Catégorie : Formation

  • SENEGAL-ADMINISTRATION-FORMATION / Finances publiques : le ministère de l’Économie lance un programme de renforcement des compétences du personnel

    SENEGAL-ADMINISTRATION-FORMATION / Finances publiques : le ministère de l’Économie lance un programme de renforcement des compétences du personnel

    Dakar, 10 déc (APS) – Le ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération a lancé le Programme d’excellence en leadership dans le secteur public africain (LEAPS), avec la collaboration de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF), dans le but de relever ‘’les défis complexes’’ liés au leadership du personnel chargé des finances publiques sénégalaises.

    ‘’Le programme LEAPS offre une occasion aux hauts cadres de diverses institutions de gestion des finances publiques du Sénégal de s’engager, d’apprendre et de diriger avec excellence’’, a expliqué le secrétaire général dudit ministère, Mouhamadou Bamba Diop, lors du lancement de cette initiative.

    Ce programme les aidera à ‘’façonner l’avenir’’ des administrations pour lesquelles travaillent ces cadres et à ‘’améliorer les conditions de vie de [leurs] concitoyens’’,  a poursuivi M. Diop.

    Le LEAPS va du cadrage macroéconomique au contrôle externe de gestion. Il prend en compte l’exécution budgétaire.

    Mouhamadou Bamba Diop estime qu’‘’il est crucial de doter nos cadres de compétences nécessaires pour relever les défis complexes et les mutations perpétuelles’’. 

    Le secrétaire exécutif de l’ACBF, Mamadou Bitèye, assure que le LEAPS va aider à renforcer les capacités des hauts cadres chargés de la gestion des finances publiques dans plusieurs pays d’Afrique, dont la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, le Nigeria, le Sénégal et le Zimbabwe.

    Le programme englobe le développement personnel, les stratégies organisationnelles et ‘’une compréhension plus large de l’écosystème de la gestion des finances publiques’’, a-t-il signalé.

    Le coaching efficace et le ‘’mentorat de leaders africains renommés’’ sont inclus dans les modules de formation, selon l’ACBF et le ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération.

    Les modules permettront aux fonctionnaires sélectionnés pour le programme de ‘’mettre en œuvre les réformes nécessaires en utilisant des approches qualitatives et pratiques’’, a indiqué M. Bitèye.

    ‘’Le système de management a besoin d’être revisité afin de combler les lacunes et d’améliorer la gestion des hommes et des services’’, a signalé Cheikh Ndiaye, le coordonnateur de la direction générale de la comptabilité publique et du Trésor du Sénégal.

    M. Ndiaye souhaite que le programme permette aux bénéficiaires, dont il fait partie, d’être ‘’plus performants’’ pour apporter plus de performances à l’Administration publique sénégalaise.

    CS/ESF/ASG/SBS

  • SENEGAL-ENERGIE-FORMATION / Une académie solaire inaugurée à l’Ecole polytechnique de Thiès (EPT)

    SENEGAL-ENERGIE-FORMATION / Une académie solaire inaugurée à l’Ecole polytechnique de Thiès (EPT)

    Thiès, 9 déc (APS)- Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf, a inauguré lundi, une académie solaire à l’Ecole polytechnique de Thiès (EPT), a constaté l’APS.

    ‘’Nous sommes venus inaugurer l’académie à l’EPT », a fait savoir Abdourahmane Diouf, évoquant l’option du Sénégal, un pays en développement qui a du soleil toute l’année, de promouvoir l’énergie solaire.

    Il a salué la « solidarité gouvernementale qui s’est manifestée à travers la collaboration entre le ministère en charge de l’enseignement supérieur et celui qui s’occupe du pétrole de l’énergie et des mines, « dans un domaine aussi technique que le solaire ».

    Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a travaillé sur ce projet, à travers l’EPT, en relation avec le ministère des Mines, de l’Energie, qui est intervenu, via l’Agence nationale pour les énergies renouvelables  (ANER).

    Le Sénégal a aussi coopéré dans le cadre de la mise en place de cette académie, avec des institutions et agences internationales, telles que l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) et l’ambassade de France mais aussi, l’Alliance solaire internationale.

    ‘’Nous pensons qu’au Sénégal, aujourd’hui, avec les potentialités que détient ce pays en termes d’irradiation solaire jusqu’à plus de 5.000 heures d’ensoleillement, il est important de pouvoir développer cette filière’’, a pour sa part, indiqué le directeur général de l’ANER, Pr. Dioula Kobor.

