Catégorie : sante

  • SENEGAL-INDUSTRIE-SANTE / Tivaouane : des médicaments d’une valeur de 12 millions CFA des ICS aux structures sanitaires riveraines

    SENEGAL-INDUSTRIE-SANTE / Tivaouane : des médicaments d’une valeur de 12 millions CFA des ICS aux structures sanitaires riveraines

    Mboro, 14 juin (APS) – Les Industries chimiques du Sénégal (ICS) ont remis mardi à Mboro un lot de médicaments d’une valeur de 12 millions de FCFA aux structures sanitaires riveraines de ladite société, a constaté l’APS.

    Ce lot de médicaments a été remis symboliquement, lors d’une cérémonie tenue à la mairie de Mboro, à des infirmiers chefs de poste (ICP), en présence notamment de représentants des comités de développement sanitaire et du maire de Mboro, Abdallah Tall.

    Les postes et cases de santé bénéficiaires de ce lot, sont répartis entre la commune de Mbao (Dakar), où les ICS ont des installations et celles de Darou Khoudoss, Mboro, Méouane, Pire et Taïba Ndiaye, dans le département de Tivaouane. La commune de Mboro a abrité l’étape de clôture de cette campagne de distribution débutée depuis lundi dernier.

    Les Industries chimiques du Sénégal entendent, par ce geste, assurer la disponibilité de médicaments essentiels, surtout à l’approche de l’hivernage. Ce lot devrait aussi contribuer à améliorer les revenus des structures sanitaires locales, et ce faisant, à garantir une meilleure qualité de soins aux communautés bénéficiaires.

    Le maire de Mboro, Abdallah Tall, a salué cet « acte de haute portée ». Il a invité les ICS, après l’appui qu’elles ont apporté aux nécessiteux pendant le Ramadan et ce présent don, à penser maintenant aux jeunes diplômés chômeurs de sa commune dans leurs actions relevant de la Responsabilité sociale d’entreprise (RSE).

    Ibrahima Gaye, conseiller technique du directeur général des ICS, a fait état d’un « tournant dans les relations entre les Industries chimiques du Sénégal, la mairie et les populations ».

    Il a rassuré qu’un programme couvrant les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’appui aux jeunes, entre autres, est « dans le pipeline » des nouvelles autorités.

    « Ce que nous donnons en eau dans la localité, peut entretenir 150.000 personnes », a par ailleurs souligné le représentant des ICS, insistant sur la nécessité de « rationaliser » cette eau.

    Selon lui, il est prévu de renforcer les capacités des jeunes entrepreneurs, pour leur faire profiter des opportunités offertes par la loi sur le contenu local, qui privilégie ceux qui entreprennent au niveau local.

    « Nous n’avons pas plus 2.000 postes permanents aux ICS », a relevé M. Gaye, qui considère qu’il s’agit d’une raison suffisante pour encourager les activités génératrices de revenus. L’entreprise compte proposer cette option aux jeunes demandeurs d’emploi, a-t-il annoncé.

    Les Industries chimiques du Sénégal envisagent en outre de réfectionner le bloc administratif du collège de Darou Khoudoss, totalement endommagé lors des manifestations violentes faisant suite au verdict du procès entre l’opposant Ousmane Sonko et l’ex-masseuse Adji Sarr.

    Elles prévoient également une dotation de 400 tables-bancs et la construction de 20 salles de classe dans les localités environnantes de ce fleuron industriel, productrice de phosphates et d’acide phosphorique.

    MKB/ADI/BK

  • SENEGAL-SANTE / VIH : Atelier de partage des résultats et de clôture du Projet ‘’EnPRISE’’, mercredi,

    SENEGAL-SANTE / VIH : Atelier de partage des résultats et de clôture du Projet ‘’EnPRISE’’, mercredi,

    Dakar, 13 juin (APS) – Un atelier de partage des résultats et de clôture du Projet ‘’EnPRISE’’ (Renforcement de la prise en charge décentralisée des enfants vivant avec le VIH au Sénégal) se tiendra, mercredi, à partir de 09h30 au Radisson Hôtel à Dakar, a appris l’APS.

    La rencontre est organisée par le Centre de recherche et de formation à la prise en charge clinique (CRCF), en collaboration avec le Conseil national de lutte contre le sida(CNLS).

    Dans un communiqué, les organisateurs rappellent que ‘’la prise en charge des enfants vivant avec le VIH en milieu décentralisé est confrontée à des difficultés : pauvreté de la population, aggravée par la situation enclavée de certains villages avec l’inaccessibilité des structures sanitaires, manque de formation des soignants, pénurie de médicaments et de réactifs’’.

