Catégorie : International

  • SENEGAL-ISRAËL-TECHNOLOGIES-COOPERATION  / Agri Tech-2023 : Israël veut  une « participation massive » du Sénégal

    SENEGAL-ISRAËL-TECHNOLOGIES-COOPERATION / Agri Tech-2023 : Israël veut une « participation massive » du Sénégal

    Dakar, 19 sept (APS)-L’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Ben Bourgel, a dit mardi, souhaiter une participation massive du Sénégal à la conférence mondiale Agri Tech-2023 que son pays organise du 17 au 19 octobre prochains, parlant d’une plateforme idéale pour découvrir et exposer les dernières technologies de pointe dans le domaine de l’agriculture.

    « Nous souhaitons avoir une délégation robuste qui va venir du Sénégal pour que nous pussions la présenter les technologies qui viennent d’Israël mais aussi pour des échanges d’expérience et une possibilité de partenariat avec les opérateurs sénégalais », a dit le diplomate israélien lors d’une cérémonie de présentation de cet évènement

    « Cette rencontre consiste à donner la possibilité aux opérateurs et aux partenaires sénégalais d’avoir toute l’information nécessaire relative à la conférence mondiale Agri Tech, portant sur les technologies et les méthodes agricoles, qui a lieu tous les trois ans en Israël », a-t-il expliqué.

    Le thème principal de cette 21ième édition porte sur « l’agriculture en zone désertique et en climat aride et à la sécurité alimentaire », a précisé Ben Bourgel, évoquant qu’il s’agit d’un « problème qui frappe aussi bien Israël que le Sénégal mais aussi d’autres pays de la région ».

    Il a parlé d’une thématique « plus pertinente que jamais, (…) sur les technologies modernes du secteur de l’agriculture, de l’eau et de l’alimentation ».

    Cette rencontre qui se tient tous les trois ans en Israël offre aux participants « la possibilité de réseautage pour pouvoir aller à la rencontre de partenaires potentiels, que ce soit dans le domaine de l’exportation mais aussi de l’amélioration des rendements ou de l’optimisation des chaînes de valeur », s’est réjoui son ambassadeur au Sénégal.

    Le diplomate renseigne également que l’événement va réunir cette année plus de « dix mille participants de haut niveau venus du monde entier, citant des représentants gouvernementaux, des ministres, des députés, des délégations commerciales, des hommes d’affaires, des représentants de startup et d’entreprises de l’agro-alimentaire, des responsables d’ONG, des experts et universitaires ».

    « Agri Tech 2023 s’attachera à explorer des sujets critiques tels que les principaux défis auxquels est confronté le secteur agricole à la lumière du changement climatique, de la croissance de la population mondiale, de la stabilité et de la disponibilité de l’approvisionnement alimentaire », affirme Ben Bourgel.

    CS/SMD/AKS

  • AFRIQUE-MEDIAS / Le Caire : un professionnel insiste sur la formation continue des journalistes africains

    AFRIQUE-MEDIAS / Le Caire : un professionnel insiste sur la formation continue des journalistes africains

    De l’envoyé spécial  de l’APS +++ Cheikh Tidiane Sarr+++

    Le Caire, 19 sept (APS)- Le secrétaire général de l’Union des journalistes indépendants  du Togo (UJIT), Elikplim  Goka Adokanu, a insisté lundi sur l’importance d’organiser périodiquement des sessions de formation et de mise à niveau pour les journalistes africains en vue de leur doter les connaissances et les éléments de langage nécessaires pour aborder les sujets les plus complexes de l’actualité.

     »Il est important que les journalistes africains surtout les jeunes puissent avoir périodiquement des formations de mise à niveau en vue de leur permettre d’avoir les connaissances  et les éléments de langage nécessaires, devant leur permettre de participer à tous les débats sur l’actualité au plan national et international », a dit M. Elikplim .

    Il intervenait en marge d’un  atelier d’échanges axé sur  »Le nouveau media et l’influence artificielle » organisé dans le cadre de la 57ème session de formation des jeunes journalistes africains qui se déroule au Caire, la capitale égyptienne depuis le 16 septembre. Ces sessions de formation qui réunissent plusieurs journalistes africains  se poursuivent jusqu’au  octobre.

     »La presse joue un rôle très important dans la formation des citoyens d’un pays. Elle participe à leur éveil de conscience et de responsabilité à degré divers pour le développement d’un pays », a-t-il rappelé.

