Catégorie : Politique

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / Passation de service entre Sidiki Kaba et Amadou Ba, samedi

    SENEGAL-INSTITUTIONS / Passation de service entre Sidiki Kaba et Amadou Ba, samedi

    Dakar, 8 mars (APS) – La cérémonie de passation de service entre le nouveau Premier ministre Sidiki Kaba et son prédécesseur Amadou Ba est prévue, samedi, à 11h à la Primature, annonce un communiqué transmis à l’APS.

    Le président Macky Sall a dissous le gouvernement, mercredi, et nommé dans la foulée Sidki Kaba Premier ministre en remplacement de Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar à l’élection présidentielle prévue le 24 mars.

    Me Sidki Kaba était ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique dans le précédent gouvernement.

    Sidiki Kaba, juriste de formation, plusieurs fois ministre, est le 5e Premier ministre sous Macky Sall depuis 2012.

    OID/AKS

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE / Campagne électorale et Ramadan : Thierno Alassane Sall promet de « s’adapter au contexte »

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE / Campagne électorale et Ramadan : Thierno Alassane Sall promet de « s’adapter au contexte »

    Dakar, 8 mars (APS) – Thierno Alassane, candidat à la présidentielle du 24 mars, a annoncé, vendredi, que sa formation politique, la République des valeurs, va s’adapter au contexte de la prochaine campagne électorale qui va en grande partie coïncider avec la période du Ramadan.

    “Notre culture religieuse semble ne pas être compatible avec beaucoup d’animations, ce qui est le cas pour une bonne campagne électorale. Mais, nous allons essayer de nous adapter à cette situation », a-t-il déclaré.

    Le leader de la République des valeurs s’exprimait après l’enregistrement de sa première déclaration de campagne dans les studios de la Radiodiffusion Télévision sénégalaise, RTS.

    “On est en train de réfléchir, c’est une période qui sera très compliquée parce que les meetings constituent en général la force principale de la campagne électorale et les meetings ont lieu normalement entre 18H et 19H, donc presque à l’heure de la rupture du jeûne », a-t-il indiqué.

    “Mais au-delà, il y a les dévotions que les Sénégalais font quand ils sont en période de Ramadan mais, de toutes les façons, on va s’adapter », a-t-il promis.

    Le leader de la République des valeurs a déploré le raccourcissement de la durée de la campagne électorale, relevant la difficulté des candidats à faire le tour du Sénégal en un temps réduit.

    “Les délais ont été terriblement raccourcis d’une semaine. Vous imaginez faire le tour du Sénégal, aller dans la chaleur de Tamba ou de Matam et vouloir faire sortir les gens entre 15h ou 16 h », s’est-il offusqué.

    Il estime que « c’est dommage pour la démocratie sénégalaise », rappelant que « la démocratie est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple ». Ce qui signifie qu’en « un certain moment donné, on redonne la parole au peuple en allant vers lui, en l’écoutant, en lui présentant des projets et en lui donnant des  possibilités de choix ».

    La campagne pour l’élection présidentielle du 24 mars débute samedi et se prend fin le 22 mars.

    ABD/ASG/OID

  • SENEGAL-POLITIQUE-MEDIAS / Présidentielle 2024 : RSF soumet aux candidats dix propositions dont le vote de la loi sur l’accès à l’information

    SENEGAL-POLITIQUE-MEDIAS / Présidentielle 2024 : RSF soumet aux candidats dix propositions dont le vote de la loi sur l’accès à l’information

    Dakar, 8 mars (APS) – Le Bureau Afrique subsaharienne de Reporters sans frontières (RSF) propose aux candidats en lice pour la prochaine élection présidentielle au Sénégal dix points dont la mise en œuvre dans leur offre programmatique devrait aider à lutter contre  »l’insécurité grandissante des journalistes, les stratégies de désinformation et de propagande », en insistant sur la nécessité pour le futur président de la République de faire voter et promulguer la loi sur l’accès à l’information d’intérêt public.

     »La presse sénégalaise vit ses années les plus sombres depuis 2021 avec des arrestations de journalistes, des suspensions de médias, des blocages d’accès au réseau Internet, etc. », a d’emblée déploré un communiqué de RSF, reçu, vendredi, à l’APS.

    Il invite le futur président de la République du Sénégal à  »procéder, sans délai, à des réformes majeures pour que le Sénégal redevienne un exemple et un promoteur de la liberté de la presse dans la région ».

    RSF déclare qu »’en l’état actuel du droit », il faut assurer  »qu’aucun journaliste ne soit privé de sa liberté pour l’exercice de son métier ».

    Outre la nécessité de garantir l’indépendance du service public de l’information, Reporters sans frontières évoque aussi une  »meilleure gouvernance de la publicité dans l’espace médiatique », à travers un organe de régulation  »doté de vrais pouvoirs de contrôle ». 

