-ELEVAGE-SECURITE / Kolda : ouverture d’un atelier de formation sur la lutte contre le vol de bétail

    SENEGAL-ELEVAGE-SECURITE / Kolda : ouverture d’un atelier de formation sur la lutte contre le vol de bétail

    Kolda, 28 août (APS) – Un atelier de formation de deux jours sur la lutte contre le vol de bétail par la transformation des capacités des membres des comités locaux transfrontaliers s’est ouvert lundi à Kolda, a constaté le correspondant de l’Agence de presse sénégalaise. La rencontre est élargie au Forces de défenses et sécurité.

     »Conscient de la gravité du danger lié au vol de bétail sur l’économie des populations et la sécurité, le consortium constitué du réseau ouest africain pour l’édification de la paix (WANEP), Afrique Enjeu et Enfance et Paix déroule un projet de lutte contre le vol de bétail transfrontalier pour apporter sa contribution à la lutte contre ce fléau à travers l’implication des acteurs communautaires et Forces de défense et sécurité », a déclaré Alfred Gomis, secrétaire exécutif de WANEP Sénégal, promoteur du projet.

    Selon M. Gomis, le projet vise, dans son approche, à renforcer les capacités des acteurs, notamment des comités locaux de lutte contre le vol de bétail transfrontalier, de part et d’autre de la frontière entre le Sénégal et la Guinée Bissau.

     »Nous organisons ces ateliers inclusifs en collaboration avec les autorités locales, acteurs locaux et forces de sécurité pour d’abord partagé les résultats du diagnostic sur le problème, ensuite de renforcer les capacités des acteurs impliqués dans le processus pour contribuer à côté de l’Etat à la lutte contre le fléau dans la zone frontalière entre le Sénégal et la Guinée Bissau », a-t-il souligné.

    A l’issue de cette rencontre, les organisateurs comptent renforcer les compétences et analyses des acteurs dans la gestion des conflits liés au bétail transfrontalier.

    MG/ADC

  • SENEGAL-POLITIQUE  / Présidentielle 2024 : la candidate Anta Babacar Ngom décline ses priorités et s’engage à « faire renaître l’espoir »

    SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle 2024 : la candidate Anta Babacar Ngom décline ses priorités et s’engage à « faire renaître l’espoir »

    Dakar, 26 août (APS) – La présidente du mouvement Alternative pour la relève citoyenne (ARC), Anta Babacar Ngom Diack, candidate à la présidentielle de février 2024, a décliné samedi soir les axes de son programme, s’engageant à  »faire renaître l’espoir » chez les jeunes et les populations sénégalaises en général.

    « Sénégalaises et Sénégalais, c’est parce que je veux faire renaître l’espoir que je me présente à l’élection présidentielle du Sénégal. Je suis candidate à l’élection présidentielle », a-t-elle dit lors du lancement officiel de son mouvement, sur l’esplanade du Grand Théâtre Doudou-Ndiaye-Coumba-Rose.

    « Aujourd’hui, c’est avec humilité que je me présente devant vous pour vous parler d’espoir, vous parler de changement et vous parler de l’avenir radieux pour notre cher pays », a-t-elle ajouté soulignant être  »la candidate de la diversité, de la force et de la richesse de la nation ».

    Elle a assuré de son engagement d’investir dans les ressources ‘ »les plus précieuses » dont  »la jeunesse qui se tourne vers l’émigration clandestine parce que abandonnée”. “Mon engagement portera sur l’éducation et la formation professionnelle pour relever une nouvelle génération de leaders qui sera apte à relever les défis futurs », a-t-elle dit, proposant de rendre l’école obligatoire dès l’âge de 6 ans avec l’enseignement de l’anglais pour tous.

