Catégorie : Élections législatives 2024

  • SENEGAL-LEGISLATIVES / Quelque 1.500 cartes d’électeur pas encore retirées à Goudiry

    SENEGAL-LEGISLATIVES / Quelque 1.500 cartes d’électeur pas encore retirées à Goudiry

    Goudiry, 13 nov (APS)- Quelque 1.500 cartes électeur n’ont pas encore été retirées par leurs titulaires au niveau du département de Goudiry, dans la région de Tambacounda (est), a appris l’APS, mercredi, de la préfète, Diégui Ngom.

     »Dans l’ensemble du département de Goudiry, il nous reste 1.500 cartes d’électeur à distribuer », a fait savoir l’autorité administrative départementale dans un entretien téléphonique avec l’APS.

    Le département de Goudiry est l’une des quatre circonscriptions administratives de la région de Tambacounda.

    Il compte 44.110 électeurs répartis entre 157 lieux de votes pour 178 bureaux de vote, d’après les données de la carte électorale nationale.

    ABD/ABB/SKS/SBS 

  • SENEGAL-LEGISLATIVES-POINT / Kolda : quelque 4 187 cartes d’électeurs pas encore retirées (préfet)

    SENEGAL-LEGISLATIVES-POINT / Kolda : quelque 4 187 cartes d’électeurs pas encore retirées (préfet)

    Kolda, 13 novembre (APS) – Quelque 4 187 cartes d’électeur sont en souffrance dans les commissions de retrait du département de Kolda, a indiqué à l’APS, mercredi, le préfet Mbassa Sène.

     »La distribution des cartes se déroule normalement. Nous avons 4 221 cartes issues de la refonte du fichier de 2017 et la révision sur les listes. Actuellement, il y en a 4 187 en souffrance dans les commissions de retrait, et nous invitons les populations à aller les retirer’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec l’APS.

    Le préfet de Kolda a en outre assuré que les dispositions sont prises pour une bonne tenue du scrutin législatif du 17 novembre prochain.

    ‘’Nous avons pris les dispositions pour l’organisation de l’élection. Nous venons de terminer la formation des membres des bureaux de vote et avons réceptionné depuis quelques semaines le matériel électoral et les bulletins de vote. Les commissions de distribution des cartes fonctionnent, et nous sommes fin prêt à aller vers la tenue du scrutin sans problème’’, a fait savoir M. Sène.

    Dans le département de Kolda, qui compte 273 bureaux et 167 lieux de vote, la distribution des cartes se poursuit sans grande affluence, a-t-il noté.

    Il a également indiqué que le personnel des bureaux de vote seront déployés de même que des éléments des forces de défense et de sécurité pour assurer la surveillance des opérations de vote le Jour-J.

    MG/ABB/ASB

     

  • SENEGAL-LEGISLATIVES-PREPARTIFS / Kaffrine : quelque 3155 cartes d’électeurs en souffrance à la préfecture (officiel)

    SENEGAL-LEGISLATIVES-PREPARTIFS / Kaffrine : quelque 3155 cartes d’électeurs en souffrance à la préfecture (officiel)

    Kaffrine, 13 nov (APS) – Quelque 3155 cartes d’électeurs sont encore en souffrance à la préfecture de Kaffrine (centre) à quelque jours des élections législatives anticipées du 17 novembre prochain, a appris, mercredi, l’APS de la  préfète du département, Aïssatou Ndiaye Diallo, déplorant ainsi un ‘’rythme faible’’ de retrait.

    ‘’Nous étions à un stock de 3435 cartes d’électeurs. Et en un mois de fonctionnement de ces commissions administratives, nous en sommes à 3155 cartes d’électeurs restantes. Seuls 280 cartes ont été retirées durant cette période’’, a  expliqué Mme Diallo.

    Selon l’autorité administrative, 30 cartes ont été retirées  dans la commune de Kaffrine, 111 pour les trois communes de l’arrondissement de Gniby et 139 pour les cinq communes de l’arrondissement de Katakel.

