Catégorie : DOSSIERS SPECIAUX

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Démarrage effectif du vote au centre Grand Yoff 2

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Démarrage effectif du vote au centre Grand Yoff 2

    Dakar, 24 mars (APS) – Le vote a démarré à 8h 02 mn au centre de vote Grand Yoff 2 communément appelé ‘’Ecole marché’’ pour l’élection du cinquième président de la République du Sénégal, a constaté l’APS.

    Le premier électeur du bureau n° 1 a introduit son enveloppe dans l’urne à 8h 7 mn.

    Peu après 7 heures déjà, les présidents des bureaux vote s’affairaient à la mise en place du matériel, des bulletins selon l’ordre de passage et l’affichage de la liste des candidats et un extrait du code électoral devant chaque bureau.

    Les électeurs étaient dans l’enceinte du centre très tôt. Les forces de l’ordre sont positionnées à l’entrée et à l’intérieur du lieu de vote.

    La presse étrangère est présente pour les besoins de la couverture.

    Seuls quatre mandataires étaient dans le bureau N°1 dans le bureau ainsi que des membres de la Céda et de l’administration.

    Le candidat Khalifa Ababacar Sall va accomplir son devoir civique à 11 heures dans ce centre qui totalise 13 bureaux de vote.

    FD/OID

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Saint-Louis : le scrutin a démarré au centre Abdou Diouf

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Saint-Louis : le scrutin a démarré au centre Abdou Diouf

    Saint-Louis, 24 mars (APS) – Le vote a démarré à l’école Abdou Diouf du quartier Nord de Saint-Louis, ville où 126 656 électeurs sont attendus aux urnes pour le scrutin de la présidentielle qui a démarré ce matin sur toute l’étendue du territoire national,  a constaté le correspondant de l’APS.

    Les 126 656 électeurs inscrits sur les listes électorales voteront dans 225 bureaux de vote répartis dans 33 centres.

    AMD/ASG

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Alassane Ndiaye Allou

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Médina : démarrage du vote à l’école Alassane Ndiaye Allou

    Dakar, 24 mars (APS) – Le vote a démarré, à 8h, à l’école Alassane Ndiaye Allou de La Médina, a constaté l’APS.

    Toutes les dispositions ont été prises pour un bon déroulement de ce scrutin présidentiel.

    De nombreux électeurs en majorité des personnes âgées ont investi tôt le matin ce centre qui compte 17 bureaux de vote.

    AMN/OID

  • SENEGAL-ELECTION / Présidentielle : ouverture des bureaux de vote

    SENEGAL-ELECTION / Présidentielle : ouverture des bureaux de vote

    Dakar, 24 mars (APS) – Les bureaux de vote ont officiellement ouvert leurs portes dimanche à 8 heures pour permettre aux 7 371 890  électeurs sénégalais d’élire leur 5ème président de la République.

    Dix-neuf  candidats sont en lice pour ce scrutin. Deux parmi ceux retenus par le Conseil constitutionnel ont annoncé leur retrait de la course au profit du candidat Bassirou Diomaye Faye.

    Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans, ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties ayant abouti à la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale

    OID

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Des Kaolackois appellent les Sénégalais à voter dans le calme et la paix

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Des Kaolackois appellent les Sénégalais à voter dans le calme et la paix

    Kaolack, 24 mars (APS) – A quelques heures du démarrage du scrutin à l’occasion de l’élection présidentielle de ce dimanche, des Kaolackois ont appelé, samedi, au calme pour que ces joutes électorales se tiennent dans un climat paisible et calme, exprimant leurs attentes du  prochain président de la République et son gouvernement.

    Ce 24 mars représente un ‘’moment crucial’’ dans l’évolution de l’histoire du Sénégal, car le pays va voter pour son cinquième président, ont indiqué la plupart d’entre eux. Au marché de la cité religieuse de Médina Baye, la discussion politique autour de l’élection présidentielle occupe une place prépondérante dans les débats. Des commerçants, marchands ambulants, mécaniciens, les bouchers et autres artisans  s’y intéressent tous.