    Anta Babacar Ngom Diack a également évoqué, dans ses priorités, la mise en place d’un Service Civique de 24 mois pour 300.000 milles jeunes (femmes et hommes) confiés à l’Armée nationale. « Il leur faudra une formation professionnelle de 12 mois pour aider nos jeunes à l’insertion”, a précisé la candidate de ARC, soutenant qu’elle créera un ministère chargé des Affaires religieuses qui aura pour rôle de travailler sur l’encadrement de l’enseignement religieux et de l’éradication totale de la mendicité dans les rues.

    Elle dit être favorable pour un système de santé plus juste dans le but d’accompagner les personnes qui n’ont pas les moyens de se faire soigner, assurant en outre qu’elle se battra pour l’autosuffisance alimentaire et le renforcement du patriotisme économique avec la création de plusieurs centaines de champions nationaux dans tous les domaines d’activités.

    « Le renforcement de notre souveraineté dans nos matières premières et nos hydrocarbures est une priorité pour notre avenir”, a-t-elle relevé, soutenant que le temps de la relève et de la citoyenneté est arrivé.  »Nous sommes nombreux à relever la tête pour dire qu’il est temps de tourner la page », a-t-elle lancé.

    La candidate Anta Babacar Ngom est titulaire d’un master 1 en économie de l’université York de Toronto, d’un Master 2 en ménagement international de Projets et NTIC de l’université Paris Dauphine. Elle est également titulaire d’un Exécutive MBA en communication de Science Po Paris. Elle est la directrice générale depuis 2015  de la SEDIMA (Sénégalaise de distribution de matériel avicole), l’entreprise fondée par son père en 1976.

    AN/ADC

  • SENEGAL-JAPON-COOPERATION-EQUIPEMENTS / Le Japon offre des équipements au centre de formation technique Sénégal-Japon (ambassade)

    SENEGAL-JAPON-COOPERATION-EQUIPEMENTS / Le Japon offre des équipements au centre de formation technique Sénégal-Japon (ambassade)

    Dakar, 18 août (APS) – Le centre de formation professionnelle et technique (CFPT) Sénégal-Japon de Dakar a reçu de l’ambassade du Japon au Sénégal un don d’équipements d’une valeur de 2 milliards 475 millions de francs CFA, a-t-on appris vendredi du donateur.

    La cérémonie de remise des équipements offerts à ce centre pour augmenter ses filières de formation et renforcer la qualité de ses prestations a eu lieu le même jour.

    Mariama Sarr, la ministre sénégalaise chargée de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, et l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Izawa Osamu, y ont pris part, selon la même source.

    « Ces équipements sont le fruit d’un don de 495.000.000 yens, soit environ 2 milliards 475 millions de francs CFA. Ils sont destinés aux filières climatisation industrielle, transformation des métaux et mécanique », précise l’ambassade du Japon au Sénégal.

    Les diplômés du CFPT Sénégal-Japon « contribuent au transfert de technologies et des méthodes de travail apprises » dans ledit établissement « à l’industrie sénégalaise », affirme-t-elle.

    Selon la représentation diplomatique japonaise au Sénégal, ce centre de formation symbolise « le pont de l’amitié entre le Japon et le Sénégal, pour renforcer le dynamisme des relations économiques entre les deux pays ».

    ESF/BK

  • SENEGAL-ECONOMIE- FORMATION / Les journalistes invités à davantage s’intéresser aux questions liées à la protection sociale

    SENEGAL-ECONOMIE- FORMATION / Les journalistes invités à davantage s’intéresser aux questions liées à la protection sociale

    Cap Skirring, 17 août (APS) – Le président du Réseau des journalistes pour la protection sociale (RJPS), Massaer Dia a invité, jeudi, les journalistes  à s’intéresser davantage aux questions liées à la protection sociale et aux autres sujets impactant la vie des populations.

    ‘’Les journalistes que nous sommes avons pour devoir d’informer juste et vrai en matière de protection sociale et sur toutes  les questions impactant la vie des populations’’, a-t-il déclaré à l’ouverture d’une session de formation portant sur la  ‘’couverture médiatique des problématiques de la protection sociale au Sénégal’’.