     »La situation de retrait est extrêmement faible », a-t-elle déploré dans un entretien avec des journalistes.

    Face à cette situation, elle a invité les populations à aller retirer leurs cartes d’électeurs avant la tenue des élections législatives précisant que depuis deux semaines, il a été institué des commissions itinérantes pour faciliter le retrait.

    En ce qui concerne le matériel électoral, la cheffe de l’exécutif départemental a assuré que ‘’globalement’’, tout est déjà  disponible à la préfecture et dans les sous-préfectures.

    ‘’On peut dire qu’on est à un taux de réception de 95% voire 97% du matériel. Il reste quelque détails mais tout le matériel sera livré dans les prochaines heures », a-t-elle soutenu.

    CTS/ADE/SKS/OID

  • SENEGAL-LEGISLATIVES-CAMPAGNE / Bakel : la tête de liste de Pastef insiste sur le désenclavement

    SENEGAL-LEGISLATIVES-CAMPAGNE / Bakel : la tête de liste de Pastef insiste sur le désenclavement

    Bakel, 13 nov (APS) – La tête de liste départementale du parti PASTEF (pouvoir) à Bakel (est), Adama Tandjigora, a promis de plaider pour que cette circonscription soit dotée d’infrastructures de nature à favoriser son désenclavement, s’il est élu député.

    « Les principales doléances sont les infrastructures routières. Le constat que j’ai fait, après avoir sillonné le département de Bakel, c’est qu’à part les routes nationales, il n’y a pas de routes dans le département de Bakel », a-t-il déploré dans un entretien avec l’APS.

    Dans certaines localités du Boundou et le Gadiaga, plusieurs pistes de production sont impraticables, selon lui.

    « Sur 250 km par exemple, il n’y a que 50 km de pistes de production, les 200 km sont laissés en rade. Je dirais qu’il n’y a pas de routes dans le département de Bakel. C’est une doléance que je compte défendre bec et ongles à l’Assemblée nationale », a déclaré M. Tandjigora.

    M. Tandjigora, par ailleurs proviseur du lycée Waoundé Ndiaye de Bakel, a souligné aussi le manque d’électricité et d’infrastructures hydrauliques dans plusieurs zones du département de Bakel.

    « Dans le Boundou par exemple, les populations me disent qu’on n’a pas besoin de routes mais de l’eau à boire. Le manque d’eau est sérieux dans le département, il faut que ça soit réglé », a-t-il dit.

    AND/ABD/BK

  • SENEGAL-LEGISLATIVES-PREPARATIFS / Bakel : 2 051 cartes en souffrance au niveau du département (adjoint préfet)

    SENEGAL-LEGISLATIVES-PREPARATIFS / Bakel : 2 051 cartes en souffrance au niveau du département (adjoint préfet)

    Bakel, 13 nov (APS) – Au total deux mille cinquante une cartes d’électeur sont en souffrance dans le département de Bakel (Tambacounda, est), a-t-on appris de l’adjoint au préfet Ngor Pouye.

    « On a deux mille cinquante et une cartes non retirées au niveau du département de Bakel », a-t-il dit dans d’un entretien avec l’APS.

    Dans l’arrondissement de Moudéry, qui compte quatre communes, 1 096 cartes n’ont pas été retirées par leurs titulaires, contre 584 cartes en souffrance à la préfecture de Bakel.

    Selon les données de la carte électorale, le département de Bakel compte 175 bureaux de vote répartis sur 118 lieux de vote pour une population électorale de 66 767 électeurs.

    AND/ABD/BK/MTN

  • SÉNÉGAL-CAMPAGNE-LÉGISLATIVES / Cheikh Issa Sall promet une proposition de loi pour la protection des autorités religieuses, une fois élu député

    SÉNÉGAL-CAMPAGNE-LÉGISLATIVES / Cheikh Issa Sall promet une proposition de loi pour la protection des autorités religieuses, une fois élu député

    Mbour 13 nov (APS) – La tête de liste nationale de la coalition de l’Union nationale pour l’intégration, le travail et l’équité (UNITE), Cheikh Issa Sall, a annoncé qu’il compte soumettre à l’Assemblée nationale, s’il est élu député, une proposition de loi visant à protégeant les autorités religieuses contre toute forme d’attaque et d’injure.