    Le secrétaire général de l’Union des journalistes indépendants  du Togo a invité ses confrères à  »mettre à la disposition de leur public des contenus, des productions médias avec des éléments objectifs, des données scientifiques, des éléments historiques, des opinions d’équilibre, permettant de se faire la part des choses »

     »La presse africaine doit s’adapter pour ne pas être reléguée à l’arrière-cour de l’histoire, mais tout en gardant des valeurs humaines et éthiques du métier, » a encore soutenu,  M. Elikplim par ailleurs invité d’honneur à cette 57ème session de formation des jeunes journalistes africains.

    Cette session de formation est organisée à l’initiative de l’Union des journalistes africains et en collaboration avec le Conseil suprême pour l’organisation des médias.

    Elle se tient au Caire sur trois semaines. Les participants viennent de 15 pays d’Afrique : Sénégal, Burkina, Togo, Cameroun, Congo Brazzaville, Nigeria, Ghana, Zimbabwe, Kenya, Tunisie, Maroc, Zambie, Côte d’Ivoire et Egypte.

    CTS/AB/MTN

     

  • SENEGAL-AFRIQUE-ENVIRONNEMENT / Un mémorandum d’accord sur les mesures de conservation des tortues marines adopté à Saly

    SENEGAL-AFRIQUE-ENVIRONNEMENT / Un mémorandum d’accord sur les mesures de conservation des tortues marines adopté à Saly

    Dakar, 18 sept (APS) – Vingt-six gouvernements de pays de la côte Atlantique de l’Afrique ont adopté, à Saly, dans le département de Mbour, un mémorandum d’accord pour renforcer les mesures de conservation des tortues marines, a-t-on appris, lundi.

     »L’adoption de ce mémorandum d’accord a eu lieu lors de la Semaine de la mégafaune qui s’est tenue récemment à Saly, au Sénégal’’, indique une déclaration dite de Saly publiée sur le site du Partenariat régional pour la conservation de la zone côtière et marine en Afrique de l’Ouest (PRCM), une coalition d’acteurs intervenant sur les problématiques du littoral ouest-africain.

    Organisée en partenariat avec la Convention sur la conservation des espèces migratrices (CMS), la semaine de la mégafaune a consisté en une série de réunions au cours desquelles les participants ont examiné les dernières informations sur l’état de conservation des tortues marines dans la région, rapporte le texte.

    Il ajoute que les représentants des pays membres ont discuté des défis et des opportunités de collaboration régionale et ont convenu d’un plan de conservation et de gestion actualisé.

    Le document signale qu’en dehors des tortures marines, les travaux de cette semaine ont permis d’élaborer un projet de stratégie de conservation et de gestion des requins et des raies ainsi que deux projets de plan d’action qui seront soumis pour adoption lors de la 14e réunion de la Conférence des Parties à la CMS (COP14).

    ‘’L’un porte sur le dauphin à bosse de l’Atlantique et l’autre sur la lutte contre les récoltes de viande sauvage aquatique en Afrique de l’Ouest’’, précise-t-il, relevant que la Semaine de la mégafaune a donné lieu à la déclaration de Saly dont les participants sont signataires, témoignant, selon la déclaration, de leur engagement à œuvrer pour la protection de ces espèces marines.

    La Convention sur la conservation des espèces migratrices (CMS), conclue dans le cadre du mémorandum d’Abidjan, couvre les zones côtières de 26 pays de la côte atlantique de l’Afrique, s’étendant sur 14 000 km du Maroc à l’Afrique du Sud, y compris d’importants sites de nidification, des zones d’alimentation et des couloirs de migration.

    Le Partenariat régional pour la conservation de la zone côtière et marine en Afrique de l’Ouest (PRCM) coordonne un projet régional de suivi des tortues marines en Afrique de l’Ouest -STM dont les activités de la seconde phase ont démarré depuis quelques temps.

    AB/OID/SBS/AKS

  • AFRIQUE-MONDE-CULTURE / Quatre nouveaux sites africains inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco

    AFRIQUE-MONDE-CULTURE / Quatre nouveaux sites africains inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco

    Dakar, 18 sept (APS) – Quatre nouveaux sites africains, deux naturels et deux culturels, ont été classés Patrimoine mondial de l’Unesco par le comité en charge de la question au sein de l’agence onusienne, a appris l’APS.

    Il s’agit pour les sites naturels du massif forestier d’Odzala Kokoua, situé dans le parc national du Congo, qui abrite l’une des plus importantes populations d’éléphants d’Afrique centrale et des forêts sèches de l’Andrefana, à Madagascar.