    ‘’J’appelle tout le monde au calme. Je souhaite que l’élection se passe dans un climat de paix. Le Sénégal n’est qu’un et indivisible, donc faisons preuve de tenue et de retenue’’, a lancé Salimata Tall, une vendeuse se tenant debout devant ses marchandises éparpillées le long du trottoir.

    Nar Diagne, la cinquantaine, vendeur de cola, soutient l’idée d’un vote sécurisé. ‘’Chacun a son candidat, mais faisons de sorte qu’il n’y ait aucun débordement. Les autorités doivent veiller à cela, surtout au centre Cheikh-Ibrahima-Niass, qui est le plus grand centre de la région’’ a-t-il plaidé.

    Après la rupture de son jeûne, Alioune Badara Gueye, aperçu dans sa boutique bondée de clients compte se rendre à Diourbel pour accomplir son devoir citoyen, nous a-t-il indiqué.

    Ndiaga Sow, un primo votant, se dit ‘’extrêmement motivé’’ par l’idée de devoir se rendre aux urnes pour la première fois de sa vie de citoyen. ‘’J’avais une carte nationale d’identité sur laquelle il était mentionné +non votant+ mais j’ai profité de la dernière révision exceptionnelle pour procéder à la modification. Aujourd’hui que tout est rentré dans l’ordre, j’ai envie de voter comme tout le monde’’ s’est-il réjoui.

    La jeune écolière Mayé Dawé a, elle, exprimé son désir de voter pour la première fois, soutenant que ‘’le futur président doit être une personne beaucoup plus proche et attentive’’ et  »faire tout son possible pour répondre à leurs besoins essentiels’’. ‘’On a vu que l’émigration clandestine a fait des ravages dans notre pays. Nombreux de nos jeunes ont péris dans l’océan Atlantique en tant de rallier l’occident’’ a-t-elle déploré. ‘’Ce qu’on attend le plus du prochain président c’est qu’il réconcilie le pays et essaye de faire de l’emploi des jeunes une réalité’’, a estimé Mayé Dawé.

    Mouhamed Barre, un boucher établi au marché de Médina Baye, prévoit de se rendre dans son centre de vote très tôt le matin afin de faire partie des premiers à voter. ‘’Certains se plaignent de la cherté de la viande, mais cela est dû à la hausse des prix de l’aliment qui se manifeste dans la vente des bétails. Donc, le futur président doit simplifier l’achat des produits alimentaires’’, a-t-il fait valoir.

    De son côté, Mokhtar Camara, a relevé que ‘’la décentralisation des services et des structures publiques devrait être de mise ».  »En se basant sur cela, il est nécessaire de réduire la concentration de tous les services de l’Etat dans la capitale, Dakar’’, a-t-il insisté.

    ALT/ADE/ADC

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-ORGANISATION / Le processus électoral suit son cours normal à Goudiry (CEDA)

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-ORGANISATION / Le processus électoral suit son cours normal à Goudiry (CEDA)

    Goudiry, 24 mars (APS) – Le processus électoral suit sont cours normal dans le département de Goudiry (est), le matériel électoral est déployé sur le terrain, a déclaré à l’APS le président de la Commission électorale départementale autonome (CEDA) de Goudiry, Dr. Mamadou Diouldé Diallo.

    ‘’Le matériel est bien arrivé, les autorités les ont déjà reçu et déployé sur l’ensemble du département’’, a indiqué M. Diallo. Selon lui, le est en train d’être déployé à l’intérieur du département. Il a rappelé que la CEDA supervise et contrôle tout le processus électoral de l’inscription sur les listes électorales à la proclamation provisoire des résultats en passant par la distribution des cartes.

     »Nous intervenons à toutes les étapes du processus’’, a-t-il dit, précisant qu’à la date du 21 mars, plus de 4000 cartes ont été récupérées. Toutefois, a-t-il précisé, il reste plus de 3000 cartes non encore distribuées.