    « [La première proposition de loi] que nous allons faire, une fois à l’Assemblée nationale, sera destiné à protéger les autorités religieuses du pays contre toute attaque et injure publique », a dit Cheikh Issa Sall.

    « Le président de la République est protégé par l’article 80, les députés sont protégés par l’immunité parlementaire, les magistrats, par le privilège de juridiction, mais nos autorités religieuses sont laissées à leur propre compte et actuellement il est possible pour chaque Sénégalais de prendre son téléphone, faire une vidéo pour proférer des insanités à (leur) endroit », a-t-il dit.

    Cheikh Issa Sall, par ailleurs maire de Mbour, a insisté sur la nécessité de « mettre un terme le plus rapidement possible » à cette situation.

    Cheikh Issa Sall, par ailleurs maire de Mbour, a aussi exprimé sa volonté de « criminaliser l’homosexualité, à travers un projet de loi en urgence ».

    Une autre « urgence » soulignée par Cheikh Issa Sall tient à la nécessité de pendre en compte de l’équité territoriale dans la formulation des politiques publiques. Ce qui devra passer par « une analyse approfondie » des politiques publiques que le gouvernement mettra en place.

    Pour la tête de liste nationale de la coalition de l’Union nationale pour l’intégration, le travail et l’équité, l’Etat doit être amené à mettre en œuvre de « façon efficace et urgente l’équité territoriale », à faire des villages de l’intérieur du pays, le « moteur de croissance du pays ».

    Il estime qu’une équité territoriale et une plus grande « justice sociale » aideront à prendre en compte les aspirations des populations.

    DOB/ADI/BK

  • SENEGAL-LEGISLATIVES-CAMPAGNE / Saint-Louis : politiques et marchands condamnent les violences électorales

    SENEGAL-LEGISLATIVES-CAMPAGNE / Saint-Louis : politiques et marchands condamnent les violences électorales

    Saint-Louis, 13 nov (APS) – La tête de liste départementale de l’inter-coalition de l’opposition Takku/Wallu/Sammu Sa Kaddu Mansour Faye a condamné les scènes de violences enregistrées lundi à Saint-Louis (nord) dans le cadre de la campagne électorale en vue des élections législatives du 17 novembre prochain.

     »Nous condamnons fermement ces scènes de violence’’, a déclaré la tête de liste départementale de l’inter coalition Takku/Wallu dans le département de Saint-Louis Mansour Faye.

    M. Faye par ailleurs maire de Saint-Louis animait un point de presse mardi au nom de cette inter coalition.

    Nous, inter-coalition Takku Wallu/ Samm Sa Kaddu du département de Saint-Louis avons accueilli lundi la caravane nationale de la coalition Samm Sa Kaddu ici à Saint-Louis, ville de Téranga, ville légendaire de paix et de respect mutuel’’, a notamment dit Mansour Faye.

    ‘’Après le départ de cette caravane, nous avons suivi avec indignation comme tous les Sénégalais, des vidéos relatant des scènes d’une rare violence via les réseaux sociaux’’, a-t-il poursuivi devant les journalistes.

    Face à cette situation, le candidat à la députation interpelle le procureur de la République et les instances en charge de l’organisation électorale pour situer les responsabilités.

    De son côté l’Association des marchands tabliers du Sénégal (AMTS) a condamné, ces scènes de violence, survenues lundi au marché Sor.

     »Nous nous sommes réunis pour condamner ce qui s’est passé lundi à Saint-Louis. Nous déplorons vraiment les scènes de violence survenues ici. Le fait de voir des machettes, entre autres, armes blanches, c’est vraiment regrettable´´, a déploré Abdou Lahad Faye, président de l’AMTS, lors d’un point de presse tenu mardi à Saint-Louis.