    Une trentaine de journalistes de la région naturelle de la Casamance (Ziguinchor, Kolda et Sédhiou) ont pris part à cette  rencontre  initiée par le RJPS en collaboration avec la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN) et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF).

    ‘’Cette session de renforcement de capacités des journalistes dans ce domaine si vital  aux plans économique et sociale vise à contribuer à une meilleure connaissance et un traitement plus efficient et plus pertinent par les journalistes des questions de protection sociale’’, a expliqué Masser Dia.

    Elle vise également  ‘’à partager et à renforcer les capacités des journalistes pour une meilleure couverture médiatique des problématiques de la protection sociale au Sénégal’’, a-t-il indiqué, en rappelant que le RJPS a été mis en place en 2021.

    MNF/AKS

     

     

     

     

  • SENEGAL-MEDIAS-FORMATION  / Cap Skirring abrite un atelier sur la couverture médiatique des problématiques de la protection sociale, à partir de mercredi 

    SENEGAL-MEDIAS-FORMATION / Cap Skirring abrite un atelier sur la couverture médiatique des problématiques de la protection sociale, à partir de mercredi 

    Ziguinchor, 15 août (APS) – Une trentaine de journalistes de la région naturelle de la Casamance (Ziguinchor, Kolda et Sédhiou) vont prendre part, mercredi, à une session de formation portant sur la  » couverture médiatique des problématiques de la protection sociale au Sénégal », a appris l’APS des organisateurs.

    Prévue sur deux jours (17 et 18 aout) à Cap Skirring, la rencontre est initiée par le réseau des journalistes pour la protection sociale (RJPS), en collaboration avec la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN) et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF).

    Elle vise notamment  »à partager et à renforcer les capacités des journalistes (…) pour une meilleure couverture médiatique des problématiques de la protection sociale au Sénégal », indique-t-on dans la même source.

    MNF/SMD

  • SENEGAL-ENTREPRENARIAT-FORMATION / Kanel : 21 jeunes des régions de Matam et Tambacounda formées aux métiers de la coiffure

    SENEGAL-ENTREPRENARIAT-FORMATION / Kanel : 21 jeunes des régions de Matam et Tambacounda formées aux métiers de la coiffure

    Kanel, 14 août (APS) – Vingt-et-un jeunes originaires des régions de Matam et Tambacounda ont participé à une session de formation de 90 jours portant sur les métiers de la coiffure, à travers un programme déroulé par le Centre de formation professionnelle de Kanel, a-t-on appris du directeur de cette structure.

    Selon Formose Mendy, cette formation a été déroulée en partenariat avec la phase 2 du Projet d’appui au pastoralisme au Sahel (PRAPS).

    « Nous avons capacité des jeunes aux divers métiers de la coiffure. Le constat qui a été fait est que des jeunes résidant dans des zones reculées ne parviennent pas à avoir une formation de qualité. Avec notre partenaire, nous avons pu les capaciter dans ces métiers », a dit le directeur du Centre de formation professionnelle de Kanel.

    S’exprimant lors de la cérémonie de remise d’attestations aux jeunes concernés, M. Mendy a soutenu que la majeure partie des personnes formées habitent des localités éloignées des grandes villes, « ce qui les empêche de bénéficier de formations ».

    Ils viennent des villages des départements de Kanel, Matam, Bakel et Koumpentoum, a-t-il signalé, précisant que le projet « compte les accompagner dans la création d’entreprises liées à la coiffure ».

    « Beaucoup de femmes ayant subi cette formation évoluaient déjà dans le domaine de la coiffure avant de venir au centre. Nous n’avons fait que les capaciter pour qu’elles soient professionnelles », a déclaré Formose Mendy.

    AT/BK

  • SÉNÉGAL-FORMATION-RESULTATS / Bambey : le CFP de Ndangalma affiche un taux de réussite de 98% à l’examen de certification

    SÉNÉGAL-FORMATION-RESULTATS / Bambey : le CFP de Ndangalma affiche un taux de réussite de 98% à l’examen de certification

    Bambey, 11 Août (APS) – Le centre de formation professionnelle (CFP) de Ndangalma dans le département de Bambey (Diourbel, centre) a enregistré cette année un taux de réussite de 98% à l’examen de certification, a appris l’APS de son directeur.

