Catégorie : Politique

  • SENEGAL-POLITIQUE-PERSPECTIVES / Le PIT milite pour une  »gauche plurielle »

    SENEGAL-POLITIQUE-PERSPECTIVES / Le PIT milite pour une  »gauche plurielle »

    Dakar, 28 mai (APS) – Le Parti de l’indépendance et du travail (PIT) déclare vouloir donner « le meilleur de lui-même » pour constituer, renforcer et pérenniser une gauche plurielle, avec l’ambition de « présenter aux Sénégalais une alternative capable de les rallier à une action politique réfléchie et profitable à toute la nation ».

    Dans une résolution, le comité central du PIT dit avoir « pris la résolution de s’investir plus fermement dans la construction de forces politiques du changement ».

    Dans cette perspective, « il entend s’atteler à donner le meilleur de lui-même pour la constitution, le renforcement et la pérennisation d’une Gauche plurielle aux fins de présenter aux Sénégalais une alternative capable de les rallier à une action politique réfléchie et profitable à toute la nation ».

    Selon le comité central du PIT, « une telle orientation n’est nullement incompatible avec un devoir d’inventaire de Benno Bokk Yakaar (BBY), de ses réalisations et de ses limites. Pas plus que cette orientation n’écarte la possibilité de continuer à cheminer avec d’autres forces politiques sur la base d’un socle programmatique et de valeurs principielles », note-t-il.

    Le PIT considère que « la vie va dicter très rapidement la nature des coalitions à asseoir, des forces à conjuguer et des chemins à emprunter, l’essentiel étant de continuer à servir le Sénégal tout en le préservant des désastres ayant failli, il y a peu, le faire sombrer ».

    « Dans cette veine, le comité central encourage toutes les structures du Parti à s’engager dans la mise en œuvre du plan d’actions résultant des orientations du 7e congrès, décliné en un ensemble d’objectifs précis et devant, à terme, faire du PIT un Parti irradiant, audible et influent ».

    Aussi le comité central du PIT exhorte-t-il « l’ensemble du Parti à renforcer les organisations affiliées : l’Union démocratique des femmes du Sénégal (UDFS), l’Union de la jeunesse démocratique Alboury Ndiaye (UJDAN) ».

    « Ces organisations doivent s’engager dans toutes les luttes démocratiques au service des intérêts des femmes et des jeunes pour le développement du Sénégal, afin de prémunir nos populations de toute dérive sociale et culturelle, et afin de les mettre à l’abri de tout mimétisme suicidaire », indique la formation dirigée par Samba Sy, ancien ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions dans le dernier gouvernement du président Macky Sall (2012-2024).

     

    BK/AKS

  • SENEGAL-MOYENORIENT-POLITIQUE / Etat de Palestine : le PIT salue la décision de Madrid, Dublin et Oslo

    SENEGAL-MOYENORIENT-POLITIQUE / Etat de Palestine : le PIT salue la décision de Madrid, Dublin et Oslo

    Dakar, 28 mai (APS) – Le Parti de l’indépendance et du travail (PIT), réitérant sa condamnation de « la politique génocidaire » israélienne dans les territoires palestiniens, se félicite de la décision de l’Espagne, de l’Irlande et de la Norvège de reconnaître l’État de Palestine.

    Dans une résolution de son comité central, le PIT ‘’réitère sa condamnation de la politique génocidaire de l’État d’Israël comme seule réponse à la revendication légitime d’un État palestinien souverain et ceci en dépit de décennies de souffrances, de sang et de larmes’’.

    Le comité central du PIT ‘’se félicite du reste que l’Espagne, l’Irlande et la Norvège se soient décidés, à partir du 28 mai 2024, de se joindre à la longue liste des nations reconnaissant l’État de Palestine ».

    Dans le même ordre d’idées, le PIT ‘’se félicite des initiatives de l’État sud-africain ayant abouti à une ordonnance de la Cour Pénale Internationale à l’endroit de l’État d’Israël, le sommant d’arrêter ses exactions contre le peuple de Palestine’’.

