Catégorie : Politique

  • SENEGAL-POLITIQUE-GENRE / Femmes et politique : Amadou Mame Diop souligne les ‘’avancées notoires’’

    SENEGAL-POLITIQUE-GENRE / Femmes et politique : Amadou Mame Diop souligne les ‘’avancées notoires’’

    Dakar, 16 oct (APS) – Le Sénégal a enregistré des ‘’avancées notoires’’ en matière participation des femmes à la vie politique, a affirmé, lundi, le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop.

    ‘’Au Sénégal, des avancées réelles ont été faites dans l’implication des femmes dans la gestion des affaires publiques et la prise de décision dans les différentes instances délibérantes’’, a-t-il déclaré.

    Il intervenait lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire parlementaire organisé par l’Assemblée nationale en partenariat avec le Réseau des femmes parlementaires de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) et l’organisation internationale de la francophonie.

    La rencontre de deux jours a pour thème ‘’Le leadership des femmes en politique’’.

    M. Diop a souligné que ‘’depuis sa création en 2022, le réseau des femmes parlementaires de l’APF a contribué considérablement à la promotion de la participation des femmes à la vie politique, économique, sociale et culturelle dans nos pays respectifs’’.

    Le président de l’Assemblée nationale a rappelé qu’en 2010, le Sénégal a adopté la loi sur la parité, mise en œuvre sous le magistère du président Macky Sall dès les élections législatives de juillet 2012.

    Ce dispositif, a-t-il souligné, a permis d’avoir une ‘’représentation significative des femmes dans les fonctions électives, semi électives ainsi que dans les institutions’’.

    A l’en croire, la Stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre 2016-2026 a ‘’conforté l’engagement résolu du Sénégal pour l’éclosion du leadership des femmes et leur autonomisation’’.

    Toutefois, il estime qu’il ‘’reste encore du chemin à faire eu égard à nos ambitions et celles de nos populations’’.

    La Représentante du réseau des femmes parlementaires de l’Assemblée parlementaire de la francophonie, Chantal Soucy, a expliqué que les femmes ‘’sont confrontées à deux obstacles sur la voie de la participation à la vie politique’’.

    Elle a cité ‘’les entraves structurelles qui réduisent les possibilités pour les femmes de participer activement à la vie politique’’.

    A cela s’ajoute le problème de ressources financiers qui empêche aux femmes ‘’d’accéder à certaines fonctions électives’’.

    La démarche de l’APF ‘’ a encouragé les échanges d’expérience et à renforcer la solidarité entre les femmes parlementaires dans l’espace de la francophonie’’, a-t-elle expliqué.

    Pour sa part, la vice-présidente de l’assemblée nationale du Québec, a estimé qu’il ne suffit pas que les femmes soient présentées aux postes de prise de décision.

    Il faudrait aussi qu’on leur donne des portefeuilles importants tels que l’économie, les finances et la Défense, a-t-elle soutenu.

    La représentante ONU femmes Sénégal, Fanta Sow a invité les autorités parlementaires à ‘’mettre au sein de l’Assemblée un comité genre’’ et à ‘’organiser des sessions de formation pour renforcer les capacités des femmes’’.

    LBD/OID/MTN

  • SENEGAL-POLITIQUE / L’Assemblée nationale élit deux nouveaux questeurs

    SENEGAL-POLITIQUE / L’Assemblée nationale élit deux nouveaux questeurs

    Dakar, 14 oct (APS) – Les députés Aminata Guèye et Yoro Sow, membres du groupe Benno Bokk Yaakaar (BBY), ont été élus questeurs de l’Assemblée nationale en remplacement de Daouda Dia (BBY) et d’Aïcha Touré (Yewwi Askan Wi), a constaté l’APS, samedi, à Dakar.

    Mme Guèye remplace M. Dia, qui va quitter la chambre parlementaire après avoir été nommé ministre de l’Élevage et des Productions animales.

    Yoro Sow est chargé d’assurer la succession d’Aïcha Touré, la nouvelle huitième vice-présidente de l’Assemblée nationale.

    Les députés, qui s’étaient réunis pour la session ordinaire unique 2023-2024 de l’institution parlementaire, ont constitué un nouveau bureau en élisant huit vice-présidents. Cinq d’entre eux appartiennent au groupe BBY.

    Cent cinquante-trois membres de la chambre parlementaire – sur un total de 165 – ont pris part à l’élection, au cours de laquelle six secrétaires élus ont été désignés.

