Catégorie : Politique

  • SENEGAL-POLITIQUE-GOUVERNANCE / Pacte national de la bonne gouvernance : le président Faye invité au respect de ses engagements

    SENEGAL-POLITIQUE-GOUVERNANCE / Pacte national de la bonne gouvernance : le président Faye invité au respect de ses engagements

    Dakar, 30 juil (APS) – Le Collectif des mouvements citoyens engagés pour l’application des conclusions des Assises nationales et des recommandations de la Commission nationale de réforme des institutions a invité, mardi, le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, à respecter les engagements pris lors de la campagne électorale par rapport au Pacte national de bonne gouvernance.

    Les nouvelles autorités doivent respecter « les engagements auxquels elles ont librement souscrit à travers le candidat Diomaye vis-à-vis du Pacte, mais aussi Ousmane Sonko qui a signé la charte des Assises nationales », a déclaré Mamadou Ndoye, président du mouvement Sursaut citoyen, membre du collectif.

    S’exprimant au cours d’une conférence de presse, le collectif a dit espérer que l’actuel régime « ne fera pas moins » que Macky Sall qui avait signé les conclusions des Assisses nationales avec des réserves.

    « Le Pacte trouve son origine dans les luttes contre les atteintes graves aux libertés individuelles et collectives ainsi que les dérives autoritaires qui ont marqué l’histoire récente du Sénégal sous le régime de Macky Sall », a rappelé M. Ndoye.

    Selon lui, sur les dix-sept candidats retenus par le Conseil constitutionnel, treize ont signé le Pacte national de la bonne gouvernance lors de la campagne électorale.

    Ils ont, dans le même temps, « pris l’engagement écrit de traduire les principes, valeurs et objectifs du Pacte en plan d’actions à réaliser dans le courant de la première année de leur mandat en cas de victoire électorale à la présidentielle de février 2024 », a rappelé l’ancien secrétaire général de la Ligue démocratique (LD).

    Les principes, valeurs et objectifs englobent, entre autres, une République laïque et démocratique, une démocratie participative, une gouvernance globale, un État de droit qui assure la séparation et l’équilibre des pouvoirs.

    Sur ce point, « nous voulons l’indépendance de la justice qui requiert que le président de la République quitte le Conseil supérieur de la magistrature », a indiqué Mamadou Ndoye. Il rappelle que les valeurs et les principes du pacte sont intangibles.

    Le collectif déclare avoir adressé deux correspondances aux nouvelles autorités, sans obtenir de réponse.

    Selon Mamadou Ndoye, le Pacte, qui repose sur les conclusions des Assisses nationales et les recommandations de la CNRI, « n’est pas et ne saurait être traité comme une simple requête d’une coalition de la société civile et encore moins comme une exigence posée par des individus ».

    Le Collectif compte dérouler un plan d’action pour une vulgarisation de ce contrat social auprès de l’opinion nationale.

    « Nous invitons les nouvelles autorités à une concertation pour justement profiter du travail de longue haleine […] qui a été fait par les Assisses nationales et la Commission nationale de réforme des institutions », a déclaré Thiaba Camara Sy, responsable du mouvement « Demain Sénégal ».

    Elle considère que pense que les principes et les valeurs qui ont sous-tendu les conclusions de la CNRI et la proposition de l’avant-projet de Constitution doivent devenir des « réalités effectives ».

    « Le Pacte est une aubaine pour les autorités. Quand on gouverne, on a besoin de savoir qui sont les administrés, les aspirations de ses gouvernés […] », déclare de son côté Arame Ndoye, enseignante-chercheure à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    SOG/FD/SBS/ASG/BK

  • AFRIQUE-MONDE-TENSION / Alger annonce le retrait de son ambassadeur en France avec « effet immédiat »

    AFRIQUE-MONDE-TENSION / Alger annonce le retrait de son ambassadeur en France avec « effet immédiat »

    Dakar, 30 juil (APS) – Le gouvernement algérien a annoncé mardi avoir décidé du retrait de son ambassadeur en France avec « effet immédiat », suite à la reconnaissance par ce pays du plan d’autonomie marocain comme « seule base » de règlement du conflit du Sahara occidental.