    De la même manière, il estime que la décision du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) de demander aux juges de cette juridiction d’émettre un mandat d’arrêt contre des dirigeants israéliens, dont le Premier Ministre Benyamin Netanyahou, ‘’est à prendre en compte pour tout ce qu’elle représente sur les plans symbolique et politique’’.

    Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a demandé le  lundi 20 mai 2024 qu’un mandat d’arrêt soit émis à l’encontre du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et du ministre de la Défense Yoav Gallant, pour leur responsabilité pénale présumée de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis sur le territoire palestinien de Gaza à partir du 8 octobre 2023.

    Dans un communiqué, le procureur de la CPI, qui siège à La Haye, aux Pays Bas, estime que sur la base des éléments de preuve recueillis et examinés par son bureau, le Premier ministre israélien et le ministre de la Défense de l’Etat d’Israël, portent la responsabilité pénale de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis sur le territoire de l’Etat de Palestine à partir du 8 octobre 2023.

    Il s’agit de développements liés à des suites judiciaires sur lesquelles bon nombre d’observateurs s’étaient accordés plus de sept mois après le déclenchement de l’opération militaire israélienne en riposte à une attaque meurtrière du mouvement palestinien le Hamas sur le sol israélien.

    Près de 40.000 personnes, en majorité des femmes et des enfants, ont perdu la vie dans la bande de Gaza soumise à des bombardements, raids de l’armée israélienne, sur fond de combats avec des combattants du mouvement palestinien.

    Huit mois après le début de l’intervention militaire israélienne, la quasi-totalité des infrastructures hospitalières et d’autres, essentielles à la survie des populations sur place, ont été détruites dans l’enclave palestinienne.

    Le procureur de la CPI a également demandé des mandats d’arrêt contre des dirigeants du Hamas, Ismail Haniyeh, Yahia Sinwar et Mohammed Deif, qui se trouveraient tous deux à Gaza, alors qu’Israël tente de les traquer.

    Le premier, chef politique du Hamas, est basé au Qatar, les deux autres étant des chefs militaires du mouvement de résistance palestinien.

    BK/AKS/ADL

  • SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Seydi Gassama milite pour des réformes porteuses de rupture

    SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Seydi Gassama milite pour des réformes porteuses de rupture

    Diamniadio, 28 Mai (APS) – Le directeur exécutif d’Amnesty international Sénégal, Seydi Gassama, a fait part, mardi à Diamniadio, de son souhait de voir les assises sur le système judiciaire, déboucher sur des réformes porteuses de rupture.

    ‘’Nous saluons cette initiative et fondons beaucoup d’espoir. Les tenants actuels du pouvoir aujourd’hui ont beaucoup souffert de l’instrumentalisation de la justice et ils appellent à la rupture. Nous pensons que les réformes vont constituer une grande rupture’’ a-t-il déclaré à des journalistes.

    Seydi Gassama réagissait après l’ouverture par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye des travaux du Dialogue national sur la réforme et la modernisation de la justice organisé au Centre international de conférence Abdou Diouf Diamniadio (CICAD), dans le département de Rufisque.

    ‘’Pendant ces dernières années, la Justice a été au-devant de l’actualité. Elle a été critiquée et dénigrée à cause des nombreux procès politiques avec notamment les affaires Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, Karim Wade, ancien ministre et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade et Ousmane Sonko (actuel Premier ministre) et d’autres’’,a regretté le directeur exécutif de la section sénégalaise d’Amnesty international.

    Il a rappelé et déploré le fait que la main de l’exécutif s’était cachée derrière chacun de ces procès dits politiques.

    ‘’Cela veut dire que de par la loi, le chef de l’Etat et le ministre de la Justice, ont la haute main sur la Justice. C’est pour cela que nous demandons que le président de la République puisse quitter le Conseil supérieur de la magistrature pour redonner confiance aux citoyens et renforcer leur foi en la justice’’, a-t-il laissé entendre.