    Ils précisent que le projet ‘’ EnPRISE’’ (Renforcement de la prise en charge décentralisée des enfants vivant avec le VIH au Sénégal) est financé par Expertise France.

    Il vise à améliorer la prise en charge décentralisée par ‘’le renforcement de l’accès et de l’utilisation de la charge virale, le renforcement de capacité́ des professionnels de santé, la mise en place de pôles de compétences régionaux, l’appui direct aux enfants et aux familles, en terme de transport, d’aide à l’observance, et d’apports nutritionnels’’.

    OID/ASG

  • SENEGAL-SANTE / Assurance santé: La réticence des employeurs à affilier leurs agents déplorée

    SENEGAL-SANTE / Assurance santé: La réticence des employeurs à affilier leurs agents déplorée

    Saint-Louis, 13 juin (APS) – La directrice de l’Institution de coordination de l’assurance maladie obligatoire (ICAMO), Marie Rosalie Ngom Coly, a déploré, mardi, la réticence des employeurs à souscrire une police d’assurance santé pour leurs agents.

     »Nous avons constaté que les employeurs inscrivent leurs agents à l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal (IPRES) et à la Caisse de sécurité sociale (CSS), mais hésitent à en faire de même pour l’assurance maladie », a dit Mme Coly, en marge du lancement d’une campagne de sensibilisation.

    Elle relève l’existence d’un large écart entre le nombre de travailleurs affiliés à ces deux institutions et celui des travailleurs ayant souscrit une assurance maladie.

    Elle a rappelé que  »l’objectif des autorités est d’arriver à l’universalisation de la couverture maladie avec cette campagne qui a déjà fait les régions de Diourbel et Thiès ».

     »Si chaque employeur respectait la règlementation à cet effet, dit-elle, on en serait pas là, car cette inscription est obligatoire ».

    Cette caravane de sensibilisation réunit les différents acteurs sociaux que sont les inspecteurs du travail, les représentants des travailleurs, les employeurs, etc. Elle sera marquée par une campagne de ciblage des ‘’sociétés fautives’’ dans le but de les amener à rectifier le tir.

    AMD/ASG/OID

  • SENEGAL-SANTE / Tambacounda: 60 villages ont bénéficié d’une nouvelle stratégie de lutte contre le paludisme

    SENEGAL-SANTE / Tambacounda: 60 villages ont bénéficié d’une nouvelle stratégie de lutte contre le paludisme

    Tambacounda, 13 juin (APS) – Soixante villages du district sanitaire de Tambacounda (est) ont bénéficié d’une nouvelle stratégie de lutte contre le paludisme à travers l’administration massive de médicaments (MDA) contre cette pathologie, a annoncé mardi, le médecin-chef, Dr Cheikh Tidiane Gadiaga.

    « C’est une étude qui s’est déroulée dans 60 villages au niveau du district (…) on administrait des médicaments aux populations de 30 villages dans le cadre du MDA et 30 autres villages qui servaient de bras de comparaison entre 2021 et 2022’’, a expliqué Gadiaga.

    Il intervenait lors d’un atelier de restitution et de vulgarisation de cette étude initiée par le district sanitaire de Tambacounda en collaboration avec  le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), l’USAID, l’université Iba Der Thiam (UIDT) de Thiès et l’Université Cheikh Anta (UCAD) de Dakar.

    « On administrait des médicaments à la population globale pour leur permettre de se prémunir contre le paludisme, afin de comparer les résultats obtenus avec les autres interventions qui se déroulaient dans le district », a précisé le médecin-chef.

    Le docteur Gadiaga s’est réjoui des résultats de cette étude qui ont montré un taux de refus inférieur à 2% sur 100  personnes qui ont été interrogées sur l’utilisation des médicaments contre le paludisme.

    Il a ajouté que ‘’dans les villages où les populations ont eu à prendre ces médicaments, durant les différents cycles de passage, il n’y a presque pas de cas de paludisme’’. Ce qui, selon lui, constitue une satisfaction pour les populations du district sanitaire de Tambacounda.

    Sur le plan scientifique, il a fait savoir que ‘’les résultats ont montré une baisse de l’incidence du paludisme de plus de 53% par rapport au bras de comparaison de cette étude’’.

     »C’était une étude où il y avait une satisfaction tant au niveau de la population mais également au niveau de la sécurité sanitaire’’, s’est-il encore félicité.

    Deux types de médicament ont été utilisés dans le cadre de cette étude. Il s’agit du dihydroarémisinine-pipéraquine utilisé dans le cadre de la lutte contre le paludisme et du primaquine qui permet de tuer les formes parasitaires du paludisme appelé gamétocyte, a-t-il expliqué.