    Ils figurent sur la liste pour leur biodiversité exceptionnelle qui accueille des espèces de lézards ou encore d’oiseaux uniques au monde.

    Dans son classement, le comité du Patrimoine mondial qui se réunit à Djeddah, en Arabie Saoudite a également choisi des espaces naturels africain en raison du mode vie traditionnel qui y sont menés.

    C’est notamment le cas de deux sites en Ethiopie : Gedeo, où l’on trouve des forêts sacrées et des stèles mégalithiques et le parc national des monts Balé.

    ‘’L’objectif de ce classement est d’identifier et protéger des sites culturels et naturels qui présentent une valeur exceptionnelle pour l’humanité’’, a rappelé le comité.

    En Afrique de l’Ouest, le site du Koutammakou, situé dans le nord-est du Togo, classé depuis 2004, vient d’être élargi au Bénin voisin, couvrant ainsi l’ensemble du territoire de la population batammariba et ses maisons-tours traditionnelles.

    L’ile touristique tunisienne de Djerba n’est pas en reste, du fait de son schéma de peuplement remontant au IXe siècle, conçu pour s’adapter à un environnement pauvre en eau.

    Deux autres sites sont à l’étude pour leur inscription au Patrimoine de l’Unesco, parmi lesquels ceux commémorant le génocide des Tutsis au Rwanda, en 1994.

    Pour cette session, le Comité du Patrimoine mondial de l’Unesco est chargé d’examiner 53 candidatures déposées en 2022 et 2023.

    Il se réunit à Riyad depuis le 10 septembre, et ce, jusqu’au 25 septembre.

    Avant ces quatre nouvelles entrées, seulement 12% des sites inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco se trouvent en Afrique.

    ABB/AKS/OID

     

  • AFRIQUE-CINEMA / Le 13e Festival du film africain de Louxor va rendre hommage à Safi Faye

    AFRIQUE-CINEMA / Le 13e Festival du film africain de Louxor va rendre hommage à Safi Faye

    Dakar, 18 sept (APS) – La 13e édition du Festival du film Africain de Louxor (LAFF en anglais) prévue du 19 au 25 avril 2024 en Egypte va rendre hommage à la réalisatrice sénégalaise Safi Faye, première femme cinéaste d’Afrique subsaharienne, décédée en mars dernier, a-t-on appris des organisateurs.

    La cofondatrice et directrice du festival, la réalisatrice Azza Elhosseiny, a indiqué que cet hommage comprendra la publication d’un livre sur sa carrière et son œuvre.

    ‘’Ses films [Les films de Safi Faye] étaient connus pour leur puissante représentation de la vie des femmes africaines et des réalités des agriculteurs africains’’, a-t-elle souligné sur le site dédié à l’évènement.

    Safi Faye a réalisé plusieurs films inspirés de son village natal Fad’jal dans la région de Fatick (Centre) avec notamment les docu-fictions ‘’Kaddu Beykat ou Lettre paysanne’’ (1975) sur la souveraineté alimentaire, les conséquences de la sécheresse et l’exode rural.

    Elle a aussi réalisé  »Fad’jal » (1979) ou la chronique d’un village sérère, un documentaire qui revient sur les préoccupations des villageois relatives à la terre, au travail et à la production agricole.

    Sa fiction ‘’Mossane’’ (1996) aborde plusieurs thématiques avec comme toile de fond le mariage forcé.

    Cette édition du festival africain de Louxor a pour parrain le réalisateur égyptien Khairy Beshara, ‘’l’un des fondateurs de la vague du nouveau réalisme dans le cinéma égyptien », a déclaré le fondateur et président du festival, le scénariste Sayed Fouad El-Guenary.

    ‘’Ce choix est basé sur la qualité des films de fictions et documentaires qu’il a réalisés. Des œuvres qui incarnent les préoccupations et les rêves des petites gens. Ses œuvres ont marqué le paysage de l’industrie cinématographique égyptienne vieille de 127 ans’’ a-t-il expliqué.

    Dans le cadre de cet hommage à Beshara, un livre autobiographique mettant en lumière la personne et son œuvre sera publié par le festival.

    LAFF a lancé son appel à films vendredi dernier jusqu’au 25 novembre prochain.

    Le Festival du film Africain de Louxor est conçu et organisé par la Fondation des jeunes artistes indépendants (ISF), précise le texte publié sur le site du festival

    Il s’agit du premier festival organisé par une organisation civile à but non lucratif en 2011 avec le soutien et le parrainage du ministère de la Culture égyptien et le soutien des ministères des Affaires Etrangères, du Tourisme et des Antiquités, de la Jeunesse et des Sports.