    En reconnaissant le plan d’autonomie marocain comme « seule base de règlement du conflit » du Sahara occidental, la France « bafoue la légalité internationale, prend fait et cause pour la négation du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, se démarque de tous les efforts patients et persévérants déployés par les Nations unies à l’effet de parachever la décolonisation du Sahara Occidental », lit-on dans un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger.

    Dans une lettre adressée au roi Mohammed VI publiée mardi par Rabat, le président français soutient que le plan marocain « constitue désormais la seule base pour aboutir à une solution politique juste, durable et négociée conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies ».

    « Le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine », a notamment déclaré Emmanuel Macron.

    L’Algérie, soutien de longue date des indépendantistes sahraouis, a dénoncé ces propos du président français équivalant à ses yeux à une reconnaissance implicite par la France de la « marocanité » du Sahara occidental.

    « Le gouvernement français a fini par donner sa caution franche et catégorique au fait colonial imposé au Sahara Occidental […] et manifeste une abdication des responsabilités particulières qu’il doit assumer, en toutes circonstances, comme membre permanent du Conseil de sécurité », dénonce Alger dans le communiqué publié sur le site Internet du ministère algérien des Affaires étrangères.

    Le Sahara occidental, objet d’un conflit vieux de près de 50 ans, est une ancienne colonie espagnole contrôlée en majeure partie par le Maroc qui propose un plan d’autonomie sous sa souveraineté.

    Le territoire est revendiqué par les indépendantistes sahraouis du Front Polisario qui réclament un référendum d’autodétermination, prévu lors d’un cessez-le-feu en 1991, mais jusque-là jamais organisé.

    L’ONU considère ce territoire aux eaux poissonneuses et aux importantes réserves en phosphates comme « non autonome ».

    ABB/BK/ASG

  • AFRIQUE-MONDE-DIPLOMATIE / Macron acte le soutien de la France à la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental

    AFRIQUE-MONDE-DIPLOMATIE / Macron acte le soutien de la France à la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental

    Dakar, 30 juil (APS) – Le président Emmanuel Macron a assuré au Roi Mohammed VI du soutien officiel de la France à la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental, a annoncé mardi le cabinet royal.

    La France considère que le présent et l’avenir du Sahara Occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine, a notamment indiqué le cabinet du Roi Mohammed VI, dans un communiqué.

    Dans ce message adressé à l’occasion de la commémoration du 25e anniversaire de son accession au trône, Emmanuel Macron assure au souverain marocain de l’intangibilité de la position française sur cet enjeu de sécurité nationale pour le Royaume.

    Il n’a pas en même temps manqué de souligner l’option de Paris d’agir en cohérence avec cette position à titre national et au niveau international, rapporte le communiqué.

    “Pour la France, l’autonomie sous souveraineté marocaine est le cadre dans lequel cette question doit être résolue. Notre soutien au plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007 est clair et constant. Ce plan constitue désormais la seule base pour aboutir à une solution politique, juste, durable et négociée, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies”, a martelé le chef de l’Etat français.

    Cette position de la France sur la question sahraouie marque une évolution dans la mesure où Paris s’était toujours aligné sur celle des Nations unies qui considèrent que la résolution du différend opposant l’Etat marocain au Front Polisario qui revendique l’indépendance de ce territoire du sud marocain devait passer par une autodétermination.

    Selon la MAP, l’agence de presse officielle du Maroc, le chef de l’Etat français a estimé qu’un consensus international de plus en plus large se dégage concernant le Plan d’autonomie sous souveraineté marocaine.