    Les travaux de la rencontre se poursuivent en commissions, après la cérémonie d’ouverture marquée par la présence de plusieurs responsables d’institutions de la République, de membres du gouvernement et d’élus territoriaux.

    Des représentants de missions diplomatiques accréditées au Sénégal, des représentants d’associations et d’organisations de travailleurs, de plusieurs experts et spécialistes, des guides religieux et coutumiers et divers aussi étaient présents dans la salle de conférence du Centre international de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio.

    SG/AKS

  • SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Réforme du système judiciaire : le chef de l’Etat appelle à un débat serein

    SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Réforme du système judiciaire : le chef de l’Etat appelle à un débat serein

    Diamniadio, 28 mai (APS)- Le président de la République Bassirou Diomaye Faye a invité les participants au dialogue sur la réforme et la modernisation du système judiciaire à un débat lucide et serein en évitant toute démarche tendant à désigner un ou des coupables.

    ‘’Je voudrais particulièrement insister sur le fait que nous ne sommes pas venus ici pour faire le procès en inquisition, pour désigner un ou des coupables à jeter aux orques, il est question de tenir un débat lucide et serein pour ausculter notre système judiciaire, identifier ses forces et faiblesses et rechercher ensemble des solutions aptes à refonder son fonctionnement et à améliorer ses performances ‘’ a-t-il déclaré.

    Les travaux du Dialogue national sur la réforme et la modernisation de la justice ont démarré mardi au Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, dans le département de Rufisque, sous la présidence effective du chef de l’Etat, Bassirou Doimaye Diakhar Faye, a constaté l’APS.

    Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, le président du Conseil économique sociale et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, la présidente du Haut Conseil du Dialogue social, Aminata Mbengue Ndiaye et plusieurs membres du Gouvernement prennent part à la rencontre. Celle-ci a aussi vu la présence de nombreux autres officiels et des élus territoriaux.

    ‘’Gardons nous de vouloir construire une République des Juges qui remettrait en cause les principes cardinales de la démocratie à savoir le gouvernement du peuple par et pour le peuple en vertus duquel les élus restent les dépositaires du pouvoir étatique’’ a insisté le président de la République en rappelant qu’il était possible de mener une  concertation sereine, ouverte, et apaisée.

    ABD/AKS:ADL

  • SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / La réforme et la modernisation doivent porter sur toutes les composantes de la justice, selon le président Faye

    SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / La réforme et la modernisation doivent porter sur toutes les composantes de la justice, selon le président Faye

    Diamniadio, 28 mai (APS) – Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a souligné, mardi, à Diamniadio (ouest), la nécessité de moderniser et de réformer le secteur de la justice dans toutes ses composantes, pour matérialiser la commune volonté des Sénégalais de bâtir un État de droit.

    ‘’Il convient de rappeler que pour bâtir l’État de droit que nous voulons, la réforme et la modernisation du système judiciaire ne doivent pas se limiter au volet pénal qui, il est vrai, polarise plus notre attention collective’’, a-t-il déclaré.

    Le chef de l’État présidait l’ouverture des travaux consacrés à la réforme et à la modernisation de la justice.

    ‘’Nous ne devons pas oublier les affaires civiles dont la matière commerciale constitue une composante majeure, le droit du travail et le contentieux administratif, autant de domaines dont la prise en charge conditionne le fonctionnement de la justice’’, a-t-il dit.

    Les assises de la justice se tiennent au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio, dans le département de Rufisque.

    ‘’C’est un événement majeur qui servira de cadre aux différents acteurs pour examiner en profondeur notre système judiciaire afin de l’améliorer (…) Les réflexions doivent déboucher sur des résultats concrets, touchant divers aspects du système judiciaire’’, a écrit le Bureau d’information gouvernementale (BIG) dans une note parvenue à l’APS.

    Le BIG assure que les travaux porteront sur des thématiques aussi importantes que le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi, etc.

    ‘’En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité (54,28 % des suffrages) et un projet plébiscité par les Sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye fait plus que démontrer son attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie. Il perpétue une tradition bien sénégalaise’’, commente le Bureau d’information gouvernementale.