    Il a dit que cette année, la commune de Goudiry a vu la création d’un nouveau lieu de vote Goudiry 3.  »Beaucoup d’électeurs ont été transférés là-bas. L’autorité a fait des appels pour que les populations aillent récupérer leurs nouvelles cartes’’, a révélé Mamadou D. Diallo.

    Il a en plus appelé les populations à plus de sérénité et en cas de problèmes dans les lieux de vote en rapport avec le scrutin de saisir les autorités compétentes, sinon de saisir la CEDA afin d’apporter des réponses concrètes.  »Cela nous permettrait d’avoir des élections apaisées dans le département’’, a-t-il expliqué.

    BT/ADC

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Guédiawaye : Plus de 203.000 électeurs attendus aux urnes dimanche

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Guédiawaye : Plus de 203.000 électeurs attendus aux urnes dimanche

    Dakar, 24 mars (APS) – Un total de 203.274 électeurs sont attendus aux urnes dimanche dans le département de Guédiawaye, dans la banlieue dakaroise, pour l’élection du cinquième président de la République du Sénégal, a appris l’APS de source officielle.

    Ces électeurs sont répartis sur 38 lieux de vote comprenant au total 362 bureaux de vote. La commune de Golf Sud totalise le plus grand nombre d’électeurs avec 55.111 répartis dans 14 lieux de vote et 99 bureaux de vote. La commune de Wakhiname Nimzat arrive ensuite avec 52.259 électeurs, 8 lieux de vote et 94 bureaux de vote.

    Sam Notaire totalise quant à elle 45.775 électeurs répartis dans 9 lieux de vote et 82 bureaux de vote. La commune de Diarème Limamoulaye a pour sa part 27.129 électeurs répartis sur 4 lieux de vote et 47 bureaux de vote. Médina Gounass reste la plus petite commune du département de Guédiawaye en nombre d’électeurs avec 23.000 inscrits répartis dans 3 lieux et 40 bureaux de vote.

    Le département de Guédiawaye qui fait partie de la région de Dakar compte cinq communes et deux arrondissements.

    FKS/ADC

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les Sénégalais aux urnes, épilogue d’un processus électoral mené au forceps

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SCRUTIN / Les Sénégalais aux urnes, épilogue d’un processus électoral mené au forceps

    Dakar, 23 mars (APS) – Les Sénégalais se rendent aux urnes ce dimanche pour élire un nouveau président de la République, ultime étape d’un processus électoral dont la mise en œuvre au forceps a éprouvé comme jamais les fondements institutionnels du pays.

    Les 7 371 890 électeurs sont appelés aux urnes pour élire le successeur de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans et qui ne se représente pas pour un nouveau mandat après en avoir fait deux à la tête du pays.

    Dix-neuf  candidats sont en lice pour ce scrutin. Deux parmi ceux retenus par le Conseil constitutionnel ont annoncé leur retrait de la course au profit du candidat Bassirou Diomaye Faye.

    Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties ayant abouti à la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale.

    La limitation de la durée de la campagne électorale est l’une des conséquences des perturbations du processus électoral, un temps interrompu par l’annonce, le 3 février dernier, de l’abrogation du décret portant convocation du collège électoral.

    Cette décision du chef de l’Etat est intervenue à quelques heures de l’ouverture officielle de la campagne électorale pour l’élection présidentielle alors prévue le 25 février.

    Il s’en est suivi une crise politico-institutionnelle dont le point final a été le rejet par la Cour suprême des recours en annulation des décrets portant sur la tenue du scrutin le 24 mars.

    Le recours rejeté le 15 mars par la plus haute juridiction du pays à l’issue d’une audience publique, était introduit par des candidats recalés et des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS), dont la candidature du leader, Karim Meissa Wade, avait été rejeté par le Conseil constitutionnel.

    La décision de la Cour suprême a levé tout doute sur la tenue d’un scrutin marqué en amont par des incertitudes jusqu’à la fixation, au 24 mars, de la date définitive de l’élection par le président de la République.