    Voici la liste des huit vice-présidents élus :

    • premier vice-président : Ibrahima Baba Sall (BBY) ;
    • deuxième vice-président : Aïssatou Sow Diawara (BBY) ;
    • troisième vice-président : Malick Diop (BBY) ;
    • 4ème vice-président : Yetta Sow (BBY) ;
    • cinquième vice-président : Modou Bara Gaye (Wallu Sénégal) ;
    • sixième vice-président : Sira Ndiaye (BBY) ;
    • septième vice-président : Mamadou Lamine Diallo (Wallu Sénégal) ;
    • huitième vice-président : Aïcha Touré (Yewwi Askan Wi).

    Voici la liste des secrétaires élus :

    • Ndèye Lucie Cissé (BBY) ;
    • Karim Sène (BBY) ;
    • Astou Ndiaye (BBY) ;
    • Oumar Souané Cissé (BBY) ;
    • Rokhy Ndiaye (Yewwi Askan Wi) ;
    • Abdoulaye Diop (Wallu Sénégal).

    SG/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / L’Assemblée nationale a élu ses huit nouveaux vice-présidents

    SENEGAL-POLITIQUE / L’Assemblée nationale a élu ses huit nouveaux vice-présidents

    Dakar, 14 oct (APS) – Les députés réunis pour la session ordinaire unique 2023-2024 de l’Assemblée nationale ont constitué un nouveau bureau en élisant huit vice-présidents de l’institution, dont cinq appartiennent au groupe Benno Bokk Yaakaar (BBY), a constaté l’APS, samedi.

    Cent cinquante-trois membres de la chambre parlementaire – sur un total de 165 – ont pris part à l’élection.

    Voici la liste des huit vice-présidents élus :

    • premier vice-président : Ibrahima Baba Sall (BBY) ;
    • deuxième vice-président : Aïssatou Sow Diawara (BBY) ;
    • troisième vice-président : Malick Diop (BBY) ;
    • 4ème vice-président : Yetta Sow (BBY) ;
    • cinquième vice-président : Modou Bara Gaye (Yewwi Askan Wi) ;
    • sixième vice-président : Sira Ndiaye (BBY) ;
    • septième vice-président : Mamadou Lamine Diallo (Wallu Sénégal) ;
    • huitième vice-président : Aïcha Touré (Yewwi Askan Wi).

    SG/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Assemblée nationale : Abdou Mbow ‘’désigné’’ président du groupe Benno Bokk Yaakaar

    SENEGAL-POLITIQUE / Assemblée nationale : Abdou Mbow ‘’désigné’’ président du groupe Benno Bokk Yaakaar

    Dakar, 14 oct (APS) – Le député Abdou Mbow a annoncé à l’APS, samedi, avoir été ‘’désigné’’ président du groupe Benno Bokk Yaakaar (BBY) à l’Assemblée nationale, en remplacement d’El Hadji Oumar Youm.

    M. Youm va quitter le parlement parce qu’il a été nommé ministre (Forces Armées), mercredi dernier.

    Abdou Mbow, militant de l’Alliance pour la République, le parti politique de Macky Sall, en est à sa troisième législature. Il est député depuis 2012.

    La session ordinaire unique 2023-2024 de l’Assemblée nationale s’est ouverte, samedi après-midi, sous la direction du président de ladite institution, Amadou Mame Diop.

    Cent cinquante-sept des 165 membres de la chambre parlementaire ont pris part à l’ouverture de la session, dont les travaux se tiennent en présence du ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions, Samba Sy.

    Quatorze députés ont démissionné du groupe Yewwi Askan Wi (YAW), a déclaré le président de l’Assemblée nationale, quelques heures après l’ouverture de la session. Il affirme avoir reçu leurs lettres de démission.

    Les députés démissionnaires du groupe YAW, dont il parle, sont ceux de Taxawu Senegaal, la coalition dirigée par Khalifa Sall, un ancien maire de Dakar, a-t-on appris de l’un d’eux, Babacar Abba Mbaye.

    ‘’Nous venons […] de renoncer à notre présence dans le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi […] Depuis quelques semaines, ce groupe […] travaille sans nous […] Nous ne sommes conviés à aucune de ses réunions’’, a soutenu M. Mbaye.

    SG/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Quatorze députés de Taxawu Senegaal démissionnent du groupe Yewwi Askan Wi

    SENEGAL-POLITIQUE / Quatorze députés de Taxawu Senegaal démissionnent du groupe Yewwi Askan Wi

    Dakar, 14 oct (APS) – Quatorze députés de la coalition Taxawu Senegaal ont démissionné du groupe Yewwi Askan Wi (YAW), a déclaré, samedi, à Dakar, le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, affirmant avoir reçu leurs lettres de démission.

    ‘’J’ai reçu les lettres de 14 députés, qui disent avoir démissionné du groupe Yewwi Askan Wi’’, a annoncé M. Diop lors de la session ordinaire unique 2023-2024 de l’Assemblée nationale.