    Le futur président de la République est aussi invité à mettre en place une  »régulation des plateformes numériques conformes aux propositions du Partenariat pour l’information et la démocratie » dont le Sénégal est signataire. 

    RSF veut également un  »dispositif national de sécurité des journalistes et de formation des forces de sécurité à la protection des reporters qui couvrent les manifestations ».

    L’ONG en charge de la défense des journalistes et la promotion de la liberté de la presse encourage toutefois les médias à s’engager pour  »la qualité » en se faisant certifier par Journalism trust initiative (JTI), quitte à ce que cette certification soit intégrée dans  »les critères d’attribution des aides publiques aux médias ».

    SMD/ASB/ASG/AKS

  • SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / L’UA salue l’enracinement et la résilience de la démocratie au Sénégal

    SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / L’UA salue l’enracinement et la résilience de la démocratie au Sénégal

    Dakar, 8 mars (APS) – L’Union africaine, par la voix du président de sa Commission, Moussa Faki Mahamat, salue la décision du président sénégalais d’organiser l’élection présidentielle le 24 mars, estimant que cela reflétait l’enracinement et la résilience de la démocratie dans le pays.

    ‘’Le président de la Commission de l’UA Salue la décision du président Macky Sall d’organiser les élections le 24 mars 2024, avant la fin de son mandat, le 2 avril 2024’’, indique un communiqué de l’organisation.

    Moussa Faki Mahamat déclare ainsi se réjouir du dénouement pacifique de la crise institutionnelle au Sénégal estimant que  »la sage décision » du président Macky Sall, reflète l’enracinement et la résilience de la démocratie au Sénégal dont l’Afrique  »a toujours été fière ».

    Le président de la Commission de l’UA ‘’encourage instamment tous les acteurs politiques et ceux de la société civile à s’engager dans un processus électoral transparent, inclusif, pacifique et respectueux des principes de l’État de droit et des traditions démocratiques sénégalaises’’.

    Il a assuré que l’organisation panafricaine allait déployer une mission d’observation à la hauteur des enjeux sans manquer d’inviter les composantes de la communauté internationale à exprimer leur soutien et solidarité au Sénégal pour le succès des élections libres et transparentes dans le pays.

    Au total, dix-neuf candidats sont en lice pour briguer le fauteuil présidentiel. Le président sortant Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, a renoncé à postuler pour un nouveau mandat de cinq ans.

    Sa décision annoncée le 3 février, à la veille de l’ouverture de la campagne électorale, d’abroger le décret par lequel il avait convoqué les électeurs le 25 février a plongé le Sénégal dans une crise politique et institutionnelle sans précédent.

    Il s’en est suivi des développements en lien avec des procédures et des scenari faisant penser à un jeu d’échec qui s’est soldé jeudi par la confirmation par le Conseil constitutionnel de la date du 24 mars pour la tenue d’une élection présidentielle. La juridiction, se rangeant, après avoir fixé la date du 31 mars, à la décision prise la veille par le chef de l’Etat.

    La campagne électorale pour le scrutin du 24 mars démarre officiellement samedi à 00 heure.

    AKS/OID

  • SENEGAL-ELECTION-APPEL / Campagne électorale : les candidats appelés à s’adapter au contexte 

    SENEGAL-ELECTION-APPEL / Campagne électorale : les candidats appelés à s’adapter au contexte 

    Thiès, 8 mars (APS) – Un collectif dit des organisations de la société civile a demandé, jeudi à Thiès, aux candidats de s’adapter au contexte particulier dans lequel va se dérouler la campagne électorale, fixée au samedi à 0 heure pour une durée de deux semaines.

    “Nous vivons un contexte particulier. C’est pourquoi, je lance un appel aux différents candidats pour qu’ils s’adaptent à ce contexte, pour qu’on aille à l’élection présidentielle d’ici la fin du mois de mars“, a dit Cheikh Tidiane Cissé, lead programme manager du programme Gnéti élection, du Collectif des organisations de la société civile.

    La date de l’élection présidentielle, initialement fixée au 25 février puis reportée par le président Macky Sall, a finalement été encore retenue pour le 24 mars. La campagne électorale, elle, démarre ce samedi à 0 heure.

    “C’est vrai que sur le plan juridique, nous avons 21 jours pour faire la campagne électorale, mais si on compresse les délais, techniquement, on peut dire que les délais sont très courts, a dit Cissé. Mais, je pense que les candidats doivent s’adapter au contexte actuel“.

    Le collectif dit des organisations de la société civile tenait, jeudi, aux Manufactures sénégalaises des arts décoratifs (MSAD) de Thiès, une rencontre dénommée conversation citoyenne, pour aborder avec les acteurs, notamment les jeunes et les femmes, les défis et enjeux liés à leur participation au processus électoral.