    La police a interpellé 81 individus suspectés d’avoir pris part aux incidents ayant éclaté lundi, dans la commune de Saint-Louis, entre des préposés à la sécurité d’une caravane politique et des marchands ambulants, a indiqué mardi le gouverneur de cette région, Al Hassan Sall.

    CGD/AMD/MTN

  • SENEGAL-POLITIQUE-CAMPAGNE / Législatives 2024 : le PASTEF s’est acquitté de la redevance du droit d’auteur (SODAV)

    SENEGAL-POLITIQUE-CAMPAGNE / Législatives 2024 : le PASTEF s’est acquitté de la redevance du droit d’auteur (SODAV)

    Dakar, 13 nov (APS) – La Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins annonce que le parti PASTEF (pouvoir) s’est acquitté de la redevance pour l’exploitation du répertoire musical utilisé par cette formation politique au cours de la campagne électorale pour les législatives anticipées du 17 novembre prochain.

    Dans un communiqué transmis mercredi à l’APS, la SODAV dit saluer cette démarche du parti au pouvoir, qui s’inscrit ainsi « dans l’exemplarité et démontre son attachement au respect de la propriété littéraire et artistique régie par la loi 2008-09 sur le droit d’auteur et les droits voisins du Sénégal ».

    « La SODAV a tenu à se réjouir publiquement de cet acte et invite les autres formations politiques en campagne à suivre cet exemple de légalité en se rapprochant de nos services pour régulariser leur situation », indique le communiqué.

    La SODAV avait invité les partis politiques à se rapprocher de ses services compétents pour l’obtention de l’autorisation requise en vue de l’exploitation licite des répertoires protégés pour leurs animations durant la campagne électorale.

    AMN/BK/MTN

     

     

  • SENEGAL-PRESSE-REVUE / Les quotidiens constatent une baisse sensible de la tension politique

    SENEGAL-PRESSE-REVUE / Les quotidiens constatent une baisse sensible de la tension politique

    Dakar, 13 novembre (APS) – La presse quotidienne fait état mercredi d’une sensible baisse de la tension notée ces derniers jours sur le front politique, au dernier tournant de la campagne électorale pour les législatives anticipées de dimanche.

    « Manœuvres de désescalade », peut-on lire à la une du journal Le Quotidien, selon lequel la Brigade d’intervention polyvalente (BIP) de la police nationale a mis la main sur 81 personnes après l’attaque contre des marchands ambulants à Saint-Louis (nord), en lien avec la campagne électorale.

    Ces marchands agressés « scandaient le nom de Ousmane Sonko, lors du passage d’une caravane de l’opposition au marché Sor. Les personnes arrêtées font l’objet d’interrogatoires au niveau du commissariat de police », rapporte le journal en citant le gouverneur de Saint-Louis.

    Al Hassane Sall, le chef de l’exécutif régional de Saint-Louis, « reste ferme quant à la mise en œuvre des instructions du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, relativement à la sécurisation du reste de la campagne électorale », ajoute Le Journal Le Quotidien.

    Walfquotidien également annonce que « plus de 70 personnes interpellées à Saint-Louis ». Il ajoute que la tête de liste nationale de la coalition du parti Pastef (pouvoir), Ousmane Sonko revient à de meilleurs sentiments » après avoir demandé à ses militants de se « venger » des agressions qu’ils auraient subis.

    « Une accalmie de façade ? »

    De son côté, Barthélémy Dias, tête de liste nationale de l’une des principales coalitions de l’opposition et maire de Dakar, « réitère son appel au calme et à la paix », alors que l’ancien Premier ministre Amadou Ba « prône le débat d’idées », selon Walfquotidien.

    « Après l’escalade, une accalmie de façade ? », s’interroge Vox Populi, en se faisant l’écho de l’appel renouvelé d’un responsable de la société civile, Moundiaye Cissé en l’occurrence, qui « pointe du doigt l’Etat et invite les leaders [politiques] à plus de responsabilité ».