    Il est parrainé par la Banque nationale d’Egypte en coopération avec le gouvernorat de Louxor et le Syndicat des professions cinématographiques, note le texte.

    NAN/FKS/SBS/OID/AKS

     

  • SENEGAL-AFRIQUE-MIGRATION / Une rencontre des acteurs préconisée pour promouvoir un agenda africain

    SENEGAL-AFRIQUE-MIGRATION / Une rencontre des acteurs préconisée pour promouvoir un agenda africain

    Dakar, 18 sept (APS) – Mamadou Mignane Diouf, coordonnateur d’une plateforme citoyenne dénommée ‘’Migration, développement, liberté de circulation et droit d’asile’’, a souligné l’urgence d’une rencontre des acteurs africains intervenant sur la question migratoire afin de permettre au continent de disposer de son agenda face à cette problématique.

    ‘’Il urge qu’une rencontre afro-africaine regroupant tous les groupes d’acteurs qui interviennent sur la question afin de disposer d’un agenda propre à l’Afrique, et qui permettra au continent de dialoguer, échanger et parler avec les autres parties du monde vers lesquels ses enfants se dirigent dans des conditions inhumaines’’, a-t-il préconisé dans une contribution transmise à l’APS.

    Membre du Réseau ouest-africain sur les migrations et mouvements de populations, il a rappelé que ces derniers mois, des vagues de migrants ont été interceptés sur le chemin tandis que d’’autres ont pu joindre les côtes espagnoles et italiennes.

    Il a proposé que ce sommet se tienne à Dakar, sous la co-présidence du chef de l’Etat sénégalais et du président en exercice de l’Union Africaine (UA), son homologue des Comores avec une participation des acteurs étatiques et non étatiques, des chercheurs sur la migration, des associations de migrants de retour et/ou vivant hors d’Afrique.

     »Une telle rencontre est devenue une urgence et une demande sociale et politique. Dakar est une porte de départ vers l’Europe avec les pirogues », a-t-il fait valoir.

     »Si l’on sait que nous allons de plus en plus vers des cataclysmes et des catastrophes naturels liés aux changements climatiques, comme ceux qui viennent de se passer en Libye, il faudrait tout aussi se préparer à davantage de migrants et personnes déplacées en raison de ces changements climatiques. C’est ce que l’on appelle les migrants climatiques », a expliqué M. Diouf.

    Il pense que  »les causes endogènes des migrations dites irrégulières pourraient augmenter avec les phénomènes climatiques qui pourraient pousser beaucoup plus de populations en Afrique à des déplacements forcés qui viendront s’ajouter aux déplacements liés à l’accaparement des ressources et des richesses dans de nombreux pays africains ».

    A cela s’ajoute, selon lui,  »l’insécurité avec la montée des guerres, des conflits et du terrorisme comme ce qui se passe au Sahel en ce moment ».

     »Tout se passe comme si le continent africain ne mesure pas à sa juste dimension, la question de la migration et des mouvements de populations’’, a-t-il ajouté, en estimant que la tragédie et toute la saignée peuvent cesser car la vie de demain se fera en Afrique.

     »La question est de savoir est ce que cette vie de demain en Afrique se fera avec les africains ou sans les africains ?

    Il a tenu à s’incliner devant la mémoire des migrants décédés sur les routes de l’émigration et en mer, des lieux devenus  »des cimetières de migrants morts inconnus ».

    SG/ADL/SBS/AKS/OID

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / A New-York, Macky Sall a reçu en audience la cheffe du gouvernement du Danemark

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / A New-York, Macky Sall a reçu en audience la cheffe du gouvernement du Danemark

    Dakar, 18 sept (APS) – Le président Macky Sall a reçu en audience lundi à New York le Premier ministre du Danemark, Mette Frederiksen, a appris l’APS des services de communication de la Présidence sénégalaise.

    Cette audience entre dans le cadre des activités du chef de l’Etat sénégalais en marge de la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies prévue du 17 au 23 septembre à New York.

    Macky Sall qui va se rendre à une invitation du président américain Joe Biden à la Maison blanche, le siège de la présidence américaine, va avoir un entretien avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, selon la présidence sénégalaise.

