Catégorie : sante

  • SENEGAL-SANTE-URGENCES / Gestion des épidémies : 60 experts formés aux opérations d’urgence de santé publique

    SENEGAL-SANTE-URGENCES / Gestion des épidémies : 60 experts formés aux opérations d’urgence de santé publique

    Thiès, 20 juin (APS) – Soixante experts issus de divers ministères ont bouclé mardi une formation aux opérations d’urgence de santé publique, dans le cadre du projet « Surge » de l’OMS.

    L’objectif  du projet  »Renforcer et utiliser les groupes d’intervention en cas d’urgence » (SURGE), un des trois projets-phares de l’OMS,  est d’aider les pays d’Afrique à mieux se préparer à des situations d’urgence de santé publique.

    Avec plus de 100 situations d’urgence sanitaire par an, l’Afrique concentre près de 70% des urgences survenues dans le monde, a dit le Dr Mady Bâ, qui était là au nom du représentant résident de l’OMS au Sénégal.

    Le continent est souvent en proie à des flambées de choléra, de rougeole, de fièvre jaune, de maladie à virus Ebola. D’où la nécessité pour les Etats africains de s’y préparer, de les détecter précocement et d’y répondre efficacement, notent les organisateurs.

    Une soixantaine de participants avec des compétences diverses – des experts en laboratoire, épidémiologistes, des anthropologues, des entomologistes, des financiers, des administrateurs de données, des religieux, etc. -, ont pris part à cette formation de huit jours qui a démarré le 12 juin dernier, dans un hôtel de la ville de Thiès.

    Ils devront former une ‘’équipe soudée’’ apte à travailler en synergie en cas d’urgence de santé publique, et pouvant être mobilisée dans les 24 à 48 heures suivant une alerte d’urgence de santé publique, a fait valoir le Docteur Mady Bâ.

    Cette session portant sur les centres d’opérations d’urgence est la première d’une série de quatre  modules, les trois autres devant être dispensés dans les quatre prochains mois, a-t-il dit.

    Pour lui, il s’agit là d’un appui de l’OMS visant à soutenir les efforts jusque-là déployés par le Sénégal pour améliorer son système de gestion des urgences. ‘’Cela permet d’être efficace dans nos actions et de sauver des vies’’, a dit le docteur Bâ.

    Selon le docteur Madoky Maguette Diop, enseignant chercheur à l’UFR Santé de Thiès, et directeur du centre de traitement des épidémies  (CTE) de l’hôpital régional de Thiès, l’un des bénéficiaires, cette formation a insisté sur la coordination et le travail d’équipe, dans un cadre multidisciplinaire. Des connaissances qui auraient pu être très utiles pendant la période de covid-19, malgré les résultats satisfaisants enregistrés par le Sénégal dans la gestion de cette pandémie.

    Le directeur du Centre d’opérations d’urgence, le docteur Papa Samba Dièye qui avait présidé la cérémonie de clôture de la session, a salué les ‘’progrès’’ notés chez les participants en termes d’amélioration de leurs compétences, à l’issue de tests.

    En attentant les trois autres formations à venir, il les a invités à être prêts à intervenir partout où ils seront sollicités dans le pays. Les leçons tirées de la gestion de la covid-19, la nécessité d’avoir une équipe large et soudée, avec des compétences diverses pouvant être mobilisée partout où le besoin se fera sentir dans le pays.

    ADI/ASG

  • SENEGAL-SANTE / Drépanocytose : environ 2.000 enfants naissent chaque année avec la maladie (officiel)

    SENEGAL-SANTE / Drépanocytose : environ 2.000 enfants naissent chaque année avec la maladie (officiel)

    Dakar, 19 juin (APS)-  Quelque 2.000 enfants naissent chaque année avec la drépanocytose, selon le directeur de la maladie, le docteur Mamadou Moustapha Diop, qui a appelé à « renforcer la communication  sur cette maladie très peu connue par la population ».

    « Nous avons une cohorte de 7.000 drépanocytaires et chaque année 2.000 enfants naissent avec la maladie », a t-il souligné lundi à Dakar, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre la drépanocytose, commémorée le 19 juin de chaque année.

    Organisée avec l’Association sénégalaise de lutte contre la drépanocytose (ASD), la journée porte sur le thème : ‘’Dépistage précoce de la drépanocytose pour une meilleure prise en charge’’.

    M. Diop estime que ‘’la communication est le premier défi, parce que c’est une maladie connue par les agents de santé mais très peu connue par la population’’.

    « Il y a également le défi lié au diagnostic précoce et à la prise en charge adéquate à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. La drépanocytose est l’une des maladies génétiques les plus répandues, en plus de faire partie des maladies à soins coûteux’’, a-t-il ajouté.