    « Les ministères de l’Intérieur et de la Justice doivent lancer un signal fort pour montrer que l’impunité ne va pas prospérer », déclare Moundiaye Cissé, directeur exécutif de l’ONG 3D (Démocratie-Droits humains-Développement).

    Sud Quotidien estime que pour le coup, la classe politique se retrouve « face à ses responsabilités ». L’escalade dans la violence notée ces derniers jours « a provoqué une véritable levée des boucliers et un appel général au calme et à la responsabilité », souligne cette publication.

    Haro sur la violence », renchérit le quotidien Enquête, selon lequel « plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer les violences observées à Saint-Louis ainsi que les appels à la violence dans le cadre de la campagne électorale pour les prochaines législatives ».

    « Une classe politique de plus en plus violente »

    L’info fait état d’une « vague nationale condamnation » qui s’est levée pour dénoncer ces violences, Le Témoin quotidien faisant en particulier remarquer  que la « confrontation » a été évitée entre la tête de liste nationale de la coalition dirigée par Pastef (pouvoir) et le maire de Dakar, à la tête de l’une des principales coalitions de l’opposition.

    « La bataille entre les deux mastodontes de la scène politique que sont Ousmane Sonko et Barthélémy Dias déclenchée depuis le démarrage de la campagne électorale n’a pas eu lieu », avance le journal.

    Il ajoute que « malgré une démonstration de force de ses partisans », Ousmane Sonko  »a renoncé à la riposte parce que l’Etat a pris en charge ses doléances en arrêtant près de 80 personnes proches de Barthélémy Dias et de Samm Sa Kaddu ».

    « Accusé d’être à l’origine de la violence électorale qui sévit dans le pays depuis quelques jours, Barthélémy Dias s’est lavé à grande eau, avant de rejeter la faute sur Ousmane Sonko. Non sans déballer sur leurs relations passées, quand le leader de PASTEF était venu solliciter son aide pour sa protection et celle de sa famille », écrit le quotidien L’info.

    Le Mandat s’inquiète d’une classe politique  »de plus en plus violente », à force de tomber dans les « confrontations physiques, verbales » et autres dérives, avant de pointer, pour les déplorer,  »des scènes de violence, aussi physiques que verbales, chez la nouvelle classe politique constituée pourtant de jeunes ».

    La presse se trouve également interpellée, le ministère de la Communication et le CORED – Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias – ayant appelé à  »un journalisme responsable », selon Le Soleil.

    Le journal signale que cet appel concerne notamment la diffusion de messages de haine et l’incitation à la violence durant la campagne électorale.

    BK

  • SENEGAL-ELECTIONS-REACTION / La Plateforme Ëttu jàmm invite à  »l’apaisement dans les discours »

    SENEGAL-ELECTIONS-REACTION / La Plateforme Ëttu jàmm invite à  »l’apaisement dans les discours »

    Dakar, 12 nov (APS) – La Plateforme de Veille des Femmes pour la Paix et la Sécurité dénonce les actes de violences dans la campagne électorale et invite les acteurs politiques à ‘’l’apaisement dans les discours, la quiétude dans les comportements et attitudes’’.

    Ëttu jàmm, composée de plus de soixante organisations de la société civile féminine, appelle les partis et coalitions en lice à ‘’œuvrer pour que ces périodes préélectorale et électorale se passent dans la paix, le calme et la sérénité’’.

    La Plateforme demande que ‘’des sanctions fermes soient prises à l’endroit des auteurs de violences (…)’’ et ‘’en appelle au sens des responsabilités et de la citoyenneté des populations, aux responsables des institutions chargées de la conduite du processus électoral, à l’administration organisatrice des élections ».

    Ëttu jàmm rappelle que ‘’la tenue d’élections est un indice de démocratie pour un pays’’ et que ‘’l’installation et le maintien d’un climat apaisé durant tout le processus électoral sont la garantie d’une paix durable et d’une bonne gouvernance’’.

    OID