    Le BIG rappelle que pour relever le défi de la modernisation de la justice sénégalaise, le chef de l’Etat a mobilisé la nation entière. Des institutions aux citoyens, en passant par les médias et la société civile.

    ABD/SG/AKS/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Gouvernance : Bassirou Diomaye Faye rappelle accorder une ‘’priorité élevée’’ à la concertation

    SENEGAL-POLITIQUE / Gouvernance : Bassirou Diomaye Faye rappelle accorder une ‘’priorité élevée’’ à la concertation

    Diamniadio, 28 mai (APS) – Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a réitéré, mardi, à Diamniadio (ouest), ‘’la priorité élevée’’ qu’il accorde à la concertation sur les affaires publiques.

    ‘’En accord avec l’esprit de mon discours d’investiture, mon message à la nation à l’occasion de la fête de l’Indépendance et de mes orientations au Conseil des ministres du 9 avril, je réitère aujourd’hui la priorité élevée que j’accorde à la concertation sur le mode de gouvernance des affaires publiques’’, a-t-il déclaré.

    Le chef de l’Etat présidait le lancement officiel des travaux du dialogue national sur la réforme et la modernisation de la justice, qui se tiennent au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, dans le département de Rufisque.

    Le président de l’Assemblée nationale, le président du Conseil économique, social et environnemental, le président du Conseil constitutionnel, plusieurs membres du gouvernement, des élus territoriaux et la présidente du Haut Conseil du dialogue social prennent part à cette rencontre.

    Des représentants de missions diplomatiques accréditées au Sénégal, des délégués d’associations et d’organisations de travailleurs, des experts, des guides religieux et coutumiers participent au lancement du dialogue national sur la réforme et la modernisation de la justice.

    ‘’C’est un événement majeur qui servira de cadre aux différents acteurs pour examiner en profondeur notre système judiciaire afin de l’améliorer (…) Les réflexions doivent déboucher sur des résultats concrets, touchant divers aspects du système judiciaire’’, a écrit le Bureau d’information gouvernementale (BIG) dans une note parvenue à l’APS.

    Le BIG assure que les travaux porteront sur des thématiques aussi importantes que le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi, etc.

    ‘’En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité (54,28 % des suffrages) et un projet plébiscité par les Sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye fait plus que démontrer son attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie. Il perpétue une tradition bien sénégalaise’’, commente le Bureau d’information gouvernementale.

    Le BIG rappelle que pour relever le défi de la modernisation de la justice sénégalaise, le chef de l’Etat a mobilisé la nation entière. Des institutions aux citoyens, en passant par les médias et la société civile.

    SG/AKS/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Dialogue national : le facilitateur des travaux campe les enjeux de la réforme judiciaire

    SENEGAL-POLITIQUE / Dialogue national : le facilitateur des travaux campe les enjeux de la réforme judiciaire

    Dakar, 28 mai (APS) – Les travaux de dialogue national consacrés à la réforme de la justice permettront de  »faire ressortir les fragilités » et de « dégager des pistes de réformes et de modernisation » du système judiciaire sénégalais, a assuré mardi à Diamniadio, le professeur Babacar Guèye, facilitateur de ces assises.

     »Les enjeux et les défis qui attendent sont énormes. Il s’agira d’ouvrir un dialogue avec toutes les composantes de la société afin d’examiner en profondeur le fonctionnement de notre système judiciaire et d’en faire ressortir les fragilités et de dégager des pistes de réformes et de modernisation » at- il a déclaré.

    Le Professeur Guèye intervenait à l’ouverture de la Journée du dialogue national organisée au Centre de conférences Abdou Diouf de Diamniadio, en présence du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye.

     »Ces assises seront l’occasion d’avoir un dialogue approfondi sur les questions essentielles telles que le statut des magistrats, l’organisation du conseil supérieur de la magistrature, la dématérialisation des services publics de la justice », at-il expliqué .