    Le directeur de la maladie affirme que « beaucoup d’efforts ont été faits, avec les maladies non transmissibles, notamment la drépanocytose », pour laquelle un centre de traitement spécialisé a été ouvert à l’hôpital d’enfants Albert Royer, à Dakar.

    L’inscription de la drépanocytose dans le plan d’accélération de la lutte contre les maladies non transmissibles, la confection d’un guide de prise en charge et la mise à disposition d’un certain nombre de médicaments essentiels de la Pharmacie nationale d’approvisionnement, sont entre autres initiatives de lutte mises en place par les autorités sanitaires.

    SKS/ADL/MTN

  • SENEGAL-POLITIQUE / Des élus réclament l’érection du département de Bakel en région

    SENEGAL-POLITIQUE / Des élus réclament l’érection du département de Bakel en région

    Bakel, 19 juin (APS) – Le maire de la commune de Moudery, Diakoye Tounkara, a lancé un appel pour l’érection du département de Bakel en région, relevant, pour justifier cette demande, que les difficultés liées à l’obtention de documents administratifs, au désenclavement de certaines communes du département et les problèmes liés à l’inondation des terres arables le long du fleuve.

     »Tout cela fait que la régionalisation de Bakel reste une des priorités des élus de Bakel. Bakel mérite d’être érigé en région, c’est l’une des premières communes du Sénégal, et a la potentialité aujourd’hui pour être une région’’, a souhaité M. Tounkara en marge d’une cérémonie de présentation des réalisations par la commune de Bakel.

    Le premier adjoint au maire de Bakel, El Hadji Doudou Diop, a relevé pour les saluer les réalisations faites depuis l’arrivée d’Ibrahima Baba Sall à la tête de la commune.  »M. Sall a compris que le Sénégal ne peut pas être émergent si nos communes ne sont pas émergentes. Les réalisations qui sont faites depuis l’avènement d’Ibrahima Baba Sall  à la tête de la mairie sautent à l’œil’’, a souligné M. Diop.

    Il y a, parmi les réalisations, les artères goudronnées de la ville sont goudronnés, la construction d’un centre socioculturel. Pour compléter le plateau médical de la commune en particulier et le département en général, avec l’inauguration récente d’une maternité construite et équipée par la fondation Sonatel,  »le maire de la commune de Bakel a pu lancer la télémédecine, ce qui nous évite de nous rendre dans les pays voisins pour certains de nos soins’’, a indiqué le premier adjoint.

    Selon lui, avec le poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale  auquel le maire vient d’être élu , l’espoir est permis pour atteindre les objectifs de réalisations et de développements contenus dans le programme ‘’qui nous a porté  à la tête la commune’’.

    Il a conclu par demander la régionalisation du département compte tenu de l’éloignement des services administratifs et du chef-lieu de région. ‘’Bakel doit être érigé en région’’, a-t-il lancé, lui aussi.

    BT/ADC

  • SENEGAL-SANTE / Lutte contre le paludisme : appel à surmonter le défi de la mobilisation des ressources financières 

    SENEGAL-SANTE / Lutte contre le paludisme : appel à surmonter le défi de la mobilisation des ressources financières 

    Dakar, 18 juin (APS) – Le directeur du programme de lutte contre le paludisme à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Daniel Ngamiji, a appelé, dimanche à Dakar, à une mobilisation accrue des ressources financières pour lutter contre le paludisme.

    ‘’Mon appel est que parmi les défis que nous devons surmonter, c’est notamment celui de la mobilisation des ressources financières’’, a déclaré M. Ngamiji qui prenait part à l’ouverture du cours mondial sur l’éradication du paludisme.

    ‘’Toutes les interventions de la prévention, du diagnostic et de la prise en charge du paludisme ont un coût. Et ce coût doit être supporté par nos pays en collaboration avec nos partenaires’’, a expliqué le responsable du programme de lutte contre le paludisme de l’Oms.

    ‘’Nos chefs d’États avaient pris l’engagement à Abuja de dépenser jusqu’à 15 % de notre Produit intérieur brut (Pib) de chaque pays pour la santé’’, a-t-il rappelé, ajoutant :  »On en n’est pas encore là, mais il y a des efforts en cours pour remonter cette pente-là. Les partenaires qui continuent aussi à nous assister surtout qu’en tant que pays endémiques du paludisme, que nous exprimons notre volonté de remonter des contributions au niveau des ressources domestiques pour la lutte contre le paludisme’’.

    Il estime que ce partenariat ‘’gagnant-gagnant’’ va certainement avoir un impact sur toutes les stratégies de la prévention et la prise en charge du paludisme. Ce qui va permettre, selon le représentant de l’Oms, d’’’atteindre les objectifs que nous nous sommes assignés’’ en tant différents pays et sur le plan global aussi.