    AKS/ASG

  • AFRIQUE-MONDE-DIPLOMATIE / Gaza : le Roi du Maroc réaffirme son soutien aux initiatives visant à parvenir à un cessez-le-feu

    AFRIQUE-MONDE-DIPLOMATIE / Gaza : le Roi du Maroc réaffirme son soutien aux initiatives visant à parvenir à un cessez-le-feu

    Dakar, 30 juil (APS) – Le Roi du Maroc, Mohammed VI, a réitéré lundi son appui aux initiatives constructives visant parvenir à un cessez-le-feu concret et durable dans la bande de Gaza, en Palestine

    ‘’Nous continuons à appuyer les initiatives constructives visant à trouver des solutions pratiques pour la conclusion d’un cessez-le-feu concret et durable et le redressement de la situation humanitaire’’, a-t-il souligné lors d’un discours prononcé à l’occasion du 25e anniversaire de son accession au trône.

    L’aggravation de la situation dans la région (du Proche Orient) exige de sortir de la logique de gestion de crise en faveur de la recherche d’une solution définitive à ce conflit, a indiqué le Mohammed VI.

    Il a martelé que parvenir à la cessation des hostilités à Gaza est une priorité urgente devant être réalisée en parallèle avec l’ouverture d’un horizon politique susceptible d’instaurer une paix juste et durable dans la région.

    ‘’’Le recours aux négociations pour ressusciter le processus de paix entre les parties palestinienne et israélienne impose de barrer la route aux extrémistes de tous bords’’, a expliqué le Roi du Maroc.

    Il n’a pas ainsi manqué de rappeler que la sécurité et la stabilité ne seront totalement insaturées dans la région qu’elles s’inscrivent dans le cadre de la solution à deux Etats, aux termes de laquelle Gaza est partie intégrante des territoires de l’Etat palestinien indépendant, avec Al-Qods Oriental comme capitale.

    En notre qualité de Président du Comité Al-Qods, nous avons œuvré à l’ouverture d’une voie inédite pour acheminer des aides alimentaires et médicales urgentes à nos frères à Gaza, a ajouté le Roi du Maroc.

    Le Maroc fait partie des pays du monde arabo-musulman à entretenir des relations diplomatiques avec l’Etat d’Israël.

    Plus de dix mois après le lancement de l’offensive terrestre et aérienne de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, en Palestine, près de 40 000 personnes, en majorité des femmes et des enfants y ont perdu
    la vie.

    L’intervention militaire israélienne dans la bande de Gaza a été lancée après une attaque meurtrière perpétrée en territoire israélien par le Hamas, un mouvement qui dit lutter pour la libération des territoires occupés par Israël en Palestine.

    AKS

  • SENEGAL-INSTITUTION-TRANSPARENCE / La déclaration de patrimoine du président Faye reçue par le Conseil constitutionnel et publiée dans le journal officiel

    SENEGAL-INSTITUTION-TRANSPARENCE / La déclaration de patrimoine du président Faye reçue par le Conseil constitutionnel et publiée dans le journal officiel

    Dakar, 29 juil (APS) – Le Conseil constitutionnel déclare avoir reçu et enregistré la déclaration de patrimoine du président de la République Bassirou Diomaye Faye, laquelle a été publiée dans le journal officiel le 25 juillet dernier, a appris l’APS de source officielle, lundi.

    « Il est donné acte à Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, président de la République du Sénégal nouvellement élu, du dépôt de sa déclaration écrite de patrimoine au Conseil constitutionnel », indique le journal officiel consulté par l’APS.

    « Je déclare sur l’honneur que les informations fournies dans la présente déclaration de patrimoine sont exactes et reflètent la situation réelle de mon patrimoine », assure le chef de l’État dans des propos rapportés par le journal officiel.

    Hormis le bulletin de salaire du mois de juin 2024 et le régime matrimonial (séparation de biens), la déclaration de patrimoine rendue publique par le Conseil constitutionnel est identique à celle publiée par le président Bassirou Diomaye Faye à la veille de la dernière élection présidentielle, en termes de données et d’avoirs.

    SMD/ASG/BK

  • SENEGAL-POLITIQUE / Amadou Ba promet de parler ‘’très bientôt’’ de la situation politique

    SENEGAL-POLITIQUE / Amadou Ba promet de parler ‘’très bientôt’’ de la situation politique

    Touba, 27 juil (APS) – L’ancien Premier ministre Amadou Ba a déclaré samedi à Touba (centre) qu’il ‘’parlera de la situation politique au Sénégal très bientôt’’, appelant à ‘’laisser du temps’’ à la nouvelle équipe gouvernementale.