    Motivant sa décision de geler la convocation des électeurs pour le 25 février, le chef de l’Etat avait invoqué, lors d’une adresse à la nation, des divergences entre l’Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel sur fond de soupçons de corruption à l’encontre de juges parmi ceux qui avaient contrôlé la régularité des dossiers de candidature à l’élection présidentielle.

    Ces accusations ont été portées par le Parti démocratique sénégalais qui avait demandé et obtenu la création d’une commission d’enquête parlementaire pour enquêter sur cette affaire.

    Le Conseil constitutionnel constate l’impossibilité de tenir le scrutin le 25 février

    L’un des points culminants de cette crise politique a été sans doute le vote par les députés d’une loi constitutionnelle fixant au 15 décembre la tenue de la présidentielle, deux jours après l’interruption de facto du processus électoral.

    Le Conseil constitutionnel, saisi par des députés opposés à ce report, a rejeté cette loi constitutionnelle et annulé le décret pris le 3 février par le chef de l’Etat pour renoncer à la convocation du collège électoral.

    Dans sa décision rendue le 15 février, le Conseil constitutionnel avait invité l’autorité compétente, notamment l’exécutif incarné par le chef de l’Etat, à organiser l’élection présidentielle ‘’dans les meilleurs délais’’, après avoir constaté l’impossibilité de la tenir à la date initialement prévue, le 25 février.

    Réagissant à ce développement, le président Macky Sall, dans un communiqué rendu public le lendemain, s’était engagé à ‘’pleinement appliquer’’ la décision de la haute juridiction.

    Le Conseil constitutionnel s’est de nouveau illustré le 6 mars, en jugeant ‘’contraire à la Constitution’’ la tenue de l’élection présidentielle au-delà du 2 avril, ce qui sous-entend que le président sortant ne peut pas rester en fonction au-delà du 2 avril.

    Cette décision faisait suite à une saisine du chef de l’Etat pour avis sur les conclusions du dialogue national organisé le 26 et le 27 février, à l’initiative du président de Macky Sall, afin de trouver les voies et moyens de permettre au pays de surmonter la crise politique qu’elle traversait.

    Les sept ‘’sages’’ se rallient au chef de l’Etat pour la tenue du scrutin le 24 mars

    Les participants à cette concertation, boycottée par seize des dix-neuf candidats à l’élection présidentielle et de nombreuses franges de la société civile, avaient notamment recommandé la tenue au 2 juin du scrutin et la possibilité pour le président sortant de rester au pouvoir jusqu’à l’installation de son successeur.

    Le Conseil constitutionnel a également maintenu la liste des 19 candidats déjà retenus pour participer à l’élection présidentielle, en considérant que l’existence d’un consensus issu d’un dialogue postérieur à la décision arrêtant la liste définitive des candidats, ne fait pas partie des causes de modification de cette liste, limitativement énumérées par les articles 29, alinéa 2, et 34, alinéa premier de la Constitution.

    Dans la foulée, la haute juridiction en matière électorale, a répondu favorablement à une requête introduite par des candidats et fixé la date du 31 mars, en considérant la carence de l’autorité chargée de prendre une telle décision.

    La juridiction se rangera le lendemain derrière la décision du chef de l’Etat contenue dans un décret convoquant le corps électoral le 24 mars, ouvrant la voie à la tenue du scrutin.

    Entre temps, les réactions de désapprobation et les manifestations qui s’en sont suivies ont provoqué le décès de quatre personnes à Dakar, Saint-Louis et Ziguinchor.

    Ces personnes ont péri dans des échauffourées entre des manifestants opposés aux report de l’élection et les forces de défense et de sécurité.

    Ces violences ont été suivies d’un vent de décrispation avec la sortie de prison de centaines d’activistes et militants détenus pour des activités en lien avec leur engagement politique.

    Cette initiative d’apaisement et de réconciliation a été matérialisée quelques jours plus tard par un vote à l’Assemblée nationale d’un projet de loi d’amnistie portant sur les faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le pays entre février 2021 et février 2024.