    Il s’agissait, entre autres, lors de cette concertation, d’identifier des éléments de langage à mettre à la disposition des jeunes et des femmes, afin qu’ils en fassent usage, une fois en présence de candidats à la présidentielle et d’autres acteurs politique, lors de la campagne électorale.

    Un mémorandum dénommé la déclaration de Thiès, a sanctionné cette rencontre.

    Elle en appelle à l’engagement de toutes les parties prenantes du processus électoral, à savoir les acteurs politiques, les organes de gestion de l’élection, notamment le CENA, mais aussi les jeunes et les femmes, pour s’engager à la tenue d’une “élection apaisée, (d’) une campagne électorale civilisée, sans violence“.

    Le collectif appelle les acteurs politiques à livrer des “discours programmatiques qui prennent en compte les besoins et préoccupations des citoyens“.

    D’habitude, les candidats ne présentent pas de programmes aux citoyens, lors des campagnes électorales, a relevé Cheikh Tidiane Cissé.

    Cette conversation visait à outiller les participants pour qu’ils puissent, en l’absence de programme, faire des propositions aux candidats qui viennent les voir, afin que ces derniers les transforment en politiques publiques, une fois élus.

    ADI/ASG

  • SENEGAL-GENRE-POLTIQUE / Les femmes politiques invitées à maîtriser les fondamentaux de la République

    SENEGAL-GENRE-POLTIQUE / Les femmes politiques invitées à maîtriser les fondamentaux de la République

    Dakar, 8 mars (APS) – Les femmes qui s’engagent en politique doivent avoir une maîtrise des fondamentaux de la République afin d’être à même de défendre leur cause, a estimé l’ancienne ministre du Développement social, Pr Ndioro Ndiaye.

     »Il faut que les femmes s’éduquent, si elles veulent diriger le pays. Il y a beaucoup de travail à faire, il faut oser en parler. La République a des valeurs que l’on doit respecter’’, a déclaré Mme Ndiaye qui était l’invitée mercredi de la rédaction de l’APS, en perspective de la célébration de la Journée internationale de la femme.

    La professeure d’odontologie et de stomatologie a insisté sur l’importance de l’acquisition des compétences par les femmes pour mériter les postes à pourvoir. ‘’Les femmes qui veulent avoir un poste politique doivent faire le nécessaire pour le mériter », a t-elle dit.

    Elle a rappelé que lors d’une session de formation des candidates à la présidentielle de 2019, elle avait observé que ‘’là où le bât blesse c’est qu’il y a une méconnaissance des systèmes dans lesquels on vit quand on est en République’’.

    ‘’Comment voulez-vous être président de la République si vous ne connaissez pas comment marchent les Forces de défense et de sécurité ? et c’est quoi la différence entre ces corps ? », s’est t-elle interrogée.

    NSS/OID/ASG

  • SENEGAL-GOUVERNEMENT-BILAN / Le budget du ministère des Collectivités territoriales exécuté à 95% en 2023 (officiel)

    SENEGAL-GOUVERNEMENT-BILAN / Le budget du ministère des Collectivités territoriales exécuté à 95% en 2023 (officiel)

    Saly, 8 mars (APS) – Le budget 2023 du ministère des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires a été exécuté à 95%, a révélé, jeudi à Saly (Mbour, ouest), la secrétaire générale dudit ministère, Mame Sané Ndiaye.

    Mame Sané Ndiaye présidait un atelier de validation du rapport d’activités 2023 et du (PTBA 2024) du ministère.

    Cette rencontre était destinée à “rendre compte de la mise en œuvre des activités planifiées de l’année passée, dont le taux d’exécution budgétaire est de 95%“, a-t-elle dit.

    Selon Mme Ndiaye, il a été aussi constaté que  ”c’est un ministère de transfert, où l’essentiel des fonds sont transférés à plus de 80% aux collectivités territoriales“.

    Mame Sané Ndiaye estime que  »le reste du budget devait permettre au ministère de mettre en œuvre des activités d’appui et d’accompagnement ». Pour l’officielle, il faudrait l’élaboration  de plus en plus de programmes allant dans le sens de permettre au ministère des Collectivités territoriales de mieux se doter de moyens roulants,  mais aussi de motiver et renforcer les capacités de ses agents.

    Pour 2024, Mme Ndiaye a précisé que le département s’inscrit dans une logique de continuité, à travers des budgets programmes, avec une planification pluriannuelle des activités.