    Il a plaidé pour que ce projet d’administration massive de médicaments (MDA) puisse être déroulé au niveau des districts qui répondent aux critères établis par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

    BT/ASB/OID

  • SENEGAL-SANTE / La mortalité maternelle a diminué de presque 60% au Sénégal (responsable)

    SENEGAL-SANTE / La mortalité maternelle a diminué de presque 60% au Sénégal (responsable)

    Dakar, 13 juin (APS) – La mortalité maternelle a diminué de ‘’presque 60%’’ au Sénégal au cours des vingt dernières années, contre 33% au niveau mondial, a indiqué  Vincent Sodjinou, chargé du bureau de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Sénégal.

     »Au niveau mondial, la mortalité maternelle a régressé de 33% au cours des 20 dernières années alors qu’au Sénégal, elle a diminué de presque 60% », a dit M. Sodjinou, au cours d’une rencontre d’échange tenue au Grand Théâtre Doudou Ndiaye Coumba Rose, entre le président de la République, Macky Sall et l’Association nationale des  »Bajenu Gox ».

     »Ceci est le résultat d’un système de santé de plus en plus fort et résilient, équipé, moderne et animé par des ressources humaines de qualité dont les Bajenu Gox’’ (marraines de quartier) », a -t-il expliqué. Il a rappelé que le volet communautaire est un composant essentiel des soins de santé primaires mis en place dans le cadre du programme communautaire des ‘’bajenu gox’’.

    Il a rappelé que  »ce programme du gouvernement du Sénégal est une innovation de santé publique majeure (…) qui s’inspire des valeurs intrinsèques du Sénégal’’. Selon lui, ‘’il a permis également de sauver des millions de mères, d’enfants et de jeunes’’.

    ‘’La mission de ces vaillantes femmes, leaders dans leurs communautés, est de contribuer à l’adoption par la population des comportements favorables à leur santé, en promouvant les services essentiels, les soins pré et post-nataux, la vaccination, la planification familiale pour contribuer à la réduction de la mortalité et la morbidité maternelle et infantile au Sénégal’’, a précisé le Professeur Senait Fisseha, la vice-présidente de Global Programs at the Susan Thompson Buffet.

    Elle a déploré le fait qu’‘’en général, l’importance du travail des Bajenu Gox et plus largement des agents de santé communautaires n’est pas assez prise en compte d’une manière exhaustive, dans les statistiques des systèmes de santé’’

    Selon elle, » la rémunération de ces braves dames traduit la reconnaissance du travail des Bajenu Gox dans le système de santé.  »Au Sénégal et dans la plupart des autres pays africains, ces agents de santé communautaire constituent le lien entre les communautés et les services de santé », a encore soutenu Mme Fisseha. Elle signale que l’Organisation mondiale de la santé prévoit d’ici 2030, une pénurie mondiale de 10 millions d’agents de santé dans 37 des 50 pays d’Afrique qui manquent le plus de soignants.

     »Des acteurs comme les Bajenu Gox, peuvent aider à combler cette lacune, en particulier en fournissant des interventions de santé primaire essentielles au niveau communautaire », a estimé la vice-présidente de Global Programs at the Susan Thompson Buffet.

    NSS/SKS/AB/ASG

  • SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Kaolack : l’hôpital régional travaille sur un projet d’établissement d’un coût d’environ 6 milliards (directrice)

    SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Kaolack : l’hôpital régional travaille sur un projet d’établissement d’un coût d’environ 6 milliards (directrice)

    Kaolack, 12 juin (APS) – La direction du Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass (CHREIN) de Kaolack est en train de finaliser son projet d’établissement d’un coût estimé à environ six milliards de francs CFA pour la période 2023-2027, a appris l’APS.

     »Nous sommes en train de finaliser notre projet d’établissement 2023-2027 d’un coût total de presque six milliards de francs CFA et dont l’Etat est le principal bailleur à travers le ministère de la Santé et de l’Action sociale’’, a affirmé Khadidiatou Sarr Kébé, directrice du CHREIN.

    En plus de ce ‘’projet phare’’, il y a aussi un autre destiné à la construction d’un  »pôle tête et cou » qui est en train d’être finalisé grâce à l’appui de l’Etat du Sénégal qui a doté l’hôpital d’une subvention d’investissements ayant permis de construire cette infrastructure qui va regrouper trois services dont l’odontologie, l’ORL et la stomatologie’’, a-t-elle expliqué.

    Elle l’a dit lundi en recevant l’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof) qui a offert à l’hôpital régional un container de 40 pieds contenant plusieurs produits pharmaceutiques et du matériel médical, d’une valeur de 25 millions de francs CFA.

     »Nous pensons que cet hôpital, qui peut aller de l’avant, parce qu’il a une marge de manœuvre énorme, est de fait un établissement public de santé de niveau 3 (EPS 3), même si dans les textes il est de niveau 2’’, a fait valoir Khadidiatou Sarr Kébé.