    Relevant que ‘’cette filière ne peut pas se développer en l’absence de compétences en ressources humaines’’, M. Kobor a justifié la collaboration du Sénégal avec des partenaires tels que l’Alliance solaire internationale, par son ambition de développer ces ressources humaines.

    BT/ADI/OID/SBS

  • SENEGAL-EDUCATION-FORMATION / Bakel : remise de diplômes à 55 jeunes formés par le CFP2

    SENEGAL-EDUCATION-FORMATION / Bakel : remise de diplômes à 55 jeunes formés par le CFP2

    Bakel, 9 déc (APS) – Cinquante-cinq jeunes du département de Bakel (est) ont reçu, lundi, leurs diplômes au Centre de formation professionnelle de la localité (CFP2) lors d’une cérémonie couplée à une journée portes ouvertes.

    Ces diplômés sont issus de la 12ème promotion du Certificat d’aptitude professionnelle (CAP), de la 2ème promotion du Brevet d’études professionnelles (BEP) et de la 1ère promotion en horticulture.

    « Les diplômés sont au nombre de 17 pour le CAP,  7 pour le BEP et 31 pour l’horticulture »,  a expliqué le directeur du CFP2 de Bakel, Mamadou Lamine Badji, soulignant que la formation a été organisée en partenariat avec la coopération allemande.

    La cérémonie de remise de diplômes était couplée à une journée portes ouvertes pour exposer aux visiteurs les potentialités du Centre de formation professionnelle.

    « On a invité nos partenaires, les services, les bras techniques de la formation professionnelle pour qu’ils écoutent et voient les génies que nous avons formés », a expliqué le directeur du CFP2 de Bakel, Mamadou Lamine Badji.

    « Nous les invitons à explorer les différentes filières que nous avons et à donner la chance à ces jeunes qui sont désormais opérationnels », a-t-il poursuivi.

    Mamadou Badji a également invité les établissements financiers à accompagner les nouveaux diplômés et les porteurs de projets, car « ils été formés à l’entrepreneuriat et au leadership ».

    La Journée portes ouvertes a été parrainée par Hamidou Coulibaly, président de l’Union départementale des parents d’élèves (UDAPE).

    AND/ABD/OID/ABB

  • SENEGAL-ECONOMIE-ENVIRONNEMENT-FORMATION / Ziguinchor: soixante-quinze femmes formées à l’entrepreneuriat vert

    SENEGAL-ECONOMIE-ENVIRONNEMENT-FORMATION / Ziguinchor: soixante-quinze femmes formées à l’entrepreneuriat vert

    Ziguinchor, 9 déc (APS) – Quelque soixante-quinze femmes du département de Ziguinchor (sud), s’activant dans la gestion des déchets, l’agriculture durable et l’économie circulaire, ont entamé, lundi, une formation axée sur l’économie verte et l’accès aux financements verts, a constaté l’APS.

    Cette session de formation de trois jours est organisée par le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique, en collaboration avec le gouvernement d’Irlande, à l’intention des femmes entrepreneures des communes de Nyassia, Niaguis et Ziguinchor, regroupées au sein de groupements d’intérêt économique (GIE) et des coopératives.

    « Cette session de formation va permettre à ces 75 femmes entrepreneures du département de Ziguinchor de mieux comprendre les enjeux liés à l’économie verte et d’accéder aux financements verts », a déclaré le chef de la Division finance climatique et transition écologique au niveau de la Direction du changement climatique, de la transition écologique et du financement vert, Gabriel-Pierre Ndiaye.

    Cette formation, qui prend fin mercredi, s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à l’économie verte et à l’accès au financement vert pour les femmes, financé par le gouvernement d’Irlande à hauteur de 110 millions de francs de francs CFA.

    « Ce programme qui prend fin en 2025 va aider à lutter contre les changements climatiques et à soutenir davantage les initiatives de développement des femmes du département de Ziguinchor », a salué le représentant du maire de la commune de Ziguinchor, Abdou Khadre Gassama.

    Il est mis en œuvre par l’agence ONU-Femmes et vise à promouvoir l’économie verte auprès de la gent féminine et à faciliter son accès au financement vert, a souligné Gabriel-Pierre Ndiaye.

    « Au terme de la formation, un mécanisme financier sera mis en place au niveau local afin de permettre aux bénéficiaires d’acquérir des financements à des taux raisonnables », a-t-il indiqué, ajoutant que les femmes formées pourront bénéficier à terme d’un financement vert d’un montant de 25 millions de francs CFA.