    “Très bientôt, nous allons parler de la situation politique du pays et de tout (…), mais je pense qu’il faudrait faire preuve de patience”, a notamment dit M. Ba, candidat malheureux à la dernière élection présidentielle.

    Le dernier Premier ministre sous Macky Sall s’exprimait à l’issue de sa visite de courtoisie au khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, à quelques encablures du grand Magal de Touba commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1827).

    ‘’Les nouvelles autorités ne sont en place que depuis quatre mois. Il est important de leur laisser le temps de travailler. Le gouvernement ne date pas de quatre mois. Je parlerai de la situation très bientôt, quand nous aurons des éléments à porter à la connaissance du public”, a souligné Amadou Ba.

    Depuis l’élection présidentielle, M. Ba s’est emmuré dans un silence, limitant au maximum ses sortis publiques et ses réactions sur la situation politique nationale.

    ‘’Cela fait juste moins de quatre mois (…) il faut qu’on les laisse travailler”, a ajouté l’ancien Premier ministre devant des journalistes qui guettaient sa réaction sur la marche du pays depuis l’installation des nouvelles autorités.

    AN/MTN

  • SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Algérie : trois candidatures à la présidentielle du 7 septembre retenues

    SENEGAL-AFRIQUE-POLITIQUE / Algérie : trois candidatures à la présidentielle du 7 septembre retenues

    Dakar, 26 juil (APS) – Trois candidatures, dont celle du chef de l’Etat sortant, Abdelmadji Tebboune, ont été retenues pour l’élection présidentielle du 7 septembre en Algérie, a déclaré vendredi l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE).

    Il s’agit d’Abdelmadjid Tebboune, d’Abdelaali Hassani Cherif du Mouvement de la société pour la paix, et de Youcef Aouchiche du Front des forces socialiste, a notamment indiqué l’agence officielle d’information du pays, Algérie presse service (APS).

    M. Hassani, ingénieur des travaux publics de 57 ans et le parlementaire et ancien journaliste Youcef Ouachiche (41 ans) vont ainsi tenter d’empêcher le président Abdelmadji Tebboune, au pouvoir depuis 2019, de rempiler pour un nouveau mandat de cinq ans.

    La campagne électorale va débuter le 15 août pour se poursuivre jusqu’au 4 septembre, trois jours avant le scrutin.

    Au total, 24 millions d’Algériens, sur une population totale estimée à 45 millions, vont se rendre aux urnes le 7 septembre prochain.

    KM/AKS/ASG

  • MONDE-DEVELOPPEMENT-SPORTS-PLAIDOYER / Bassirou Diomaye Faye appelle au réveil des consciences sur les  »iniquités persistantes » d’une gouvernance mondiale ‘’dépassée’’

    MONDE-DEVELOPPEMENT-SPORTS-PLAIDOYER / Bassirou Diomaye Faye appelle au réveil des consciences sur les  »iniquités persistantes » d’une gouvernance mondiale ‘’dépassée’’

    De l’envoyé spécial de l’APS spécial : Birane Hady Cissé

    Paris, 25 juil (APS) – Le chef de l’État sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a appelé, jeudi, à Paris, en France, au ‘’ réveil des consciences sur les iniquités persistantes’’ d’un ordre mondial historiquement dépassé.

    ‘’Inspirée par l’idéal olympique, notre rencontre devrait sonner le réveil des consciences sur les iniquités persistantes d’un ordre mondial historiquement dépassé’’, a-t-il dit lors de son allocution au Sommet pour le sport et le développement durable.

    Cet évènement se tient à la veille de l’ouverture officielle des 17e Jeux Olympiques, Paris 2024, qui débutent vendredi et prennent fin le 11 août prochain.

    Des dizaines de chefs d’État et de gouvernement ont assisté au Louvre, dans la capitale française, à ce premier sommet international, organisé par l’Élysée et le Comité international olympique (CIO), et consacré à la jeunesse, au sport et au développement durable .