    Daniel Ngamiji estime que ce cours est ‘’important’’ dans la mesure  qu’’’il forme des cadres pouvant mettre en œuvre des programmes de lutte dans leurs pays respectifs. ‘’Il faut que les Africains jouent leur partition dans la lutte contre le paludisme. Plus nous avons des cadres bien formés dans la lutte contre le palu en plus de bonnes molécules en ayant des gens plus formés dans la lutte vectorielle, nous vaincrons cette maladie’’, a dit le directeur de la lutte contre le paludisme à l’Oms.

    Parce que souligne M. Gamidji, sur le plan global, ‘’nous n’avons pas atteint nos cibles et nous sommes en déficit de 48% pour l’atteinte des objectifs qui était assignée à la lutte globale contre le paludisme en 2020-2021’’. D’où l’urgence de ‘’prendre des initiatives pour relever ce défi et s’inscrire dans une démarche de redynamiser l’ensemble de tous nos programmes nationaux de lutte contre le paludisme’’, a t-il préconisé, précisant que cela permettra d’atteindre les objectifs arrêtés en 2025, et ceux fixés en 2030.

    ‘’Le Sénégal a été choisi par la coopération qui existe entre le Cigas, le Pnlp ce qui contribué à la baisse de la mortalité d’un taux d’incidence très bas. C’est ce qui a poussé les décideurs du monde de se retrouver aujourd’hui pour la première fois en Afrique pour le cours mondial sur le paludisme’’, a pour sa part dit Dyann F. Wirth doyenne de l’école de santé publique de l’université Havard de Boston (Etats Unis).

    Plusieurs acteurs de lutte de cette maladie dans plusieurs pays africains notamment les 32 pays d’Afrique et d’autres continents, ont pris part au cours. Le prochain est prévu au Ghana.

    NSS/ADC

  • SENEGAL-SANTE / Cours mondial sur le paludisme : la « reconnaissance » du leadership africain et sénégalais (ministre)

    SENEGAL-SANTE / Cours mondial sur le paludisme : la « reconnaissance » du leadership africain et sénégalais (ministre)

    Dakar, 18 juin (APS) – Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Professeur Moussa Baldé, a déclaré dimanche que le choix porté sur le Sénégal pour le Cours mondial sur l’éradication du paludisme est la ‘’reconnaissance’’ du leadership africain en général et sénégalais en particulier.

    Il présidait l’ouverture du Cours mondial sur l’éradication du paludisme, qui se tient de dimanche à vendredi à la faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie (FMPO) de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.

    ‘’Le lancement de ce cours international sur l’éradication du paludisme et le leadership, a souligné Pr Baldé, entre en droite ligne des efforts consentis par son excellence le Président de la République, pour le développement de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.’’

    Il a expliqué que ‘’ce choix est la reconnaissance du leadership africain en général et sénégalais en particulier en matière de bonne gouvernance, de la qualité des enseignements et de la recherche’’. Ce leadership se manifeste en particulier au niveau des universités et institutions de recherche dans la gestion des maladies tropicales, la lutte contre les pandémies qui ont pour nom paludisme, Sida, tuberculeuse, Covid-19, entre autres’’, a relevé le ministre.

    Il estime qu’il est ‘’possible’’ d’éradiquer le paludisme, ‘’grâce à tous ces acteurs de la lutte contre le paludisme’’.

    Selon lui, ‘’le choix porté sur l’Afrique, sur le Sénégal, sur l’université Cheikh Anta Diop à travers le Centre international de recherche et de formation en génomique appliquée et de surveillance sanitaire (CIGASS) de la FMPO n’a pas été facile comme premier pays africain devant abriter ce cours depuis sa création en 2012 à l’Université Harvard de Boston (…)’’. Il n’en demeure pas moins que ‘’ce choix se justifie parfaitement’’, a-t-il affirmé.

    Moussa Baldé se félicite ‘’des progrès et de l’excellent résultat obtenus’’ par le Sénégal dans la lutte contre le paludisme, qui sont ‘’salués’ ’partout à travers le monde et par tous les acteurs de la lutte contre le paludisme.

    Il estime que les chercheurs et enseignants africains font ‘’la fierté du monde médical’’ grâce à la qualité du travail et de l’impact de leurs résultats dans la gestion des épidémies et pandémies.

    L’Afrique selon lui est ‘’fière de ses fils’’, car ils ne cessent de rehausser le niveau et mettre en place des plateformes de recherche et d’enseignement innovantes à travers les universités du continent. Cela a été rendu possible ‘’grâce aux investissements des États africains, particulièrement et le leadership des chefs d’États, en premier le Président Sall’’.