    « Cette année, nous avons un taux de réussite de 98%. Des résultats satisfaisants (…) malgré une légère baisse notée, comparés à ceux de l’année dernière où on avait un taux de 100% », a déclaré Moussa Sognane, directeur du CFP de Ndangalma.

    « Pour le brevet d’études professionnelles (BEP) en électricité, sur les 40 candidats présents 39 sont admis soit un taux de 98%. Et pour les filières mécanoques et développement, tous les candidats ont décroché leur certificat d’aptitude professionnelle (CAP) », a-t-il précisé.

    Selom M. Sognane, le CFP de Ndangalma à l’intention d’ouvrir dès la rentrée prochaine, le niveau brevet technicien (BT) afin de maintenir tous ces admis pour les permettre de poursuivre leur formation à Diourbel, Thiès ou Dakar.

    Pour réussir ce pari, a-t-il poursuivi, le centre a besoin d’un « renforcement en matériel pédagogique et de formateurs, ainsi que des partenaires pour accompagner ces apprenants à trouver des stages pratiques et de l’emploi ».

    MS/MK/MTN

  • SENEGAL-MIGRATION-FORMATION / Insertion professionnelle : L’ONFP va former une centaine de migrants de retour de Dubaï

    SENEGAL-MIGRATION-FORMATION / Insertion professionnelle : L’ONFP va former une centaine de migrants de retour de Dubaï

    Dakar, 11 août (APS) –  L’Office national de formation professionnelle (ONFP), en partenariat avec l’ONG islamique JAMRA, va former une centaine de jeunes  migrants de retour de Dubaï (Emirats Arabes Unis) en vue de faciliter leur réinsertion professionnelle et sociale, a-t-on appris de source officielle.

     »Nous venons de signer, avec l’ONG islamique JAMRA, une convention à travers laquelle, il sera question, aujourd’hui et demain, de prendre en charge toutes les questions relatives à la migration irrégulière. Dans ce cadre, environ cent jeunes migrants de retour de Dubaï vont bénéficier de formation pour une réinsertion professionnelle », a dit le directeur général de l’ONFP, Mounirou Ly.

    Il s’exprimait lors de la cérémonie de signature de cette convention de formation multisectorielle en présence du vice-président de l’ONG JAMRA, Mame Matar Guèye.

     »Les formations seront sanctionnées par un titre de qualification qui sera reconnu par les branches professionnelle et tous les domaines de formation concernés notamment, le secteur économique du bâtiment et des travaux publics (BTP), l’informatique, l’agriculture, etc », a-t-il ajouté, appelant à impliquer  »toutes les structures de l’Etat et même les Organisations non gouvernementales pour trouver une solution à la question de la migration clandestine ».

    Pour sa part, le vice-président de l’ONG JAMRA, Mame Matar Guèye a expliqué que l’élément déclencheur de ce partenariat est l’audience qu’il a eue avec le chef de l’Etat, Macky Sall, au sujet des migrants sénégalais victimes d’escroqueries et bloqués à Dubaï.

     »Au terme de cette audience avec le chef de l’Etat,  a-t-il relaté, des instructions concrètes ont été données à certains démembrements de l’Etat. Des rapatriements ont été effectués et nous sommes retournés voir le chef de l’Etat pour lui demander d’aider ces migrants à une réinsertion professionnelle et sociale ».

    M. Guèye a indiqué que l’objectif de cette convention avec l’ONFP entre dans le cadre de la mise en œuvre du programme national intitulé Forum social national de réintégration professionnelle des migrants.

    Selon le vice-président de l’ONG JAMRA,  »la rencontre d’aujourd’hui est un atelier d’identification des besoins en formation qualifiante pour les migrants de retour de Dubaï ».

    AFD/AB/OID/AKS