    Il a également évoqué, entre autres thématiques, la justice et le numérique, le temps du pénal, le régime de la sanction pénale, le cadre juridique et institutionnel de l’administration pénitentiaire, les conditions de détention et de la préparation à la réinsertion sociale. des détenus.

    ‘C’est un événement majeur qui servira de cadre aux différents acteurs pour examiner en profondeur notre système judiciaire en vue de l’améliorer. (…) Les réflexions visent à déboucher sur des résultats concrets, touchant divers aspects du système judiciaire », a notamment indiqué le Bureau d’information gouvernementale (BIG).

    Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, le président du Conseil économique social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, la présidente du Haut Conseil du Dialogue social, Aminata Mbengue Ndiaye et plusieurs membres du Gouvernement participent à la rencontre . Celle-ci a aussi vu la présence de nombreux autres officiels et des élus territoriaux.

    Des représentants des missions diplomatiques accréditées au Sénégal, des représentants d’associations et d’organisations de, plusieurs experts et spécialistes, des travailleurs guides religieux et coutumiers et divers autres participants participent également aux travaux.

    Dans une note conceptionnelle parvenue à l’APS, le BIG assure que les travaux qui seront restitués le 04 juin prochain porteront sur des thématiques aussi importantes que le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi, etc.

     »En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité (54,28% des suffrages) et un Projet plébiscité par le Sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye fait plus que démontrer son attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie. Il perpétue une tradition bien sénégalaise», commente le Bureau de l’information gouvernementale.

    Le BIG rappelle que pour relever le défi de la modernisation de la justice sénégalaise, le président Bassirou Diomaye Faye a mobilisé la Nation entière. Des institutions, aux citoyens, en passant par les médias, la société civile et autres forces vives.

    ABD/AKS/ASG

  • SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Diamniadio : les travaux du dialogue national ont démarré au CICAD

    SENEGAL-JUSTICE-ASSISES / Diamniadio : les travaux du dialogue national ont démarré au CICAD

    Diamniadio, 28 mai (APS) – Les travaux du Dialogue national sur la réforme et la modernisation de la justice ont démarré mardi au Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, dans le département de Rufisque, sous la présidence effective du chef de l’Etat, Bassirou Doimaye Diakhar Faye, a constaté l’APS.

    ‘’C’est un événement majeur qui servira de cadre aux différents acteurs pour examiner en profondeur notre système judiciaire en vue de l’améliorer. (…) Les réflexions visent à déboucher sur des résultats concrets, touchant divers aspects du système judiciaire’’, a notamment indiqué le Bureau d’information gouvernementale (BIG).

    Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, le président du Conseil économique sociale et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, la présidente du Haut Conseil du Dialogue social, Aminata Mbengue Ndiaye et plusieurs membres du Gouvernement prennent part à la rencontre. Celle-ci a aussi vu la présence de nombreux autres officiels et des élus territoriaux.

    Des représentants des missions diplomatiques accréditées au Sénégal, des représentants d’associations et d’organisations de travailleurs,  plusieurs experts et spécialistes, des guides religieux et coutumiers et divers autres invités participent également aux travaux.

    Dans une note conceptionnelle, parvenue à l’APS, le BIG assure que les travaux qui seront restitués le 04 juin prochain porteront sur des thématiques aussi importantes que le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi, etc.

    ‘’En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité (54,28% des suffrages) et un Projet plébiscité par Sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye fait plus que démontrer son attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie. Il perpétue une tradition bien sénégalaise’’, commente le Bureau de l’information gouvernemental.

    Le BIG rappelle que pour relever le défi de la modernisation de la justice sénégalaise, le président Bassirou Diomaye Faye a mobilisé la Nation entière. Des institutions, aux citoyens, en passant par les médias, la société civile et autres forces vives.