    Selon Moussa Baldé, ‘’cette rencontre qui au lieu du 18 au 23 juin à l’UCAD (…) permettra à près de 120 experts d’échanger sur les dernières innovations technologiques, scientifiques, discuter sur les meilleures stratégies, les interventions qui ont permis au monde d’avoir ces résultats et d’avoir permis un recul réel du paludisme ces 10 dernières années’’. Ces résultats et ce recul sont surtout notables en l’Afrique, continent où 95% des cas paludisme et de décès sont enregistrés annuellement.

    NSS/ASG

  • SENEGAL-SANTE / CMU : vers l’enrôlement de plus d’un million de personnes issues des organisations paysannes

    SENEGAL-SANTE / CMU : vers l’enrôlement de plus d’un million de personnes issues des organisations paysannes

    Saly, 18 juin (APS) – La mise en place de la Mutuelle sociale nationale des organisations paysannes (MS-OP) permettra d’enrôler plus d’un million de personnes dans le cadre de la Couverture maladie universelle (CMU), a appris l’APS du secrétaire général de l’Agence nationale de la CMU.

    ‘’La Mutuelle sociale des organisations paysannes polarise plus de 45 organisations, donc nous pouvons miser sur un membership de plus d’un million de personnes’’, a affirmé Mamadou Racine Senghor, dimanche, au terme de l’assemblée générale constitutive de cette mutuelle.

    Il s’agit selon lui d’un ‘’chiffre important’’ dans le cadre de l’extension de la CMU aux acteurs de l’économie informelle et au monde rural, qui ont longtemps fait face à l’imprévisibilité des coûts de santé, et souvent, à un recours tardif aux soins.

    ‘’Le processus qui a abouti à la mise en place de cette mutuelle de santé a démarré depuis plus de trois ans, ce qui a permis d’avoir un large consensus quant à la mise en place des organes délibérants et du bureau’’, a expliqué le secrétaire général de l’agence. Il s’engage à accompagner la gestion technique et opérationnelle de cette mutuelle.

    Le bureau exécutif va mettre en place un plan stratégique pour enrôler progressivement les membres de cette nouvelle mutuelle, a poursuivi M. Senghor.

    Serigne Moustapha Sylla, le nouveau président de la MS-OP, a salué une collaboration  »sincère » avec l’Agence de la CMU et promis de travailler en symbiose avec tous les membres de la mutuelle.

    ‘’Nous allons faire en sorte de communiquer efficacement auprès de toutes les organisations qui s’activent dans le secteur agro-sylvo-pastoral et halieutique, car toutes les filières sont représentées dans cette mutuelles, y compris la Fédération nationale des plateformes agricoles du Sénégal dont je suis le président’’, a-t-il signalé.

    MF/ASG

  • SENEGAL-SANTE / Goudomp : rencontre de partage sur la santé sexuelle et reproductive

    SENEGAL-SANTE / Goudomp : rencontre de partage sur la santé sexuelle et reproductive

    Sédhiou, 18 juin (APS) – Une rencontre d’échanges entre les maires et les groupes de femmes-ressources s’est tenue ce week-end à Goudomp, dans la région de Sédhiou (sud), avec l’objectif de partager sur les questions de la santé sexuelle et reproductive, a constaté l’APS.

    La manifestation est organisée par le projet ‘’Etre femme’’ en partenariat avec la région médicale de Sédhiou, la Fédération des associations féminines du Sénégal et l’Association des juristes sénégalaises.

     »Cette rencontre d’échanges et de plaidoyer à eu lieu après celles de Sédhiou et Bounkiling. Elle entre dans le cadre des actions du projet +Etre Femme+, qui servent de table de concertation sur les affaires de la santé de la femme et de la fille », a déclaré Fatou Diouf, facilitatrice chargée des questions genre à l’inspection d’éducation et de la formation (IEF) de Sédhiou.

    Elle a relevé que  »les autorités locales et acteurs de la santé doivent intégrer dans leurs programmes des préoccupations des femmes concernant l’accès facile aux infrastructures sanitaires au niveau de la région ».

    De son côté, Joséphine Ndao, coordonnatrice de la boutique de droit de Goudomp, déclare que les principaux problèmes sociaux et économiques auxquels les femmes et les adolescents sont confrontées, sont nombreux .

     »Les problèmes auxquels les femmes et les filles sont confrontées sont notamment la santé reproductive, la santé néonatale, la mortalité maternelle et infantile, les grossesses précoces et non désirées, la propagation de maladies transmissibles, les mutilations génitales, les mariages précoces, les violences, l’analphabétisme, la déscolarisation, etc. », a-t-elle expliqué.

    Le projet ‘’Etre femme’’ est destiné à accompagner les femmes et les filles du monde rural en terme de renforcement de capacités sur les thématiques des droits sexuels. Il « vise à contribuer à l’amélioration de la santé sexuelle et reproductive des populations de la région de Sédhiou (…)’’, a expliqué sa cheffe, Michela Castiello Antino.

    OB/ADC/ASG