    DOB/ADI/ASG

  • SENEGAL-ETATSUNIS-POLITIQUE / La tenue annoncée de la présidentielle au 24 mars est une  »victoire pour le peuple sénégalais », selon Washington

    SENEGAL-ETATSUNIS-POLITIQUE / La tenue annoncée de la présidentielle au 24 mars est une  »victoire pour le peuple sénégalais », selon Washington

    Dakar, 8 mars (APS) – Les États-Unis d’Amérique ont salué jeudi la décision du chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, de fixer la date de l’élection présidentielle au 24 mars, en évoquant notamment  »une victoire pour le peuple sénégalais ».

    ‘’ Cette décision est une victoire pour le peuple sénégalais qui a constamment démontré son respect pour l’impressionnante tradition démocratique du pays’’, a déclaré le Bureau Afrique du département d’Etat américain sur son réseau social X.

    Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé jeudi la date de la tenue de l’élection présidentielle au 24 mars après avoir la veille arrêté celle du 31 mars. La juridiction s’est ainsi aligné sur la décision prise la veille par le Président de la République de convoquer les électeurs. Le conseil constitutionnel admettant notamment la prérogative du chef de l’Etat quant au choix de la date du scrutin.

    La diplomatie américaine déclare prendre acte de la décision du Sénégal de tenir l’élection présidentielle au mois de mars, au lieu du 2 juin, comme l’avaient préconisé des participants du dernier dialogue national convoqué par le chef de l’Etat les 26 et 27 février derniers.

    ‘’Nous sommes aux côtés du peuple sénégalais et de son soutien indéfectible à la démocratie et aux élections libres et équitables’’, insiste le département d’Etat américain.

    Dix-neuf candidats, dont une femme, sont en lice pour briguer le fauteuil présidentiel. Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans a renoncé à postuler pour un nouveau mandat de 5 ans.

    Parmi les candidats à la magistrature suprême figurent l’ancien Premier ministre, Amadou Bâ, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (pouvoir) ou encore Diomaye Faye, du parti dissous Pastef-Les patriotes d’Ousmane Sonko, tous deux en détention.

    La campagne électorale démarre samedi à 00 heure. Elle va s’achever le 22 mars à minuit.

    Les candidats vont procéder vendredi et samedi à l’enregistrement de leurs premiers messages qui seront diffusées dans l’émission Journal de la campagne qui sera diffusée toute la durée de la campagne électorale sur réseau synchronisé de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS, publique) sous la supervision du Conseil national de régulation de l’audiovisuelle (CNRA).

    ABB/AKS

  • SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle 2024 : la campagne électorale démarre samedi à 00 h (officiel)

    SENEGAL-POLITIQUE / Présidentielle 2024 : la campagne électorale démarre samedi à 00 h (officiel)

    Dakar, 7 mars (APS) – Le président de la République a signé jeudi un décret fixant le début de la campagne électorale au samedi 09 mars et son achèvement au 22 mars, a-t-on appris de source officielle.

    En application des décisions du Conseil constitutionnel, la campagne électorale débute le samedi 9 mars 2024 à zéro heure pour se terminer le vendredi 22 mars à minuit, lit-on dans le décret rendu public le même jour.

    Il y est rappelé que la campagne électorale va se dérouler conformément aux dispositions du Code électoral en matière de propagande électoral.

    Le premier tour de l’élection présidentielle à laquelle participent 19 candidats va se tenir le 24 mars

    AKS

  • SENEGAL-CAMPAGNE-MEDIAS / Journal de la campagne : les candidats démarrent les enregistrements vendredi à la RTS

    SENEGAL-CAMPAGNE-MEDIAS / Journal de la campagne : les candidats démarrent les enregistrements vendredi à la RTS

    Dakar, 7 mars (APS) – La Radio télévision sénégalaise (RTS, chaine publique), va procéder, vendredi et samedi, à l’enregistrement des messages des 19 candidats à l’élection présidentielle du 24 mars pour les besoins de l’émission  »Journal de la campagne », supervisée par le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), a appris l’APS de source officielle.

    « L’enregistrement de la première déclaration de campagne des candidats est fait obligatoirement dans les studios de la RTS, le vendredi 8 et le samedi 9 mars 2024 suivant l’ordre de tirage retenu par le CNRA en présence des mandataires des candidats, suivant aussi le planning horaire fixé par la RTS qui sera remis aux mandataires’’, a indiqué l’organe de régulation de l’audiovisuel dans un communiqué.

    Les enregistrements seront diffusés à partir de dimanche. L’émission va être diffusée en deux tranches, à 18 heures 30 pour la première et 20 heures 40 pour la seconde.

    La campagne électorale doit officiellement s’ouvrir dimanche à 00 heure et sera clôturée le 22 mars à minuit, a rappelé le CNRA.

    Elle fait savoir qu’en cas deuxième tour de scrutin, le temps d’antenne de sept (07) minutes mis à la disposition des candidats est diffusé en une (01) tranche, tous les jours à partir de 21 heures.

    ABD/AKS/OID