    SG/ASG

  • SENEGAL-INSTITUTIONS-ASSISES / Des aspects concrets touchant au système judiciaire attendus du dialogue national, selon le BIG

    SENEGAL-INSTITUTIONS-ASSISES / Des aspects concrets touchant au système judiciaire attendus du dialogue national, selon le BIG

    Dakar, 27 mai (APS) – Le Bureau d’information gouvernementale (BIG), dans une note rendue publique lundi, indique que le dialogue national prévu mardi à Diamniadio (département de Rufisque) devrait déboucher sur des résultats concrets touchant à divers aspects du système judiciaire.

    Le dialogue national dont le thème porte sur la réforme et la modernisation de la justice va être officiellement lancé mardi au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio par le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye.

    ‘’C’est un événement majeur qui servira de cadre aux différents acteurs pour examiner en profondeur notre système judiciaire en vue de l’améliorer. (…) Les réflexions visent à déboucher sur des résultats concrets, touchant divers aspects du système judiciaire’’, a notamment indiqué le BIG.

    Il assure que les travaux qui seront restitués le 04 juin prochain porteront sur des thématiques aussi importantes que le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature, les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus, le régime de la privation de liberté, la prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi, etc.

    ‘’En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité (54,28% des suffrages) et un Projet plébiscité par Sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye fait plus que démontrer son attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie. Il perpétue une tradition bien sénégalaise’’, commente le Bureau de l’information gouvernemental.

    Dans sa note parcourue par l’APS, le BIG rappelle que pour relever le défi de la modernisation de la justice sénégalaise, le président Bassirou Diomaye Faye a mobilisé la Nation entière. Des institutions, aux citoyens, en passant par les médias, la société civile et autres forces vives.

    ‘’Il s’agit d’impliquer tous les segments de notre société dans la construction de fondements solides pour une justice à l’aune de nos ambitions républicaines et de nos exigences de bonne gouvernance’’, a-t-il fait valoir.

    Evoquant les avancées attendues de ces assises, le BIG cite par exemple un régime de privation des libertés mieux encadré, une gestion de la carrière des magistrats plus transparente.

    Il a dans le même temps listé les procédures judiciaires traitées avec diligence et transparence, des plateformes dématérialisées instituées et fonctionnelles dans toutes les juridictions, des services judiciaires disposant de moyens budgétaires suffisants et un régime financier autonome et plus souple pour les six cours d’appel du pays.

    AKS/ASG/OID

  • SENEGAL-MAROC-DIPLOMATIE / Le soutien du Sénégal au plan d’autonomie du Sahara marocain réitéré à Rabat

    SENEGAL-MAROC-DIPLOMATIE / Le soutien du Sénégal au plan d’autonomie du Sahara marocain réitéré à Rabat

    Dakar, 27 mai (APS) – Le Sénégal, par la voix de sa ministre des Affaires étrangères, Yassine Fall, a de nouveau exprimé son plein soutien au plan d’autonomie du Sahara marocain proposé par la Royaume Chérifien, a indiqué l’Agence marocaine d’information.

    ‘’La République du Sénégal a réaffirmé, par la voix de sa ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, son soutien constant et ferme à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris le Sahara marocain’’, a souligné l’agence officielle d’information du Royaume du Maroc.

    La ministre des Affaires étrangères du Sénégal en visite de travail dans la capitale marocaine a réitéré cette position de la diplomatie sénégalaise dans un communiqué conjoint rendu public à l’issue d’entretiens avec son homologue du Maroc, Nasser Bourita.

    Elle a notamment a réaffirmé le plein soutien du Sénégal au plan d’autonomie présenté par le Royaume du Maroc, lequel constitue ‘’la seule solution crédible et réaliste pour la résolution du différend régional autour du Sahara marocain’’, indique le document relayé par la MAP.

    Mme Fall a salué à cet égard les efforts des Nations unies visant à parvenir à une solution réaliste, pratique et durable au différend autour du Sahara marocain.

    Le Sénégal a ouvert le 5 avril 2021 un consulat général à Dakhla, la principale ville du Sahara marocain, région située au sud du royaume dont le Front Polisario réclame l’indépendance sous l’appellation du Sahara Occidental.

    AKS/ASG