    La promulgation de cette loi a débouché sur l’élargissement de prison d’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye, les deux principaux responsables du Parti africain du Sénégal pour le travail l’éthique et la fraternité (Pastef), une formation politique dissoute.

    Cette sortie de prison, six jours après l’ouverture de la campagne électorale, a donné au candidat Bassirou Diomaye Faye l’opportunité de rejoindre la course aux suffrages pour l’élection du prochain locataire du palais de la République.

    AKS/BK/OID

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SUPERVISION / Une cellule de veille électorale mise en place par le WANEP

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-SUPERVISION / Une cellule de veille électorale mise en place par le WANEP

    Dakar, 23 mars (APS) – Le Réseau ouest-africain pour la consolidation de la paix (WANEP, en anglais), a indiqué samedi avoir mis en place une cellule de veille électorale dans le but de contribuer à un scrutin présidentiel apaisé au Sénégal.

    Selon Adrienne Diop, représentant son conseil d’administration, cette cellule de veille électorale (CVE) a été mise en place « dans la continuité » des contributions du WANEP et d’autres de ses ONG partenaires.

    « Elle permet de maintenir une présence dans les zones à risque de violence électorale pour continuer l’alerte et la réponse en vue d’un scrutin apaisé », a dit Mme Adrienne Diop, dans une déclaration lue devant des journalistes.

    Au total, le WANEP a déployé 158 observateurs dans les « zones à risque de violence électorale comme Dakar, Diourbel, Ziguinchor, Thiès, Kolda, Sédhiou et Saint-Louis », a indiqué Adrienne Diop.

    Le WANEP a également mobilisé des collecteurs de données, des analystes, des facilitateurs de réponses, des communicateurs et une équipe de vérification de fausses informations, a-t-elle ajouté.

    Dans le souci de contribuer à une élection apaisée, le Réseau ouest-africain pour la consolidation de la paix exhorte les différents acteurs concernés à œuvrer pour que les citoyens puissent s’acquitter convenablement de leur droit de vote.

    À cet effet, le WANEP recommande à la direction générale des élections et à l’administration territoriale de faire preuve de neutralité et d’impartialité, a indiqué Adrienne Diop, avant d’inviter la Commission électorale nationale autonome à assurer que le matériel électoral est effectivement disponible dans « tous les bureaux de vote ».

    L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), pour sa part, est invitée à « garantir la continuité et la qualité de la fourniture de l’Internet et des données mobiles », selon Adrienne Diop.

    Les candidats en lice et les coalitions politiques qui les soutiennent sont appelés, en ce qui les concerne, à sensibiliser leurs militants pour prévenir le recours à toute à forme de violence.

    BB/BK

      

  • SENEGAL-PRESIDENTIELLE-ORGANISATION / Mbour : la CEDA va déployer 988 agents pour le scrutin de ce dimanche

    SENEGAL-PRESIDENTIELLE-ORGANISATION / Mbour : la CEDA va déployer 988 agents pour le scrutin de ce dimanche

    Mbour, 23 mars (APS) – La commission électorale départementale autonome (CEDA) de Mbour (ouest) va déployer 988 agents pour la supervision et le contrôle des bureaux et lieux de vote, lors du scrutin présidentiel de ce dimanche, a appris l’APS de son vice-président Moussa Diop.

    « Sur le terrain, nous avons mobilisé 988 agents qui ont été formés lors d’un séminaire, et qui ont reçu leur matériel », a dit M. Diop.

    Il s’agit de « 729 contrôleurs, 230 superviseurs, 29 suppléants, 8 agents de saisie et 2 » personnes devant représenter la CEDA au tribunal, a-t-il détaillé.

    Sur le plan financier, a poursuivi le responsable de l’organe départemental de supervision de l’élection, des « moyens conséquents ont été envoyés à la CEDA et nous les avons reçus ».

    Il souligne également que pour la sécurité, le préfet du département, en tant qu’autorité compétente, a été saisi par de correspondances auxquelles il a « déjà répondu favorablement ».

    DOB/ADI/BK