    Elle estime que le CHREIN a des potentialités qui lui permettent de pouvoir progresser pour offrir aux populations des soins de qualité accessible. ‘’C’est le leitmotiv du président de la République Macky Sall qui nous exhorte à faire des hôpitaux des havres de paix et non des milieux de dispersion’’, a-t-elle indiqué.

     »Nous travaillons tous avec madame le ministre de la Santé et de l’Action sociale à améliorer cette offre de services pour qu’elle soit de qualité mais aussi accessible aux populations’’, a rappelé Mme Kébé.

    ADE/OID

  • SENEGAL-SANTE / Macky Sall annonce une augmentation de 25000 francs Cfa sur l’allocation des bajenu gox

    SENEGAL-SANTE / Macky Sall annonce une augmentation de 25000 francs Cfa sur l’allocation des bajenu gox

    Dakar, 10 juin (APS) – Le président de la République a annoncé, lundi, une augmentation de 25 000 francs Cfa sur l’allocation mensuelle des « bajenu gox » (marraines de quartier).

    ‘’J’éprouve une réelle satisfaction en vous annonçant l’octroi par mon gouvernement d’une motivation mensuelle à chaque +Bajenu Gox+ pour un montant de vingt-cinq mille (25 000) francs CFA’’, a-t-il déclaré.

    Macky Sall s’exprimait lors d’une rencontre avec les « bajenu gox » au grand théâtre Doudou Ndiaye Coumba Rose.

    Il a ajouté qu’une subvention d’un million (1 000 000) francs CFA sera allouée à chacune des 79 associations de « bajenu gox des districts sanitaires en 2023.

    Macky Sall a invité les partenaires techniques et financiers à continuer d’accompagner ce programme ‘’très important pour le bénéfice exclusif ‘’des populations sénégalaises.

    Les programmes communautaires ont toujours contribué à l’amélioration de la santé des populations, mais votre programme a fait la différence par votre leadership, votre charisme et votre influence’’, a dit le chef de l’Etat en s’adressant aux « bajenu gox ».

    Ces femmes qui orientent et prodiguent des conseils dans les structures de santé, a-t-il estimé, ont été ‘’à l’origine d’importants changements’’.

    ‘’Vous participez activement au développement du capital humain, axe 2 du Plan Sénégal émergent qui est notre document de référence’’, leur a-t-il lancé.

    ‘’Votre engagement et les résultats notés m’ont encouragé à élargir depuis 2017 votre paquet d’activités à la notification des décès des mères et nouveau-nés dans le cadre de la Surveillance des Décès Maternels et Ripostes, à l’identification des femmes porteuses de Fistules et à la déclaration des naissances’’, a souligné Macky Sall.

    Il s’est dit aussi ‘’heureux’’ de constater que les programmes de développement font appel aux services de ces femmes, ‘’comme en atteste [leur] déterminante contribution au Cinquième recensement général de la population et de l’habitat, en cours de réalisation’’.

    Macky Sall dit pouvoir compter sur leur engagement pour ‘’intensifier et accélérer les changements de comportements favorables à une bonne santé de nos communautés’’.

    NSS/OID/ASG

  • SENEGAL-SANTE-DON / Kaolack : une association humanitaire offre un important lot de médicaments à l’hôpital régional

    SENEGAL-SANTE-DON / Kaolack : une association humanitaire offre un important lot de médicaments à l’hôpital régional

    Kaolack, 12 juin (APS) – L’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof) a offert, lundi, au Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass (CHREIN) de Kaolack (centre), un container de 40 pieds contenant plusieurs produits pharmaceutiques, a constaté l’APS.

    Ce don d’une valeur de 25 millions de francs CFA, est composé de détergents, d’antiseptiques, des désinfectants et autres médicaments de premiers soins, a précisé Imam Aboubacry Niang, coordonnateur nationale de l’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof).

    Khadidiatou Sarr Kébé, directrice du CHREIN, a dit ressentir beaucoup de fierté avec ce geste de haute portée sociale et humanitaire qui montre la ‘’vraie face du Sénégalais’’. L’association, créée par un Sénégalais vivant aux Etats-Unis d’Amérique, regroupe des membres éparpillés à travers le monde et contribuent au développement de leur pays.

     »Les produits qui sont dans ce container sont des produits de haute gamme, coûtent très chers, on les trouve dans les plus grands hôpitaux du monde. Nous remercions cette association, parce que l’Etat supporte les hôpitaux, leur donne des subventions d’exploitation. Mais nous qui utilisons les services de nos hôpitaux devons aussi participer pour les mettre aux normes’’, a-t-elle plaidé.

    ADE/OID