    Les députés démissionnaires du groupe YAW, dont il parle, sont ceux de Taxawu Senegaal, la coalition dirigée par Khalifa Sall, un ancien maire de Dakar, a-t-on appris de l’un d’eux, Babacar Abba Mbaye.

    ‘’Nous venons […] de renoncer à notre présence dans le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi […] Depuis quelques semaines, ce groupe […] travaille sans nous […] Nous ne sommes conviés à aucune de ses réunions’’, a soutenu M. Mbaye.‘’Si nous quittons ce groupe, il va perdre au moins quatre postes [du bureau], dont un poste de deuxième questeur’’, a-t-il ajouté.

    Le président de Yewwi Askan Wi, Birame Souleye Diop, a dit aux journalistes qu’il n’avait pas inscrit des élus de Taxawu Senegaal parmi les candidats de son groupe à l’élection du bureau de l’institution.

    ‘’Notre groupe est souverain. Il lui revient de choisir ses membres devant figurer dans l’équipe du bureau de l’Assemblée nationale’’, a soutenu M. Diop.

    Il a dénoncé une ‘’violation du secret’’ du dépôt des listes de candidature à l’élection du bureau.‘’Nous allons mener la bataille, conformément à la loi’’, a ajouté Birame Souleye Diop en parlant de l’élection des membres du bureau.

    La scission du groupe qu’il dirige était prévisible depuis que les leaders de Yewwi Askan Wi, dont l’ancien ministre Habib Sy, ont publié un communiqué annonçant l’exclusion de Khalifa Sall de ladite coalition.

    À la mairie de Dakar où ils sont majoritaires, les conseillers de Taxawu Senegaal ont renouvelé le bureau du conseil municipal en écartant les élus de YAW.

    SG/ESF

  • SENEGAL-INSTITUTIONS / L’Assemblée nationale tient sa session ordinaire unique 2023-2024

    SENEGAL-INSTITUTIONS / L’Assemblée nationale tient sa session ordinaire unique 2023-2024

    Dakar, 14 oct (APS) – La session ordinaire unique 2023-2024 de l’Assemblée nationale s’est ouverte, samedi après-midi, sous la direction du président de ladite institution, Amadou Mame Diop, a constaté l’APS.

    Cent cinquante-sept des 165 membres de la chambre parlementaire y prennent part.

    Les travaux se tiennent en présence du ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions, Samba Sy.

    SG/ESF

  • SENEGAL-POLITIQUE / Les candidats ont intérêt à collecter le maximum de parrains, selon un fonctionnaire de la DGE

    SENEGAL-POLITIQUE / Les candidats ont intérêt à collecter le maximum de parrains, selon un fonctionnaire de la DGE

    Dakar, 13 oct (APS) – Les candidats à la candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024 devraient penser à collecter le maximum de parrains en raison des risques de doublons susceptibles de compromettre leur dossier de candidature, a laissé entendre le responsable de la logistique à la direction générale des élections (DGE), Cheikh Alioune Ndiaye, vendredi, à Dakar.

    ‘’Le candidat à la candidature doit aller vers le maximum de parrains en raison des doublons qu’il peut y avoir. Il ne faut pas s’aventurer à avoir le strict minimum’’, a-t-il prévenu lors d’une réunion d’information de la DGE avec les professionnels des médias sur les dernières modifications du code électoral.

    ‘’S’il y a un problème, votre parrainage peut être écarté. Si vous avez le maximum de parrains, vous pouvez ne pas tomber en dessous du minimum requis’’, a expliqué M. Ndiaye.

    L’expert électoral Ndiaga Sylla confirme ce que dit le fonctionnaire de la DGE. ‘’C’est une évidence. C’est le maximum de parrainages qu’il faut déposer. Celui qui veut s’en sortir doit chercher une bonne marge’’, a confirmé M. Sylla à l’APS dans un entretien téléphonique.‘’Pour le parrainage des élus (maires et présidents de conseil départemental), il n’y a pas de risques de doublons parce que les gens se connaissent. Ce serait moralement répréhensible pour un député par exemple de parrainer deux ou plusieurs candidats’’, a-t-il souligné.

    ‘’Nous avons choisi cette voie. C’est pourquoi, chaque fois qu’on sort d’une échéance électorale, il y a des évaluations et une revue du code électoral […] Il y a eu beaucoup de concertations sur le code électoral au cours de ces dernières années’’, a expliqué Cheikh Alioune Ndiaye.

    Selon lui, cela explique les nombreuses modifications relatives au déroulement et aux règles des élections au Sénégal.

    ‘’Contrairement au parrainage des candidats à l’élection présidentielle de 2019, le consensus a permis cette fois-ci de revoir le taux à la baisse’’, a souligné M. Ndiaye en parlant du nombre de parrains que doivent collecter les candidats.