    Selon une des soixante-quinze bénéficiaires, « cette formation permet de maîtriser d’abord les concepts liés à l’économie verte, avant de se lancer dans la recherche de financements pour réussir à mettre en place des entreprises vertes au profit de la communauté ».

    MNF/ABB/SKS/OID

  • SENEGAL-FORMATION-EMPLOIS / Dakar: vingt-cinq jeunes formés aux métiers du numérique

    SENEGAL-FORMATION-EMPLOIS / Dakar: vingt-cinq jeunes formés aux métiers du numérique

    Dakar 8  déc (APS) – Vingt-cinq jeunes de la région de Dakar (ouest), ont été formés aux métiers du numérique, à l’initiative de l’Office national de formation professionnelle (ONFP) et du ‘’projet Skill Up’’ financé par le Bureau international du travail (BIT). 

    La cérémonie de remise de titres de qualification s’est déroulée samedi au village du ministère de la Formation professionnelle et technique situé au pavillon brun du Centre international de commerce extérieur du Sénégal (CICES), à l’occasion de la 32e édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK).

     »Ces jeunes récipiendaires ont été formés pour l’obtention de titres de qualification en responsable ergonomie des interfaces aux design avec comme objectif de faciliter leur insertion et leur employabilité », a indiqué le directeur général de l’ONFP, Mouhamadou Lamine Bara Lô.

     »L’importance de cette formation professionnelle aux métiers numériques s’inscrit dans l’objectif d’amélioration et d’élargissement de l’offre de formation numérique », a ajouté M. Lo.

    Babacar Diouf, représentant de l’Ecole supérieure des sciences appliquées (ESSA) de Dakar a magnifié cette formation importante pour les jeunes de Dakar.

     M. Diouf a remercié le Bureau international du travail (BIT) pour « son soutien sans faille » à cette formation et en tant que opérateur de formation. Il a réaffirmé son engagement à continuer d’accompagner l’ONFP pour atteindre « une véritable souveraineté numérique à travers une bonne formation de nos jeunes ».

    Au-delà de Dakar, l’accord d’exécution liant l’ONFP au  projet « Skill Up » du BIT, va former 100 autres jeunes des régions de Kolda, Kaolack, Matam et Tambacounda aux métiers du numérique.

     PD/AB/ASB

     

     

  • SENEGAL-UNIVERSITES-MESURES / Université Assane-Seck : le conseil académique va donner suite à la fermeture de l’établissement, jeudi prochain

    SENEGAL-UNIVERSITES-MESURES / Université Assane-Seck : le conseil académique va donner suite à la fermeture de l’établissement, jeudi prochain

    Saint-Louis, 7 déc (APS) – Le conseil académique de l’université Assane-Seck de Ziguinchor (UASZ) va se réunir jeudi prochain pour se prononcer sur la réouverture ou non de cet établissement d’enseignement supérieur public, a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, El Hadji Abdourahmane Diouf, lors d’une conférence de presse donnée vendredi à l’université Gaston-Berger de Saint-Louis (nord).

    La fermeture de l’UASZ est une décision du conseil académique qui, rappelle M. Diouf, est une structure autonome.

    L’établissement d’enseignement supérieur a été fermé à la suite de violents affrontements entre étudiants et policiers, qui ont fait plusieurs blessés.

    « Ni le ministre, encore moins le recteur, ne peuvent fermer une université. C’est du ressort du conseil académique, qui regroupe les enseignants, les étudiants, les syndicats… » a dit El Hadji Abdourahmane Diouf.

    « Le cas de l’UCAD (université Cheikh-Anta-Diop de Dakar), avec sa longue fermeture, traumatise les Sénégalais, mais cela n’arrivera pas à Ziguinchor », a-t-il soutenu.

    Selon M. Diouf, le conseil académique de l’UASZ a fermé ladite université pour éviter que les affrontements virent à l’irréparable, ce qui est arrivé plusieurs fois, avec la mort d’étudiants lors de violences dans les universités publiques, à Dakar comme à Saint-Louis.

    Concernant la grève des enseignants, il assure, s’agissant du déficit d’infrastructures, qu’un programme d’urgence sera mis en œuvre pour satisfaire la demande.

    Les retards de paiement des bourses d’études découlent du fait que les budgets ne couvrent que neuf mois de fonctionnement, selon lui.

    Le conseil académique de l’UASZ a pris la décision, le 27 novembre dernier, de fermer « jusqu’à nouvel ordre le campus pédagogique ».