    Le chef de l’Etat sénégalais va également rencontrer Gerogia Meloni, la cheffe du gouvernement italien, Louise Mushikiwabo, la secrétaire générale l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le président du Comité international olympique, Thomas Bach et celui de la FIFA, Gianni Infatino.

    Le président de la République va dans le cadre de ses activités prendre part à un forum politique sur le développement durable et à un panel sur le financement du secteur de l’eau en Afrique avant d’intervenir à l’Assemblée générale de l’ONU.

    AKS/OID

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / A New York : Macky Sall va co-présider une table ronde sur le financement des ODD

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / A New York : Macky Sall va co-présider une table ronde sur le financement des ODD

    Dakar, 18 sept (APS) – Le président Macky Sall va co-présider à New-York une table ronde dédiée au dialogue des chefs d’Etat et de gouvernement sur la mobilisation des financements et des investissements nécessaires à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), a appris l’APS de source officielle.

    Cette activité sera organisée en marge de la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies prévue du 17 au 23 septembre à New York, qui abrite le siège de l’ONU, a indiqué la source.

    Elle signale que Macky Sall doit également prendre part à des évènements en marge de la session et avoir des entretiens bilatéraux.

    AKS

     

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / 78e AG de l’ONU : Macky Sall a quitté Dakar à destination de New-York

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / 78e AG de l’ONU : Macky Sall a quitté Dakar à destination de New-York

    Dakar, 17 sept (APS) – Le chef de l’État, Macky Sall, a quitté Dakar ce dimanche à destination de New York (USA) où il doit prendre part à la 78ème assemblée générale de l’Organisation des Nations unies, annonce la présidence sénégalaise sur son compte X (anciennement twitter).

    La même source signale qu’à son départ, le Président Sall a été salué par le Premier ministre, Amadou Ba, et d’autres personnalités civiles et militaires.

    Ouverte le 5 septembre dernier, la 78e session de l’Assemblée générale des Nations Unies est axée sur le thème : ‘’Rétablir la confiance et raviver la solidarité : accélérer l’action menée pour réaliser le Programme 2030 et ses objectifs de développement durable en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de la durabilité pour tous’’.

    Le débat général de cette 78e session, qui se tiendra du mardi 19 septembre au samedi 23 septembre, permettra aux dirigeants des pays membres de l’ONU de discuter de questions mondiale.

     

    OID/ASG

  • EGYPTE- AFRIQUE- MEDIAS / Le Caire : une session de formation pour 15 journalistes africains

    EGYPTE- AFRIQUE- MEDIAS / Le Caire : une session de formation pour 15 journalistes africains

    De l’envoyé spécial de l’APS, Cheikh Tidiane Sarr

    Le Caire, 17 sep (APS) –   La 57eme session de formation des jeunes journalistes africains a démarré, samedi, au Caire, en Egypte, a constaté l’APS.

    Cette session de formation est organisée à l’initiative de l’Union des journalistes africains et en collaboration avec le Conseil suprême pour l’organisation des médias.

    Elle se tient au Caire sur trois semaines. Les participants viennent de 15 pays d’Afrique : Sénégal, Burkina, Togo, Cameroun, Congo Brazzaville, Nigeria, Ghana, Zimbabwe, Kenya, Tunisie, Maroc, Zambie, Côte d’Ivoire et Egypte.

     »Aujourd’hui, nous lançons officiellement l’ouverture de la 57ème session de formation des jeunes journalistes africains, qui va se dérouler du 16 septembre au 5 octobre prochains (…)’’, a expliqué  Dr Samia Zinab Abasse, au terme de la cérémonie officielle d’ouverture.

    La secrétaire générale de l’Union des journalistes africains indique que des ateliers de travail pratiques sont prévus dans le cadre de la formation, avec deux quotidiens nationaux d’Egypte : Al Ahram weekly et Al Ahram hebdo.

    La formation comprend trois volets : politique, économie et médias.

    Elle signale que des ateliers seront organisés avec l’Université américaine du Caire. Un autre atelier sera consacré à la  vidéo montage.

    Outre la formation, les participants vont visiter de nouveaux projets en Egypte, des structures médiatiques et des lieux touristiques.

    L’objectif vise à échanger et partager les expériences entre confrères et consœurs des différents pays.

    La cérémonie d’ouverture a été présidée par Mahfouz Elansary, président de l’Union des journalistes africains, Salehel Sally, premier adjoint  du président  du Conseil suprême pour l’organisation  des médias en Egypte et Eli Goka –Adokanu, secrétaire général de l’Union des journalistes indépendants  du Togo.

    CTS/ASG