    Pour le président de la République, ‘’ si nous voulons que les choses changent, il nous faut changer les règles du jeu’’ qui, régissent les rapports entre les nations.

    ‘’Je pense à l’évasion fiscale, aux congés fiscaux abusifs et autres flux financiers illicites qui privent nos pays de ressources vitales au financement du développement. Je pense à la question lancinante du traitement juste et équitable de la dette ainsi qu’au système de notation biaisé sur l’évaluation du risque concernant l’Afrique’’, a-t-il énuméré.

    Le président Faye a aussi évoqué les conditions inéquitables proposées aux pays en développement concernant la transition énergétique, en faisant remarquer que certains partenaires interdisent le financement à l’étranger de sources d’énergie fossile, y compris le gaz, alors qu’ils continuent d’utiliser eux-mêmes des sources beaucoup plus polluantes, comme le charbon.

    ‘’Je pense à l’architecture de la gouvernance politique, économique et financière mondiales héritée de la seconde Guerre mondiale, dont la composition des organes et les processus décisionnels ne reflètent plus les réalités de notre temps’’, a relevé le président sénégalais.

    Selon lui, un système qui perpétue le statu quo et ignore les besoins légitimes de sa grande majorité ‘’crée les germes de sa remise en cause et la recherche de voies alternatives’’.

    ‘’La mutation du Groupe des BRICS en un Sud global plus large montre à quel point le système international est contesté, et combien il urge de le réformer pour le rendre plus inclusif, plus juste et plus transparent dans l’intérêt bien compris de tous. La réforme est possible si nous y mettons la volonté politique nécessaire’’, a souligné le président Bassirou Diomaye Faye.

    BHC/ABB/OID

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Bassirou Diomaye Faye reçoit une invitation officielle de Xi Jinping pour une visite d’Etat en Chine

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Bassirou Diomaye Faye reçoit une invitation officielle de Xi Jinping pour une visite d’Etat en Chine

    Dakar, 24 juil (APS) – Le président Bassirou Diomaye Faye a reçu des mains du vice-ministre chinois des Affaires étrangères, Chen Xiaodong, une invitation de son homologue Xi Jinping pour une visite d’Etat en Chine, a annoncé la présidence sénégalaise.

    ‘’Le président de la République a reçu mardi dans la soirée le vice-ministre chinois, M. Chen Xiaodong, porteur d’une invitation officielle du président Xi Jinping pour se rendre en République populaire de Chine dans le cadre d’une visite officielle’’, rapporte la Présidence dans un message publié sur le réseau social X.

    ‘’Nous avons eu des discussions sur sa prochaine visite d’Etat en Chine et sur sa co-présidence avec le président Xi Jinping au sommet du forum sur la coopération sino africaine de la confédération sino africaine’’, a confirmé à la télévision publique (RTS), le diplomate chinois au sortir de sa rencontre avec le président Faye.

    Le renforcement de la confiance politique mutuelle entre la Chine et le Sénégal, l’intensification des échanges de haut niveau et du renforcement de la coopération pragmatique entre les deux pays, ont été abordés, a assuré le vice-ministre chinois des Affaires étrangères.

    M. Xiaodong a en même temps fait part de la volonté de son pays de travailler à la consolidation de la synergie des stratégies de développement dans le domaine des infrastructures, des affaires régionales et internationales.

    KM/AKS/ASG

     

  • SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour se rendre à Paris

    SENEGAL-MONDE-DIPLOMATIE / Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour se rendre à Paris

    Dakar, 24 juillet (APS) – Le président Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar ce mercredi pour se rendre en France où il doit prendre part à un sommet international consacré aux liens entre sports et développement durable, a-t-on appris de source officielle.

    « A l’invitation de son homologue français, EmmanuelMacron, et de Thomas Bach, président du Comité International Olympique, le président Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour Paris », a annoncé la présidence sénégalaise dans un message partagé sur le réseau social X.

    Elle précise que le chef de l’État sénégalais va participer au sommet international portant sur le thème : « Sport pour le Développement Durable » prévu jeudi dans la capitale française.

    AKS/ASG