    Il précise que la mesure ne concerne pas le centre universitaire de Kolda (sud) et l’UFR 2S, des annexes de l’université Assane-Seck, où les enseignements se poursuivent.

    Le conseil académique présidé par le recteur Alassane Diédhiou a également dissous des amicales d’étudiants et suspendu le renouvellement des bureaux de ces mêmes instances.

    Le 27 novembre, la direction du centre régional des œuvres universitaires de Ziguinchor a annoncé la fermeture du campus social de l’UASZ.

    Ces mesures sont consécutives à une grève illimitée des étudiants, qui réclamaient l’achèvement des chantiers de 12 amphithéâtres en construction depuis 2015, la réception du pavillon de 1.000 lits et d’un autre restaurant.

    Lors des violences, des manifestants ont mis le feu à trois véhicules du rectorat, et des étudiants ont été blessés, a constaté le correspondant de l’APS.

    AMD/ESF/MTN

     

  • SENEGAL-JEUNESSE-INFRASTRUCTURE / Ourossogui : un projet citoyen s’engage à réhabiliter l’Espace jeunes pour un coût de 200 millions FCFA

    SENEGAL-JEUNESSE-INFRASTRUCTURE / Ourossogui : un projet citoyen s’engage à réhabiliter l’Espace jeunes pour un coût de 200 millions FCFA

    Matam, 4 déc (APS) – Le projet « Yaakaar-Jeunesse et citoyenneté » prévoit de réhabiliter et d’équiper l’Espace jeunes de Ourossogui (nord), pour un coût de 200 millions de francs CFA, a indiqué, mercredi, son chef de projet, Christian Ndour.

    « Matam est une priorité pour nous. C’est dans ce sens que nous allons réhabiliter l’Espace jeunes de Ourossogui pour un coût de 200 millions de francs CFA. Cela va permettre aux jeunes d’y dérouler leurs activités, d’avoir tout le matériel technique nécessaire tout en le rendant attractif », a-t-il dit.

    M. Ndour s’exprimait lors d’une réunion du comité régional de développement (CRD) de Matam, destinée à présenter le projet Yaakaar-Jeunesse citoyenneté, mis en œuvre dans la région par l’ONG Jeunesse et développement.

    Cette réhabilitation vise, selon Christian Ndour, à rendre cet espace jeunes plus adéquat, en le dotant d’équipements d’une valeur de 50 millions de francs CFA.

    Le projet prévoit également des subventions pour les associations de jeunes de la région de Matam, ainsi qu’un renforcement de capacités des organisations de la société civile.

    « Dans la région de Matam, nous allons travailler sur différents volets, que sont la capacitation des associations de jeunes, la dynamique de l’équité territoriale et la mise à la disposition des jeunes du matériel d’animation », a lancé M. Ndour.

    L’engagement citoyen des jeunes fait également partie des volets du projet piloté par le Consortium Jeunesse Sénégal, avec l’engagement de 120 jeunes dans le cadre d’un parcours citoyen.

    M. Ndour souligne que c’est une manière « de faire des jeunes des citoyens modèles et actifs dans leurs localités » et de leur permettre d’avoir accès à des espaces sûrs, équipés et qui répondent à leurs besoins.

    L’adjoint au gouverneur de Matam en charge du développement, Tafsir Baba Hann, a salué cette initiative qui fait, selon lui, la promotion de la participation citoyenne.

    AT/ASG/MTN

  • SENEGAL-FORMATION-INFRASTRUCTURES / Vers la construction d’un centre de formation professionnelle ″digne de ce nom″ à Kaffrine

    SENEGAL-FORMATION-INFRASTRUCTURES / Vers la construction d’un centre de formation professionnelle ″digne de ce nom″ à Kaffrine

    Kaffrine, 4 déc (APS) – La cheffe de division apprentissage au ministère de la Formation professionnelle, Aïssatou Sy Sall, a annoncé, mardi, la construction ‘’très prochaine’’, d’un centre de formation professionnelle ‘’digne de ce nom’’ dans le département de Kaffrine (centre) pour répondre à l’équité territoriale.

     »Le ministère de la Formation professionnelle, dans son projet de construction de 46 centres de formation professionnelle dans le pays, a prévu de construire un centre de formation de dernière génération dans le département de Kaffrine pour répondre à l’équité territoriale’’, a-t-elle notamment dit.