    Ils doivent réunir entre 0,6 et 0,8 % – soit 44.231 à 58.975 électeurs – du nombre d’électeurs inscrits sur le fichier électoral, pour ceux d’entre qui vont opter pour le parrainage par les électeurs.Les candidats ont également la possibilité de collecter des parrains auprès des maires et des présidents de conseil départemental.

    Pour ladite option, le code électoral leur fait obligation de réunir 120 signatures au moins, soit 20 % de l’effectif des présidents des conseils municipaux et départementaux.

    Il est loisible aux candidats de recourir au parrainage parlementaire. Dans ce cas-là, ils doivent collecter au moins 13 signatures, soit 8 % de l’effectif des députés.

    CS/ESF/MTN

  • MONDE-PROCHEORIENT-CRISE / Conflit israélo-palestinien : le PIT appelle à “plus de retenue’’ et au cessez-le-feu

    MONDE-PROCHEORIENT-CRISE / Conflit israélo-palestinien : le PIT appelle à “plus de retenue’’ et au cessez-le-feu

    Dakar, 13 oct (APS) – Le Parti de l’indépendance et du travail (PIT) appelle dans une déclaration les protagonistes du conflit israélo-palestinien à “plus de retenue’’ et “à la recherche constructive d’un cessez-le-feu immédiat’’, réitérant qu’il n’y a “pas d’alternative viable à la solution de deux états, Israël et la Palestine, demeurant côte à côte, dans des frontières internationalement reconnues, avec Jérusalem comme capitale partagée’’.

    “Une tragédie se joue – ou plutôt continue à se jouer – en terre de Palestine et d’Israël. En effet, la situation qui prévaut actuellement en Israël et dans la bande de Gaza est, pour dire le moins, particulièrement préoccupante quand les plus extrêmes des deux camps mettent le feu aux poudres’’, lit-on dans une déclaration rendue publique par le comité central de cette formation politique.

    Le PIT se dit “révulsé face aux événements indicibles dans cette partie du monde, particulièrement autour de la bande de Gaza : en quelques jours, des milliers de morts et de blessés prouvant, s’il le fallait encore, l’urgence d’une solution négociée et équitable ramenant la paix dans cette partie du monde qui en est sevrée depuis bien trop longtemps !’’.

    Il fait référence à l’attaque perpétrée par le Hamas contre Israël, le 7 octobre dernier, date à laquelle des centaines de combattants de ce groupe armé palestinien ont pris d’assaut le territoire israélien à bord de véhicules, par les airs et la mer. Une opération soldée par la mort de plus de 1 300 morts et 3 200 blessés côté Israël. Au moins 1 799 personnes ont trouvé la mort dans la bande de Gaza, victimes de bombardements continues depuis cette attaque.

    Selon le Parti de l’indépendance et du travail, l’escalade de la violence en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et à Jérusalem, les pertes en vies humaines, dont une écrasante majorité de civils, “sont inacceptables’’.

    “Le PIT appelle en conséquence à plus de retenue, au respect du droit international humanitaire, à la recherche constructive d’un cessez-le-feu immédiat. Encore une fois, il n’y a pas d’alternative viable à la solution de deux états, Israël et la Palestine, demeurant côte à côte, dans des frontières internationalement reconnues, avec Jérusalem comme capitale partagée’’, peut-on lire.

    “Pour le PIT, il est impératif de mettre fin à l’occupation et à la colonisation des territoires palestiniens, c’est-à-dire d’admettre la création d’un État palestinien viable et indépendant’’.

    “Or, ajoute-t-il dans sa déclaration, manifestement, la poursuite de la construction de colonies israéliennes en territoire palestinien n’entrave pas que ce projet : elle obstrue toute perspective de paix durable entre les peuples palestiniens et israéliens’’.

    Il soutient que “sans une solution politique équilibrée et volontaire’’, il est impossible d’envisager une “sécurité durable’’ dans cette région.

    Aussi invite-t-il “toutes les parties concernées à un dialogue inclusif et à des négociations de bonne foi, sous l’égide de la communauté internationale, pour parvenir à une solution équitable et durable’’.

    “Encore une fois, il est impératif que les droits fondamentaux des Palestiniens, tels que le droit à l’autodétermination, soient respectés. En attendant, ajoute la même source, le PIT condamne toutes les mesures consistant à sévir plus durement contre les habitants de la bande de Gaza par des embargos, des blocus ou des suspensions d’aides au détriment de populations déjà très durement éprouvées’’.

    Il appelle la communauté internationale à “redoubler d’efforts pour aider à résoudre ce conflit de longue date et mettre fin à la souffrance sans nom des civils innocents des deux côtés, et notamment ceux de Palestine, victimes de politiques d’extrême droite de plus en plus violentes, n’ayant aucun respect pour les droits humains même les plus élémentaires’’.

    BK/MTN