    Il n’y a que trois centres de formation dans toute la région de Kaffrine, comparé aux autres régions, a-t-elle relevé dans un entretien avec des journalistes, au terme d’une réunion du Comité régional de développement (CRD) consacrée au lancement du Projet de formation professionnelle et d’insertion (PFPI).

    Mme Sall s’exprimait en présence de Sylvie Brigitte Diémé, coordonnatrice du Programme de formation professionnelle d’insertion (PFPI) et des acteurs territoriaux de la région.

    La formation professionnelle ne s’arrête pas seulement au niveau des centres de formation, a-t-elle rappelé, mettant également en exergue la grande part qu’occupe l’apprentissage dans le dispositif.

    L’apprentissage de masse, une ‘’solution efficace’’ pour la promotion de l’employabilité des jeunes, est également pris en charge à travers l’enrôlement des unités de production des jeunes non scolarisés et des jeunes qui ne sont dans aucun dispositif de formation professionnelle.

    Ces jeunes, précise-t-elle, seront formés, qualifiés et accompagnés vers l’insertion à travers l’accompagnement des partenaires.

    CTS/ADE/OID/ASB

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / Ousmane Sonko demande au secrétaire général du gouvernement de s’atteler à la « finalisation » de la DPG

    SENEGAL-INSTITUTIONS / Ousmane Sonko demande au secrétaire général du gouvernement de s’atteler à la « finalisation » de la DPG

    Dakar, 3 déc (APS) – Le Premier ministre a demandé au ministre, secrétaire général du gouvernement, de s’atteler à la « finalisation » de la déclaration de politique générale (DPG) qu’il va faire « dans les plus brefs délais » devant les députés de la nouvelle législature.

    « Le Premier ministre a demandé au ministre, secrétaire général du gouvernement, de coordonner les travaux de finalisation de sa déclaration de politique générale, qu’il compte [faire] dans les plus brefs délais devant la nouvelle [législature]’’, affirme le communiqué du Conseil des ministres de ce mardi 3 décembre.

    Il ajoute que « le Premier ministre a exhorté les ministres à engager l’année budgétaire 2025 en accordant une priorité aux dossiers les plus urgents ».

    « À cet effet, poursuit le communiqué du Conseil des ministres, [il est demandé à] chaque ministère d’élaborer un plan d’action pour le premier semestre 2025 ».

    « Le Premier ministre a rappelé aux membres du gouvernement l’importance à accorder à une parfaite planification des grandes échéances du programme de travail de leurs départements ministériels respectifs », est-il écrit dans le compte rendu de la réunion du gouvernement.

    ESF/MTN

  • SENEGAL-SOCIETE-ENTREPRENEURIAT / Insertion professionnelle : 533 femmes enrôlées par un projet à Kaffrine

    SENEGAL-SOCIETE-ENTREPRENEURIAT / Insertion professionnelle : 533 femmes enrôlées par un projet à Kaffrine

    Kaffrine, 3 déc (APS) – Le Projet de formation professionnelle et d’insertion (PFPI) a enrôlé cinq-cent-trente-trois femmes dans la région de Kaffrine (centre), en vue de leur faire bénéficier de formations en entrepreneuriat, a appris l’APS mardi du coordonnateur régional éducation et formation dudit projet, Samba Bakhoum.

    Ces femmes, déjà formées en entrepreneuriat par le projet, seront accompagnées pour mener des activités génératrices de revenus, a précisé M. Bakhoum lors d’un comité régional de développement (CRD) de lancement du projet.

    « Aujourd’hui à Kaffrine, le projet a déjà démarré au niveau de huit collèges et de trois centres de formation professionnelle, en plus de la création de douze unités de production », a souligné M. Bakhoum au cours de cette réunion présidée par le gouverneur de la région de Kaffrine, Moustapha Diaw.

    Différents acteurs territoriaux de la région et des représentants du ministère de la formation professionnelle ont également participé à ce comité régional de développement.

    Selon Yaya Diatta, le coordonnateur de sa composante collège, le Projet de formation professionnelle et d’insertion a l’ambition d’aider à réaliser l’objectif d’orientation de 30% des jeunes ayant terminé l’enseignement moyen vers la formation professionnelle d’ici l’horizon 2050.

    Le projet va durer cinq ans (2023-2028), avec un fond de démarrage de près de deux milliards francs CFA, pour aider les jeunes sortants des centres de formation professionnelle à démarrer une activité génératrice de revenus et accompagner les femmes, a précisé M. Diatta.

    CTS/ADE/BK/MTN